ma directrice de banque - histoire érotique

A ma Directrice de Banque,




Décidément ca n’a pas l’air de vouloir s’arrêter un jour ! … « faut que je décroche… ca peut pas continuer » je me dis! …
Mais le destin en a décidé autrement !

Je m’appelle Idir (mon pseudo d’auteur) et mes fidèles lecteurs me connaissent a travers mon histoire précédente « Le Marabout ».

Maintenant, 15 ans après, la cinquantaine bien entamée, je plonge dans un autre délire aussi rocambolesque que passionnant .

Des années ont passées et Idir n’est plus pareil… l’âge, le contexte professionnel, et une libido a son crépuscule.
Cette histoire, aussi vraie qu’elle est, m’a complétement ébranlée .
Je vais vous la raconter en glissant une petite dose d’érotisme, car même si certain bulles sont fictives le fond n’en n’est pas le moindre .


« Allo…Mr Idir ? »
« Oui » je répond
« C’est la Directrice de votre banque, je dois vous dire ‘Bonjour’ ou ‘Ola’ ? »
J’étais figé , ma femme, les yeux grands ouverts, me fixait avec une anxiété indubitable.
« y’a un problème ? » me soufflât-elle…
Je lui adresse un geste rassurant de la main et je me dirige vers la chambre pour continuer ma communication a l’écart.

J’était en Espagne lors de ce premier acte.
Et c’est là que mon aventure Fantasmagorique commença !


Toute la journée j’ai pas cessé de remuer dans ma tête ce coups de fil déroutant.
Cette personne a été la plus acerbe , la plus amère , la plus blessante, dans mes rapports professionnels.
Autoritaire, cynique, désagréable… et j’en passe, maintenant, elle m’appelle sur mon Viber pour me parler de trucs merdiques, sois disant, concernant mon compte chez eux !

Une vraie saugrenue !... mais bon, ce n’est pas mon genre !
…Néanmoins elle reste « la patronne » !

Quelque jours après je rentre au bled et je reprends le boulot, toujours a une heure de route de chez moi.

C’était un matin d’automne je me rappelle, il faisait beau et je roulais tout en appréciant la douceur des débuts de journées propres a cette saisons. Les touristes n’y étaient plus et les routes sont désemplis.

Je senti le portable vibrer dans la poche de mon veston.
Ah …premier appel, j’espère que c‘est pas un problème lié aux captage des panneaux photovoltaïques.
Une panne chiante comme une « belle mère »…!
Je sors mon téléphone grand comme une tablette ‘Milka’, il m’a été offert par ma fille pour mon anniversaire .
Ma banque… et le numéro personnel de la directrice !
Je décroche :
« allo mr Idir ? »
« oui » je répond.
« je vous dérange pas »
« vous me dérangez jamais » rétorquais-je … ma formule magique pour les cœurs dur.
Elle commença son délire sur des foutaises administratives, ses mots s’enchainaient tel un chapelet , sans la moindre ébauche de son appel lors de mon weekend en Espagne !
Elle cailletait toujours , lorsque je lui lançait,
« Pourquoi m’avez-vous appelé sur mon Viber ? c’est un petit problème qui pouvait attendre non ? »
Elle marqua une petite pause et puis d’un ton tiède et grave, elle me répondis…
« twahachtek » (tu m’a manqué)… !!!!

OULA ! je tombe des nues …. et complétement désorienté ! celle-là on me l’a jamais faite !

« Attend je vais me garer… »
Elle n’avait pas l’air d’être gênée par sa « déclaration » l’effrontée !

Je voulais m’assurer , le cœur battant la chamade je lui fis « répète un peu… j’ai du mal a comprendre ce que tu vient de me dire, je t’ai manqué c’est ca ? »
Petit silence puis « oui »…..

Et elle continua son monologue sur des sujets , personnelles … familiers…professionnels …pour atténuer sa « déclaration » !
Tantôt conviviale , tantôt péte-sec… je sens toujours sa « poigne dure» de temps a autre .


Du moins c’est avec cette dernière que j’ai fait ample connaissance lors de mes premiers déboires administratifs.


