Ma découverte du candaulisme, Sophie et le jeune interne. 1
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma découverte du candaulisme, Sophie et le jeune interne. 1
Sophie et le jeune interne.
Je m’appelle Julien et passe ma première année d’internat à l’hôpital de Bordeaux. J’ai 26 ans et ai déjà à mon actif un nombre impressionnant de conquêtes féminines de mon âge.
J’adore le sexe mais voudrais varier les plaisirs avec une femme plus âgée, plus expérimentée, dans les 35/45ans.
Dans un hôpital, le « gibier » est abondant et je devrais bien trouver chaussure à mon pied ou devrais-je dire une chatte accueillante pour ma bite.
Après avoir pris le temps de bien examiner les infirmières, j’ai jeté mon dévolu sur une belle femme d’une quarantaine d’année, elle s’appelle Sophie, blonde, cheveux coupés au carré avec des yeux noisette claire qui tire un peu sur le vert, bien foutue avec un corps encore superbe. Elle a une belle poitrine encore ferme avec les tétons qui pointent sous ses vêtements.
Comme régulièrement, le service médical des hôpitaux doit passer des examens pour voir s’ils n’ont pas attraper de cochonneries au boulot, je me suis porté volontaire en tant que médecin. Ce n’est pas bien compliqué et j’en profite pour me rincer l’œil.
Je fais ça sérieusement ne gardant comme objectif que ma future proie.
L’attente fut longue avant que son tour revienne, j’ouvre la porte de la salle d’attente et la fais entrer.
-C’est à vous, Sophie !
Quand elle entre dans la salle d’examen, je lui passe la main dans le dos et lui mets la main aux fesses pour la diriger vers la table d’examen, elle me jette un regard en coin mais ne dit rien.
Je lui dis de retirer sa blouse mais elle m’explique assez troublée qu’elle avait oublié qu’elle passait la visite médicale et avait mis un soutif assez transparent mais commence à se dévêtir se retrouvant en sous-vêtements.
Comme la plupart des infirmières, elle ne porte rien d’autre dessous. Son soutien gorge à demi bonnets laisse voir une grande partie des aréoles. Waouh! Quelle poitrine, pas très volumineuse mais d’une fermeté telle qu’on la dirait artificielle.
J’écoute les battements de son cœur puis sa respiration promenant le stéthoscope sur sa poitrine aux seins assez menus, j’insiste lourdement à écouter ses bronches laissant ma main plus que de raison au contact de sa peau douce.
Effectivement, le bout de tissu ne me cache rien de ses aréoles claires au centre desquelles 2 tétons se dressent.
Je lui palpe le bas-ventre, repoussant son minuscule slip qui me dévoile quelques poils épars, sa culotte est prise dans la fente de sa chatte. Je lui dis que je vois une rougeur suspecte au creux de l’aine et lui demande si elle m’autorise à faire un examen gynécologique superficiel. Elle est un peu étonnée mais va au devant de mes attentes en baissant sa culotte sur le haut de ses cuisses.
Je lui dis de ramener ses talons aux fesses et écarter les genoux, j’appuis ma main sur son ventre et lentement la descend pour effleurer ses lèvres intimes assez fines.
Je palpe les bords de sa vulve. Je prends un « bec de canard » et lui entrebâille la chatte.
J’enfile un gant et pose ma main juste au dessus de sa fente et pendant que j’examine l’intérieur de son vagin, mon pouce titille son clitoris.
Sophie s'exclame :
- Que faites-vous ?!
Son souffle s'accélère mais elle ne fait rien pour que je cesse mon attouchement.
-Oh, excusez-moi Sophie ! Tout va bien de se coté là »
Mais je continue mon petit jeu et je constate qu’elle commence à mouiller malgré elle.
Elle est alanguie sur la table ne disant pas un mot.
Alors, je commence à lui caresser les cuisses, le ventre, les flans avec une main pendant que l’autre palpe ses seins en s’attardant sur ses tétons qui se mettent à pointer quand je les fais rouler entre mes doigts.
Je l’entends glousser de plaisir, j’écarte les grandes lèvres et commence à caresser l'intérieur avec un doigt, pendant que mon pouce joue avec son clitoris. Elle mouille de plus en plus et ne peut retenir un râle étouffé.
Je vais y aller carrément, c’est quitte ou double :
-Tu mouilles comme une salope, tu veux que je m’arrête ?
