Ma dernière soirée au Cap d'Agde
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma dernière soirée au Cap d'Agde
Comme chaque année depuis six ans maintenant, je viens m’encanailler au Cap d’Agde…
Et ma dernière soirée restera un des meilleurs souvenirs… de cette semaine et même des dernières années…
J’ai 25 ans depuis le printemps… Je suis une grande fille brune d’1,75m avec des cheveux noirs qui descendent entre mes épaules. J’ai le visage ovale avec de grands yeux noirs ombrés de longs cils et des lèvres un peu ourlées…
Ma poitrine est plutôt menue (85 B) et ma taille fine et souple est ceinte d’une chainette dorée.
Mes hanches sont en rapport avec ma poitrine et j’ai le pubis glabre car ma toison a été éliminée au laser depuis quelques années.
J’ai quelque petits tatouages discrets qui sont soigneusement cachés lorsque j’enfile mon uniforme d’une célèbre maison parisienne qui fournit des hôtesses pour les salons et expositions divers comme le Salon de l’auto…
Je suis libertine depuis de nombreuses années et j’ai baisé avec des garçons ou des filles… je n’ai pas d’exclusive… Si le ou la partenaire me plait, cela ne me pose pas de problème…
D’ailleurs au lycée, j’en pinçais sérieusement pour un « grand » de terminale alors que je venais d’entrer en seconde… et c’était réciproque car à peine deux semaines après la rentrée, il n’a dépucelée dans sa chambre… J’avais à peine 15 ans et demi…
En fait il m’a beaucoup appris… si bien qu’un jour alors que je lui faisais une fellation, il m’a dit que j’étais douée et que j’avais de véritables lèvres de pompeuse de bite :
Les années ont passé, j’ai rencontré d’autres garçons et des filles…
Les salons, c’est pratique quand ils ont lieu en province… pour se faire du fric… on partage les chambres à deux… ou plus…
Parfois les réveils du matin sont difficiles…
Je ne compte plus les garçons que j’ai sucés avant ou après une bonne séance de galipettes et les moules baveuses en 69 sont légion également…
Je suis totalement bisexuelle, j’aime le sexe à deux, à trois ou plus…
Les clubs coquins de la capitale sont mon terrain de chasse favori lorsque j’ai envie de me faire culbuter… Pas de mec attitré… c’est bien mieux !
J’avais passé une grande partie de l’après-midi sur la plage à me faire dorer et lorsque trois mecs sont arrivés pour me draguer, je n’ai pas dit NON… mais j’ai posé mes conditions : Pas de baise mais une bonne pipe à chacun pour les soulager !
Ils ont été d’accord !
Quand je regagnais la chambre que j’avais louée dans le secteur « textile » je suis tombée sur une femme d’une cinquantaine d’années que je savais être une des égéries de la baie des cochons et des boites échangistes du lieu.
Elle m’a dit qu’elle m’avait observée avec les trois mecs et que si j’avais encore envie, elle me donnait rendez-vous à 23 heures à son appartement !
Elle était merveilleusement installée et son salon meublé de nombreux divans profonds ne devait pas servir qu’à s’asseoir.
Elle portait une minirobe en cuir qui s’arrêtait ras la touffe et avait bien du mal à cacher son opulente poitrine. Elle m’a présenté un mec comme son régulier… Il était habillé d’un « baggy » et d’un polo.
De mon côté, je portais un string mini assorti à un soutif « redresse seins » qui laissait mes tétons apparents. Par-dessus je portais une robe en filet à large maille qui ne cachait rien de mon anatomie.
Après avoir bu une coupe de champagne, nous sommes partis tous les trois vers une des plus grandes boite privée du secteur…
Mes nouveaux amis semblaient bien connaitre les lieux et Carole m’a fait découvrir les différentes salles où la foule de samedi soirs se pressait… Il y a avait des mélanges à géométrie variable dans les coins câlins avec leur éternelle grappe de voyeurs.
