Ma dernière expérience en chantier.

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 856 703 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 3 040 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ma dernière expérience en chantier.
Vu la conjoncture, et mon besoin d'argent, je prend ce qui vient.
J'avais donc accepté une mission, pour une fin de chantier de deux semaines.
On me montre quoi faire, puis je prends mes marques.
Arrivé au vendredi, je m'étonne d'être seul, dans le petit immeuble ancien.
Ca tombe mal, je vais devoir lutter contre mes fantasmes.
Depuis quelques jours, je tente de contenir une grosse envie d'homme.
Me pensant seul, je cède à l'envie, et je monte au dernier étage, pour me masturber en imaginant qu'on me donne du plaisir.
Je suis caché dans une salle de bain, collé au mur, avec les yeux mi-clos, emporté par mon envie d'éjaculer.
Mes doigts coulissent, sur ma courte verge de 13 cm.
"Eh ben, on s'ennuie pas, je vois ! Tu veux de l'aide ?".
Un homme de 55 ans environ, très sale, et assez laid, me surprend.
Je range ma queue, puis le croise en disant:
"Désolé !".
"Hop ! Hop ! Hop ! Où tu vas comme ça ?".
"Je...Je vais travailler ! Pourquoi ? Et vous, vous faites quoi ici ?".
"Je suis le plombier ! Je viens vérifier, si il n'y a plus de fuite ! Mais toi, tu vas pas t'en sortir comme ça ! Tu vas t'occuper de mon gros tuyau !".
"Qu... Quoi ? Mais...".
Il ajoute, en me forçant à m'agenouiller:
"Allez ! Minot ! Fais pas ta princesse ! Tu vas l'adorer ma queue !".
En défaisant ses boutons de salopette, il a vite fait de sortir sa verge, c'est vrai que je vais l'adorer sa grosse bite.
Mais quand même ! Il est repoussant !
Je ne sais pas de quelle origine, il est, mais sa verge est plus foncée que lui, presque noire !
Et puis, je tiens encore, à l'anonymat de mon homosexualité.
"Mmmmm ! Non ! Mmmmm ! Mmmmmm ! Mmmmm !...".
Finalement, pourquoi je fais ma princesse ? Puisque j'avais envie d'un bonne bite ! Elle est trop bonne, en plus !
Il me force la bouche sans difficulté, à présent.
J'abandonne vite mes scrupules.
"Mais, c'est qu'elle se laisse faire ! T'as déjà sucé une bite ?".
"Mmmmmm ! Mmmmouii ! Mmmmm !...".
"Et ça te plait ? Orhhhh ! Oui, apparamment ! Tu me suces bien ! T'aimes ça, toi ! C'est sûr !".
"Mmmmmm ! Oui ! Elle est bonne ta queue ! Mmmmm ! J'en avais trop envie !".
"Tu pensais à une fille ? Ou, c'est à ça, que tu pensais, en branlant ta p'tite bite ? Ou qu'on t'enculait, peut être ?".
"Mmmmm ! Oui ! Tu tombes bien ! Je pensais à une queue ! Comme la tienne !".
"Où ça ?".
"Partout ! Dans ma bouche, mon cul aussi !".
"Hummm ! C'est sympa de le savoir ! Je vais te rendre service, alors ! Suces moi encore un peu, en attendant !".
Il s'est assis sur les W-C, pour se faire sucer, ce qui ajoute à mon excitation.
Il passe ses mains sous mon ventre, pour me défaire mon pantalon, qu'il fait glisser avec mon slip, sur mes fesses.
Je me fais enculer par deux gros doigts, qu'il lubrifie souvent avec de la salive.
Il s'excite tout seul, puisqu'il me pose au sol, sur le dos, en me relevant les jambes.
Il s'appuie dans le creux de mes cuisses, sous mes genoux, pour me les écraser contre mon torse.
Sa verge profite de ses 3 ou 4 crachats sur mon œillet, pour se frayer un chemin.
Comme d'habitude, je suis pris d'un long râle, quand il s'enfonce en moi.
Je ne veux pas ameuter l'immeuble, on ne sait jamais !
"Tu peux gueuler salope ! Il n'y a personne !".
"Arghhh ! C'est sûr ?".
