Ma dernière expérience en chantier. suite. - histoire érotique

Je n'ai jamais compris pourquoi, je ne disais jamais non, à un homme.
Même quand j'avais pas de fantasme.

C'était établi, le type m'utilisait à sa guise, sans se soucier de mes désirs.
Et ça me convenait comme ça.

Quand j'ai été surpris par le plombier arabe (probablement son origine, à mon avis, vu son accent), j'ai du assumer ses besoins, tous les jours, pendant la semaine suivante.

Cet enfoiré m'a pas mal perturbé, je repense à mes aller retours aux toilettes, pour évacuer son sperme, toute la matinée.
Ou à ma gêne anale, quand il venait en fin d'après-midi, me retrouvant aux cotés de Corinne, qui ignorait encore mon homosexualité.

Je lui étais acquis, il le savait parfaitement, et j'acceptais volontiers, en me disant, qu'il y avait une échéance à nos jeux pervers.

Le lundi, 2ème jour, en entrant dans la pièce, ou je devais bosser, je l'ai trouvé debout, avec la queue droite et dure, entre les doigts.

"Qu'est ce tu foutais ? Je t'attends ! Moi, dépêches toi ! Va fermer la porte ! Et viens me sucer la bite ! J'ai du boulot !".

Heureusement que j'adorai sa verge, sinon, son physique m'aurait donné le courage de lui dire non.
J'ai rangé mes scrupules, et je l'ai pompé, comme la salope, que je suis.

Ensuite, il m'a empalé, en me posant sur un surplus de carrelage.
Il a gagné en endurance, par rapport au premier jour.

Je le fixai, qui s'affairait entre mes cuisses, avec mes chevilles posées sur ses épaules.
Ma chatte dégoulinait de jus anal.
Il m'a saisit la verge, parce que je bandais.
Il adorait m'enculer, en sachant que ça me faisait bander.

Ses assauts me faisait coulisser entre ses doigts rêches. jusqu'à éjaculer en lui maculant la main au passage.
Il m'insulte, en me reprochant de le "salir".

"Putain, tu m'en as mis plein les doigts ! Je vais encore plus, te défoncer la chatte ! Salope ! Tu le mérites ! Tiens ! Prends mon gros zob !".

Il n'a pas du baiser du Week End, vu ce qu'il m'a mis, autant en défonce, qu'en quantité de sperme.
Il s'est rangé la verge directement, dans ses vêtements, et m'a encore laissé me démerder, de mon état de salope, pleine de foutre.

C'est décidé ! Demain, je prévois des kleenex !

Il ne m'a jamais éjaculé dans la bouche, complètement.
Je ne connais son gout, que grâce à ses sorties de ma chatte, en fin d'insémination, pour se terminer, et se faire laver la verge.

Il s'est renseigné sur les endroits que je fréquentais, pour me faire baiser.
On s'est donc revus, sporadiquement, au Sex-Shop, cinémas pornos, et au bord de mer, également.

Il a participé à deux baises à la chaine sur moi, deux grands moments !

Une des dernière fois, s'est déroulée, alors que je ne m'y attendais pas.
Il est entré dans mon commerce, ouvert depuis quelques mois.

On s'est reconnu, tout de suite, échangeant un discret sourire.
On était pas seuls, il m'a demandé mes horaires.
J'ai compris que j'allais encore y passer ! Même avec mes quinze ans de plus !
J'ai fermé le rideau, derrière lui.

Il n'était pas encore clos, qu'il avait déjà déballé sa verge, dure et tendue comme un arc !

"Putain ! T'étais où ? Ca fait longtemps que je t'ai plus niqué la chatte ! Ou est-ce qu'on baise ?".
"Au fond, j'ai un local !".

Il me suit, en me touchant le cul.

"Putain, elle m'a manqué ta chatte ! Tu vas te faire défoncer, plus souvent ! Salope ! Je sais ou tu es ! Maintenant !".
"Euh, pas trop ! Je veux pas qu'on devine, que j'aime me faire baiser !".

"On verra ! Dépêches toi !".

Dès qu'on entre dans mon local, il me pousse à m'accroupir.

"Allez, suces moi le zob !".

Ca m'avait pas manqué cette expression, mais néanmoins, je me régale encore beaucoup, avec sa grosse bite.
Il me baise la gorge, comme presque toujours.

Sur son ordre, je dois encore lui dévorer la verge, tout en me dénudant.
Je dois aussi me lubrifier, en attente de sa possession anale.

Putain, je dois avoir 40 ans, à ce moment là, il en a près de 70 !
Et il est encore vigoureux, comme un jeune homme !

Il doit probablement me mentir, quand il me dit que je suis sa pute préférée !
Comment je dois prendre ça ?

Il me stoppe d'un coup, et me cale contre mon vieux canapé.
Il me pénètre presque sans précaution !
J'ai l'habitude, d'après lui.

Il me burine de la même manière, je jouis du cul, assez vite.
Ce n'est que le début d'une longue série d'orgasmes.

Il tient mieux qu'avant, le vieux !
Je comprends aussi, qu'il a besoin de s'exciter en m'insultant, pour se faire monter le plaisir.
Je me fais démonter la chatte copieusement !

C'est fini, je regrette plus de l'avoir rencontré !
Je crache mon sperme contre le canapé. C'est trop puissant, aujourd'hui !

Il explose enfin, j'ai eu mon compte depuis longtemps !
Il s'amuse avec mon trou du cul.

"Hummmm ! Ca, c'est de la bonne chatte de salope ! Tu sens comme mon zob, il rentre tout seul ? T'es une bonne pute ! On te l'a déjà dit ! J'en suis sûr !".
"Orhhhhhhhh ! Oui ! On me l'a déjà dit ! Orhhhhh ! Putain, tu m'as démonté ! T'assures encore, pour un mec de ton âge !".

"J'aime bien te niquer, c'est pour ça ! Bon, je reviens quand ?".
"Pas plus d'une fois par semaine ! S'il te plait !".

"D'accord ! C'est bon pour moi !".

Ca n'a duré que trois mois, et je ne tiens pas, à connaitre la raison de cette interruption.