Ma dernière fois en stop. Le réchauffement corporel mutuel.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Ma dernière fois en stop. Le réchauffement corporel mutuel. Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma dernière fois en stop. Le réchauffement corporel mutuel.
L'aller s'est déroulé sans sexe, donc un trajet banal, même si l'homme était sympa et attirant.

Le fait de m'être souvent fait draguer en stop, réveille toujours des envies chez moi.
A part, la première fois, parce que j'étais puceau, je n'ai jamais refusé les avances des autres hommes.

Excepté quelques pipes juteuses, je finissais par me faire enculer, la plupart du temps.
Surtout quand l'homme avait ce qu'il faut, entre les cuisses.
Je lui réclamais de me prendre !

Donc, après ma journée en campagne, chez mes parents, je refais du stop pour rentrer.
Putain, je me rend compte que j'ai pas pensé à la période !
Nous sommes en hiver.

Et même si j'habite le sud, les jours tombent plus vite, comme partout.
Personne ne s'arrête, non plus ! Les voitures sont plus rares.

J'en ai plein les pattes, à force de marcher.
Ca dure des heures, je me déteste !
Qu'est-ce que je suis bête !

Je pose mon cul, sur le premier rocher que je croise.
Je me vois déjà entrain de dormir dehors.
Je peux pas rester là !

Donc, je reprend ma marche, et trouve un banc d'abribus isolé.
Il fait presque nuit noire, et surtout, je suis gelé !
Je m'allonge, et tente de dormir un peu, quelques rares voitures passent.

Que pensent les gens qui me voient ainsi ? Un clochard, un ivrogne ?
L'une d'elles me sort de mon sommeil, en s'arrêtant à mon niveau.

"Faut pas rester là ! Jeune ! Tu vas prendre froid ! T'habites où ?".

L'homme est rassurant, et imposant. Il m'aide à me relever.

"Toulon !".
"Ca fait trop loin, mais je peux t'héberger, j'habite à coté ! Allez montes, je t'emmène ! Tu seras au chaud ! Tu trembles, peuchère !".
"Merci monsieur !".

Dans la voiture, il conduit d'une main, pour me frotter la cuisse et le dos.

"On arrive bientôt ! Je vais te faire du feu ! Ca va te réchauffer !".
"Merci Monsieur !".

En effet, il a une vieille maison, très proche, d'où je me trouvais.
A l'intérieur, il voit que je suis encore transi de froid.

Il m'entraine près du poêle à bois, qu'il allume pendant que je grelotte.
Le feu commence à crépiter.

Je saisi quelques regards de sa part, que je n'ose interpréter.
Je ne sais pas, s'il sait qu'il me plait beaucoup, il ressemble à un ancien amant que j'aimais beaucoup.

Son attention à mon égard, et sa virilité m'excitent énormément.

Il se dresse, et me serre contre lui, pour me frotter le dos énergiquement.
Ce qui me réchauffe, mais me rempli aussi d'un trouble sexuel et de frissons gênants.
Son contact me fait bander, et sans m'en rendre compte, je laisse échapper un gémissement de bien être, en fermant les yeux.

Il calme ses frottements !
Son regard croise le mien.

"Comment tu t'appelles ?".
"Pascal ! Et vous ?".

"Jacques ! Tu m'en veux, si je t'embrasse ?".
"Non, j'en ai envie, moi aussi !".

Il passe sa main derrière ma nuque, nos langues s'entremêlent.
Son autre main dirige la mienne, vers sa verge.

Il bande très fortement, lui aussi.
Je défais son bouton de ceinture, puis baisse assez son pantalon, pour prendre sa bite entre mes petits doigts.
Il fouille toujours ma gorge avec sa langue, alors que je lui branle la verge.

Ses deux mains se baladent sur mon dos, puis sur mon cul, qu'il dénude.
Il me malaxe les fesses, toujours sans quitter ma bouche.

Je commence à sentir la chaleur du feu sur mon cul, c'est très agréable.
Il m'imprime une pulsion.
Je comprend son désir, et je me baisse face à sa verge.

Elle est magnifique, même si elle n'atteint pas des dimensions hors normes.
Elle est tout de même bien large, et un peu longue.

Il recule assez, pour s'appuyer contre un vieux meuble.
Je lui léche la queue de bas en haut, et sur toute sa surface, en passant pas ses couilles.

"Orhhhhh ! Pascal ! C'est trop bon ! Putain, je m'attendais pas à vivre ça, ce soir ! J'vais plus te laisser partir !".

