Ma femme, accro de danse...et de sexe. 5
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2022 dans la catégorie Plus on est
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Ma femme, accro de danse...et de sexe. 5
Accro de danse…et de sexe… 5
Ludovic en reçoit sa part mais ça ne le perturbe pas et il replonge dans ce cloaque complètement inondé. Les muqueuses de Valentine sont si sensibles qu’elle jute encore et encore, faisant briller le piston infatigable. Elle halète en suivant la cadence, la bouche grande ouverte, s’accroche à son dos d’un bras et le repousse d’un genou d’autre part, elle peut ainsi œuvrer dans les deux sens pour suivre les mouvements de va et vient.
-Oh oui putain ! Vas y, que c’est bon, je veux ta grosse queue, putain, baise-moi, baise-moi !
Suite.
Je suis excité à mort du spectacle, me caressant la bite. Je veux qu’elle jouisse de lui, elle gémit et explose encore à deux reprises en lançant sa tête en arrière sur le matelas, ouvre et ferme la bouche en grimaçant, ne le quittant plus des yeux. Ludo à l’air de prendre un pied énorme, il ahane, la respiration de plus en plus rapide, s’appliquant à lui donner des coups cadencés et en profondeur, concentré sur le visage de Valentine qu’il embrasse, il attrape ses cheveux quand elle jouit une troisième fois.
-Je vais juter, Valentine.
Elle le repousse et se dépêche de se mettre à genoux devant lui à pratiquement un mètre de distance, se souvenant de la vidéo. Ludovic retire le préservatif, s’assoit sur le bord du lit et se branle avec application. Comme dans la vidéo, il arrête de se branler, lâche sa lance et pose ses mains sur le matelas. Son chibre monte et baisse, vivant sa propre vie, une goutte de pré-sperme s’échappe du méat suivie d’une véritable éruption de semence qui monte en l’air. Un filet de foutre de plus d’un mètre quitte sa queue, formant une parabole avant de retomber sur Valentine. Elle en de ses beaux cheveux blonds jusqu’à à la poitrine. Les jets suivants n’ont pas la même puissance mais foutraient la honte à un acteur porno. Elle en a maintenant partout sur le corps, comme des gros flocons de neige collante et gluante.
Quand il se relève du lit, sa bite a perdue de sa splendeur et pend, encore gonflée entre ses jambes. Mais si elle est encore de la même taille que moi en érection, son diamètre, lui, me renvoie dans les cordes. Il vient vers moi, je vois son gland se recalotter.
Je bande à fond, dur comme du béton. Je me jette sur Valentine et la force à gober mon sexe pour lui remplir la bouche de mon sperme. Heureusement que Ludovic ne peut voir ce que je lâche, sinon, il se serait foutu de ma gueule !
J'aurais pensé que ça aurait freiné les ardeurs de Valentine, mais pas du tout… Elle déglutit et se tourne vers Ludo pour reprendre son chibre sans pour autant lâcher le mien de l’autre main.
-Je t’aime Martial, mais tu ne fais vraiment pas le poids devant cette bite de cheval !
Ma verge dépasse à peine de ses doigts fermés dessus, celle de Ludovic dépasse de presque le double que la mienne. Et les doigts de Valentine doivent s’écarter sous la pression d’une nouvelle érection de Ludo. Putain, il rebande déjà !
Valentine m’abandonne à mon triste sort et suce avec une facilité déconcertante ce jonc vigoureux, avalant avec l'aisance d'une avaleuse de sabre ce bélier hors du commun. Une fois qu'elle a rendu la pleine rigidité à son braquemard, elle descend vers ses boules et se met à les lécher et les couvrir de salive. Ludo écarte plus les jambes pour lui laisser plus de place. Valentine offre à ses couilles un traitement royal, après les avoir léchées et sucées une par une puis les deux ensemble, elle les gobe, les faisant tourner dans sa bouche gourmande, lui faisant subir un kif royal !
