Ma femme...
Récit érotique écrit par P [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2005 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme...
Je suis dans une situation compliquée… il faut que je vous raconte ça !
Je suis marié depuis 7 ans avec Valérie. Pas véritablement un canon, mais plutôt « plantureuse », si vous voyez ce que je veux dire…
1.60m, des rondeurs et un bon 95 E, vraiment de quoi tomber dans la luxure !
Nous avons vécu heureux pendant quelques années, elle aimait le sexe presque autant que moi, en restant toutefois dans des pratiques assez banales et convenues. Mais ça me suffisait.
Malheureusement, depuis la naissance de nos enfants, elle ne se consacre plus qu’à eux, et n’éprouve plus de désir physique. Que ce soit pour moi ou pour un autre, elle semble éteinte.
J’aurais pu la tromper, mais me connaissant, je me serais fait prendre ! Je décidais donc d’agir autrement.
Un soir, je lui parlais ainsi :
- « Valérie, nous ne faisons quasiment plus l’amour toi et moi, et c’est une situation très difficile pour moi. Je pourrais aller baiser ailleurs de temps en temps, mais je n’en ai pas plus envie que ça. Et je pense que ça ne te plairais pas non plus.
- Non mon chéri, je ne veux pas. Et je t’aime, tu le sais.
- Tu m’aimes, oui, mais tu m’interdis les plaisirs du sexe. Alors moi je vais t’obliger à avoir des relations. Mais je ne te violerais pas. Tu vas avoir des expériences sexuelles avec d’autres personnes que moi. Comme je le voudrais, sans que tu ne dises rien.
- Mais ça va pas non ? T’es pas bien ?
- C’est ça où je me tape la première blonde qui passe, si possible dans notre lit, voire même sous tes yeux. »
Inutile de vous dire qu’elle n’était pas franchement d’accord.
Quelques jours plus tard, elle donnait un concert avec sa chorale. Juste avant, je lui dit :
« - Ce soir, après le concert, tu choisiras un des types qui chantent avec toi, celui que tu veux. Tu l’allumeras et tu te laisseras prendre. Je serai dans un coin et j’observerai. Si tu ne fais pas ça… »
J’étais persuadé qu’elle ne ferait rien. Pourtant, à la fin de la représentation, je me glissais en coulisse discrètement, restant bien dans l’ombre. Ma femme était au milieu d’une dizaine de ses amis, buvant un verre pour fêter la soirée. Visiblement, elle avait déjà quelques verres d’avance, et me semblait plus détendue que d’habitude.
Elle était vêtue d’un petit haut blanc assez décolleté qui moulait sa poitrine et d’une jupe noire un peu courte. Elle était assise sur une table, ce qui laissait apparaître ses cuisses, et était en grande discussion avec un des chanteurs. A vue d’œil, celui ci devait avoir environ 45 ans, pas franchement beau, un peu bedonnant, mais très intéressé par ses seins si j’en croyais ses regards… Elle semblait bizarre, peu farouche. Elle n’avait pas l’air de me chercher !
Puis, le groupe se sépara. Elle resta encore en tête-à tête avec son soupirant quelques minutes, puis, dans le silence environnant, à peine éclairés par les lueurs des sorties de secours, elle lui prit la main et la posa sur ses seins.
Incroyable ! Elle passait à l’action !
Lui devint comme fou. Il passa la main sous le tissu et je devinais qu’il la pelotait vigoureusement. Elle se laissa aller et s’allongea sur la table.
Tout en continuant à lui pétrir les seins, il l’embrassa à langue déployé. Elle ne se retint pas et lui rendit ses coups de langue passionnés.
Je commençais à bander sérieusement, et n’éprouvais étonnamment pas de jalousie !
Tout s’accéléra alors très vite. J’entendis ma femme lui dire à haute voix : « Thierry, baise-moi, prend-moi comme une salope »
Ma femme ! Jamais elle ne m’avais dit ça à moi !