Je dois trop bien le sucer, puisqu'il me laisse faire, jusqu'à m'éjaculer dans la gorge.

"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Putain, tu me fais jouiiiiiiiiiiiiirrrrrrrr ! Argggggggggggggggg !...".

J'avale consciencieusement, et longuement, comme j'aime le faire.
Ensuite, il me regarde entrain de le sucer, jusqu'à ce qu'il débande.

"Putain ! On m'a jamais sucé comme ça ! Tu suces vraiment bien ! On voit que t'aimes ça !".
"Merci ! C'est vrai que j'adore ça ! Et puis, j'avoue qu'elle m'a beaucoup plu !".

"Tant mieux ! Pas besoin que je te prépare un lit, tu dors avec moi !".
"Si tu veux !".

"T'as mangé ?".
"Non !".

"Donc, a part mon jus, t'as rien avalé ? Bon, je nous prépare un p'tit truc ! Une omelette ! Ca te va ?".
"Oui, merci Jacques !".

"Ne me remercies pas ! C'est moi qui ai de la chance d'être tombé sur toi !".

On se restaure, à la chaleur de la cheminée.
Puis, il étend une grosse couverture devant le poêle.

Il me dénude, et en fait de même pour lui.
Il se penche au dessus de moi, m'embrasse un moment, puis se tourne, pour aller entre mes cuisses, afin de me lécher l'anus.

Je reprend sa verge dans ma bouche.
Il rebande dans ma gorge.

Je gémis grâce à sa langue experte. Mon œillet se détend et s'ouvre lentement.
Je sens qu'il m'inonde la chatte de salive.

Puis, il pivote, se place entre mes cuisses, et colle son gland contre mon anus.
Il me pénètre en m'embrassant.

Je râle dans sa bouche, pendant toute la durée de sa pénétration.
Puis, il coulisse en moi, en éloignant ses lèvres, et en scrutant mes réactions de plaisir anal.

"Hummm ! Tu es sensible du cul ! Ca me plait ! Elle est bonne ma queue ?".
"Orhhhh ! Oui ! Tu m'encules bien ! J'en avais envie ! Encore Jacques ! Fais moi jouir !".

"C'est ce que je compte faire, je te dois bien ça ! Tu m'as bien sucé !".

Il tient parole, et me fait atteindre plusieurs sommets de plaisir.
Jusqu'à connaitre un orgasme plus puissant que les autres.

Chez moi, le plaisir anal est comme ça, il vient par successions de paliers, atteint le sommet, puis retombe lentement.
Et là, on est sur un nuage tout du long.

Votre "chatte" est béante et détendue, et votre corps en réclame encore.
Je n'ai pas de vagin, je ne sais pas comment ça se passe, pour une femme.
Mais pour moi, c'est comme ça, plus je joui du cul, et plus j'en veux encore.
Je dois absolument éjaculer pour calmer ce besoin.

Mais le plaisir anal est si spécial, que même après avoir éjaculé, on y prend encore du plaisir et des orgasmes.
Ce qui arrange nos partenaires, les plus endurants, qui continuent de vous enculer.

En général, c'est souvent dans ces moments de jouissance anale, après éjaculation, que se produisent mes écoulements de prostate.
Mais c'est un autre sujet.

Jacques m'a fait pivoter, et se défoule dans ma chatte.
Il s'appuie dans le creux de mes reins, en me cambrant, pour me défoncer analement.

"Orhhhh ! Orhhhhhhh ! Chéri, je prend mon pied ! J'suis bien dans ta chatte ! C'est bon aussi, pour toi ?".
"Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! Arghhhhhh ! Ca se voit pas ? Arghhhhhhhhhhhhh ! Tu vas encore me faire jouir !... Putaaaaaaaaaain ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! ".

Il accelère son rythme et sa puissance, pour me faire gueuler encore plus fort.
L'orgasme est si intense, que je fuis sa bite, pour le vivre en m'écroulant sur la couverture, et en contorsionnant mon corps.

"Arghhhhhh ! Jacques ! C'est trop bon ! J'aime jouir comme ça ! Mmmmmmmmmmmmmmmm !".
"Tu me fais craquer Pascal ! Viens, on va dans ma chambre ! J'ai envie de te prendre dans mon lit".

On se glisse dans ses draps froids.
Il me réchauffe en se collant dans mon dos, puis dirige sa verge entre mes lobes fessiers.
Je le reçois avec bonheur.

"Ca va mon p'tit chéri ? Tu es bien ?".
"Orhhhhh ! Ouii ! Un peu froid, mais ça va vite passer ! Orhhhhh ! Je te sens bien, dans mon cul !".