Ce matin , je prenais un café avec un ami , la cafeteria jouxtant la banque.
Et je l’ai vu …nos regards se sont accrochés un laps de temps , juste avant qu’elle ne disparaisse a l’intérieur du bâtiment .
Elle portait un manteau couleur fauve sur une tenue stricte et élégante , sa démarche avec ses chaussure a talon traçait une sorte d’ondulation subtile .
La quarantaine, une allure assurée, et un regard plein de charisme… mon alter ego quoi ! …et j’adore !
Qu’elle est belle cette femme je me suis dis « qu’es qu’elle fait dans un bled paumé comme celui-là ? » me dis-je.
… M’enfin… une femme parmi tant d’autres qui fixent les hommes comme la plupart des nanas du bled !
Dans ce pays regarder un homme ce n’est pas de la drague, c’est juste une curiosité… un hobby … et sans plus.

Franchement, ce qui m’a rapproché de cette agence bancaire c’est la proximité étant donné que mon job se trouve a 10 mn de cette antenne.


Mon dossier ouvert sur le bureau d’une scribouillarde emmitouflée sous des tonnes de vêtements… par un petit hiver ,..
J’expliquait mon souci administratif.
« Monsieur , je vous répète que je ne peux rien faire sans le document demandé » gazouillait-elle .
Je me contient…
« je peux voir le directeur s’il vous plait ? »
« …la Directrice ! » rectifie-elle sèchement , et se levant, quittant son ECRITOIRE.
Elle revint une minute après.
« ELLE vous attend , c’est au fond a droite » s’asseyant sans le moindre regard vers moi .
Je me dirigeait vers la directrice l’esprit paisible, une femme intello’ j’aime bien ca,
La communication va être intéressante.
La secrétaire, une belle petite mignonne toute souriante, m’ouvrât une porte adjacente et m’invitât a rentrer.

…Sacrebleu ! … je me trouvait en face de la belle inconnue qui m’a « léchée » du regard la dernière fois !

Je sourie, elle me fit signe de m’assoir l’air indifférent.

Jusqu’à présent je ne savais pas, a qui j’ai affaire !

Jamais dans ma vie professionnelle ou privée mon ego n’a été aussi déstabilisé !
Elle était d’une causticité que je n’ai jamais connu chez une femme.
Elle m’a « catéchisée » sur les règlements Bancaires a chaque phrase que j’articulait !
…et ca a duré …duré…duré !

Et aujourd’hui même elle me lance un « t’wahachtek »… va comprendre les femmes toi !

« allo Idir salut… tu fais quoi »
« Bonjour Mira , chui au boulot », Mira le nom que je lui es attribué.

Quelques semaines après, c’est devenu notre quotidien ! On se téléphone tous le temps matin, midi, et soir.
Elle n’arrêtait pas de me balancer :
« Idir, n’ai pas peur , je sais que tu a une famille, des enfants et une vie déjà… tout ce que je veux c’est toi, je veux passer des moments avec toi, te toucher, t’écouter me parler , te regarder…et tout …et tout »
« Mira, je ne suis pas contre , moi aussi je t’estime bien , je te découvre , et sous ta carapace professionnelle j’ai découvert une femme remarquable et charmante, je pensais jamais que tu était ainsi »

On s’enflammait comme ca durant des semaines entières.
Elle me confiait tout le jours son quotidien a la maison avec ses parents et avec sa petite fille.

Mira a divorcée il y a de cela plus de six ans, maintenant elle vit avec sa mère une retraitée de l’enseignement et son père qui a fait sa gloire, jadis, sur les planches de sa ville natale.
Quand a elle, elle évoluait dans un microcosme qu’elle a confectionné de toutes pièces a travers son activité professionnel et son ambition récurrente !

Parfois c’est la brouille infernale, elle devenait acharnée, intense , cruelle… et ca prenait parfois jusqu’à trois mois sans se parler !
Et puis ca reprend de plus belle avec des nuits entières a bavarder au téléphone , s’excitant, se taquinant gentiment, et des fous rires a vomir ses tripes, sacré Mira !

