Ma cousine Amandine 12.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Ma cousine Amandine 12.
AMANDINE
Par lequel commencer ? Les trois garçons sont devant moi attendant ma réponse, leur bite me met en transe et alors que, jusqu’à présent je m’imaginais cet état réservé à quelques personnes de foi et dans certaines circonstances, voilà que je pense me rapprocher d’un sentiment intérieur si fort que je ne me contrôle plus.
Je trouve qu’ils sont si craquants, prêts à me donner plein d’amour, et j’en ai la preuve avec leur parure en offrande, une merveille de beauté.
J’ai beaucoup de mal à faire un choix, je ne voudrais pas décevoir deux des garçons en privilégiant le troisième.
- C’est, c’est, c’est, bégayé-je, très compliqué de choisir, vous êtes tous les trois adorables de me faire goûter aux plaisirs de la chair.
- Ne te prends pas la tête, fait Théo, nous ne sommes pas jaloux les uns des autres, c’est un dilemme embarrassant pour toi soit, mais quel qu’il soit nous le respecterons évidemment.
- Tu vas les sucer de toute façon tous les trois, s’assure Camille, le mieux c’est que tu sautes de l’un à l’autre et que tu les fasses tourner rapidement, tu verras que leur plaisir sera maintenu intact et même peut-être décuplé.
- Oui, réponds Théo, voir, que tu nous pipes en suivant et en revenant plusieurs fois à nous, est super bandant.
Marion les place les uns à côté des autres et Camille me fait mettre à genoux, sans même réfléchir je m’approche d’Hugo le premier à ma droite, après tout je n’ai encore même pas touché sa bite et c’est lui qui m’a fait monter au ciel, alors j’ai décidé d’inaugurer le festin avec lui sans faire plus de commentaires pour ne pas faire de mal aux autres.
Mon cœur bat à 100 à l’heure, vais-je être à la hauteur ? Comment procéder ? Je me pose plein de questions, mais avec la bienveillance de filles dont je soupçonne une compétence exceptionnelle je ne suis pas trop angoissée, j’ai confiance en elles pour me donner les bons conseils.
Arrivée à quelques centimètres de la bistouquette d’Hugo, je la découvre encore plus grosse que tout à l’heure, en tous cas c’est l’impression que cela me fait.
À genoux devant, je ne peux m’empêcher de songer aux multiples fois où je me suis trouvée dans cette position pour prier, mais cette fois ce n’est pas pour remercier ou implorer le petit Jésus, Marie ou ses saints !
Mon dieu est devenu le démon et j’assume pleinement mon revirement, je veux goûter aux péchés de luxure, tant pis si je renie 18 ans de fidélité à mon ancienne religion, je fais vœux d’obéissance à ma nouvelle théosophie : la recherche physique et psychique de l’épicurisme.
J’ai hâte d’expérimenter ce désir de faire du bien à un garçon, de lui faire une pipe comme disent mes voisines.
J’approche ma main de la cuisse dHugo, je la pose et je caresse sa peau bronzée en remontant, et inévitablement je tombe sur ses deux petites balles qui me brûlent la main et que je manipule délicatement.
Hugo est le seul à être intégralement épilé, j’ai l’impression de toucher une statue grecque d’un athlète dénudé mais son intimité est bien plus étourdissante car ma sculpture vivante est chaude et animée, et son pénis n’a rien à voir avec la petite chose minuscule que j’ai observée dans certains musées ou sur certaines photos.
Je place ma tête de côté, je sors la langue et la rapproche de sa bite jusqu’à la toucher pour connaître ma toute première sensation que procure le contact de celle-ci sur le sexe d’un garçon. J’accomplis cette acte avec tact, sans précipitation et je ne suis pas déçue.
HUGO
Debout devant Amandine, si belle, si sensuelle, si douce, je m’abandonne à elle, elle peut faire ce qu’elle veut de moi et de mon chibriape comme l’appelle Apollinaire. Mon émotion est aussi visible que celle d’Amandine mais complètement différente de la première fois où Marion m’a sucé. Aujourd’hui pour cette fille c’est une découverte, sa timidité sa peur de mal faire me touche particulièrement contrairement à la fois où ma voisine, experte en la matière, m’avait pris en main et en bouche, sans lui faire offense elle en avait sucées des kilomètres avant comme on dit.
Sa main flâne sur ma cuisse jusqu’à frôler le commencement de mes couilles, la caresse est exquise et sans brusquer les choses elle sort sa langue qui parcourt la longueur de mon zob de la base jusqu’au sommet et finit en frétillant comme un petit poisson sur le bout de mon gland en insistant sur le méat.
Plusieurs fois elle arpente ce chemin en changeant chaque fois de côté et en maintenant avec sa main ma hampe pour que sa langue reste en permanence au contact de ma bite.
Je suis bien décontracté sauf du gland qui désire ardemment proposer une demande d’asile à cette cavité si proche.
Je regarde ses yeux qui m’observent aussi, ils pétillent de bonheur, d’un geste d’encouragement avec mes deux mains sur sa tête je l’invite à engloutir ma bite, ses lèvres se posent sur l’extrémité, des lèvres pulpeuses et humides qui enserrent mabite et coulissent lentement le long de celle-ci entraînant la peau et décalottant ma bite dans sa bouche dont la langue câline mon gland.
Ses premiers aller et retour engloutissent qu’un tiers de mon gourdin, mais après quelques minutes elle l’enfonce de plus en plus profond, le frottement de ses lèvres douillettes sur le corps spongieux de ma queue m’allume fortement, je sens que je peux défaillir d’un instant à l’autre. C’est pourquoi je demande un entracte et propose à Amandine de continuer sur mon voisin qui se trouve être Théo et auquel je suis ravi de passer le relais.