"Oui, vas y !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh ! Mmmmmm ! Mmmmm !...".
Il m'encule divinement bien, mais je devine qu'il ne sera pas aussi endurant, que mes meilleurs amants.
Donc, je me laisse aller, pour prendre le maximum de plaisir anal.
Il me fait jouir deux fois d'affilée.
Puis, il s'arrête, et m'ordonne:
"Lèves toi, je vais t'enculer comme une chienne ! Maintenant !".
Il me place au dessus de la baignoire, et me plante d'un coup puissant, pour reprendre sa défonce anale.
Malgré ses dires, je contient mes râles dans mon bras, je joui encore.
Ensuite, il m'humilie, en m'enfonçant le tête dans les chiottes, pour finir de me détruire la chatte.
Dans cette position, je ne peux pas m'échapper.
Juste encaisser ses violents coups de bite, qui me font monter, monter...
Je vis mon plus fort orgasme, quand il se déverse en moi.
Quelques secondes après, il me pollue le cul avec son foutre, puis s'y engouffre à nouveau.
"Orghhhh ! Ca c'est bon ! Putain ! Minot, t'as un cul d'enfer ! T'es là pour longtemps encore ?".
"Ourhhhh ! Une semaine ! Pour les finitions !".
"Ben, moi aussi, je viendrai en fin de journée, ou vers cette heure-ci ! Tu me feras une bonne finition ! D'accord ?".
"Arghhhhhhhhh ! Oui, d'accord !".
Il me libère de sa verge, j'en ai plein la chatte.
"T'as rien pour m'essuyer ?".
"Non, désolé mon chéri ! Tu vas devoir te démerder comme ça !".
Il a tenu sa promesse, me surprenant à des horaires non réguliers.
Un jour, il a du attendre que mon chef s'en aille, avant de me saillir.
On s'enfermait toujours dans la salle de bain, sauf le dernier jour.
Il a du se résoudre à attendre 16h30, en fin de journée, pour m'enculer dans la nature, à l'extérieur de la ville.
Trop de monde, ce jour là, dans l'immeuble !
Je n'ai jamais su son prénom, probablement magrébin.
Vu sa laideur, j'avais un peu honte, qu'il me baise ! Même si c'était très bon !
J'avais donc accepté une mission, pour une fin de chantier de deux semaines.
On me montre quoi faire, puis je prends mes marques.
Arrivé au vendredi, je m'étonne d'être seul, dans le petit immeuble ancien.
Ca tombe mal, je vais devoir lutter contre mes fantasmes.
Depuis quelques jours, je tente de contenir une grosse envie d'homme.
Me pensant seul, je cède à l'envie, et je monte au dernier étage, pour me masturber en imaginant qu'on me donne du plaisir.
Je suis caché dans une salle de bain, collé au mur, avec les yeux mi-clos, emporté par mon envie d'éjaculer.
Mes doigts coulissent, sur ma courte verge de 13 cm.
"Eh ben, on s'ennuie pas, je vois ! Tu veux de l'aide ?".
Un homme de 55 ans environ, très sale, et assez laid, me surprend.
Je range ma queue, puis le croise en disant:
"Désolé !".
"Hop ! Hop ! Hop ! Où tu vas comme ça ?".
"Je...Je vais travailler ! Pourquoi ? Et vous, vous faites quoi ici ?".
"Je suis le plombier ! Je viens vérifier, si il n'y a plus de fuite ! Mais toi, tu vas pas t'en sortir comme ça ! Tu vas t'occuper de mon gros tuyau !".
"Qu... Quoi ? Mais...".
Il ajoute, en me forçant à m'agenouiller:
"Allez ! Minot ! Fais pas ta princesse ! Tu vas l'adorer ma queue !".
En défaisant ses boutons de salopette, il a vite fait de sortir sa verge, c'est vrai que je vais l'adorer sa grosse bite.
Mais quand même ! Il est repoussant !
Je ne sais pas de quelle origine, il est, mais sa verge est plus foncée que lui, presque noire !
Et puis, je tiens encore, à l'anonymat de mon homosexualité.
"Mmmmm ! Non ! Mmmmm ! Mmmmmm ! Mmmmm !...".
Finalement, pourquoi je fais ma princesse ? Puisque j'avais envie d'un bonne bite ! Elle est trop bonne, en plus !
