Ma femme au spa qui fait couler beaucoup de sperme
Récit érotique écrit par Couple pervers [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma femme au spa qui fait couler beaucoup de sperme
Depuis une semaine, elle revient à la maison se plaignant d’une douleur au dos. Elle qui fait du sport cinq jours par semaine, ce n’est pas surprenant. Ce n’est pas cher payé pour entretenir sa petite taille et ses cuisses. Il a bien tenté de la soulager avec ses mains, mais l’histoire se répète. Il l’installe confortablement sur le lit, dès qu’elle sent ses mains sur son corps et un peu de pression sur sa peau, elle se met à couler de sa magnifique fleur. Elle relève son petit cul bien rond et demande à ce qu’il lui enfonce le sexe et l’anus. Le traitement du dos se transforme alors toujours en traitement de ses petits trous. La fin de semaine arrivée, il a l’idée de la conduire pour une soirée au spa, se disant qu’elle serait soulagée autrement que par son sexe et sa sève. Arrivée sur place une plantureuse réceptionniste les accueille, elle lui glisse déjà un regard sachant très bien qu’il a déjà maté cette Fanny rousse aux jambes interminables. Elle lui glisse doucement à l’oreille « Par chance qu’elle ne nous masse pas hen ! Nous en aurions fait notre petite salope. » Au menu, bain thérapeutique et massage. Ils ont réservé la plus grande pièce.
Au bain !
LUI : Je la laisse aller se changer, j’ai déjà le sexe qui gonfle sachant qu’elle se pointera sous peu en maillot de bain. La semaine dernière, nous nous sommes pointés dans une boutique du centre d’achat pour lui acheter un maillot. La consigne était claire, trouver le maillot qui susciterait le plus de regards. Je sais qu’elle est satisfaite lorsque des hommes se projettent en elle. Évidemment, comme toujours, elle a fait son spectacle, elle sortait de la cabine pour me montrer tout ce qu’elle pourrait acheter. Nous étions trois hommes, trois femmes dans les cabines d’essayage. Les regards étaient portés uniquement sur ma petite salope à moi. Il faut dire qu’elle jouait le jeu comme elle sait le faire. Me montrant comment son achat allait exposer son corps, à l’occasion ces hommes ont pu percevoir sa belle cavité. Elle leur lançait un regard et un sourire sachant très bien qu’un peu de jus de male coulait surement au bout de leur tige. Lorsqu’elle me rejoint, toujours aussi belle. Je lui prends la main et la dirige dans le bain.
ELLE : Je retire mon paréo qui cachait mon petit corps. Il voit déjà mes seins parfaits qui pointent bien durs à l’idée de me faire mater dans mon petit bikini noir qui couvre à peine le bout de ma poitrine. Mon cul est également offert à qui veut bien le regarder. J’ai choisi un maillot de type string qui met en évidence mes fesses bombées et qui laisse place à tous les fantasmes. Lorsque mon corps entre à l’eau, une belle sensation me fait frissonner. Un jet qui met une pression sur mon clitoris, instinctivement, j’y écrase mon sexe en te regardant sourire. Mon regard se porte immédiatement sur les autres couples qui profitent des bains massant et sur ces hommes seuls assis sur les chaises extérieures. Je sais que déjà, ils ne sont pas indifférents, suffit de voir leurs yeux me dévorer et leur short légèrement gonflé. Je suis déjà rempli de désir et je rêve de sucer toutes les queues qui se trouvent autour de moi. Je viens pour m’approcher de toi, mais tu me rassois brusquement sur le jet, alors que tes doigts se font déjà un chemin entre mon maillot et mes lèvres. Je suis déjà bien mouillé, mais tu n’es pas surpris. Je ne sais pas si ce sont ces belles queues ou encore ce jet qui m’excite le plus. Je pousse quelques gémissements que je tente de retenir, la pression du jet qui fait frissonner mes lèvres et mon clitoris me fait un bien fou.