Dans un murmure à peine audible j’entends un :
-Nooonnn, encore !
Alors, je lui il en enfonce un deuxième puis un troisième dans la chatte que ma main lime de lents allers/retours pendant que mes lèvres suce le clitoris de Sophie.
J’accélère le rythme, faisant gémir Sophie puis stoppe brutalement voyant que sa jouissance est proche. C’est une chaude !
Elle a un orgasme très violent, très long, comme j'en ai rarement vu avec mes partenaires. Je n’ai pas le temps de me reculer et suis victime d’un court, mais très abondant flot de cyprine qui jaillit du vagin de Sophie. Je prends tout sur mon futal.
-J’ai le pantalon tout trempé, tu es une sacrée pisseuse !
Elle ne me répond pas, encore sonnée par la violence de son orgasme.
Je retire mon pantalon tout trempé, prends sa main et la dirige vers mon slip gonflé de mon désir.
Elle ne se fait pas prier et sort prestement mon mandrin mais quand elle voit ma verge tendue jaillir de mon slip elle prend peur et a un mouvement de recul.
-Ta bite est deux fois plus large et bien plus longue que celle de mon mari... Et lui il bande mou !
Se ressaisissant elle masse ma queue de bonne taille pour achever de la faire se dresser et la fait prestement disparaître entre ses lèvres, la suçant comme une vraie salope. Un éclair d’excitation brille dans ses yeux. Je continue à la masturber pendant que mon pénis est embouché au plus loin dans sa gorge.
Sophie continue sa sensuelle fellation sur le sexe de Julien. Le plaisir qu'elle éprouve à sucer cette tige de chair si dure la rend sourde au risque de se faire surprendre. Seul compte ce gland de plus en plus volumineux qui lui défonce la bouche.
Les seins s'écrasant mollement sur le bas-ventre tendu de Julien, elle continue sa caresse buccale tout en en lui malaxant doucement les testicules dans leur gaine de chair entièrement lisse avec délice.
Julien apprécie cette voluptueuse caresse. Les lèvres qui coulissent le long de sa hampe sont d’une douceur incroyable et déclenche dans son bas-ventre une onde de volupté. Son gland congestionné est devenu hypersensible, ressentant les plus infimes sensations, de la bouche dans laquelle il navigue à la langue râpeuse qui le titille.
Mais la sensuelle fellation amène Julien à l’euphorie du plaisir imminent. Esclave de cette affolante bouche qui lui apporte tant de plaisir, il projette son bas-ventre au-devant de cette bouche-four en gémissant en attente de l'orgasme libérateur.
Sophie l’a sentie et accélère encore sa voluptueuse fellation en suçant uniquement le gland incroyablement dilaté, elle branle d'une main habile la partie de la queue qui se trouve hors de sa bouche amenant Julien à l'extase finale.
Julien ressent un tel plaisir à ce changement de rythme qu'il comprend qu'il ne peut retenir sa jouissance plus longtemps. Aussi sentant sa verge sur le point d'exploser, il retire son membre de la bouche Sophie.
- AAAHHH ! Je viens !... Aaarrhhh... Aaaahhhh....
Dans un grognement inhumain de plaisir, Julien en proie à une jouissance phénoménale décharge à longs jets sur le visage de sa suceuse, tandis que tout son corps se tétanise. Quand il reprend pied avec la réalité il lui ordonne :
-Nettoie ma queue, espèce de vicieuse !
De ses doigts il récupère son sperme sur le visage de Sophie et le présente à ses lèvres pour qu’elle le suce.
Il la relève et l’embrasse en lui pelotant les seins et reprenant un peu de sérieux lui annonce :
-Bonne pour le service, tout chez toi est au top pour faire bander un homme, un beau clito bien charnu et sensible, des seins fermes, une chatte bien ouverte et accueillante, faite pour être prise ! Ton mari est vraiment un con pas de taille face à un si beau petit lot, une vraie lopette !
Ils se rhabillent et il lui demande quand ils pourront se revoir.
-Je fais le WE du 8 mai, et les 3 nuits, lui avoue Sophie.
-Moi aussi, les nuits vont êtres chaudes…
Et son mari va être sur des charbons ardents quand il va lire les sms que je vais lui envoyer.