"A ce niveau là, c'est une chatte ! Mon bébé ! Tu me prends comme une chatte !".
"Oui, pardon ! T'as raison ! Ma chatte !".

Il bouge plus sensuellement qu'auparavant.
Il me déclare qu'il s'est rarement senti aussi bien avec un jeune garçon.
Je joui encore, en entendant ses mots tendres à mon égard.

Il m'a fait pivoter au dessus de sa verge, en me soulevant les fesses, pour m'enculer par dessous.
Je le reçois en écartant mes cuisses, au dessus de son corps.
On atteint enfin un orgasme commun.

Je joui en gardant ma chatte, à distance parfaite pour qu'il puisse s'y déverser sans gêne.
Il crie son plaisir éjaculatoire.

"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Pascaaaaaaaaaaaaaaal ! C'est trop booooooooooon ! C'est encore meilleur que ta bouuuuuuche ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !...".

Je suis pris de frissons de plaisir cérébral ! J'aime le faire jouir dans ma chatte !

Nos plaisirs retombent, il me couche sur son torse, et me serre dans ses bras.

"Pascal ! Il faut plus que tu partes ! J'ai trop aimé ce moment ! Y a quelqu'un qui t'attend ?".
"Euh, ben, je suis avec une fille ! Mais elle est partie en famille, pour fêter Noël, pendant une semaine ! Je dois rentrer Samedi !".

"Tu veux pas rester avec moi ? Ca m'ferait plaisir, tu sais ! Allez, on s'entend bien tous les deux !".
"Bon ! D'accord ! Je sais pas combien de temps, je m'ennuie toujours un peu à la campagne !".

"T'auras pas le temps de t'ennuyer ! Je vais m'occuper de toi, trop souvent !".

J'apprend qu'il a été marié, elle l'a quitté par ce qu'il passait trop de temps dans ses vignes.
Il est viticulteur, producteur de rosé de Provence.
Parce qu'il n'était pas assez demandeur sexuellement, avec elle, aussi !
Ce qui est souvent le cas, chez les homos refoulés.

Il me révèle qu'il continue de lutter contre ses penchants, mais que c'est la première fois qu'il se sent aussi naturellement bien avec un garçon.

"Merci ! Ca me fait plaisir ! Moi aussi, je suis bien avec toi !".

Il me fait remarquer que notre rapprochement, s'est fait naturellement, sans drague, ni allusion.
Je réalise qu'il n'a pas tort, on a fait l'amour entre hommes, sans se poser de questions.

Il a une vie sexuelle assez pauvre, seulement quelques aventures à son actif.
Autant hétérosexuelles, qu'homosexuelles.

Avec les femmes, ça ne tient jamais, parce qu'il se force, et les hommes, parce qu'il refuse l'évidence.

"Mais toi ! C'est différent ! Je suis prêt a assumer mon homosexualité avec toi, mon p'tit chéri ! Tu m'plais énormément ! Et toi ? T'as connu beaucoup d'hommes ?".
"Euh... ne me demandes pas ça ! S'il te plait !".

"Quoi, c'est un peu ? Beaucoup ? Enormément ?".
"Ben, j'habite Toulon ! C'est facile de rencontrer des mecs là-bas ! Donc ! Enormément !".

"Bon ! OK, je veux pas savoir ! Je dois être qu'un mec de plus, pour toi, alors ?".
"Ne dis pas ça, tu vas tout gâcher ! Non, je suis bien, Je t'aime beaucoup ! Mais moi aussi, je veux pas vivre comme un homo, et j'aime vraiment les filles ! J'ai besoin des deux, c'est différent !".

"Tu veux bien rester quand même un peu, avec moi ? Jusqu'à samedi ! Ou vendredi ! Si ça t'arrange !".
"Ok pour vendredi ! Et puis, moi aussi, j'en ai envie !".

Il me blottit encore contre lui.
Nous sommes toujours soudés sexuellement.

"Putain, j'ai la queue toute trempée de sperme ! J'vais devoir me lever !".

J'ai réagi instinctivement, je me suis dégagé, puis, j'ai longuement léché sa verge qui débandait un peu.
Il n'a pas réfléchi non plus, en me léchant l'anus avec gourmandise.

Nous avons ensuite échangé un long baiser spermé.
Il m'a ensuite donné de nombreux baisers.

"Putain, je t'adore trop, tout est naturel avec toi ! Tu me rends dingue !".

Je lui souris, c'est agréable à entendre.