Elle s’occupe de ses boules pendant bien cinq minutes avec le professionnalisme d'une professionnelle du sexe avant de faire remonter sa langue sur la hampe pour finir ce qu'elle avait commencé. Elle recommence à le pomper comme une chienne affamée !
Quel spectacle de la voir avaler ce morceau de roi du bout du gland violacé jusqu'à la base massive et inversement sans s'étouffer une seule fois. Comment peut-elle avaler sans s’étouffer un tel braquemard que je voie déformer sa gorge?
Après un long moment de cette fellation intensive de ma femme sur son « cheval », l’étalon est à deux doigts de lâcher de nouveau la sauce. Il arrive pourtant à plusieurs reprises à repousser l’inévitable encore et encore mais ne peut plus résister.
-Aaahhh bordel quelle suceuse ! Je sens mon jus s’évacuer de mes couilles, Tu supporteras la dose ?
Un « mmmhhh » inaudible lui répond. Je vois Valentine avaler son barreau en entier encore deux ou trois fois avant de remonter sa bouche sur son gland et l'enserrer entre ses lèvres en branlant non stop à une vitesse folle la hampe massive. Elle retient à peine ses halètements, son autre main entre ses cuisses qui s’activent dans sa chatte dégoulinante. Elle jouit violemment en grimaçant, puis recule sa mâchoire en gémissant sous les jets de sperme qui remplissent sa bouche et dégoulinent au coin de ses lèvres. Valentine ouvre grand les yeux qui fixent ceux de Ludo. Elle ouvre grand la bouche pour lui montrer le sperme qui remplit le fond de sa gorge et où se noie sa langue rouge comme une fraise sur une crème vanille. Elle déglutit enfin avant de lui montrer sa bouche libérée de la semence de cet énergumène.
Petit intermède de cette soirée. Nous nous restaurons d’une collation bien méritée, et bien sûr, Valentine me prend à partie.
-Ça fait longtemps que tu me montes ce bateau ? Tu connais Ludovic depuis quand ? Je comprends maintenant ton insistance pour que je regarde certains sites, et plus particulièrement ses photos et ses vidéos. Je dois reconnaître que je ne suis pas déçue. Ludovic a une queue de cheval, de cheval comtois même vu la région. Un corps puissant de percheron et le gourdin qui va avec de bon reproducteur. (Son regard se détourne de moi pour regarder avec envie l’entrejambe de Ludo). Je devrais t’en vouloir de me mettre devant le fait accompli. Je sais que tu es au courant de mes frasques extraconjugales et que tu ne m’en veux pas. Avec Ludovic, tu me fais un sacré cadeau que tu partages avec moi. Je dois reconnaître qu’à lui tout seul, j’ai pris plus mon pied qu’avec plusieurs partenaires dans une soirée chaude. Tu crois qu’il pourrait ?...
-Je ne sais pas ce que tu désires, mais pose lui directement la question, je lui rétorque.
-Bien. Ludovic, j’ai envie que tu me sodomises…si tu es encore d’attaque après les deux premiers rounds. Mais il faudra que tu y ailles mollo-mollo, vu ton défonce-cul.
Ludovic la fixe puis baisse la tête pour regarder le slip qu’il a renfilé et lui objecte.
-Le cheval comtois n’est pas un cheval de course hippique. Il est robuste et peut travailler des journées entières sans se fatiguer. Après un peu de repos et un bon picotin, il repart comme en quarante. S’il est bien pris en main, on en obtient tout ce qu’on veut.
Je prends doucement la main de Valentine et la pose sur la bosse imposante à l’avant du slip de Ludo. Elle ne se fait pas priée et caresse la protubérance qui reprend déjà vie. La bosse s’allonge, s’allonge sous les caresses, repoussant le fin tissu, écartant l’élastique. Elle continue la manœuvre sans toutefois s’occuper de se qui dépasse désormais du slip.
-Profite-en, accroche-toi seule à lui comme tu en crèves d’envie.
