ma découverte sexuelle a 52 ans (2° partie)
Récit érotique écrit par Josi [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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ma découverte sexuelle a 52 ans (2° partie)
Rentrés à la maison, Lionel me demande s’il peut prendre une douche.
‘-bien sûr, pendant ce temps je prépare le café’
Pendant qu’il prenait sa douche je pensais à cette partie de baise qui m’avait fait jouir comme jamais. Attendre 52 ans pour prendre un pied monstre c’est bête non ?! Mais le fait que ce soit mon gendre me rendait honteuse. Il sorti de la douche en caleçon, j’en profitais pour prendre une douche à mon tour. En sortant, il était assis sur le canapé toujours en caleçon, moi j’avais revêtu un peignoir.
‘- viens à coté de moi il faut qu’on discute non ?’
Je ne répondis pas mais néanmoins je m’assis à ses cotés. Il écartait déjà le pan du peignoir dénudant ainsi mes cuisses.
‘-ça t'a pas plu ?
- si beaucoup mais c’est pas si simple
-pourquoi? à cause de Cathy ?
- oui plutôt, c’est quand même pas tous les jours que la maîtresse de son mari est aussi sa mère.
- je ne dis pas que c’est simple mais on peut profiter de la vie en toutes discrétions sans rien de plus.
- oui peut-être !!!
Il m’embrassa avec fougue et en profita pour ouvrir mon peignoir sous lequel j’étais nue. Puis m’embrassant les seins me mordillant les tétons. Je sentais déjà ma chatte mouiller. Puis il m’agenouilla devant lui et pénétra ma bouche. Son sexe était de nouveau excité, sa chaleur dans ma bouche me fit perdre la tête. Je m’appliquais pour le satisfaire. Il saisit son téléphone pendant que je le suçais.
‘-allo Cathy, nous sommes arrivés mais sur la route nous avons croisé les gendarmes alors comme j’ai un peu bu je vais rester ici jusqu’au matin….. Bisou moi aussi je t’aime. Voila comme ça on est tranquille.’
Il téléphonait à ma fille pendant que je le suçais avec un aplomb désorientant.
‘- tu sais josi, j’ai toujours flashé sur tes seins et ton cul. J’ai toujours su que tu étais un bon coup, je ne m’étais pas trompé. Tu suce super bien.’
Je dégoulinais, mes cuisses étaient trempées. Puis il me mit à quatre pattes sur la table basse du salon et commença a enfiler ma chatte sans ménagement, il me fouillais avec vigueur. Je ne mit pas longtemps à jouir. Puis encore trempée de ma chatte, il commença à titiller mon anus encore endolori par son assaut en forêt. Malgré la douleur, je le laissais faire, me rappelant combien cela avait été bon. Il ne lui fallut pas longtemps pour me pénétrer.
‘- tu vois tu y prends goût.
-ho oui c’est gros mais c’est bon.
- C’est bon. Cathy aussi aime que je l’encule, elle bouge comme une chienne en chaleur prête à tout pour se faire défoncer le cul… et toi tu es prête à quoi ?
- tout ce que tu veux mais lime moi encore c’est tellement bon.
- je ne sais pas si Suzanne est comme toi mais il va pas s’ennuyer le jeune marié.
Il me fit jouir, m’inondant l’anus de son foutre. Puis je léchais les dernières gouttes puis nous sommes allés nous coucher.
Quand je me réveillais, il était parti mais ce ne fut que le commencement de notre liaison. Je n’étais pas sa maîtresse mais plutôt sa chose ‘son sac a foutre’ comme il prit plaisir à me dire. Il fit de moi une femme ou plutôt une dévergondée, n’hésitant et ne reculant devant aucun sacrifice pour me faire sauter.
Mais c’est une autre histoire
Bisou josi
‘-bien sûr, pendant ce temps je prépare le café’
Pendant qu’il prenait sa douche je pensais à cette partie de baise qui m’avait fait jouir comme jamais. Attendre 52 ans pour prendre un pied monstre c’est bête non ?! Mais le fait que ce soit mon gendre me rendait honteuse. Il sorti de la douche en caleçon, j’en profitais pour prendre une douche à mon tour. En sortant, il était assis sur le canapé toujours en caleçon, moi j’avais revêtu un peignoir.
‘- viens à coté de moi il faut qu’on discute non ?’
Je ne répondis pas mais néanmoins je m’assis à ses cotés. Il écartait déjà le pan du peignoir dénudant ainsi mes cuisses.
‘-ça t'a pas plu ?
- si beaucoup mais c’est pas si simple
-pourquoi? à cause de Cathy ?
- oui plutôt, c’est quand même pas tous les jours que la maîtresse de son mari est aussi sa mère.
- je ne dis pas que c’est simple mais on peut profiter de la vie en toutes discrétions sans rien de plus.
- oui peut-être !!!
Il m’embrassa avec fougue et en profita pour ouvrir mon peignoir sous lequel j’étais nue. Puis m’embrassant les seins me mordillant les tétons. Je sentais déjà ma chatte mouiller. Puis il m’agenouilla devant lui et pénétra ma bouche. Son sexe était de nouveau excité, sa chaleur dans ma bouche me fit perdre la tête. Je m’appliquais pour le satisfaire. Il saisit son téléphone pendant que je le suçais.
‘-allo Cathy, nous sommes arrivés mais sur la route nous avons croisé les gendarmes alors comme j’ai un peu bu je vais rester ici jusqu’au matin….. Bisou moi aussi je t’aime. Voila comme ça on est tranquille.’
Il téléphonait à ma fille pendant que je le suçais avec un aplomb désorientant.
‘- tu sais josi, j’ai toujours flashé sur tes seins et ton cul. J’ai toujours su que tu étais un bon coup, je ne m’étais pas trompé. Tu suce super bien.’
Je dégoulinais, mes cuisses étaient trempées. Puis il me mit à quatre pattes sur la table basse du salon et commença a enfiler ma chatte sans ménagement, il me fouillais avec vigueur. Je ne mit pas longtemps à jouir. Puis encore trempée de ma chatte, il commença à titiller mon anus encore endolori par son assaut en forêt. Malgré la douleur, je le laissais faire, me rappelant combien cela avait été bon. Il ne lui fallut pas longtemps pour me pénétrer.
‘- tu vois tu y prends goût.
-ho oui c’est gros mais c’est bon.
- C’est bon. Cathy aussi aime que je l’encule, elle bouge comme une chienne en chaleur prête à tout pour se faire défoncer le cul… et toi tu es prête à quoi ?
- tout ce que tu veux mais lime moi encore c’est tellement bon.
- je ne sais pas si Suzanne est comme toi mais il va pas s’ennuyer le jeune marié.
Il me fit jouir, m’inondant l’anus de son foutre. Puis je léchais les dernières gouttes puis nous sommes allés nous coucher.
Quand je me réveillais, il était parti mais ce ne fut que le commencement de notre liaison. Je n’étais pas sa maîtresse mais plutôt sa chose ‘son sac a foutre’ comme il prit plaisir à me dire. Il fit de moi une femme ou plutôt une dévergondée, n’hésitant et ne reculant devant aucun sacrifice pour me faire sauter.
Mais c’est une autre histoire
Bisou josi
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