Ma douche défendue après le Volley
Récit érotique écrit par Cecilia69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 8 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Cecilia69 ont reçu un total de 49 973 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 9 709 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ma douche défendue après le Volley
Après une bonne séance de Volley, me voici donc empruntée les douches communes...
À chaque fois pour éviter le brouhaha incessant de mes coéquipières, je m'y rends le plus tardivement possible.
Nue, sous ma serviette, une fois que toutes les filles se sont éloignées, j'entre donc dans l'espace encore tout envahie d'épaisse fumée et d'une vive chaleur qui me fait vite jeter ma serviette.
J'ai pris mon gel douche préférée qui est à la mangue, je me savonne tout en chantonnant...
Brusquement, j'entends des bruits de pas et mon entraîneur apparaît, il sursaute presque lorsque qu'il m'aperçoit, il détourne le regard, gêné...
A t'il un problème contre ma nudité ? Pourtant, dieu sait qu'on raconte que des corps de femmes nues il en a vu ! Peut-être en a-t-il tout simplement sa dose désormais, du haut de ses 53 ans ?
Il s'exclame en me fixant difficilement dans les yeux : — Excuse-moi Diana, je croyais que vous étiez toutes parties !
— Pas de Problème ! Vous vouliez prendre une douche aussi ?, répliquais-je en attardant mon regard sur son son polo trempé de sueur par endroits...
Il grimace.
— À vrai dire, j'ai oublié ma serviette...
Je souris.
— Je peut vous prêter la mienne ! Du moins, si elle n'est pas trop mouillée !
Il esquisse un petit sourire malicieux. Nous nous fixons, toujours souriants, puis il retire lentement ses vêtements et me rejoint...
Mon regard ne peut échapper au spectacle de son corps d'athlète dénudé et veiné, son sexe est durci, son gland épais me fit saliver comme jamais.
Dés qu'il est bien proche de moi, je lui tends alors mon gel douche, ses doigts d'homme me touchent presque avec application au passage...
Il frotte son corps vivement tandis que je le couve des yeux.
Ses longues mains saisis maintenant son sexe, il y passe d'un geste sensuel sur toute sa longueur, il pousse soudain un râle qui achève de m'exciter.
N'en pouvant plus, je me jette ainsi tout contre lui et l'embrasse avec passion.
Il me plaque avec une brutalité dont il s'excuse, tout contre le mur de béton en me susurrant : — Et maintenant, je compte bien m'occuper de toi tel la petite pute que tu es...
J'écarte les jambes pour qu'il accède davantage à mon intimité, il ne se fait pas prier et s'enfonce ainsi en moi.
Avec une rare puissance, il me pénètre donc...
Très vite, il veut maintenant me prendre par-derrière, il plaque ses mains contre le mur et ré-entre en moi avec brutalité en hurlant :— Ah, je vais t’ouvrir la chatte comme il se doit !
Je gémis, ce qui fait davantage redoubler ses à-coups furieux qui ne me font que jouir davantage...
Il retire son pénis soudainement, ce qui me fait râler, je l’entends rire puis je le sens pousser dans mon anus, il grogne, et persiste, son sexe mouillé finit par se glisser dans mon orifice pourtant si étroit, avec une rare force, il me pilonne, j’ai l’impression même qu’il m’a transpercé...
Il cesse soudain de s’occuper de moi, ayant l’envie que je le suce.
Je lui accorde donc ce plaisir, tandis qu’il m’insulte affectueusement en caressant ou empoignant ma chevelure.
Son sexe a drôlement bon goût, il est encore imprégné de mon gel douche à la mangue, une saveur exotique se mêlant à sa virilité...
Il finit par me jouir dessus, en pleine figure.
Puis, il me nettoie avec douceur, tout en me faisant goûter ses doigts luisants de sa semence.
Avec sensualité, je lèche ses doigts devant son sourire satisfait.
Avant de quitter les douches, il m’attribue une grande claque sur les fesses et me dit : — À bientôt ma petite pute chérie ! Dorénavant, nous allons prendre notre douche ensemble tous les jeudis soir...
— Oui, soufflais-je encore sonnée, en le regardant se rhabiller à toute vitesse.