Arrivées au premier étage, Carole a écarté un rideau qui masquait l’entrée d’un couloir faiblement éclairé et j’ai découvert de part et d’autre une douzaine d’orifice par lesquels les hommes pouvaient se faire masturber incognito par des filles ou des hommes qui auraient envie.
C’était on ne peut plus classique de ce genre d’établissement…
Dès que nos yeux ont été habitués à l’éclairage, Carole m’a montré deux orifices placés côte-à-côte desquels sortaient deux sexes à moitié bandés…
L’invitation était on ne peut plus claires… Nous allions nous occuper de ces deux messieurs qui s’attendaient à une gâterie…
Carole s’est penchée sur celui de droite qui avait même passé ses couilles par l’orifice… Pendant qu’elle tripotait les bourses du mec, elle a entrepris une pipe à bouche profonde, enduisant la bite d’une abondante salive… Il n’a pas fallu longtemps de ce traitement pour que le mec décharge quelques belles giclées de foutre qui se sont écrasées sur le cou et la poitrine de mon amie…
Le mec que je suçais était un peu plus long à venir, j’avais beau déployer tous mes talents de suceuse de bite, rien n’y faisait… Pourtant il devait être excité car son membre avait presque doublé de volume te s’était allongé convenablement…
En moi-même, je pensais qu’il avait déjà du baiser et que maintenant il avait les couilles vides…
Mais NON… au moment où j’allais déclarer forfait (ce qui est très très rare…) j’ai entendu une sorte de rugissement et j’ai pris plein de foutre dans la bouche au point que j’ai du recracher la bite qui a achevé de déverser son surplus dans le vide !
Carole m’avait quitté discrètement en me disant qu’elle avait un rancart et qu’elle me souhaitait bien du plaisir !
J’avais eu à peine le temps de me remettre que le gloryhole devant lequel je me trouvais était à nouveau occupé…
La bite était plutôt molle mais dès que j’ai mis la main dessus pour la branler un peu et lui faire prendre de l’ampleur, elle s’est déployée complètement… Une jolie queue, fine avec un gland désormais bien marqué et gorgé de sang…
J’ai ouvert la bouche et je l’ai gobée comme on suce un sucre d’orge… alternant des allées et venues le long de la hampe et en n’oubliant pas au passage de titiller le méat qui suintait déjà…
Je pompais ce dard avec application, creusant mes joues pour augmenter la succion quand elle ressortait de ma bouche, agitant ma langue contre le frein quand je le sentais à portée…
Ce traitement efficace n’a pas tardé à porter ses fruits mais comme j’avais encore le goût du sperme du précédent, je ne voulais pas qu’il se déverse à nouveau dans ma bouche…
Il était à point… je le sentais venir… d’une main je suis allée masser ses bourses pendant que l’autre coulissait dans un mouvement alternatif sur le mat qui a craché quelques belles salves qui se sont écrasées sur mes seins !
Le sexe du troisième candidat n’a pas tardé à se montrer dans un trou placé à ma gauche… Je ne pouvais pas aller plus loin… c’était le dernier…
A ce moment là, j’étais seule dans ce couloir…
J’allais donc devoir m’intéresser un peu à contre cœur à ce qui se présentait : un sexe assez court au milieu d’une épaisse toison d’un roux flamboyant (pour autan que je pusse voir dans la pénombre relative du lieu)au dessus d’une paire de balloches pendantes
Je l’ai masturbé pendant quelques temps, alternant entre la queue qui se développait et les couilles que je palpais en faisant rouler les testicules dans ma main… !
Finalement j’ai approché ma bouche du gland… et contrairement à ce que je craignais, çà sentais bon le frais et un léger parfum de lavande…
C’était sympa… le mec devait savoir que les roux ont un fumet puissant… et pour se faire sucer quoi de mieux qu’une bonne toilette intime ?
Cela me fit redoubler d’ardeur… J’avalai sa bite jusqu’à ce que les poils viennent me chatouiller les narines… et je la pompai comme je sais si bien le faire…
Malgré la musique de fond en sourdine, je percevais distinctement des grognements approbateurs…
Et moi, j’avais la foufoune en feu…
Le sexe que je suçais avait atteint son plein développement et j’y allais avec ardeur et conviction… non que j’ai été pressée d’en finir, mais pour une fois que je taillais une plume à un rouquin, autant lui donner ce qu’il attendait !