J’essaie de ne pas jouir devant toutes ces belles personnes, je dois me parler, me retenir. J’aurais déjà envie de retirer tout et que tu me défonces, oui qu’on se donne en spectacle. Tu me pousses tellement fort et j’en frisonne tellement que les gens nous remarquent. Ils remarquent bien notre petit manège et je vois quelques sexes se durcir. Je n’ai d’autres choix que d’écarter les cuisses et laisser de la place à tes doigts. Au même moment, Fanny vient chercher un mec, nous comprenons qu’elle n’est pas réceptionniste, mais qu’elle est massothérapeute. Elle semble être la seule femme sur place portant l’uniforme de la place. Je pense bien que ses mains seront sous peu sur toi. Tu me murmures à l’oreille : « Ma queue est bien dure lorsque je pense à elle. » Je suis sur le point de jouir, mais nous nous retenons. L’heure passe, un homme bien musclé ainsi que Fanny se dirige vers nous et nomme nos noms. Nous sortons du spa bien excité avec le sentiment d’avoir fait grimper le désir dans tout le spa. Je ne remets pas mon paréo, j’ai besoin qu’on mate mon corps et que celui qui prendra soin de moi fantasme sur mon joli petit cul. Lorsque je marche, je sens mon jus de chatte qui glisse le long de ma cuisse.
LUI : Deux hommes se joignent aux deux massothérapeutes. Un homme mature, mais qui a conservé toute sa virilité se présente : « Bonjour, mon nom est Marc, c’est moi ainsi que ma collègue Fanny qui vous offrira un soin. Si vous acceptez, nous ferons la séance avec deux de nos stagiaires, Dom et Tom. Clairement, ceux-ci en sont à leur premier pas dans le métier, plus jeunes que nous. Je te vois déjà regarder leur sexe à travers leur petit pantalon blanc. Fanny nous demande de les suivre, en tournant la tête, ses cheveux roux, parfumé agacent mon visage. Je vois déjà que je n’existe plus pour toi. Une belle grande salle nous attend, deux tables à massage sont bien positionnées en «V», nos têtes cote à cote. Nos hôtes nous quittent quelques instants, tu retires tout, je suis pâmé sur ton corps comme la première fois que je t’ai vu. Nous nous installons sur la table et le quatuor entre. Immédiatement Marc se dirige de mon côté. Il me glisse à l’oreille « mon impression est que vous êtes ici pour plus qu’un soulagement musculaire, si c’est le cas, nous pouvons aussi vous satisfaire. Le visage dans l’anneau de message déjà, je lève le pouce en guise d’approbation.
ELLE : Je m’installe sur la table de massage, ça débute. Je sens quatre mains glisser sur mon corps. À peine débutée, ma respiration s’accélère. Bordel que j’aimerais que tout ça dégénère. Je sais que mon homme me le permettrait, rien ne l’excite plus que voir mon corps traversé par des membres masculins. Marc n’est clairement pas à son premier massage, j’imagine que ses doigts en ont satisfait plus d’une, du moins je leur souhaite. J’espère seulement une petite pression de sa part sur mon sexe, je sais que mon réflexe serait de pousser en sa direction pour que ses gros doigts fermes s’introduisent en moi et me remplissent. Dom quant à lui apprend, je pense qu’il devra apprendre à contrôler son membre, déjà je sens un frottement sur mon épaule, c’est clairement son jeune sexe qui ne peut demeurer discret.
LUI : Coucher sur le ventre, Fanny débute mon massage, j’ai clairement remonté mon sexe vers le haut, car il ne serait pas thérapeutique qu’elle voit ma plus grosse tension aux premiers instants. Tom quant à lui semble distrait, un peu d’incohérence dans le mouvement. Il me laisse l’impression que quelque chose le distrait, Fanny ou encore ma petite salope à moi qui a déjà quelque chose en elle ? Je demeure attentif, car je sais que sous peu, ma femme sera bien mouillée et remplie de plaisir. Déjà, sa respiration est accélérée.