Je l’aimais ! mais une fois ensemble tout refaisait surface, sa perfidie, sa cautèle, sa fausseté…

Elle savait ce qu’elle voulait, je la sentais, et c’est mon sentiment depuis le début de notre histoire !
Elle jouait sur plusieurs plans, une parfaite croqueuse d’hommes.
Des femmes pareilles ca te refroidi , et j’ai du mal a avoir de l’attachement pour elles !
Eh oui…c’est Idir ca !

Une fois je me rappelle, je l’ai invité a un resto très sympa’ situé sur la côte , avec une vue extraordinaire sur la mer.
Un déjeuner d’amoureux quoi ! il faisait beau, on mangeait ,on discutait , on blaguait…on se regardait…

Elle jouait du violon, qu’elle m’a dis , une fois par semaine pour se débarrasser des ondes « toxiques » comme elle aimait bien me le répéter.

C’est vrai que la vie pour elle, c’est une ode parfumée et confortable, me dis-ai-je au fond de moi-même tout en l’écoutant se confier.

Je sentait que son objectif cet après-midi c’était un petit coin tranquille et discret …et plus si affinités
Mais moi je n’avais pas ce projet, je faisait trainer la chose encore et encore, elle était pas mon genre de femmes ! et pi’ ca viens pas, ca viens pas… désolé !
En montant dans la voiture je pris son cou et l’embrassait tendrement, elle serra très fort ma main, son eau de Cologne inondait le véhicule.
Un baiser enflammé…

Je me détachait d’elle gentiment, je ne voulais pas plus ! pas encore du moins, je mis le contact et commença ma manœuvre de recul.
Je la voyait farfouiller dans son sac, puis elle extirpa sa carte d’identité, me la mettant sous le nez.
« Vois , me dit-elle , la tête que j’avais il y a quelque années »
Elle m’a renversée avec ca la provocatrice !

En ce pays, trancher avec une femme dans un hôtel, la carte d’identité est obligatoire, et sa démarche était on ne peut plus claire !

Bon sang elle croit pouvoir disposer d’un homme comme ca « "la courtisane »… ?
Gonflée la Mira !
Dans tout ca je me sentais plus gibier que chasseur !
Et elle cherche a m’exciter l’effronté , non mais sans blague … !


C’est pas comme ca que ca marche ma petite Mira, ne te crois pas supérieure ! un homme (un vrai) il a besoin de délicatesse , de tendresse, de gentillesse , de temps surtout , …du moins avec moi.
T’es mal barré ma jolie !

Ca se vois qu’elle a l’habitude de « s’accoupler » comme elle veut, quand elle veut, et avec qui elle veut !
…ELLE A ENVIE …ELLE SE SERT !

Douche froide pour moi, pas habitué a ce genre de libertine.

Elle me racontait souvent les quelques mois qu’elle a passé avec son époux.
Il était violent , qu’elle me disait…et souvent il me battait .
Elle s’est mariée a plus de trente ans, me confiât-elle, jamais connus d’homme avant ( ! ) … et très gâtée par ses parents surtout .

Mais moi a travers son comportement je voyait incontestablement une « BORDER LINE ».

Les borderline sont des personnes en manque d'amour et d'affection. Et ils en exigent plus que d'autres.

Ce sont des personnes, qui manquent de confiance en elles dans les relations amoureuses, se dévalorisent souvent hâtivement , et finissent par tout détruire malgré elles .

Pour elles tout doit aller pour le mieux, a la moindre difficulté, au moindre écart, et c'est la
montagne a surmonter !
Tout vient de l'enfance, et de la famille dans laquelle elle a grandi, cette famille qui lui demandait, peut être trop, dés son plus jeune âge : dépassement de soi… faire mieux que les autres… ne pas décevoir ceux qui l’aiment … réussir les études supérieurs etc…

Et là, le passage de l'enfance a l’adolescence dérape, comme vers l’âge adulte aussi.
Des trous existentiels !

La contrarier, lui parler en termes complexes, pousser ses limites cognitives, lui faire des reproches etc…et ca part en vrille !!!!