Il me force la bouche sans difficulté, à présent.
J'abandonne vite mes scrupules.
"Mais, c'est qu'elle se laisse faire ! T'as déjà sucé une bite ?".
"Mmmmmm ! Mmmmouii ! Mmmmm !...".
"Et ça te plait ? Orhhhh ! Oui, apparamment ! Tu me suces bien ! T'aimes ça, toi ! C'est sûr !".
"Mmmmmm ! Oui ! Elle est bonne ta queue ! Mmmmm ! J'en avais trop envie !".
"Tu pensais à une fille ? Ou, c'est à ça, que tu pensais, en branlant ta p'tite bite ? Ou qu'on t'enculait, peut être ?".
"Mmmmm ! Oui ! Tu tombes bien ! Je pensais à une queue ! Comme la tienne !".
"Où ça ?".
"Partout ! Dans ma bouche, mon cul aussi !".
"Hummm ! C'est sympa de le savoir ! Je vais te rendre service, alors ! Suces moi encore un peu, en attendant !".
Il s'est assis sur les W-C, pour se faire sucer, ce qui ajoute à mon excitation.
Il passe ses mains sous mon ventre, pour me défaire mon pantalon, qu'il fait glisser avec mon slip, sur mes fesses.
Je me fais enculer par deux gros doigts, qu'il lubrifie souvent avec de la salive.
Il s'excite tout seul, puisqu'il me pose au sol, sur le dos, en me relevant les jambes.
Il s'appuie dans le creux de mes cuisses, sous mes genoux, pour me les écraser contre mon torse.
Sa verge profite de ses 3 ou 4 crachats sur mon œillet, pour se frayer un chemin.
Comme d'habitude, je suis pris d'un long râle, quand il s'enfonce en moi.
Je ne veux pas ameuter l'immeuble, on ne sait jamais !
"Tu peux gueuler salope ! Il n'y a personne !".
"Arghhh ! C'est sûr ?".
"Oui, vas y !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh ! Mmmmmm ! Mmmmm !...".
Il m'encule divinement bien, mais je devine qu'il ne sera pas aussi endurant, que mes meilleurs amants.
Donc, je me laisse aller, pour prendre le maximum de plaisir anal.
Il me fait jouir deux fois d'affilée.
Puis, il s'arrête, et m'ordonne:
"Lèves toi, je vais t'enculer comme une chienne ! Maintenant !".
Il me place au dessus de la baignoire, et me plante d'un coup puissant, pour reprendre sa défonce anale.
Malgré ses dires, je contient mes râles dans mon bras, je joui encore.
Ensuite, il m'humilie, en m'enfonçant le tête dans les chiottes, pour finir de me détruire la chatte.
Dans cette position, je ne peux pas m'échapper.
Juste encaisser ses violents coups de bite, qui me font monter, monter...
Je vis mon plus fort orgasme, quand il se déverse en moi.
Quelques secondes après, il me pollue le cul avec son foutre, puis s'y engouffre à nouveau.
"Orghhhh ! Ca c'est bon ! Putain ! Minot, t'as un cul d'enfer ! T'es là pour longtemps encore ?".
"Ourhhhh ! Une semaine ! Pour les finitions !".
"Ben, moi aussi, je viendrai en fin de journée, ou vers cette heure-ci ! Tu me feras une bonne finition ! D'accord ?".
"Arghhhhhhhhh ! Oui, d'accord !".
Il me libère de sa verge, j'en ai plein la chatte.
"T'as rien pour m'essuyer ?".
"Non, désolé mon chéri ! Tu vas devoir te démerder comme ça !".
Il a tenu sa promesse, me surprenant à des horaires non réguliers.
Un jour, il a du attendre que mon chef s'en aille, avant de me saillir.
On s'enfermait toujours dans la salle de bain, sauf le dernier jour.
Il a du se résoudre à attendre 16h30, en fin de journée, pour m'enculer dans la nature, à l'extérieur de la ville.
Trop de monde, ce jour là, dans l'immeuble !
Je n'ai jamais su son prénom, probablement magrébin.
Vu sa laideur, j'avais un peu honte, qu'il me baise ! Même si c'était très bon !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