Lorsqu’il a déchargé dans ma bouche, j’ai tout avalé, aspirant les dernières gouttes puis je me suis reculée pour m’asseoir en sphinx sur mes genoux…
Le sexe a disparu dans l’orifice puis c’est un visage d’un tout jeune homme qui est apparu, on aurait dit un angelot avec ses cheveux frisés… Il m’a remercié chaleureusement en me disant combien cela avait été bon, que c’était la première fois qu’une fille acceptait de la sucer…
Il était gentil tout plein ce mignon… Puis il s’est retiré !
Quelle n’a pas été ma surprise quand un homme est arrivé devant le couloir aux gloryholes…
En moi-même, je me suis dis que s’il voulait me sauter pendant que je sucerais un autre mec… je ne serais pas contre…
Mais NON… Il s’est agenouillé en face d’un trou voisin et s’est mis à branler la queue qui se présentait ! Puis il l’a gobée…
Il semblait savoir y faire… J’imagine la tête du mec derrière la cloison s’il savait que c’était un autre mec qui lui taillait une plume !
Bon ce n’était pas mon problème…
Mes yeux se sont posés sur la bite qui sortait du trou en face de moi…
Waouh… un beau morceau… le gland décalotté par l’absence de prépuce faisait au moins cinq centimètres de diamètre et se détachait bien d’une queue bistre ou noire… La lumière atténuée ne permettait pas d’en distinguer plus…
Elle pendait dans l’orifice, semblant attendre qu’on veuille bien s’intéresser à elle…
J’étais à nouveau partante après une petite pose…
Quand je l’ai prise en main, elle m’a semblée lourde mais surtout longue… Après quelques manipulations à deux mains sur cette hampe et les couilles qui pendaient en dessous, elle a commencé à prendre du volume et de la consistance…
Humm… un beau morceau dont je gobai aussitôt le gland, agitant ma langue dans ma bouche pour agacer le méat et le frein…
Pas besoin de me faire un dessin… J’avais tellement gobé des queues depuis que mon copain de lycée m’avait sautée et enseigné ce que toute femme devrait savoir, que le bout de ma langue semblait doué d’une vue pour aller faire plaisir aux mecs !
Mais là, malgré ma bonne volonté, une gorge profonde était impossible…
La bite du mec en face de moi ressemblait en longueur et grosseur à celle d’un célèbre italien acteur de film X.
Qu’à cela ne tienne, je possédais assez de ressource pour lui donner satisfaction…
Je léchais avec application le gland puis j’enfournais le maximum de ce chibre dans ma bouche et je le ressortais en le comprimant entre mes lèvres… et je recommençais en n’oubliant pas de masser des bourses qui me semblaient également hors norme…
Je sentais le sang pulser le long de la colonne de chair et j’entendais les grognements de satisfaction du mec…
C’était chaud… Je pensais que si j’avais cette bite dans la chatte ou le cul, je prendrais un pied du tonnerre !
Soudain le mec derrière la cloison s’est écrié qu’il allait venir…
Je ne voulais pas en perdre une goutte… je me suis reculée, bouche ouverte, j’ai achevé de le masturber pour le faire cracher… Qu’est-ce qu’il m’a mis…
J’en avais plein sur la langue, des trainées de foutre dégoulinaient dans mes cheveux, sur mes joues, sur mon buste…
Et de quatre… mais j’avais besoin d’une douche…
Lorsque je suis revenue dans ce fameux couloir, il y avait trois autres filles occupées à pomper les dards qui s’offraient et une quatrième qui offrait ses fesses à une queue sortie du trou…
Certainement n’avait-elle pas envie de voir qui la baisait !
