Ma cousine Amandine 09.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2020 dans la catégorie Plus on est
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Ma cousine Amandine 09.
MARION
- Vas-y allonge toi, et décontracte toi, Camille et moi avons l’habitude d’essarter même les terrains difficiles, et rassure-toi nous le faisons aussi aux garçons volontaires et je peux te dire qu’ils y tiennent à leur virilité.
Une de chaque côté, Camille mon assistante préparatrice de terrain, moi en chirurgien barbier de compétition, la colline s’éclaircit rapidement et nous apparaît une chatoune qui va plaire aux garçons, Camille après l’avoir bien triturée dans tout les sens pour me faciliter le passage du rasoir, s’attarde plus que de raison pour enluminer la devanture de la belle, elle frotte, lisse, tapote et étale même une crème après-rasage de mon frère en palpant et tâtant les moindres recoins et comme elle connaît les zones érogènes, l’effet sur Amandine est salutaire pour notre objectif. Sa chatte reluit de mille feux, un rayon de lumière plongeant de la fenêtre sur elle la fait briller et étinceler comme un collier de diamant.
Camille, gourmande, finit par un baiser langoureux sur cette fente avec stimulation du clito par une langue frétillante.
AMANDINE
Je vais de découvertes en découvertes, des sensations aussi fortes et méconnues, mes réticences s’ évanouissent, toutes mes certitudes partent en fumée, et puis j’ai aussi le droit de m’amuser un peu, il sera toujours temps de me confesser après et je n’imagine même pas comment je vais m’y prendre pour raconter cela à un prêtre. Mais j’y suis prête pour expérimenter des plaisirs insoupçonnés, notre repère pseudo clandestin me pousse à continuer de découvrir de merveilleuses récréations.
J’ai confiance en Marion et je pense que sa copine Camille est aussi digne de foi mais pour m’en assurer complètement je leur pose cette question :
- Pouvez-vous me garantir que cette journée restera un secret entre nous ? Demandé-je tout bas.
- Promis, juré, craché, me répond Marion en joignant le geste à la parole.
Et elle envoie une salve au fond de la baignoire.
- idem, fait Camille, et je peux te dire que les garçons qui nous attendent sont 100 % discrets, veux-tu que nous les rejoignons ?
- Des garçons ? Fais-je prise de court.
- Oui, réplique Marion, mon frère Théo et deux autres copains.
Je ne sais quoi répondre, ma conscience me martèle de ne pas y aller, et ma curiosité m’autorise à foncer.
- Ce n’est pas une ni deux mais trois bites qui te tendent les bras, ajoute Camille.
- advienne que pourra, renchéris-je en m’abandonnant au bon vouloir de Dieu.
- Viens, suis nous, fait Marion, inutile de remettre ta culotte, ils préfèreront que tu n’ en aies pas sous ta jupe.
THÉO
- Elles arrivent, crié-je à mes comparses, tout le monde au garde-à-vous !
- Doit-on décalotter nos bites ? Demande Hugo.
- Non, fais-je, je trouve plus joli qu’il y flotte une part de mystère.
Et là je vais faire une petite description des disparités de nos pénis. Pour Hugo, la bite horizontale, comme je l’ai déjà remarqué, quand il la recalotte, elle est proche de la mienne avec 1,5 cm du gland qui dépasse, on voit le bout rouge et une mignonne petite fente écarlate. Pour Alexis c’est différent, recalottée, sa queue renferme tous ses secrets, la peau de sa bite recouvre tout son gland qui me paraît fluet et sa trique en arc de cercle terminée par un enroulé de plis qui cache complètement la peau lisse et lustrée de son gland me prouve que nous n’avons pas tous la même quéquette, elle est vraiment marrante sa bite comme ça. La mienne, sans me vanter possède le plus gros gland de nous trois et ressemble plus à celle d’Hugo car recapuchonnée nous pouvons admirer le bout délicat et esthétique contrairement à Alexis.
À 2 m devant la porte face à elle, biroutes tendues à mort nous sommes immobiles et silencieux, espérons que quelqu’un ouvre la porte!
AMANDINE
Marion et Camille m’ont fait passer devant elle, je suis figée devant la porte de l’enfer ou du paradis, telle est la question.
Je me concentre pour avoir la force de sauter le pas, et avant, curieuse, je pose une dernière question aux filles pour avoir une idée de ce qu’il peut se dissimuler encore à ma vue.
- Comment sont les garçons ? Je veux dire comment physiquement.
En effet des pensées érotiques s’agitent dans ma petite tête. Mon esprit et mon jugement sont aux abonnés absents, par contre mon imagination bouillonne.
- T’en fais pas, dit Marion, la dernière fois que j’ai vu que Théo il était en petit Saint-Jean et ce depuis le lever du soleil et je suis presque sûr qu’il est toujours in naturalibus. Les deux autres étaient normalement constitués quand ils nous ont quittées.
Ces dernières paroles me donnent un courage monstre, j’ai la chance incroyable d’une possibilité d’exploration d’un éden secret et j’ai une envie irrésistible d’exploser cette porte. Et par aubaine je n’ai pas besoin d’être aussi violente, prendre la poignée et la tourner suffit pour apaiser ma soif de connaissance. Et dans un effort surhumain, car ma conscience s’affole, je parviens à me libérer d’un carcan insupportable et tous mes sens ensembles sont aux aguets et s’émancipent de toute morale.
Je fais mon signe de croix, et je dégage l’obstacle entre nous et les garçons.
Mais ce n’est pas un jeune homme tout nu que je découvre, mais trois juste devant moi avec un machin tendu dont je n’avais aucune idée que ça puisse exister.