Une fois Sophie partie, je prends mon Smartphone et tape ce petit message :
« Ta femme est une vraie salope du sexe, je vais m’en occuper ce Weekend, elle m’a dit que tu as une petite bite et qu’elle adore ma grosse queue »
A suivre…
Je m’appelle Julien et passe ma première année d’internat à l’hôpital de Bordeaux. J’ai 26 ans et ai déjà à mon actif un nombre impressionnant de conquêtes féminines de mon âge.
J’adore le sexe mais voudrais varier les plaisirs avec une femme plus âgée, plus expérimentée, dans les 35/45ans.
Dans un hôpital, le « gibier » est abondant et je devrais bien trouver chaussure à mon pied ou devrais-je dire une chatte accueillante pour ma bite.
Après avoir pris le temps de bien examiner les infirmières, j’ai jeté mon dévolu sur une belle femme d’une quarantaine d’année, elle s’appelle Sophie, blonde, cheveux coupés au carré avec des yeux noisette claire qui tire un peu sur le vert, bien foutue avec un corps encore superbe. Elle a une belle poitrine encore ferme avec les tétons qui pointent sous ses vêtements.
Comme régulièrement, le service médical des hôpitaux doit passer des examens pour voir s’ils n’ont pas attraper de cochonneries au boulot, je me suis porté volontaire en tant que médecin. Ce n’est pas bien compliqué et j’en profite pour me rincer l’œil.
Je fais ça sérieusement ne gardant comme objectif que ma future proie.
L’attente fut longue avant que son tour revienne, j’ouvre la porte de la salle d’attente et la fais entrer.
-C’est à vous, Sophie !
Quand elle entre dans la salle d’examen, je lui passe la main dans le dos et lui mets la main aux fesses pour la diriger vers la table d’examen, elle me jette un regard en coin mais ne dit rien.
Je lui dis de retirer sa blouse mais elle m’explique assez troublée qu’elle avait oublié qu’elle passait la visite médicale et avait mis un soutif assez transparent mais commence à se dévêtir se retrouvant en sous-vêtements.
Comme la plupart des infirmières, elle ne porte rien d’autre dessous. Son soutien gorge à demi bonnets laisse voir une grande partie des aréoles. Waouh! Quelle poitrine, pas très volumineuse mais d’une fermeté telle qu’on la dirait artificielle.
J’écoute les battements de son cœur puis sa respiration promenant le stéthoscope sur sa poitrine aux seins assez menus, j’insiste lourdement à écouter ses bronches laissant ma main plus que de raison au contact de sa peau douce.
Effectivement, le bout de tissu ne me cache rien de ses aréoles claires au centre desquelles 2 tétons se dressent.
Je lui palpe le bas-ventre, repoussant son minuscule slip qui me dévoile quelques poils épars, sa culotte est prise dans la fente de sa chatte. Je lui dis que je vois une rougeur suspecte au creux de l’aine et lui demande si elle m’autorise à faire un examen gynécologique superficiel. Elle est un peu étonnée mais va au devant de mes attentes en baissant sa culotte sur le haut de ses cuisses.
Je lui dis de ramener ses talons aux fesses et écarter les genoux, j’appuis ma main sur son ventre et lentement la descend pour effleurer ses lèvres intimes assez fines.
Je palpe les bords de sa vulve. Je prends un « bec de canard » et lui entrebâille la chatte.
J’enfile un gant et pose ma main juste au dessus de sa fente et pendant que j’examine l’intérieur de son vagin, mon pouce titille son clitoris.
Sophie s'exclame :
- Que faites-vous ?!
Son souffle s'accélère mais elle ne fait rien pour que je cesse mon attouchement.
-Oh, excusez-moi Sophie ! Tout va bien de se coté là »
Mais je continue mon petit jeu et je constate qu’elle commence à mouiller malgré elle.
Elle est alanguie sur la table ne disant pas un mot.
Alors, je commence à lui caresser les cuisses, le ventre, les flans avec une main pendant que l’autre palpe ses seins en s’attardant sur ses tétons qui se mettent à pointer quand je les fais rouler entre mes doigts.
Je l’entends glousser de plaisir, j’écarte les grandes lèvres et commence à caresser l'intérieur avec un doigt, pendant que mon pouce joue avec son clitoris. Elle mouille de plus en plus et ne peut retenir un râle étouffé.
Je vais y aller carrément, c’est quitte ou double :
-Tu mouilles comme une salope, tu veux que je m’arrête ?
Dans un murmure à peine audible j’entends un :
-Nooonnn, encore !