Celui devant lequel j’avais officié jusqu’à maintenant était libre…
J’ai repris ma place, à genou sur un coussin et un sexe n’a pas tardé de se montrer…
On aurait dit que le mec attendait que je revienne…
Lorsque la séance s’est terminée – j’avais mal aux mâchoires et je me sentais barbouillé tant j’avais avalé de foutre – j’avais perdu le compte après le quinzième mec…
J’en avais assez…
A moitié dépenaillée, des traces gluantes un peu partout, je me suis dirigée vers le jacuzzi pour me nettoyer et me relaxer un peu.
Je me disais que pour ma dernière soirée, j’avais fait fort… mais il me manquait quelque chose…
Je planais un peu quand j’ai entendu une voix de femme dire qu’enfin elle m’avait trouvée…
J’ai ouvert les yeux et j’ai vu un couple de métis… dont j’ai immédiatement reconnu la queue que j’avais sucée en début de soirée…
Ce couple de trentenaires, beau comme un astre, s’est glissé dans le bassin, la fille à ma gauche et le mec à ma droite…
En m’embrassant sur la bouche, la fille m’a glissé dans l’oreille que je méritais bien une récompense pour avoir si bien sucé son mec… J’ai senti deux mains glisser entre mes jambes et caresser mon pubis…
C’était parti pour une séquence à trois…
Nous sommes sortis de l’eau et nous nous sommes allongés sur des matelas de plage se trouvant à proximité…
Avec la fille, nous avons entamé un 69 endiablé pendant que le mec se paluchait doucement… Tantôt c’était l’une qui était au dessus, tantôt c’était l’autre… Nous délirions complètement… c’est le moment où le mec s’est redressé et en me saisissant par la taille, il m’a enfilé son sexe dans la chatte…
Waouh, je la sentais passer… mais qu’est ce que c’était bon !
Mais il s’est retiré… la fille s’est emparé d’un tube gel et m’en a injecté une bonne dose dans le cul…
Le mec s’est introduit lentement… j’ai nettement senti passer le gland…puis tout le reste de cette bite est entrée dans mon boyau étroit où elle a commencé à coulisser de plus en plus vite jusqu’au moment où le mec en moi nous avons joui dans un concert de beuglements tant c’était bon !
Pendant ce temps là, la fille se faisait jouir avec un gode vibrant qui se trouvait là !
QUELLE SOIREE !
Et ma dernière soirée restera un des meilleurs souvenirs… de cette semaine et même des dernières années…
J’ai 25 ans depuis le printemps… Je suis une grande fille brune d’1,75m avec des cheveux noirs qui descendent entre mes épaules. J’ai le visage ovale avec de grands yeux noirs ombrés de longs cils et des lèvres un peu ourlées…
Ma poitrine est plutôt menue (85 B) et ma taille fine et souple est ceinte d’une chainette dorée.
Mes hanches sont en rapport avec ma poitrine et j’ai le pubis glabre car ma toison a été éliminée au laser depuis quelques années.
J’ai quelque petits tatouages discrets qui sont soigneusement cachés lorsque j’enfile mon uniforme d’une célèbre maison parisienne qui fournit des hôtesses pour les salons et expositions divers comme le Salon de l’auto…
Je suis libertine depuis de nombreuses années et j’ai baisé avec des garçons ou des filles… je n’ai pas d’exclusive… Si le ou la partenaire me plait, cela ne me pose pas de problème…
D’ailleurs au lycée, j’en pinçais sérieusement pour un « grand » de terminale alors que je venais d’entrer en seconde… et c’était réciproque car à peine deux semaines après la rentrée, il n’a dépucelée dans sa chambre… J’avais à peine 15 ans et demi…
En fait il m’a beaucoup appris… si bien qu’un jour alors que je lui faisais une fellation, il m’a dit que j’étais douée et que j’avais de véritables lèvres de pompeuse de bite :
Les années ont passé, j’ai rencontré d’autres garçons et des filles…
Les salons, c’est pratique quand ils ont lieu en province… pour se faire du fric… on partage les chambres à deux… ou plus…
Parfois les réveils du matin sont difficiles…
Je ne compte plus les garçons que j’ai sucés avant ou après une bonne séance de galipettes et les moules baveuses en 69 sont légion également…
Je suis totalement bisexuelle, j’aime le sexe à deux, à trois ou plus…
Les clubs coquins de la capitale sont mon terrain de chasse favori lorsque j’ai envie de me faire culbuter… Pas de mec attitré… c’est bien mieux !