Elle m’a fait subir des :
« …je suis pas assez bien pour toi , tu mérite mieux que moi…c’est ca ? »…
« …je décroche et je rappelle quand je veux ! tu m’entend ! »…
« et…merci de t’inquiéter pour moi »…etc…etc… !

…et j’en passe.

Bref les premier temps je ne suis pas arrivé a la cerner, je sentait son amour , il y avait des moments ou elle a envie tout détruire…. tout ce qui lui est proche tout ceux qu’elle aime, un amour « destructeur »
L’écouter et approuver ses propos ! c’était la seule façon pour l’apprivoiser.
Elle vit dans « l’inachevé perpétuel ».
Dés qu’elle se sent attaquée elle charge ! et pas du moindre, une vraie furie !
L’abandon aussi la terrifie ! on se chamaille et de suite un texto « Idir, j’ai BESOIN de toi, tu sais » !

Elle peut changer du tout au tout, un jour amoureuse, un autre haïssable !
Se sentir rejetée, ou non prise en considération, c’est l’ouragan !


Mais dans les bons moments, c'est une femme merveilleuse ... la plus remarquable que j’ai connu !


Je faisais beaucoup de « contorsion » pour un peu d’accalmie avec elle.


Avec tout ça je l’adorais, je m’ennuyait pas avec elle.

Un jour elle m’appelle et me dit qu’elle est venu a l’université s’inscrire pour son Doctorat , et si on pouvait se voir .
A quinze minutes de chez moi…
C’était un jour ordinaire, sans évènements particuliers.
Je pris une douche rapide et pris la route.
Elle me rappelle et me dit qu’elle se trouvait dans un quartier commerçant situé a l’est de la ville.

« t’es ou exactement ? »
« chui au niveau du feu rouge a coté du magasin JOY »

Il y avait une circulation étouffante !
Il faisait très doux , et il y avait un beaucoup de monde sur les trottoirs et même dans les petites rues.

Ah la voila !
Je la voyait debout, de sa belle stature et regardait au loin essayant de m’apercevoir.
Je l’appelle sur son portable… « chui’ en face ma belle » et je fis un appel de phare.
Elle rangeât son téléphone dans le sac et traversa la rue ne me quittant pas du regard.
Je me penche et ouvrit la porte.
« Bonjour ma jolie… tu sens bon tu sais »
« Comme toujours ! » me répondit-elle .
Elle me sourit et me chatouillât d’une petite bise sur le cou … une bise douce et tendre.
« toi aussi tu porte un très bon parfum »
« merci Omri »
Ses joues grassets me plaisaient beaucoup.
Je démarre, elle ne me quittait pas du regard.
« je t’ai manqué Idir ? »
« Ouiii… et Chui content que tu sois là ma belle, je n’aime pas trop ton bureau, il m’angoisse…. ! »
Et j’enchaine,
« … alors c quoi le programme, t’a mangé ? »
« J’ai pris des petits croissants tout a l’heure ,… Idir, je dois déposer des documents a l’Université tu sais ?et je vais laisser ma voiture là …ca te dérange pas ? »
Je lui lance un regard sévère !
« Ok …ok ! » me dit elle, …un sourire coquin .
Un heure après, les documents remis a l’université, on roulait vers mon appartement .

J’avais envie d’elle aujourd’hui, et elle a sentit ça la femelle !
Un beau soleil traversait les vitres de la voiture créant une atmosphère douce et parfumée.
Je la caressais d’une main, l’autre sur le volant.
Elle se laissait faire , son regard fixait la route.
Puis je commençais a monter et descendre ma main effleurant son entrecuisse .
Elle ne bougeait pas.
Par contre moi, je commençais a chauffer sérieusement, ma bosse a pris du volume et je trémoussait sur mon siège cherchant a trouver la meilleur posture a mon sexe rigide .

Dix minutes plus tard on est arrivés
« Allez viens ma chérie »
Elle descendis, tirant son sac vers elle ! on dirait qu’on a l’habitude de venir ici, pour « biter » …!
Une fois dans l’appartement , je vais directement vers le salon ou je lui demande de se mettre a l’aise.