Il me sourit puis s’en va en refermant la double porte sur moi...
À chaque fois pour éviter le brouhaha incessant de mes coéquipières, je m'y rends le plus tardivement possible.
Nue, sous ma serviette, une fois que toutes les filles se sont éloignées, j'entre donc dans l'espace encore tout envahie d'épaisse fumée et d'une vive chaleur qui me fait vite jeter ma serviette.
J'ai pris mon gel douche préférée qui est à la mangue, je me savonne tout en chantonnant...
Brusquement, j'entends des bruits de pas et mon entraîneur apparaît, il sursaute presque lorsque qu'il m'aperçoit, il détourne le regard, gêné...
A t'il un problème contre ma nudité ? Pourtant, dieu sait qu'on raconte que des corps de femmes nues il en a vu ! Peut-être en a-t-il tout simplement sa dose désormais, du haut de ses 53 ans ?
Il s'exclame en me fixant difficilement dans les yeux : — Excuse-moi Diana, je croyais que vous étiez toutes parties !
— Pas de Problème ! Vous vouliez prendre une douche aussi ?, répliquais-je en attardant mon regard sur son son polo trempé de sueur par endroits...
Il grimace.
— À vrai dire, j'ai oublié ma serviette...
Je souris.
— Je peut vous prêter la mienne ! Du moins, si elle n'est pas trop mouillée !
Il esquisse un petit sourire malicieux. Nous nous fixons, toujours souriants, puis il retire lentement ses vêtements et me rejoint...
Mon regard ne peut échapper au spectacle de son corps d'athlète dénudé et veiné, son sexe est durci, son gland épais me fit saliver comme jamais.
Dés qu'il est bien proche de moi, je lui tends alors mon gel douche, ses doigts d'homme me touchent presque avec application au passage...
Il frotte son corps vivement tandis que je le couve des yeux.
Ses longues mains saisis maintenant son sexe, il y passe d'un geste sensuel sur toute sa longueur, il pousse soudain un râle qui achève de m'exciter.
N'en pouvant plus, je me jette ainsi tout contre lui et l'embrasse avec passion.
Il me plaque avec une brutalité dont il s'excuse, tout contre le mur de béton en me susurrant : — Et maintenant, je compte bien m'occuper de toi tel la petite pute que tu es...
J'écarte les jambes pour qu'il accède davantage à mon intimité, il ne se fait pas prier et s'enfonce ainsi en moi.
Avec une rare puissance, il me pénètre donc...
Très vite, il veut maintenant me prendre par-derrière, il plaque ses mains contre le mur et ré-entre en moi avec brutalité en hurlant :— Ah, je vais t’ouvrir la chatte comme il se doit !
Je gémis, ce qui fait davantage redoubler ses à-coups furieux qui ne me font que jouir davantage...
Il retire son pénis soudainement, ce qui me fait râler, je l’entends rire puis je le sens pousser dans mon anus, il grogne, et persiste, son sexe mouillé finit par se glisser dans mon orifice pourtant si étroit, avec une rare force, il me pilonne, j’ai l’impression même qu’il m’a transpercé...
Il cesse soudain de s’occuper de moi, ayant l’envie que je le suce.
Je lui accorde donc ce plaisir, tandis qu’il m’insulte affectueusement en caressant ou empoignant ma chevelure.
Son sexe a drôlement bon goût, il est encore imprégné de mon gel douche à la mangue, une saveur exotique se mêlant à sa virilité...
Il finit par me jouir dessus, en pleine figure.
Puis, il me nettoie avec douceur, tout en me faisant goûter ses doigts luisants de sa semence.
Avec sensualité, je lèche ses doigts devant son sourire satisfait.
Avant de quitter les douches, il m’attribue une grande claque sur les fesses et me dit : — À bientôt ma petite pute chérie ! Dorénavant, nous allons prendre notre douche ensemble tous les jeudis soir...
— Oui, soufflais-je encore sonnée, en le regardant se rhabiller à toute vitesse.
Il me sourit puis s’en va en refermant la double porte sur moi...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Cecilia69
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est excellent, mais un peu rapide.