J’avais passé une grande partie de l’après-midi sur la plage à me faire dorer et lorsque trois mecs sont arrivés pour me draguer, je n’ai pas dit NON… mais j’ai posé mes conditions : Pas de baise mais une bonne pipe à chacun pour les soulager !
Ils ont été d’accord !
Quand je regagnais la chambre que j’avais louée dans le secteur « textile » je suis tombée sur une femme d’une cinquantaine d’années que je savais être une des égéries de la baie des cochons et des boites échangistes du lieu.
Elle m’a dit qu’elle m’avait observée avec les trois mecs et que si j’avais encore envie, elle me donnait rendez-vous à 23 heures à son appartement !
Elle était merveilleusement installée et son salon meublé de nombreux divans profonds ne devait pas servir qu’à s’asseoir.
Elle portait une minirobe en cuir qui s’arrêtait ras la touffe et avait bien du mal à cacher son opulente poitrine. Elle m’a présenté un mec comme son régulier… Il était habillé d’un « baggy » et d’un polo.
De mon côté, je portais un string mini assorti à un soutif « redresse seins » qui laissait mes tétons apparents. Par-dessus je portais une robe en filet à large maille qui ne cachait rien de mon anatomie.
Après avoir bu une coupe de champagne, nous sommes partis tous les trois vers une des plus grandes boite privée du secteur…
Mes nouveaux amis semblaient bien connaitre les lieux et Carole m’a fait découvrir les différentes salles où la foule de samedi soirs se pressait… Il y a avait des mélanges à géométrie variable dans les coins câlins avec leur éternelle grappe de voyeurs.
Arrivées au premier étage, Carole a écarté un rideau qui masquait l’entrée d’un couloir faiblement éclairé et j’ai découvert de part et d’autre une douzaine d’orifice par lesquels les hommes pouvaient se faire masturber incognito par des filles ou des hommes qui auraient envie.
C’était on ne peut plus classique de ce genre d’établissement…
Dès que nos yeux ont été habitués à l’éclairage, Carole m’a montré deux orifices placés côte-à-côte desquels sortaient deux sexes à moitié bandés…
L’invitation était on ne peut plus claires… Nous allions nous occuper de ces deux messieurs qui s’attendaient à une gâterie…
Carole s’est penchée sur celui de droite qui avait même passé ses couilles par l’orifice… Pendant qu’elle tripotait les bourses du mec, elle a entrepris une pipe à bouche profonde, enduisant la bite d’une abondante salive… Il n’a pas fallu longtemps de ce traitement pour que le mec décharge quelques belles giclées de foutre qui se sont écrasées sur le cou et la poitrine de mon amie…
Le mec que je suçais était un peu plus long à venir, j’avais beau déployer tous mes talents de suceuse de bite, rien n’y faisait… Pourtant il devait être excité car son membre avait presque doublé de volume te s’était allongé convenablement…
En moi-même, je pensais qu’il avait déjà du baiser et que maintenant il avait les couilles vides…
Mais NON… au moment où j’allais déclarer forfait (ce qui est très très rare…) j’ai entendu une sorte de rugissement et j’ai pris plein de foutre dans la bouche au point que j’ai du recracher la bite qui a achevé de déverser son surplus dans le vide !
Carole m’avait quitté discrètement en me disant qu’elle avait un rancart et qu’elle me souhaitait bien du plaisir !