Alors, je lui il en enfonce un deuxième puis un troisième dans la chatte que ma main lime de lents allers/retours pendant que mes lèvres suce le clitoris de Sophie.
J’accélère le rythme, faisant gémir Sophie puis stoppe brutalement voyant que sa jouissance est proche. C’est une chaude !
Elle a un orgasme très violent, très long, comme j'en ai rarement vu avec mes partenaires. Je n’ai pas le temps de me reculer et suis victime d’un court, mais très abondant flot de cyprine qui jaillit du vagin de Sophie. Je prends tout sur mon futal.
-J’ai le pantalon tout trempé, tu es une sacrée pisseuse !
Elle ne me répond pas, encore sonnée par la violence de son orgasme.
Je retire mon pantalon tout trempé, prends sa main et la dirige vers mon slip gonflé de mon désir.
Elle ne se fait pas prier et sort prestement mon mandrin mais quand elle voit ma verge tendue jaillir de mon slip elle prend peur et a un mouvement de recul.
-Ta bite est deux fois plus large et bien plus longue que celle de mon mari... Et lui il bande mou !
Se ressaisissant elle masse ma queue de bonne taille pour achever de la faire se dresser et la fait prestement disparaître entre ses lèvres, la suçant comme une vraie salope. Un éclair d’excitation brille dans ses yeux. Je continue à la masturber pendant que mon pénis est embouché au plus loin dans sa gorge.
Sophie continue sa sensuelle fellation sur le sexe de Julien. Le plaisir qu'elle éprouve à sucer cette tige de chair si dure la rend sourde au risque de se faire surprendre. Seul compte ce gland de plus en plus volumineux qui lui défonce la bouche.
Les seins s'écrasant mollement sur le bas-ventre tendu de Julien, elle continue sa caresse buccale tout en en lui malaxant doucement les testicules dans leur gaine de chair entièrement lisse avec délice.
Julien apprécie cette voluptueuse caresse. Les lèvres qui coulissent le long de sa hampe sont d’une douceur incroyable et déclenche dans son bas-ventre une onde de volupté. Son gland congestionné est devenu hypersensible, ressentant les plus infimes sensations, de la bouche dans laquelle il navigue à la langue râpeuse qui le titille.
Mais la sensuelle fellation amène Julien à l’euphorie du plaisir imminent. Esclave de cette affolante bouche qui lui apporte tant de plaisir, il projette son bas-ventre au-devant de cette bouche-four en gémissant en attente de l'orgasme libérateur.
Sophie l’a sentie et accélère encore sa voluptueuse fellation en suçant uniquement le gland incroyablement dilaté, elle branle d'une main habile la partie de la queue qui se trouve hors de sa bouche amenant Julien à l'extase finale.
Julien ressent un tel plaisir à ce changement de rythme qu'il comprend qu'il ne peut retenir sa jouissance plus longtemps. Aussi sentant sa verge sur le point d'exploser, il retire son membre de la bouche Sophie.
- AAAHHH ! Je viens !... Aaarrhhh... Aaaahhhh....
Dans un grognement inhumain de plaisir, Julien en proie à une jouissance phénoménale décharge à longs jets sur le visage de sa suceuse, tandis que tout son corps se tétanise. Quand il reprend pied avec la réalité il lui ordonne :
-Nettoie ma queue, espèce de vicieuse !
De ses doigts il récupère son sperme sur le visage de Sophie et le présente à ses lèvres pour qu’elle le suce.
Il la relève et l’embrasse en lui pelotant les seins et reprenant un peu de sérieux lui annonce :
-Bonne pour le service, tout chez toi est au top pour faire bander un homme, un beau clito bien charnu et sensible, des seins fermes, une chatte bien ouverte et accueillante, faite pour être prise ! Ton mari est vraiment un con pas de taille face à un si beau petit lot, une vraie lopette !
Ils se rhabillent et il lui demande quand ils pourront se revoir.
-Je fais le WE du 8 mai, et les 3 nuits, lui avoue Sophie.
-Moi aussi, les nuits vont êtres chaudes…
Et son mari va être sur des charbons ardents quand il va lire les sms que je vais lui envoyer.
Une fois Sophie partie, je prends mon Smartphone et tape ce petit message :
« Ta femme est une vraie salope du sexe, je vais m’en occuper ce Weekend, elle m’a dit que tu as une petite bite et qu’elle adore ma grosse queue »
A suivre…
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bof