Ma cousine Amandine 14. - histoire érotique

AMANDINE
Et la bite d’Alexis que je ne perds pas de vue un seul instant, semble me faire des clins d’œil avec son unique exemplaire tel un cyclope, Camille la manie d’une force incroyable qui me déconcerte et en même temps m’émerveille, quelle beauté ! ce jeu de cache-cache, je te vois, je te vois plus, avec ce champignon rosé emballé puis déballé par une peau tendue puis plissée qui me magnétise.

La bouche légèrement ouverte afin de recevoir je ne sais trop quoi, car je n’ai jamais osé faire des recherches à ce sujet, et je n’ai qu’une très vague idée de comment les choses vont se passer.

Mais je suis super motivée pour apprendre vite et j’attends avec impatience cette instant de découvrir, tel Christophe Colomb:une terre inconnue.

- Je viens, m’informe Alexis.

Camille intensifie encore son action, et je suis surprise malgré les alertes et précautions prises quand un jet puissant pénètre ma bouche et s’étale sur ma langue, d’un réflexe je ferme instinctivement ma mâchoire et j’essaye de détourner la tête, heureusement que Théo me maintient fermement pour que je reste bien face aux giclées qui m’atteignent de plein fouet sur le visage.

Je déglutis avant d’ouvrir de nouveau la bouche et d’immédiatement reprendre une fusée sur la langue grâce à l’habileté de Camille. J’avale de nouveau cet alluvion tout en continuant de recevoir des projections moins puissantes et plus espacées sur mon visage. Une d’entre elles passe même juste à côté et viens atterrir sur le ventre de Théo.

- Désolée, lui fait Camille.

- Ce n’est rien, répond-il, même nous parfois ne dirigeons pas comme nous voulons et ratons la cible.

- Vient sucer le bout de la bite, me fait Camille, regarde il y en a plein encore sur sa queue.

Elle fait coulisser la peau vers le bout et elle essore comme une éponge, je recueille sur ma langue le reste de sperme qui goutte-à-goutte s’y déverse et quand le filet cesse, ma langue se faufile entre la peau pour attraper les dernières gouttelettes qui se raccrochent désespérément à leur géniteur. Mais je suis plus forte qu’elles et je parviens à les récupérer.

Je resuce même complètement toute cette tige, et je déguste avec joie ma première bite spermée, avoir en même temps dansla bouche le producteur et la production me donnent la chaire de poule, j’irais même jusqu’à comprendre la mante religieuse qui mange son homme après l’acte.

- Et bien dis donc ça colle tant que ça que tu ne peux pas lâcher sa bite ! Me lance Camille.

J’abandonne se queue avec contrariété pour pouvoir lui répondre un petit oui mélancolique qui attriste tous les observateurs présents.

THÉO
Camille et moi avons eu du mal pour maintenir nos deux acteurs dans le droit chemin, mais nous avons réussi notre opération, quand je regarde Amandine de face, j’aperçois son joli minois arrosé de sperme, je le trouve sublime, et ma queue est tout à fait d’accord avec moi et me le prouve en voulant de nouveau grimper au ciel.

De beaux amas se mettent à dégouliner de ses joues jusqu’à ses lèvres en empruntant le philtrum et ils stoppent leur descente dans l’arc de Cupidon mais bientôt l’agglomérât étant trop important il s’épanche de chaque côté jusqu’à atteindre ses commissures labiales : cela lui fait comme des moustaches.

- Quel garçon veux faire un bisou à Amandine ? Demande Camille avec malice.

Mes deux compères ne paraissent pas très emballés, vu leur réaction de dégoût, la pauvre semble bien seule, elle, à l’instar de tant de filles qui acceptent qu’un garçon puisse éjaculer sur leur visage et dans leur bouche, attends un audacieux pourpartager ensemble des instants heureux.

Je ne peux pas la laisser prendre un vent si terrible après ce qu’elle vient d’autoriser. C’est pour cela que sans trop réfléchir un mot sort de ma bouche inconsciemment :
- Moi.

Et mes potes paraissent soulagés, comme à l’école quand un élève se porte volontaire pour répondre à une question d’un prof dont on ignore la réponse. Je vois aussi le sourire des deux autres filles.

- Immortalise bien ce moment, ordonne Camille à Marion.

Maintenant je ne peux plus faire marche arrière, sauf si la belle refuse. À tout hasard je pose la question mais je ne fais pas trop d’illusions.

- Acceptes-tu un baiser Amandine ?

Son enthousiasme est encore pire que je ne le pensais, elle se relève d’un seul coup, passe ses bras sur mes épaules et de ses mains m’attire vers elle, nos épidermes se touchent, nos lèvres en premier, mais pas seulement, nos joues s’accolent aussi, nos nez sont reliés par un filament de foutre. Je ferme les yeux quand nos langues se mélangent engluées dans un mélange de nos salives et de la semence d’Alexis.

La coquine n’en reste pas là, elle pousse aussi le vice jusqu’à venir récupérer avec sa langue des dégoulinis qui sont passés de sa joue à ma joue. Elle pose de nouveau ses lèvres sur les miennes et sa langue blanchâtre entre dans ma bouche.
Bizarrement la sensation est merveilleuse, moi qui éprouvais quelques angoisses à tenter cette expérience je suis assez surpris du résultat. C’est même plutôt une réussite, un cum kiss comme j’ai déjà vu faire dans un film porno et même là encore plus fort car ce sperme n’est pas le mien mais je n’ai aucun mal à le partager avec Amandine, c’est même plutôt un grand plaisir à le faire.

À mon tour je lèche ses joues pour en récupérer le plus possible, et d’un doigt j’arrive à rattraper la virgule qui continue de ruisseler sur mon ventre et je le porte aux lèvres d’Amandine qui se referment sur lui et le suces avec gourmandise.
Nous finissons évidemment par une super galoche qui s’éternise tellement que Marion est obligée d’intervenir.

- Un petit peu de tenue, les jeunes !

A suivre.