Il lui annonce:-Allez ma belle, finis de me remettre d’attaque pour que je te prouve que tu as bien un cul à bite…
A suivre…
Ludovic en reçoit sa part mais ça ne le perturbe pas et il replonge dans ce cloaque complètement inondé. Les muqueuses de Valentine sont si sensibles qu’elle jute encore et encore, faisant briller le piston infatigable. Elle halète en suivant la cadence, la bouche grande ouverte, s’accroche à son dos d’un bras et le repousse d’un genou d’autre part, elle peut ainsi œuvrer dans les deux sens pour suivre les mouvements de va et vient.
-Oh oui putain ! Vas y, que c’est bon, je veux ta grosse queue, putain, baise-moi, baise-moi !
Suite.
Je suis excité à mort du spectacle, me caressant la bite. Je veux qu’elle jouisse de lui, elle gémit et explose encore à deux reprises en lançant sa tête en arrière sur le matelas, ouvre et ferme la bouche en grimaçant, ne le quittant plus des yeux. Ludo à l’air de prendre un pied énorme, il ahane, la respiration de plus en plus rapide, s’appliquant à lui donner des coups cadencés et en profondeur, concentré sur le visage de Valentine qu’il embrasse, il attrape ses cheveux quand elle jouit une troisième fois.
-Je vais juter, Valentine.
Elle le repousse et se dépêche de se mettre à genoux devant lui à pratiquement un mètre de distance, se souvenant de la vidéo. Ludovic retire le préservatif, s’assoit sur le bord du lit et se branle avec application. Comme dans la vidéo, il arrête de se branler, lâche sa lance et pose ses mains sur le matelas. Son chibre monte et baisse, vivant sa propre vie, une goutte de pré-sperme s’échappe du méat suivie d’une véritable éruption de semence qui monte en l’air. Un filet de foutre de plus d’un mètre quitte sa queue, formant une parabole avant de retomber sur Valentine. Elle en de ses beaux cheveux blonds jusqu’à à la poitrine. Les jets suivants n’ont pas la même puissance mais foutraient la honte à un acteur porno. Elle en a maintenant partout sur le corps, comme des gros flocons de neige collante et gluante.
Quand il se relève du lit, sa bite a perdue de sa splendeur et pend, encore gonflée entre ses jambes. Mais si elle est encore de la même taille que moi en érection, son diamètre, lui, me renvoie dans les cordes. Il vient vers moi, je vois son gland se recalotter.
Je bande à fond, dur comme du béton. Je me jette sur Valentine et la force à gober mon sexe pour lui remplir la bouche de mon sperme. Heureusement que Ludovic ne peut voir ce que je lâche, sinon, il se serait foutu de ma gueule !
J'aurais pensé que ça aurait freiné les ardeurs de Valentine, mais pas du tout… Elle déglutit et se tourne vers Ludo pour reprendre son chibre sans pour autant lâcher le mien de l’autre main.
-Je t’aime Martial, mais tu ne fais vraiment pas le poids devant cette bite de cheval !
Ma verge dépasse à peine de ses doigts fermés dessus, celle de Ludovic dépasse de presque le double que la mienne. Et les doigts de Valentine doivent s’écarter sous la pression d’une nouvelle érection de Ludo. Putain, il rebande déjà !
Valentine m’abandonne à mon triste sort et suce avec une facilité déconcertante ce jonc vigoureux, avalant avec l'aisance d'une avaleuse de sabre ce bélier hors du commun. Une fois qu'elle a rendu la pleine rigidité à son braquemard, elle descend vers ses boules et se met à les lécher et les couvrir de salive. Ludo écarte plus les jambes pour lui laisser plus de place. Valentine offre à ses couilles un traitement royal, après les avoir léchées et sucées une par une puis les deux ensemble, elle les gobe, les faisant tourner dans sa bouche gourmande, lui faisant subir un kif royal !
Elle s’occupe de ses boules pendant bien cinq minutes avec le professionnalisme d'une professionnelle du sexe avant de faire remonter sa langue sur la hampe pour finir ce qu'elle avait commencé. Elle recommence à le pomper comme une chienne affamée !
