Ma cousine Amandine 18.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Ma cousine Amandine 18.
CAMILLE
Je fais approcher Hugo, le passage est fait mais pour l’élargir un peu il a une bite moins grosse que Théo.
- Tiens, tu vas mettre son petit imperméable toi-même à l’anguille d’Hugo , dis-je à Amandine en lui tendant la boîte de capotes.
Elle en sort un petit sachet qu’elle déchire et elle en retire un petit caoutchouc.
- Avant toute chose, assure-toi que le tuteur soit bien prêt, un truc mou et tu auras des difficultés à équiper zézette, conseille Marion.
La bite d’Hugo, comme les autres d’ailleurs, ne présente aucune faiblesse, mais la vaurienne la remet dans sa bouche plus par plaisir que par nécessité et elle lui poli le chinois par paillardise.
- Dans le cas présent cela n’était pas nécessaire,dis-je, nos pur sang sont bien disposés et il ne faut pas trop jouer avec le feu sinon on se brûle ma petite Amandine.
- Oui mieux vaut jouer avec les étoiles, on risque de briller, dit Marion, regarde les yeux d’Hugo! Ça étincelle, il veut lui aussi introduire son plantoir dans ton jardinet, fous-lui sa cagoule, Il est grand temps.
Elle nous obéit mais tergiverse un peu avant de trouver le bon sens et d’enfiler correctement le capuchon au zigomar.
- Allonge toi sur le dos, fais-je à Hugo, Amandine va faire à dada sur mon bidet. Tu t’es déjà amusée avec cette comptine quand tu étais petite ?
- Oui je la connais, et je la chantais sur les genoux de mes parents.
- Et bien c’est pareil, dit Marion, et avec la bite d’Hugo bien verticale, tu peux monter en selle.
Hugo n’a même pas besoin de positionner sa queue, la cochonne s’assoit dessus, et comme elle est dure comme un roc, Amandine n’a aucun mal à s’embrocher dessus.
Les deux visages de nos godelureaux face-à-face se sourient, Hugo lui tend ses mains qu’elle saisit comme des rênes, la stabilité étant assurée elle peut commencer à faire avancer sa monture aux pas tout d’abord, la flèche ( qui n’appartient pas à Notre Dame mais au monsieur) perfore la petite brèche qui s’écarte petit à petit.
Au début, la craintive ne s’enfonce que sur la moitié du clocher, mais encouragée par la facilité avec laquelle elle parvient à ce résultat et des douces sensations qu’elle provoque, Amandine descend de plus en plus bas et comme c’est de plus en plus aisé et de plus en plus agréable, l’engin finit par entrer jusqu’à la garde dans ce fourreau bien pommadé.
Hugo semble aller l’amble, pour l’instant son goupillon aspergé d’eau bénite coulisse bien dans l’ex pucelle qui enhardie par ses premiers émois accélère le pas pour arriver au petit trot.
Comme c’est beau de voir notre ingénue chevaucher fièrement un si bel étalon ! Mais elle n’en reste pas là, comme si elle voulait gagner le Grand Steeple-chase de Paris à Auteuil, elle part au galop, s’empale sur la bite d’une force phénoménale, ses fesses claquent à chaque descente sur les cuisses de Hugo, ce n’est pas le cheval qui s’emballe mais la cavalière, et elle pousse en même temps des cris d’orfraie plumée vive.
Marion aura de la chance si ses voisins ne font pas un compte rendu sans appel à ses parents, car même si l’on n’observe pas la scène, on devine sans aucune probabilité de se tromper qu’une fille est en train de bien se faire ramoner la cheminée.
Son souffle court et ses vagissements s’entendent à plusieurs centaines de mètres à la ronde.
Elle s’embroche si fort qu’on dirait qu’elle retombe après avoir franchi un obstacle avec son canasson. Je ne sais pas comment Hugo peut résister à un traitement aussi inhumain, il est temps que j’arrête la surchauffe du piston du pauvre garçon.
Je désarçonne la cavalière d’un seul coup en la tenant sous les bras et en la soulevant. Tous, nous le voyons souffrir le martyr, son rictus est si impressionnant qu’on croirait qu’il a terriblement mal à la bite.
D’une main il la serre et la comprime à la base grâce à son pouce et son index. Il finit enfin par retrouver le sourire.
- Ne vous en faites pas, dit-il voyant nos airs dépités, c’est super bon, mais je ne voulais pas tout cracher dans la capote.
Finalement mon intervention s’est située à l’extrême limite du supportable pour Hugo et lui a permis de rester dans la course et de poursuivre la bamboche avec nous.
- Doucement, ne t’enflamme pas à ce point, dit Marion, laisse un peu le garçon qui te monte souffler de temps en temps, tu vas nous les exténuer en moins de deux, il y a un petit cœur qui bat dans leur poitrine et une petite bite sensible entre leurs jambes. Tu pourras essayer ta chevauchée fantastique avec un vieux de la vieille, ils sont souvent beaucoup plus résistant que nos minots.
Amandine est confuse, elle ne pouvait savoir que son déchaînement était aussi incontrôlable pour le priapre d’un garçon.