Il enleva le petit haut blanc et arracha le soutien-gorge. Il la pelota encore plus vigoureusement, sans ménagement. Il lui mordit ensuite les seins, aussi violemment qu’il le pouvait. Elle gémissait comme jamais.
Sans s’arrêter, il releva sa jupe, arracha ses collants (elle n’aime pas les bas !), et ne prit même pas le temps d’enlever sa culotte. Il sortit sa bite (plutôt petite d’ailleurs) et la fourra d’un coup sec dans le sexe de ma femme, contournant la culotte.
Elle se mit à crier « vas-y Thierry, baise-moi, fais moi jouir comme un chienne, oui, oui, oui,….aahhhaaaa »
Il se mit à la pilonner, de plus en plus fort. Elle criait si fort que le gardien de la salle allait finir par l’entendre !
Elle le stoppa, le temps de lui mettre une capote. Il la retourna, et la prit de nouveau, en levrette, toujours allongée sur la table.
J’entendais ma femme souffles, gémir, crier… elle s’accrochait à la table et se cambrait. Quelle salope !
« T’aime ma bite Valérie ? Tu la sens bien ? Il y a trop longtemps que je veux te baiser, trop longtemps que tu m’excites ! »
« Oui, défonce moi encore, vas-y, plus fort ! »
Il ne résistèrent pas à la passion très longtemps. Environ 5 mn plus tard, à force de lui défoncer la chatte, il jouit en même temps qu’elle hurlait de bonheur. Elle tapait même la table de sa main droite… puis retomba, épuisée.
Enfin, pas tout à fait. Elle se retourna ensuite, enleva la capote, et entreprit de lécher la bite de Thierry, doucement, délicatement, avec amour.
Je m’éclipsai alors et rentrai à la maison.
Quand Valérie rentra, elle me raconta tout, en pleurant doucement. Elle m’expliqua qu’elle y avait pris un plaisir énorme, tout en se disant que ce qu’elle faisait était mal. Elle m’assura ne pas vouloir recommencer.
Je la consolai.. nous fîmes l’amour tendrement, comme pour réparer son corps meurtri.
J’avais d’autres projets en tête pour elle…
Je suis marié depuis 7 ans avec Valérie. Pas véritablement un canon, mais plutôt « plantureuse », si vous voyez ce que je veux dire…
1.60m, des rondeurs et un bon 95 E, vraiment de quoi tomber dans la luxure !
Nous avons vécu heureux pendant quelques années, elle aimait le sexe presque autant que moi, en restant toutefois dans des pratiques assez banales et convenues. Mais ça me suffisait.
Malheureusement, depuis la naissance de nos enfants, elle ne se consacre plus qu’à eux, et n’éprouve plus de désir physique. Que ce soit pour moi ou pour un autre, elle semble éteinte.
J’aurais pu la tromper, mais me connaissant, je me serais fait prendre ! Je décidais donc d’agir autrement.
Un soir, je lui parlais ainsi :
- « Valérie, nous ne faisons quasiment plus l’amour toi et moi, et c’est une situation très difficile pour moi. Je pourrais aller baiser ailleurs de temps en temps, mais je n’en ai pas plus envie que ça. Et je pense que ça ne te plairais pas non plus.
- Non mon chéri, je ne veux pas. Et je t’aime, tu le sais.
- Tu m’aimes, oui, mais tu m’interdis les plaisirs du sexe. Alors moi je vais t’obliger à avoir des relations. Mais je ne te violerais pas. Tu vas avoir des expériences sexuelles avec d’autres personnes que moi. Comme je le voudrais, sans que tu ne dises rien.
- Mais ça va pas non ? T’es pas bien ?
- C’est ça où je me tape la première blonde qui passe, si possible dans notre lit, voire même sous tes yeux. »
Inutile de vous dire qu’elle n’était pas franchement d’accord.