J’avais eu à peine le temps de me remettre que le gloryhole devant lequel je me trouvais était à nouveau occupé…
La bite était plutôt molle mais dès que j’ai mis la main dessus pour la branler un peu et lui faire prendre de l’ampleur, elle s’est déployée complètement… Une jolie queue, fine avec un gland désormais bien marqué et gorgé de sang…
J’ai ouvert la bouche et je l’ai gobée comme on suce un sucre d’orge… alternant des allées et venues le long de la hampe et en n’oubliant pas au passage de titiller le méat qui suintait déjà…
Je pompais ce dard avec application, creusant mes joues pour augmenter la succion quand elle ressortait de ma bouche, agitant ma langue contre le frein quand je le sentais à portée…
Ce traitement efficace n’a pas tardé à porter ses fruits mais comme j’avais encore le goût du sperme du précédent, je ne voulais pas qu’il se déverse à nouveau dans ma bouche…
Il était à point… je le sentais venir… d’une main je suis allée masser ses bourses pendant que l’autre coulissait dans un mouvement alternatif sur le mat qui a craché quelques belles salves qui se sont écrasées sur mes seins !
Le sexe du troisième candidat n’a pas tardé à se montrer dans un trou placé à ma gauche… Je ne pouvais pas aller plus loin… c’était le dernier…
A ce moment là, j’étais seule dans ce couloir…
J’allais donc devoir m’intéresser un peu à contre cœur à ce qui se présentait : un sexe assez court au milieu d’une épaisse toison d’un roux flamboyant (pour autan que je pusse voir dans la pénombre relative du lieu)au dessus d’une paire de balloches pendantes
Je l’ai masturbé pendant quelques temps, alternant entre la queue qui se développait et les couilles que je palpais en faisant rouler les testicules dans ma main… !
Finalement j’ai approché ma bouche du gland… et contrairement à ce que je craignais, çà sentais bon le frais et un léger parfum de lavande…
C’était sympa… le mec devait savoir que les roux ont un fumet puissant… et pour se faire sucer quoi de mieux qu’une bonne toilette intime ?
Cela me fit redoubler d’ardeur… J’avalai sa bite jusqu’à ce que les poils viennent me chatouiller les narines… et je la pompai comme je sais si bien le faire…
Malgré la musique de fond en sourdine, je percevais distinctement des grognements approbateurs…
Et moi, j’avais la foufoune en feu…
Le sexe que je suçais avait atteint son plein développement et j’y allais avec ardeur et conviction… non que j’ai été pressée d’en finir, mais pour une fois que je taillais une plume à un rouquin, autant lui donner ce qu’il attendait !
Lorsqu’il a déchargé dans ma bouche, j’ai tout avalé, aspirant les dernières gouttes puis je me suis reculée pour m’asseoir en sphinx sur mes genoux…
Le sexe a disparu dans l’orifice puis c’est un visage d’un tout jeune homme qui est apparu, on aurait dit un angelot avec ses cheveux frisés… Il m’a remercié chaleureusement en me disant combien cela avait été bon, que c’était la première fois qu’une fille acceptait de la sucer…
Il était gentil tout plein ce mignon… Puis il s’est retiré !
Quelle n’a pas été ma surprise quand un homme est arrivé devant le couloir aux gloryholes…
En moi-même, je me suis dis que s’il voulait me sauter pendant que je sucerais un autre mec… je ne serais pas contre…
Mais NON… Il s’est agenouillé en face d’un trou voisin et s’est mis à branler la queue qui se présentait ! Puis il l’a gobée…
Il semblait savoir y faire… J’imagine la tête du mec derrière la cloison s’il savait que c’était un autre mec qui lui taillait une plume !
Bon ce n’était pas mon problème…
Mes yeux se sont posés sur la bite qui sortait du trou en face de moi…
Waouh… un beau morceau… le gland décalotté par l’absence de prépuce faisait au moins cinq centimètres de diamètre et se détachait bien d’une queue bistre ou noire… La lumière atténuée ne permettait pas d’en distinguer plus…
Elle pendait dans l’orifice, semblant attendre qu’on veuille bien s’intéresser à elle…
J’étais à nouveau partante après une petite pose…
Quand je l’ai prise en main, elle m’a semblée lourde mais surtout longue… Après quelques manipulations à deux mains sur cette hampe et les couilles qui pendaient en dessous, elle a commencé à prendre du volume et de la consistance…
Humm… un beau morceau dont je gobai aussitôt le gland, agitant ma langue dans ma bouche pour agacer le méat et le frein…
Pas besoin de me faire un dessin… J’avais tellement gobé des queues depuis que mon copain de lycée m’avait sautée et enseigné ce que toute femme devrait savoir, que le bout de ma langue semblait doué d’une vue pour aller faire plaisir aux mecs !