« Mira moi j’ai rien pris depuis mon café ce matin , je vais aller acheter des petits trucs a manger, fait comme chez toi, la salle de bain c’est au fond, porte bleue »
Il fallait que je prenne l’air, la bonne femme n’a pas froid aux yeux, et ca me mettait mal a l’aise.
Je sais que c’est sa façon de prendre les choses en main, mais moi ce n’est pas mon ambiance !

Il y’avait une petite viennoiserie sympa’ juste en bas , sa spécialité des petits salé/sucré, je choisi quelques pièces, deux boissons, et je retourne a l’appart’.

Elle était vautré dans le sofa du salon son portable a la main « t’es aux messages avec ton p’tit copain … »
« oui, je lui dis de ne pas me déranger cet après-midi parce que je vais le tromper avec un de mes clients ! » hihihi ….

Je dépose le paquet sur la table basse lui pris sa main doucement et l’a lui embrassa… elle était comme envoutée par mes mouvement lents et très sensuels.
Elle me quitte pas des yeux , …

« qu’es tu m’a fait Idir ?... je t’aime tellement , je ne sais pas ce qui m’arrive… »

je reste silencieux , je commence a l’embrasser sur le cou tendrement en l’effleurant de mes lèvres… j’entrevoyait ses paupières fermées et sa tête relevée comme pour me signifier de ne pas m’arrêter… « Idir…je t’aime » me chuchotait elle a l’oreille …la voix enrouée.

Puis d’un geste sûr et précis elle attira ma tête vers elle et m’embrassa comme une déesse…sa langue était partout en moi…sa main me caressait la nuque et l’autre commençait a me relever le teeshirt… elle me basculât vers l’arrière et commença a m’embrasser le torse .
Mes doigts parcouraient sa chevelure douce et parfumée.
Je planais… !

…elle gère bien ma directrice !

Sans me décoller d’elle je commence a la tirer vers la chambre .
Je la sentais brulante et sensuelle comme une proie asservie...
Je la pousse légèrement sur le lit, elle me regardait soumise et envoutée…

J’adore la femme dans cet état.
Pas besoin de stimulant !

Voulant prolonger cette situation, je me décroche, d’elle et parti vers la cuisine mon sexe dur comme jamais !
Ca m’a donné soif !

J’avais toujours des bières dans le frigo, j’en pris une, la décapsula et retournais vers la chambre.

Je vis dans la pénombre son corps a moitié nu, un coude sur le matelas relevant sa tête .
Une mèche rebelle lui cachait le visage.
Son visage était congestionné et ses yeux sont devenu brillants, on dirait qu’elle est défoncée !

Je m’assois sur le bord du lit , lui tournant le dos.
« Qu’es que tu a ? » me souffla-elle
« Rien… je me sens transporté avec toi… » lui répond-je , avec un sourire.
Elle se rapprocha de moi tenant le drap collé sur sa poitrine nue, et commença a embrasser mon dos, très doucement...
Moi la canette de bière a la main je sentait une euphorie douce et terriblement excitante.

« Mira…tu m’excite tu sais… » la regardant en biais…
« …je sais Idir… j’ai tellement attendu cet instant …tu es mon poison a moi »…et s’ensuivent de petits baisers sur mon épaule…

Je pose la bière par terre et me tourne vers elle.
Elle lâcha le drap découvrant des gros seins bien fermes et une peau claire .
Elle m’étreignit fougueusement.
Sa langue me fouillant l’intérieur de ma bouche.

Je me laisse faire…
… Elle aime embrasser !
Je m’étend sur le lit elle se mit sur moi , je sentais les bouts de ses seins durs contre ma poitrine, et ca m’enflammait.
Sa peau était douce, et chaude.
Elle compris que je prenais plaisir !
Elle se dressa un peu, tenant ses seins entre les mains, elle commença a me caresser la poitrine avec .
Elle me regardait …Je gémissait de plaisirs…
Puis elle descendit… !

Je ne sais pas comment elle a fait … maintenant le bout de son sein était sur mon sexe en érection .
Doucement elle faisait tournoyer son téton sur le liquide séminal qui perlait de mon sexe

Elle adore jouer avec ce liquide transparent et très visqueux.