A suivre.
- Vas-y allonge toi, et décontracte toi, Camille et moi avons l’habitude d’essarter même les terrains difficiles, et rassure-toi nous le faisons aussi aux garçons volontaires et je peux te dire qu’ils y tiennent à leur virilité.
Une de chaque côté, Camille mon assistante préparatrice de terrain, moi en chirurgien barbier de compétition, la colline s’éclaircit rapidement et nous apparaît une chatoune qui va plaire aux garçons, Camille après l’avoir bien triturée dans tout les sens pour me faciliter le passage du rasoir, s’attarde plus que de raison pour enluminer la devanture de la belle, elle frotte, lisse, tapote et étale même une crème après-rasage de mon frère en palpant et tâtant les moindres recoins et comme elle connaît les zones érogènes, l’effet sur Amandine est salutaire pour notre objectif. Sa chatte reluit de mille feux, un rayon de lumière plongeant de la fenêtre sur elle la fait briller et étinceler comme un collier de diamant.
Camille, gourmande, finit par un baiser langoureux sur cette fente avec stimulation du clito par une langue frétillante.
AMANDINE
Je vais de découvertes en découvertes, des sensations aussi fortes et méconnues, mes réticences s’ évanouissent, toutes mes certitudes partent en fumée, et puis j’ai aussi le droit de m’amuser un peu, il sera toujours temps de me confesser après et je n’imagine même pas comment je vais m’y prendre pour raconter cela à un prêtre. Mais j’y suis prête pour expérimenter des plaisirs insoupçonnés, notre repère pseudo clandestin me pousse à continuer de découvrir de merveilleuses récréations.
J’ai confiance en Marion et je pense que sa copine Camille est aussi digne de foi mais pour m’en assurer complètement je leur pose cette question :
- Pouvez-vous me garantir que cette journée restera un secret entre nous ? Demandé-je tout bas.
- Promis, juré, craché, me répond Marion en joignant le geste à la parole.
Et elle envoie une salve au fond de la baignoire.
- idem, fait Camille, et je peux te dire que les garçons qui nous attendent sont 100 % discrets, veux-tu que nous les rejoignons ?
- Des garçons ? Fais-je prise de court.
- Oui, réplique Marion, mon frère Théo et deux autres copains.
Je ne sais quoi répondre, ma conscience me martèle de ne pas y aller, et ma curiosité m’autorise à foncer.
- Ce n’est pas une ni deux mais trois bites qui te tendent les bras, ajoute Camille.
- advienne que pourra, renchéris-je en m’abandonnant au bon vouloir de Dieu.
- Viens, suis nous, fait Marion, inutile de remettre ta culotte, ils préfèreront que tu n’ en aies pas sous ta jupe.
THÉO
- Elles arrivent, crié-je à mes comparses, tout le monde au garde-à-vous !
- Doit-on décalotter nos bites ? Demande Hugo.
- Non, fais-je, je trouve plus joli qu’il y flotte une part de mystère.
Et là je vais faire une petite description des disparités de nos pénis. Pour Hugo, la bite horizontale, comme je l’ai déjà remarqué, quand il la recalotte, elle est proche de la mienne avec 1,5 cm du gland qui dépasse, on voit le bout rouge et une mignonne petite fente écarlate. Pour Alexis c’est différent, recalottée, sa queue renferme tous ses secrets, la peau de sa bite recouvre tout son gland qui me paraît fluet et sa trique en arc de cercle terminée par un enroulé de plis qui cache complètement la peau lisse et lustrée de son gland me prouve que nous n’avons pas tous la même quéquette, elle est vraiment marrante sa bite comme ça. La mienne, sans me vanter possède le plus gros gland de nous trois et ressemble plus à celle d’Hugo car recapuchonnée nous pouvons admirer le bout délicat et esthétique contrairement à Alexis.
À 2 m devant la porte face à elle, biroutes tendues à mort nous sommes immobiles et silencieux, espérons que quelqu’un ouvre la porte!
AMANDINE
Marion et Camille m’ont fait passer devant elle, je suis figée devant la porte de l’enfer ou du paradis, telle est la question.
Je me concentre pour avoir la force de sauter le pas, et avant, curieuse, je pose une dernière question aux filles pour avoir une idée de ce qu’il peut se dissimuler encore à ma vue.
- Comment sont les garçons ? Je veux dire comment physiquement.
En effet des pensées érotiques s’agitent dans ma petite tête. Mon esprit et mon jugement sont aux abonnés absents, par contre mon imagination bouillonne.
- T’en fais pas, dit Marion, la dernière fois que j’ai vu que Théo il était en petit Saint-Jean et ce depuis le lever du soleil et je suis presque sûr qu’il est toujours in naturalibus. Les deux autres étaient normalement constitués quand ils nous ont quittées.
Ces dernières paroles me donnent un courage monstre, j’ai la chance incroyable d’une possibilité d’exploration d’un éden secret et j’ai une envie irrésistible d’exploser cette porte. Et par aubaine je n’ai pas besoin d’être aussi violente, prendre la poignée et la tourner suffit pour apaiser ma soif de connaissance. Et dans un effort surhumain, car ma conscience s’affole, je parviens à me libérer d’un carcan insupportable et tous mes sens ensembles sont aux aguets et s’émancipent de toute morale.
Je fais mon signe de croix, et je dégage l’obstacle entre nous et les garçons.
Mais ce n’est pas un jeune homme tout nu que je découvre, mais trois juste devant moi avec un machin tendu dont je n’avais aucune idée que ça puisse exister.
A suivre.
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