Mais là, malgré ma bonne volonté, une gorge profonde était impossible…
La bite du mec en face de moi ressemblait en longueur et grosseur à celle d’un célèbre italien acteur de film X.
Qu’à cela ne tienne, je possédais assez de ressource pour lui donner satisfaction…
Je léchais avec application le gland puis j’enfournais le maximum de ce chibre dans ma bouche et je le ressortais en le comprimant entre mes lèvres… et je recommençais en n’oubliant pas de masser des bourses qui me semblaient également hors norme…
Je sentais le sang pulser le long de la colonne de chair et j’entendais les grognements de satisfaction du mec…
C’était chaud… Je pensais que si j’avais cette bite dans la chatte ou le cul, je prendrais un pied du tonnerre !
Soudain le mec derrière la cloison s’est écrié qu’il allait venir…
Je ne voulais pas en perdre une goutte… je me suis reculée, bouche ouverte, j’ai achevé de le masturber pour le faire cracher… Qu’est-ce qu’il m’a mis…
J’en avais plein sur la langue, des trainées de foutre dégoulinaient dans mes cheveux, sur mes joues, sur mon buste…
Et de quatre… mais j’avais besoin d’une douche…
Lorsque je suis revenue dans ce fameux couloir, il y avait trois autres filles occupées à pomper les dards qui s’offraient et une quatrième qui offrait ses fesses à une queue sortie du trou…
Certainement n’avait-elle pas envie de voir qui la baisait !
Celui devant lequel j’avais officié jusqu’à maintenant était libre…
J’ai repris ma place, à genou sur un coussin et un sexe n’a pas tardé de se montrer…
On aurait dit que le mec attendait que je revienne…
Lorsque la séance s’est terminée – j’avais mal aux mâchoires et je me sentais barbouillé tant j’avais avalé de foutre – j’avais perdu le compte après le quinzième mec…
J’en avais assez…
A moitié dépenaillée, des traces gluantes un peu partout, je me suis dirigée vers le jacuzzi pour me nettoyer et me relaxer un peu.
Je me disais que pour ma dernière soirée, j’avais fait fort… mais il me manquait quelque chose…
Je planais un peu quand j’ai entendu une voix de femme dire qu’enfin elle m’avait trouvée…
J’ai ouvert les yeux et j’ai vu un couple de métis… dont j’ai immédiatement reconnu la queue que j’avais sucée en début de soirée…
Ce couple de trentenaires, beau comme un astre, s’est glissé dans le bassin, la fille à ma gauche et le mec à ma droite…
En m’embrassant sur la bouche, la fille m’a glissé dans l’oreille que je méritais bien une récompense pour avoir si bien sucé son mec… J’ai senti deux mains glisser entre mes jambes et caresser mon pubis…
C’était parti pour une séquence à trois…
Nous sommes sortis de l’eau et nous nous sommes allongés sur des matelas de plage se trouvant à proximité…
Avec la fille, nous avons entamé un 69 endiablé pendant que le mec se paluchait doucement… Tantôt c’était l’une qui était au dessus, tantôt c’était l’autre… Nous délirions complètement… c’est le moment où le mec s’est redressé et en me saisissant par la taille, il m’a enfilé son sexe dans la chatte…
Waouh, je la sentais passer… mais qu’est ce que c’était bon !
Mais il s’est retiré… la fille s’est emparé d’un tube gel et m’en a injecté une bonne dose dans le cul…
Le mec s’est introduit lentement… j’ai nettement senti passer le gland…puis tout le reste de cette bite est entrée dans mon boyau étroit où elle a commencé à coulisser de plus en plus vite jusqu’au moment où le mec en moi nous avons joui dans un concert de beuglements tant c’était bon !
Pendant ce temps là, la fille se faisait jouir avec un gode vibrant qui se trouvait là !
QUELLE SOIREE !
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