ELLE : Les mains sur mon corps me remplissent de chaleur et apaisent ma tension dorsale, mais je ne peux relaxer, l’idée de profiter d’un moment de jouissance me hante trop. Si Marc savait à quel point mon sexe est gorgé de jus. Il suffirait d’un petit point d’appui sur mon sexe que celui-ci lui coulerait le long du doigt. Je sens ses mains remonter mes cuisses, espérant que ce bel homme lit dans mes pensées. Dom surplombe ma tête, il me masse les épaules au bout de la table. Je peux clairement voir qu’il est sous tension, son érection ne fait pas de doute et elle ne me laisse pas indifférente. Marc continue de réchauffer mes cuisses, il empoigne mes fesses, jusque l’à, il semble vouloir demeurer thérapeutique, mais ma respiration s’accélère toujours. Je sens ses doigts effleurer mon cul, s’il savait à quel point il pourrait le remplir. Le corps sous tensions, j’ai besoin d’être soulagé, au moment où je le sens près de mon sexe, j’agrippe la table et donne une poussée vers le bas; ses doigts n’ont d’autre choix que de percer mes lèvres. Il n’a jamais massé avec cette huile sur les doigts. Une petite fontaine lui mouille la main.
LUI : Un bruit de table me sort de mon état apaisé. J’ouvre les yeux, je vois le visage de ma femme déjà satisfait, sans tout voir, je sais qu’elle n’est déjà plus vierge de Marc. Excité, je garde les yeux ouverts, ma queue toujours bien positionnée pour que Fanny demeure concentrée sur le reste de mon corps. Je vois Tom qui retire ses chaussettes, il détache le cordon de son pantalon qui tombe au sol. Une belle grosse queue se met à pointer vers le visage de ma femme. Il lui saisit le cou et pousse sa tête dans l’appui-tête. Ma femme n’a d’autre choix que de tout prendre. Je vois déjà ses lèvres au travail.
ELLE : Tom me viole littéralement la bouche, j’adore la sensation d’être étouffée par une queue. Il serre de plus en plus mon cou, je n’ai pas le choix, je suis coincé, j’ai déjà le gout de jouir. Les doigts de Marc ont déjà commencé leur travail en profondeur. Je savais que ceux-ci n’en étaient pas à leur premier roulement en fond humide. Mon point G est déjà sous son emprise. Marc demande à Dom qui semble avoir envie de quitter la table de mon homme pour la mienne, de lui amener les attaches. Dom prend brusquement mes mains et mes chevilles et les attachent aux pattes de la table. Je ne peux plus bouger. J’ai la gueule remplie. L’agressivité de ces petits jeunes m’excite. Pour eux je suis clairement un contenant de décharge pour apaiser les tensions de leurs membres. J’espère les conforter dans leur choix de carrière.
LUI : Mes yeux sont grands ouverts, elle est immobilisée et les derniers vêtements sont retirés. Trois hommes entourent ma femme. Je vois leurs sexes durs, leurs belles couilles pleines. Deux d’entre marchent un peu carré tellement leurs balles sont énormes. Je vois Marc monter sur la table, complètement debout. Et puis, il descend tranquillement en petit bonhomme. Il se réserve clairement les premiers coups, les stagiaires passeront en dernier. Son sexe est parfait, bien huiler par le jus de ma femme qu’il avait sur les mains. De ma table, je vois son gland tranquillement disparaitre. Je sais qu’il sera bien dans ma petite pute, je le suis tellement souvent. Sa queue continue de s’enfoncer, et ce, jusqu’au bout. Il la saute, ma femme est comblée je le sais, sa gueule pleine, elle ne peut que faire des gémissements primaux. On peut entendre « encore, encore plus fort ! » Il semble que Marc veut être le premier et le dernier à la défoncer. Son jus de mâle ne se mêlera pas aux autres, il veut qu’elle savoure entièrement le maitre. Il empoigne sa taille, toujours dans la même position. Je vois son sexe entrer et sortir de plus en plus vite et il la souille. Il retire son sexe et l’essuie sur son petit anus. Il quitte la pièce. C’est déjà l’heure d’aller servir d’autres clients.