- Je te prie de m’excuser, dit-elle à Hugo, je ferai plus attention la prochaine fois.
- Tu n’as pas à t’excuser, je comprends parfaitement que ton emballement est dû aux plaisirs excessifs que tu as ressenti, et j’en suis énormément flatté au contraire, je me serais complètement laisser aller si je n’avais pas voulu te garder l’intégralité de ma semence dont tu sembles te régaler.
- Merci, répond-elle, je suis très sensible à ton geste de chevalier et c’est vrai que je souhaite me repaître de vos trois jouissance en suivant.
MARION
- Le principal est préservé, dis-je, maintenant si tu faisais un peu de levrette avec Théo ?
- Il faut me guider, demande-t-elle, je ne sais pas du tout ce que c’est et si Théo est d’accord.
- Bien sûr que je suis d’accord, ajoute Théo.
- Tu le fais souvent ? Demande Camille, toujours à taquiner mon petit frère.
Au fond je pense qu’elle aimerait bien savoir plus de choses sur sa vie sexuelle.
- Ça ne te regarde pas, réponds-t-il, mais tu vas pouvoir admirer ma technique.
Moi, j’en déduis qu’il n’a jamais pratiqué cette position avec Camille et peut-être même toutes les autres, je pense plutôt qu’elle lui fait uniquement des pipes, mais à quelle rythme ? Je n’en sais rien et comme je suis curieuse j’aimerais bien le savoir mais je suis bien trop timide pour le leur demander.
Camille a déjà positionné Amandine à quatre pattes. Théo, le malin, a déjà retenu qu’elle aimait bien la fellation et il lui présente son lézard qui n’en a nullement besoin avant de passer sa camisole, bien entendu elle ne se fait pas prier pour lui pouponner le baigneur. Mais pas trop longtemps car elle a hâte de se faire monter comme une pouliche.
Son deuxième emballage de chipolata est impeccable et rapide, elle a bien retenu sa leçon. L’étalon étant équipé, il se positionne derrière elle.
- Cambre bien tes fesses, lui intime Camille, qu’il puisse bien te pilonner la cramouille, tu vas engouffrer ta plus grosse andouillette de la journée, mais tu me sembles prête à l’apprécier à sa juste valeur.
- Tu me dis si tu veux que j’aille plus vite et plus fort ou alors que je ralentisse, c’est moi qui dirige cette fois et je peux maîtriser plus facilement la situation que cet infortuné Hugo qui subissait sans pouvoir intervenir des assauts diaboliques, dit-il en présentant sa bite à l’entrée de sa fente.
A suivre.
Je fais approcher Hugo, le passage est fait mais pour l’élargir un peu il a une bite moins grosse que Théo.
- Tiens, tu vas mettre son petit imperméable toi-même à l’anguille d’Hugo , dis-je à Amandine en lui tendant la boîte de capotes.
Elle en sort un petit sachet qu’elle déchire et elle en retire un petit caoutchouc.
- Avant toute chose, assure-toi que le tuteur soit bien prêt, un truc mou et tu auras des difficultés à équiper zézette, conseille Marion.
La bite d’Hugo, comme les autres d’ailleurs, ne présente aucune faiblesse, mais la vaurienne la remet dans sa bouche plus par plaisir que par nécessité et elle lui poli le chinois par paillardise.
- Dans le cas présent cela n’était pas nécessaire,dis-je, nos pur sang sont bien disposés et il ne faut pas trop jouer avec le feu sinon on se brûle ma petite Amandine.
- Oui mieux vaut jouer avec les étoiles, on risque de briller, dit Marion, regarde les yeux d’Hugo! Ça étincelle, il veut lui aussi introduire son plantoir dans ton jardinet, fous-lui sa cagoule, Il est grand temps.
Elle nous obéit mais tergiverse un peu avant de trouver le bon sens et d’enfiler correctement le capuchon au zigomar.
- Allonge toi sur le dos, fais-je à Hugo, Amandine va faire à dada sur mon bidet. Tu t’es déjà amusée avec cette comptine quand tu étais petite ?
- Oui je la connais, et je la chantais sur les genoux de mes parents.
- Et bien c’est pareil, dit Marion, et avec la bite d’Hugo bien verticale, tu peux monter en selle.
Hugo n’a même pas besoin de positionner sa queue, la cochonne s’assoit dessus, et comme elle est dure comme un roc, Amandine n’a aucun mal à s’embrocher dessus.
Les deux visages de nos godelureaux face-à-face se sourient, Hugo lui tend ses mains qu’elle saisit comme des rênes, la stabilité étant assurée elle peut commencer à faire avancer sa monture aux pas tout d’abord, la flèche ( qui n’appartient pas à Notre Dame mais au monsieur) perfore la petite brèche qui s’écarte petit à petit.
Au début, la craintive ne s’enfonce que sur la moitié du clocher, mais encouragée par la facilité avec laquelle elle parvient à ce résultat et des douces sensations qu’elle provoque, Amandine descend de plus en plus bas et comme c’est de plus en plus aisé et de plus en plus agréable, l’engin finit par entrer jusqu’à la garde dans ce fourreau bien pommadé.