A partir de là, c'est un enchainement de longues caresses sur mon petit corps.
Je ressens toute sa passion pour moi, ça me fait peur, mais je la reçois avec un bonheur réel.

Il me couvre de tendresse, plus d'une heure durant.
Se révélant à lui même, qu'il ne s'est jamais senti aussi bien.
Il se met à pleurer un peu.

"Putain ! Pourquoi, je t'ai pas rencontré plus tôt ! C'est trop bien ! J'aime ta sensibilité, Pascal ! Avec les autres, c'était toujours trop court ! On se parlait pas ! Que du sexe ! Je suis entrain de tomber amoureux ! Je t'aime Pascal !".

Les rôles se retournent, c'est moi qui le console.

"Il faut pas m'aimer, j'ai pas de place pour toi dans ma vie ! Je suis désolé ! Jacques !".

Il se reprend.

"Non ! Ne sois pas désolé ! C'est moi qui part en couilles ! C'est quand même positif ! Grâce à toi, j'accepte mieux ce que je suis ! Je comprends qu'on peut aimer un homme ! je le savais, mais j'en ai la confirmation ! Tu restes quand même ! J'espère ?".
"Je sais plus, je vais te faire du mal, en partant !".

"S'il te plait !".
"Ok !".

Il m'attrape le visage pour m'embrasser avec fougue.

"Putain j'ai encore envie de toi ! Ca m'est jamais arrivé, comme ça ! T'es trop beau, en plus, on te l'as déjà dit ?".
"Oui ! Mais c'est toujours gênant !".

"Il faut pas, c'est vrai !".

Il me place en levrette, et m'empale en s'insérant lentement.
Je suis pris d'un orgasme anal instantané, qu'il ne comprend pas !

"Qu'est-ce qui se passe ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! C'est parce que ça fait un moment que tu m'as enculé ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! C'est encore sensible ! Putain ! ne bouges pas ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !".

"Qu'est ce t'es beau ! Tu es magnifique quand tu jouis ! Putain, je vais pas pouvoir me passer de toi, mon chéri !".

Ma sensibilité anale se normalise, je reprend mon souffle, peu à peu.
C'était génial encore !

"Prends moi maintenant ! Lâches toi !".

Il l'a fait, et bien plus longtemps encore, que lors de notre baise précédente.
Ce qui fait que ma verge gonfle à m'en faire mal, pendant qu'il m'encule dans des positions improbables.

Il s'excite de me voir bander.
Puis, alors qu'il me défonce encore, comme une chienne en levrette.

Je me relève contre son torse, en positionnant ma main sous mon gland, qui crache mon sperme à chacun de ses enfoncements dans ma chatte.
Je rempli la paume de ma main, ça commence à déborder.
Il a tout vu, et me relève le bras, jusqu'aux lèvres.

"Bois, mon chéri ! J'ai envie !".

Je me lave la main, puis retourne vers ma verge pour me vider le canal urinaire, et avale la petite quantité restante.

"Putain, je fais plein de nouvelles choses avec toi, c'est trop beau ! Tu m'excites ! Pascal !".

Il me plaque sur le matelas, et me pilonne sans relâche, pour jouir en moi, en criant qu'il m'aime comme un fou.

On s'est endormi comme ça, sans beaucoup se parler ensuite.
Seulement quelques mots tendres.

Au petit matin, il avait une pêche d'enfer !
Il respirait le bonheur !

J'ai accepté avec joie, de lui sucer la verge, jusqu'à le faire éjaculer dans ma gorge.
C'est une de mes pratiques favorites.

Comme on est en hiver, il avait peu de tâches à effectuer dans ses vignes.
Mais je l'ai un peu aidé.
On est rentré avant midi.

En me baisant après 14 heures, il s'étonne que je sois toujours propre analement.

"Je fais des lavements, quand je me douche ! Et puis la sodomie, ça régule mon transit, aussi !".
"C'est génial !".

Donc, voilà, il m'a aimé, baisé, défoncé, pendant cinq jours entiers.

Je lui ai indiqué tous les endroits que je fréquentais à Toulon, pour me faire baiser.

Comme il m'a ramené en soirée, jusque chez moi, il m'a encore pris dans mon appartement.
On a encore dormi ensemble jusqu'au petit matin.

Malgré le plaisir évident, qu'il a pris pendant ma pipe matinale, il n'a pas voulu éjaculer dans ma bouche.

"Non, C'est trop bon, mais je préfère me réserver pour tout à l'heure ! On va se doucher, et comme j'ai très faim, on déjeune, et je te fais encore l'amour !".