Elle : Jamais un jet de mâle n’a été aussi puissant en moi. J’aurais envie de serrer la chatte, les cuisses pour le garder à jamais. Mais Dom et Ton en ont décidé autrement. Un après l’autre, ils trucident ma chatte avec leurs tiges. À chacun de leurs coups, ma chatte est en éruption, ils répendent la semence de Marc partout dans la pièce. Il est sûr que mon homme reçoit un peu de nous. Ça m’excite et ça lui rappelle qu’il n’est pas la seule queue dans ma vie. Je lui répète souvent, mais rien de mieux qu’une pluie de sperme venant de moi pour confirmer le tout.
Lui : Fanny sent bien que mon excitation n’a plus de mesure. Elle sait depuis le début que mon sexe se cache sous mon ventre. Elle l’agrippe et avec ses bras, elle parvient à me positionner à quatre pattes. Elle me dit, regarde ta pute, je vais te faire jouir. Elle se place derrière moi et empoigne mon sexe. Ma femme ne m’a jamais fait cela. J’ai la queue entre les jambes qui pointe vers la table. Fanny tout en contrôle masturbe mon boyau; une main sur mon cul, une directement sur mon plaisir, elle fait de grands mouvements de haut en bas. La chienne, elle m’amène ailleurs.
Elle : Mon chum à quatre pattes, je suis surprise. Il est clairement entre bonnes mains et il ne devrait pas tarder à inonder la table de sa gouteuse semence. Les deux jeunes se relaient dans mon corps. Je les vois me regarder l’anus comme s’il s’agirait d’une caverne interdite, s’ils savaient. Je demande à Tom de me détacher une main, je dois le supplier, je pense qu’il a peur que tout se termine. Il faut dire que leurs noix sont pleines encore pauvres jeunots. Il s’exécute, Dom me retient sur la table, il pousse sur mes hanches, il n’a pas terminé et ne veut pas que je me dégage. La main déliée, je dirige mon doigt en direction de mon anus, et leur dit « votre décharge, c’est ici que je la veux ». Je vois leurs queues grossir au moment où je prononce ces mots. Tom me détache l’autre main, Dom me positionne à quatre pattes. Je regarde mon homme dans les yeux. Fanny lui masse le sexe comme jamais je l’ai fait. Son initiative m’agace, je ne suis pas la première à le faire jouir comme cela. Je n'ai pas le temps d’être agacé longtemps par cela, les deux jeunes m’enculent à relais. Je qualifierais leurs pénétrations de sportives tellement la forme y ait. Plus ils défoncent mon cul, plus Marc coule entre mes jambes. Je peux maintenant glisser mes doigts et gouter ce jus de male bien épais. Je glisse un doigt dans la bouche de mon mec pour lui rappeler que j’ai été souillée par ce mec. Tom et Dom m’enculent, me tapent le cul, me traitent de pute, de salope. Je vais jouir, je vais jouir !
LUI : Fanny est parfaite, je n’ai d’autre choix que de la laisser m’amener à l’extase. J’attends un peu, j’espère jouir au même moment que ma petite pute de femme qui se fait remplir comme jamais. Je sens ma semence qui veut se propulser hors de ma bite. Je regarde sur l’autre table et clairement, elle va jouir. Dom se retire et va se placer devant pour être sucé, alors que Tom prend son sexe et l’enfonce dans le cul de ma douce. Fanny sait que je ne pourrai résister à cette image. Elle se penche et enveloppe ma queue de sa grande bouche, son nez effleure légèrement mon anus et je jouis. Au même moment, ma femme qui subit toujours les foudres de ces deux jeunes hurle de jouissance pour le bonheur de tous. Épuisés, nous demeurons couchés sur nos tables enduites de sperme, alors que nos massothérapeutes quittent la pièce. Silence, nous sommes épuisés. Fanny nous rappelle de remplir le sondage de satisfaction et ferme doucement la porte.