Hugo semble aller l’amble, pour l’instant son goupillon aspergé d’eau bénite coulisse bien dans l’ex pucelle qui enhardie par ses premiers émois accélère le pas pour arriver au petit trot.
Comme c’est beau de voir notre ingénue chevaucher fièrement un si bel étalon ! Mais elle n’en reste pas là, comme si elle voulait gagner le Grand Steeple-chase de Paris à Auteuil, elle part au galop, s’empale sur la bite d’une force phénoménale, ses fesses claquent à chaque descente sur les cuisses de Hugo, ce n’est pas le cheval qui s’emballe mais la cavalière, et elle pousse en même temps des cris d’orfraie plumée vive.
Marion aura de la chance si ses voisins ne font pas un compte rendu sans appel à ses parents, car même si l’on n’observe pas la scène, on devine sans aucune probabilité de se tromper qu’une fille est en train de bien se faire ramoner la cheminée.
Son souffle court et ses vagissements s’entendent à plusieurs centaines de mètres à la ronde.
Elle s’embroche si fort qu’on dirait qu’elle retombe après avoir franchi un obstacle avec son canasson. Je ne sais pas comment Hugo peut résister à un traitement aussi inhumain, il est temps que j’arrête la surchauffe du piston du pauvre garçon.
Je désarçonne la cavalière d’un seul coup en la tenant sous les bras et en la soulevant. Tous, nous le voyons souffrir le martyr, son rictus est si impressionnant qu’on croirait qu’il a terriblement mal à la bite.
D’une main il la serre et la comprime à la base grâce à son pouce et son index. Il finit enfin par retrouver le sourire.
- Ne vous en faites pas, dit-il voyant nos airs dépités, c’est super bon, mais je ne voulais pas tout cracher dans la capote.
Finalement mon intervention s’est située à l’extrême limite du supportable pour Hugo et lui a permis de rester dans la course et de poursuivre la bamboche avec nous.
- Doucement, ne t’enflamme pas à ce point, dit Marion, laisse un peu le garçon qui te monte souffler de temps en temps, tu vas nous les exténuer en moins de deux, il y a un petit cœur qui bat dans leur poitrine et une petite bite sensible entre leurs jambes. Tu pourras essayer ta chevauchée fantastique avec un vieux de la vieille, ils sont souvent beaucoup plus résistant que nos minots.
Amandine est confuse, elle ne pouvait savoir que son déchaînement était aussi incontrôlable pour le priapre d’un garçon.
- Je te prie de m’excuser, dit-elle à Hugo, je ferai plus attention la prochaine fois.
- Tu n’as pas à t’excuser, je comprends parfaitement que ton emballement est dû aux plaisirs excessifs que tu as ressenti, et j’en suis énormément flatté au contraire, je me serais complètement laisser aller si je n’avais pas voulu te garder l’intégralité de ma semence dont tu sembles te régaler.
- Merci, répond-elle, je suis très sensible à ton geste de chevalier et c’est vrai que je souhaite me repaître de vos trois jouissance en suivant.
MARION
- Le principal est préservé, dis-je, maintenant si tu faisais un peu de levrette avec Théo ?
- Il faut me guider, demande-t-elle, je ne sais pas du tout ce que c’est et si Théo est d’accord.
- Bien sûr que je suis d’accord, ajoute Théo.
- Tu le fais souvent ? Demande Camille, toujours à taquiner mon petit frère.
Au fond je pense qu’elle aimerait bien savoir plus de choses sur sa vie sexuelle.
- Ça ne te regarde pas, réponds-t-il, mais tu vas pouvoir admirer ma technique.
Moi, j’en déduis qu’il n’a jamais pratiqué cette position avec Camille et peut-être même toutes les autres, je pense plutôt qu’elle lui fait uniquement des pipes, mais à quelle rythme ? Je n’en sais rien et comme je suis curieuse j’aimerais bien le savoir mais je suis bien trop timide pour le leur demander.
Camille a déjà positionné Amandine à quatre pattes. Théo, le malin, a déjà retenu qu’elle aimait bien la fellation et il lui présente son lézard qui n’en a nullement besoin avant de passer sa camisole, bien entendu elle ne se fait pas prier pour lui pouponner le baigneur. Mais pas trop longtemps car elle a hâte de se faire monter comme une pouliche.
Son deuxième emballage de chipolata est impeccable et rapide, elle a bien retenu sa leçon. L’étalon étant équipé, il se positionne derrière elle.
- Cambre bien tes fesses, lui intime Camille, qu’il puisse bien te pilonner la cramouille, tu vas engouffrer ta plus grosse andouillette de la journée, mais tu me sembles prête à l’apprécier à sa juste valeur.
- Tu me dis si tu veux que j’aille plus vite et plus fort ou alors que je ralentisse, c’est moi qui dirige cette fois et je peux maîtriser plus facilement la situation que cet infortuné Hugo qui subissait sans pouvoir intervenir des assauts diaboliques, dit-il en présentant sa bite à l’entrée de sa fente.
A suivre.
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