A suivre.
Par lequel commencer ? Les trois garçons sont devant moi attendant ma réponse, leur bite me met en transe et alors que, jusqu’à présent je m’imaginais cet état réservé à quelques personnes de foi et dans certaines circonstances, voilà que je pense me rapprocher d’un sentiment intérieur si fort que je ne me contrôle plus.
Je trouve qu’ils sont si craquants, prêts à me donner plein d’amour, et j’en ai la preuve avec leur parure en offrande, une merveille de beauté.
J’ai beaucoup de mal à faire un choix, je ne voudrais pas décevoir deux des garçons en privilégiant le troisième.
- C’est, c’est, c’est, bégayé-je, très compliqué de choisir, vous êtes tous les trois adorables de me faire goûter aux plaisirs de la chair.
- Ne te prends pas la tête, fait Théo, nous ne sommes pas jaloux les uns des autres, c’est un dilemme embarrassant pour toi soit, mais quel qu’il soit nous le respecterons évidemment.
- Tu vas les sucer de toute façon tous les trois, s’assure Camille, le mieux c’est que tu sautes de l’un à l’autre et que tu les fasses tourner rapidement, tu verras que leur plaisir sera maintenu intact et même peut-être décuplé.
- Oui, réponds Théo, voir, que tu nous pipes en suivant et en revenant plusieurs fois à nous, est super bandant.
Marion les place les uns à côté des autres et Camille me fait mettre à genoux, sans même réfléchir je m’approche d’Hugo le premier à ma droite, après tout je n’ai encore même pas touché sa bite et c’est lui qui m’a fait monter au ciel, alors j’ai décidé d’inaugurer le festin avec lui sans faire plus de commentaires pour ne pas faire de mal aux autres.
Mon cœur bat à 100 à l’heure, vais-je être à la hauteur ? Comment procéder ? Je me pose plein de questions, mais avec la bienveillance de filles dont je soupçonne une compétence exceptionnelle je ne suis pas trop angoissée, j’ai confiance en elles pour me donner les bons conseils.
Arrivée à quelques centimètres de la bistouquette d’Hugo, je la découvre encore plus grosse que tout à l’heure, en tous cas c’est l’impression que cela me fait.
À genoux devant, je ne peux m’empêcher de songer aux multiples fois où je me suis trouvée dans cette position pour prier, mais cette fois ce n’est pas pour remercier ou implorer le petit Jésus, Marie ou ses saints !
Mon dieu est devenu le démon et j’assume pleinement mon revirement, je veux goûter aux péchés de luxure, tant pis si je renie 18 ans de fidélité à mon ancienne religion, je fais vœux d’obéissance à ma nouvelle théosophie : la recherche physique et psychique de l’épicurisme.
J’ai hâte d’expérimenter ce désir de faire du bien à un garçon, de lui faire une pipe comme disent mes voisines.
J’approche ma main de la cuisse dHugo, je la pose et je caresse sa peau bronzée en remontant, et inévitablement je tombe sur ses deux petites balles qui me brûlent la main et que je manipule délicatement.
Hugo est le seul à être intégralement épilé, j’ai l’impression de toucher une statue grecque d’un athlète dénudé mais son intimité est bien plus étourdissante car ma sculpture vivante est chaude et animée, et son pénis n’a rien à voir avec la petite chose minuscule que j’ai observée dans certains musées ou sur certaines photos.
Je place ma tête de côté, je sors la langue et la rapproche de sa bite jusqu’à la toucher pour connaître ma toute première sensation que procure le contact de celle-ci sur le sexe d’un garçon. J’accomplis cette acte avec tact, sans précipitation et je ne suis pas déçue.
HUGO
Debout devant Amandine, si belle, si sensuelle, si douce, je m’abandonne à elle, elle peut faire ce qu’elle veut de moi et de mon chibriape comme l’appelle Apollinaire. Mon émotion est aussi visible que celle d’Amandine mais complètement différente de la première fois où Marion m’a sucé. Aujourd’hui pour cette fille c’est une découverte, sa timidité sa peur de mal faire me touche particulièrement contrairement à la fois où ma voisine, experte en la matière, m’avait pris en main et en bouche, sans lui faire offense elle en avait sucées des kilomètres avant comme on dit.
Sa main flâne sur ma cuisse jusqu’à frôler le commencement de mes couilles, la caresse est exquise et sans brusquer les choses elle sort sa langue qui parcourt la longueur de mon zob de la base jusqu’au sommet et finit en frétillant comme un petit poisson sur le bout de mon gland en insistant sur le méat.
Plusieurs fois elle arpente ce chemin en changeant chaque fois de côté et en maintenant avec sa main ma hampe pour que sa langue reste en permanence au contact de ma bite.
Je suis bien décontracté sauf du gland qui désire ardemment proposer une demande d’asile à cette cavité si proche.
Je regarde ses yeux qui m’observent aussi, ils pétillent de bonheur, d’un geste d’encouragement avec mes deux mains sur sa tête je l’invite à engloutir ma bite, ses lèvres se posent sur l’extrémité, des lèvres pulpeuses et humides qui enserrent mabite et coulissent lentement le long de celle-ci entraînant la peau et décalottant ma bite dans sa bouche dont la langue câline mon gland.
Ses premiers aller et retour engloutissent qu’un tiers de mon gourdin, mais après quelques minutes elle l’enfonce de plus en plus profond, le frottement de ses lèvres douillettes sur le corps spongieux de ma queue m’allume fortement, je sens que je peux défaillir d’un instant à l’autre. C’est pourquoi je demande un entracte et propose à Amandine de continuer sur mon voisin qui se trouve être Théo et auquel je suis ravi de passer le relais.
A suivre.
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