Ne pouvant plus se retenir, elle prit ma bite et commença a lécher très délicatement les goutes qui sortaient régulièrement …elle me fixait de ses grands yeux noisette …
Son autre main pressait agréablement mes testicules déjà pleines !.
Puis elle avala doucement mon sexe , et elle descend … descend encore jusqu’à le faire disparaitre entièrement …
Je sens sa gorge étroite et profonde me serrant le gland…des filets de salive sortaient des coins de sa bouche…
Une mèche lui tombait sur son visage …
Je tends la main et lui remontait les cheveux derrière l’oreille , elle sortit mon sexe de sa bouche et avec ses lèvres charnues elle commença a le parcourir tendrement…de haut en bas …il dégoulinait de sa salive…et il brillait tellement…

« Tu va me tuer Mira »

Je saisis ses deux bras et la bascula bestialement sur le milieu du lit…elle me fixait toute ramollie par le désir, ses yeux brillaient comme des étincelles, son visage rougie par l’excitation.
Je la pris au cou de ma main et l’entraina dans un long baiser.
L’autre main créant une voie entre ses cuisses.
Sa vulve était chaude et humide…elle ruisselait la salope !

Doucement je commence a faire des petits cercles autour de son clitoris en érection.
Tantôt je descend vers sa vulve mouillant mon doigt et tantôt je remonte doucement pour continuer ma câlinerie .

Elle marmonnait « Idir…ne t’arrête pas ..embrasse-moi chéri… »
Ses yeux étaient révulsés, sa respiration haletante, ses reins se remuaient avec des spasmes frénétiques…
Je m’arrêtait, et, lui serrant un peu plus fort le cou je lui met ma langue dans la bouche et mon doigt pénétra son sexe a fond !
Elle cria de plaisir et ses cuisses se fermèrent très fort sur ma main …
Elle repoussa ma tête et commença a couiner comme une chienne en chaleur, les soubresauts de ses hanches encore plus fort…
Elle m’attira vers elle, tenant fermement mon chibre de sa main.…et me colla un baiser goulu.

Je ne sais comment elle a fait … je senti la chaleur intérieure de son sexe sur le mien …j’était dedans !

Mon dieu comme elle mouille grave la salope, et ca glissait tellement que d’un coup en sortant , je m’en suis pas rendu compte je l’ai mis dans son cul ! il est rentré a fond !
je me suis immobilisé pour voir sa réponse…
Elle marqua un temps les yeux grands ouverts regardant le plafond, puis elle s’est mis a gémir de plus belle bougeant ses grosses fesses ,ses ongles plantés dans mon dos …
Je reprend mes va-et-vient doucement et profondément, lui laissant le temps de sentir sa taille…
C’était très serré et je voulais pas lui faire mal …
C’était elle qui menait les mouvements…
Tout ce que je faisais moi, c’est appuyer mes mains de chaque coté d’elle et la sentir mienne…
Elle avait les jambes très relevées et bougeait de gauche a droite, comme pour mieux sentir l’engin qui torturait son petit passage .
Me sentant a la limite de m’exploser , je me retirait d’elle.
Elle sursauta, ses yeux grands ouvert ...comme pour comprendre.

Je lui lance « tourne-toi Mira » !
Elle pivota sur elle-même et m’offris ses fesses …une forme a damner un curée.
La trace du maillot de bain était toujours visible…
Je lui mis une claque … « creuse le dos ma belle »
Elle mis ses mains sous le front et se cambra a fond.
Je n’ai pus m’empêcher…en voyant ces rondeurs, je lui caresse le sexe un peu et mis ma langue doucement dans un mouvement très suave.
Les lèvres de sa chate était enflées et chaudes.
…Elle était excitée grave la chienne !