Chacun va aux toilettes, pour uriner ou plus.
Sous la douche, il remarque la forme de mon pommeau.

"Tu l'a choisi exprès pour ta chatte ? Pour tes lavements ?".
"Oui !'.

"J'ai envie de te le faire !".

J'ai pas le temps de répondre. Il m'enfonce le pommeau dans la chatte.

"Orhhhh ! Jacques ! Orghhhhhh ! Tu le retires quand je te le dis !".
"D'accord, mon chéri !".

"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Maintenant !".

Je serre l'anus, puis vais m'assoir sur mes W-C, en ayant quelques légères fuites anales.
Il me voit râler de bonheur en me vidant la chatte.

J'essuie mes fuites au sol, puis retourne près de lui.
Il m'enfonce encore le pommeau.

"Encore, ça m'excite de te faire ça !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Maintenant ! Stop !".

Cette fois, je sais que je n'ai plus de selles ! Je me vide dans la douche.
Il éteint le jet et m'enfonce sa verge en érection.

"Putain ! J'adore ! Ca rentre tout seul ! C'est ma chatte à moi ! Orhhh ! J'ai envie de faire un truc ! J'ai vu ça dans un film porno ! Je peux ?".
"Orggghhhhhhhhhh ! Fais toi plaisir, tout ce que tu veux !".

Je ne m'attendais pas à ça, mon estomac se gonfle lentement d'une forte chaleur.

"Orhhhhh ! Pascal, c'est trop bon, je pensais pas que j'aimerai autant ça ! Dis moi que ça te plais ! Mon chéri !".

Je m'étonne moi même ,d'y prendre autant de plaisir, il est le premier à me faire apprécier cette pratique urophile.
Il me pisse dans la chatte, et je le reçois avec excitation.

"Orhhhh ! Jacques c'est la première fois que j'aime qu'on me pisse dans le cul !".

La gêne abdominale augmente, malgré mon plaisir.

"Jacques ! Orhhhh ! Retires ta queue ! J'en peux plus !".
"Encore un peu mon bébé ! J'ai presque fini ! Putain, j'adore ça ! C'est chaud ! C'est trop bon !".

Je me mords le bras pour supporter l'afflux d'urine, qui me remplit les intestins.

Je devine a ses spasmes péniens, qu'il termine de se vider la vessie.
Il m'impose d'attendre la retombée de son plaisir.
Puis:

"Attends ! Je vais m'écarter un peu ! Serres ta chatte, après que je sois sorti !".

C'est pas si évident, mais j'y parviens.

"Vas y, montres moi !".

J'ai vécu un moment étrange, d'un plaisir évident de me vider de trois longs jets d'urine brulante.

Il ouvre le jet d'eau, se rince la verge, puis ma chatte.

Il le repose, et me reprend aussitôt après, en se secouant la bite dans mon trou béant.
Il me fait jouir comme une femelle en chaleur.
J'accumule les montées de plaisir, jusqu'à l'orgasme anal parfait.

Celui qui vous vide, et vous comble de cette parfaite plénitude.
Il jouit lui aussi, me secouant sans cesse, en vivant ses derniers spasmes péniens dans son canal urinaire.

"Orhhhh ! Chéri ! J'ai pas envie de te quitter ! Tu me fais trop jouir ! Je prends mon pied avec toi ! Et ta p'tite chatte !".
"Ben, t'as qu'a revenir me voir ! Tu sais ou j'habite, maintenant ! Sauf le Week End, parce que je sors avec mes potes ! Mais en semaine ! Tu peux venir à partir de 19 heures !".

"Tu veux bien ?".
"Oui, bien sur, mais je peux pas te donner plus que ça !".

"Je m'en contenterai ! Merci mon p'tit amour !".

Je fais celui qui n'a rien entendu, je suis habitué maintenant.

Ca a duré le temps que Corinne me rejoigne à l'appartement.
Je l'ai revu en lieux de rencontres, ce qui n'aide pas à une vraie communion sexuelle.

Puis, il m'a révélé qu'il avait enfin rencontré un homme tendre qui vivait avec lui.
Mais qu'il avait pris gout aux rencontres en cinq à sept.

"Surtout avec toi, mon chéri !".

Les avis des lecteurs

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Enfin un cocu qui ne se laisse pas faire. Est-ce que vous pourriez développer le thème du cocu qui ne se laisse pas faire? Façon PP06 ou JA, avec votre plume et votre imagination cela fera des étincelles, merci beaucoup. Un lecteur fidèle :)

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Comme toujours bien raconté beau récit d’une rencontre fortuite avec un amant tendre
Daniel



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