Quelques jours plus tard, elle donnait un concert avec sa chorale. Juste avant, je lui dit :
« - Ce soir, après le concert, tu choisiras un des types qui chantent avec toi, celui que tu veux. Tu l’allumeras et tu te laisseras prendre. Je serai dans un coin et j’observerai. Si tu ne fais pas ça… »
J’étais persuadé qu’elle ne ferait rien. Pourtant, à la fin de la représentation, je me glissais en coulisse discrètement, restant bien dans l’ombre. Ma femme était au milieu d’une dizaine de ses amis, buvant un verre pour fêter la soirée. Visiblement, elle avait déjà quelques verres d’avance, et me semblait plus détendue que d’habitude.
Elle était vêtue d’un petit haut blanc assez décolleté qui moulait sa poitrine et d’une jupe noire un peu courte. Elle était assise sur une table, ce qui laissait apparaître ses cuisses, et était en grande discussion avec un des chanteurs. A vue d’œil, celui ci devait avoir environ 45 ans, pas franchement beau, un peu bedonnant, mais très intéressé par ses seins si j’en croyais ses regards… Elle semblait bizarre, peu farouche. Elle n’avait pas l’air de me chercher !
Puis, le groupe se sépara. Elle resta encore en tête-à tête avec son soupirant quelques minutes, puis, dans le silence environnant, à peine éclairés par les lueurs des sorties de secours, elle lui prit la main et la posa sur ses seins.
Incroyable ! Elle passait à l’action !
Lui devint comme fou. Il passa la main sous le tissu et je devinais qu’il la pelotait vigoureusement. Elle se laissa aller et s’allongea sur la table.
Tout en continuant à lui pétrir les seins, il l’embrassa à langue déployé. Elle ne se retint pas et lui rendit ses coups de langue passionnés.
Je commençais à bander sérieusement, et n’éprouvais étonnamment pas de jalousie !
Tout s’accéléra alors très vite. J’entendis ma femme lui dire à haute voix : « Thierry, baise-moi, prend-moi comme une salope »
Ma femme ! Jamais elle ne m’avais dit ça à moi !
Il enleva le petit haut blanc et arracha le soutien-gorge. Il la pelota encore plus vigoureusement, sans ménagement. Il lui mordit ensuite les seins, aussi violemment qu’il le pouvait. Elle gémissait comme jamais.
Sans s’arrêter, il releva sa jupe, arracha ses collants (elle n’aime pas les bas !), et ne prit même pas le temps d’enlever sa culotte. Il sortit sa bite (plutôt petite d’ailleurs) et la fourra d’un coup sec dans le sexe de ma femme, contournant la culotte.
Elle se mit à crier « vas-y Thierry, baise-moi, fais moi jouir comme un chienne, oui, oui, oui,….aahhhaaaa »
Il se mit à la pilonner, de plus en plus fort. Elle criait si fort que le gardien de la salle allait finir par l’entendre !
Elle le stoppa, le temps de lui mettre une capote. Il la retourna, et la prit de nouveau, en levrette, toujours allongée sur la table.
J’entendais ma femme souffles, gémir, crier… elle s’accrochait à la table et se cambrait. Quelle salope !
« T’aime ma bite Valérie ? Tu la sens bien ? Il y a trop longtemps que je veux te baiser, trop longtemps que tu m’excites ! »
« Oui, défonce moi encore, vas-y, plus fort ! »
Il ne résistèrent pas à la passion très longtemps. Environ 5 mn plus tard, à force de lui défoncer la chatte, il jouit en même temps qu’elle hurlait de bonheur. Elle tapait même la table de sa main droite… puis retomba, épuisée.
Enfin, pas tout à fait. Elle se retourna ensuite, enleva la capote, et entreprit de lécher la bite de Thierry, doucement, délicatement, avec amour.
Je m’éclipsai alors et rentrai à la maison.
Quand Valérie rentra, elle me raconta tout, en pleurant doucement. Elle m’expliqua qu’elle y avait pris un plaisir énorme, tout en se disant que ce qu’elle faisait était mal. Elle m’assura ne pas vouloir recommencer.
Je la consolai.. nous fîmes l’amour tendrement, comme pour réparer son corps meurtri.
J’avais d’autres projets en tête pour elle…
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