Je l’entendis miauler de plaisir…
Puis me mettant derrière elle j’introduis doucement mon sexe dans sa chatte ruisselante, pour « lubrifier » mon chibre.
Je le fit sortir puis doucement, je commençais a le pousser dans son petit trou encore béant…
« vas-y …fait moi mal…ould kahba…arghhhh… ! »

Mes mouvements était très réguliers.
Elle n’arrêtait pas de se déhancher le faisant remuer a l’intérieur d’elle…
Elle me perçait du regard a travers ses cheveux qui lui couvrait le visage…mes coups lui faisaient mal, mais elle prend plaisir a la brulure de cette sodomie.
.
Sa langue parcourait sa lèvre supérieur et la rendait brillante.

Elle soulevât lourdement sa main et la claquât sur la fesse, puis la caressa doucement pour la taper encore.
J’ai compris …
Je fi pareille, je commence fouetter ses fesses de ma main , un coup sur la droite , un coup sur la gauche
Sa peau était tellement blanche que ses fesses sont devenues rouges sous mes claques.
…et elle aimait ca la chienne !
Ses yeux luisait de plaisir, la rendant encore plus belle…

Sa bouche était entrouverte et des filets de bave transparente suintait.
Elle était en plein orgasme !
Je colle mon pied a son visage, mon orteil effleurant sa bouche.
Elle le happa et l’introduisit complètement dans sa bouche chaude.
Tantôt sa langue tournait tout autour, et tantôt elle le suçait comme un sexe.

J’était pas loin d’exploser !
Elle n’arrête pas de tortiller ses fesses comme pour bien sentir l’engin qui la perce…
Son petit trou s’est considérablement dilaté…. « digne » de ses belles fesses.
J’était en sueur, mes va et viens sont devenus plus saccadés.
Elle me fixait toujours de ses beaux yeux , sa langue parcourant mes orteils…les mordillant parfois…
Mes claques sur ses fesses, devenaient plus fortes .

Elle quitta mon pied et commença a hurler sa bouche enfouie dans l’oreiller…
Et des petits cris accompagnaient chaque tape sur ses fesses…

Des jurons et des insultes tombaient de sa bouche…
« Idiiiiiiir……tape moi …. fais moi mal … ya ould el kahba…»

Je pouvait plus…ca y es ! je vais me répandre !
Je sorti d’un coups maintenant fermement mon sexe.
Elle compris… vite fait elle virevolta et se mis a genoux , en face de moi , la bouche ouverte et la langue tirée.
Elle me regardait les cheveux collée sur son front par la sueur et le regard toujours accroché a mes yeux.
Elle tournoyait frénétiquement sa main sur sa vulve…
Son autre main appuyaient délicatement mes couilles elle veut les vider entièrement !
Je dirige mon sexe vers son visage … je gémissait comme un malade….
La première giclée se dirigeât droit sur son œil, la faisant sursauter …
Mon sperme commençait a couler doucement sur sa joue rougie par la jouissance…
Elle empoigne mon sexe giclant encore, et le fis disparaitre entièrement dans sa bouche…
J’ai pas cessé d’éjaculer …du sperme lui sortait du nez…elle suffoquait dans des petits spasmes …mais elle voulait le garder encore dans sa bouche…
Elle voulait pas se séparer de ce corps rigide qui répand en elle, son foutre blanc et épais…

…Elle était en train d’avaler mon foutre la chienne…et ca m’excitait encore plus fort…
Je sentait mes couilles donner tout ce qu’elles avaient !
J’ai jamais envoyer autant de sperme !


Je lève la tête et, dans un profond soupir… « tu m’a tué !...ya kahba… »

Elle sorti mon sexe doucement de sa bouche …elle était pleine de ma semence, et l’avalât avec soumission.
Puise elle se mis a l’embrasser tendrement et le parcourir de ses lèvres ,il dégoulinait du mélange de mon sperme et de sa salive …

Je n’arrivais pas a débander...j’était trop excité… !

Je reprends mon sexe et commence a étaler le sperme sur ses joues… son jolie petit menton.. son cou…elle fermait les yeux …son visage complètement enduit par ma décharge…
Elle jouissait encore la chienne.
Puis elle me fixa de ses grands yeux noisette…. et chuchota…
« je t’aime…je t’aime ya Kelb… ! »


…Pour toi, Rym …


.







.