Quel spectacle de la voir avaler ce morceau de roi du bout du gland violacé jusqu'à la base massive et inversement sans s'étouffer une seule fois. Comment peut-elle avaler sans s’étouffer un tel braquemard que je voie déformer sa gorge?
Après un long moment de cette fellation intensive de ma femme sur son « cheval », l’étalon est à deux doigts de lâcher de nouveau la sauce. Il arrive pourtant à plusieurs reprises à repousser l’inévitable encore et encore mais ne peut plus résister.
-Aaahhh bordel quelle suceuse ! Je sens mon jus s’évacuer de mes couilles, Tu supporteras la dose ?
Un « mmmhhh » inaudible lui répond. Je vois Valentine avaler son barreau en entier encore deux ou trois fois avant de remonter sa bouche sur son gland et l'enserrer entre ses lèvres en branlant non stop à une vitesse folle la hampe massive. Elle retient à peine ses halètements, son autre main entre ses cuisses qui s’activent dans sa chatte dégoulinante. Elle jouit violemment en grimaçant, puis recule sa mâchoire en gémissant sous les jets de sperme qui remplissent sa bouche et dégoulinent au coin de ses lèvres. Valentine ouvre grand les yeux qui fixent ceux de Ludo. Elle ouvre grand la bouche pour lui montrer le sperme qui remplit le fond de sa gorge et où se noie sa langue rouge comme une fraise sur une crème vanille. Elle déglutit enfin avant de lui montrer sa bouche libérée de la semence de cet énergumène.
Petit intermède de cette soirée. Nous nous restaurons d’une collation bien méritée, et bien sûr, Valentine me prend à partie.
-Ça fait longtemps que tu me montes ce bateau ? Tu connais Ludovic depuis quand ? Je comprends maintenant ton insistance pour que je regarde certains sites, et plus particulièrement ses photos et ses vidéos. Je dois reconnaître que je ne suis pas déçue. Ludovic a une queue de cheval, de cheval comtois même vu la région. Un corps puissant de percheron et le gourdin qui va avec de bon reproducteur. (Son regard se détourne de moi pour regarder avec envie l’entrejambe de Ludo). Je devrais t’en vouloir de me mettre devant le fait accompli. Je sais que tu es au courant de mes frasques extraconjugales et que tu ne m’en veux pas. Avec Ludovic, tu me fais un sacré cadeau que tu partages avec moi. Je dois reconnaître qu’à lui tout seul, j’ai pris plus mon pied qu’avec plusieurs partenaires dans une soirée chaude. Tu crois qu’il pourrait ?...
-Je ne sais pas ce que tu désires, mais pose lui directement la question, je lui rétorque.
-Bien. Ludovic, j’ai envie que tu me sodomises…si tu es encore d’attaque après les deux premiers rounds. Mais il faudra que tu y ailles mollo-mollo, vu ton défonce-cul.
Ludovic la fixe puis baisse la tête pour regarder le slip qu’il a renfilé et lui objecte.
-Le cheval comtois n’est pas un cheval de course hippique. Il est robuste et peut travailler des journées entières sans se fatiguer. Après un peu de repos et un bon picotin, il repart comme en quarante. S’il est bien pris en main, on en obtient tout ce qu’on veut.
Je prends doucement la main de Valentine et la pose sur la bosse imposante à l’avant du slip de Ludo. Elle ne se fait pas priée et caresse la protubérance qui reprend déjà vie. La bosse s’allonge, s’allonge sous les caresses, repoussant le fin tissu, écartant l’élastique. Elle continue la manœuvre sans toutefois s’occuper de se qui dépasse désormais du slip.
-Profite-en, accroche-toi seule à lui comme tu en crèves d’envie.
Il lui annonce:-Allez ma belle, finis de me remettre d’attaque pour que je te prouve que tu as bien un cul à bite…
A suivre…
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Des couilles de taureau 🐂