Lors de notre prochaine visite au spa, souhaitez-vous nous accompagner ?
Au bain !
LUI : Je la laisse aller se changer, j’ai déjà le sexe qui gonfle sachant qu’elle se pointera sous peu en maillot de bain. La semaine dernière, nous nous sommes pointés dans une boutique du centre d’achat pour lui acheter un maillot. La consigne était claire, trouver le maillot qui susciterait le plus de regards. Je sais qu’elle est satisfaite lorsque des hommes se projettent en elle. Évidemment, comme toujours, elle a fait son spectacle, elle sortait de la cabine pour me montrer tout ce qu’elle pourrait acheter. Nous étions trois hommes, trois femmes dans les cabines d’essayage. Les regards étaient portés uniquement sur ma petite salope à moi. Il faut dire qu’elle jouait le jeu comme elle sait le faire. Me montrant comment son achat allait exposer son corps, à l’occasion ces hommes ont pu percevoir sa belle cavité. Elle leur lançait un regard et un sourire sachant très bien qu’un peu de jus de male coulait surement au bout de leur tige. Lorsqu’elle me rejoint, toujours aussi belle. Je lui prends la main et la dirige dans le bain.
ELLE : Je retire mon paréo qui cachait mon petit corps. Il voit déjà mes seins parfaits qui pointent bien durs à l’idée de me faire mater dans mon petit bikini noir qui couvre à peine le bout de ma poitrine. Mon cul est également offert à qui veut bien le regarder. J’ai choisi un maillot de type string qui met en évidence mes fesses bombées et qui laisse place à tous les fantasmes. Lorsque mon corps entre à l’eau, une belle sensation me fait frissonner. Un jet qui met une pression sur mon clitoris, instinctivement, j’y écrase mon sexe en te regardant sourire. Mon regard se porte immédiatement sur les autres couples qui profitent des bains massant et sur ces hommes seuls assis sur les chaises extérieures. Je sais que déjà, ils ne sont pas indifférents, suffit de voir leurs yeux me dévorer et leur short légèrement gonflé. Je suis déjà rempli de désir et je rêve de sucer toutes les queues qui se trouvent autour de moi. Je viens pour m’approcher de toi, mais tu me rassois brusquement sur le jet, alors que tes doigts se font déjà un chemin entre mon maillot et mes lèvres. Je suis déjà bien mouillé, mais tu n’es pas surpris. Je ne sais pas si ce sont ces belles queues ou encore ce jet qui m’excite le plus. Je pousse quelques gémissements que je tente de retenir, la pression du jet qui fait frissonner mes lèvres et mon clitoris me fait un bien fou.
J’essaie de ne pas jouir devant toutes ces belles personnes, je dois me parler, me retenir. J’aurais déjà envie de retirer tout et que tu me défonces, oui qu’on se donne en spectacle. Tu me pousses tellement fort et j’en frisonne tellement que les gens nous remarquent. Ils remarquent bien notre petit manège et je vois quelques sexes se durcir. Je n’ai d’autres choix que d’écarter les cuisses et laisser de la place à tes doigts. Au même moment, Fanny vient chercher un mec, nous comprenons qu’elle n’est pas réceptionniste, mais qu’elle est massothérapeute. Elle semble être la seule femme sur place portant l’uniforme de la place. Je pense bien que ses mains seront sous peu sur toi. Tu me murmures à l’oreille : « Ma queue est bien dure lorsque je pense à elle. » Je suis sur le point de jouir, mais nous nous retenons. L’heure passe, un homme bien musclé ainsi que Fanny se dirige vers nous et nomme nos noms. Nous sortons du spa bien excité avec le sentiment d’avoir fait grimper le désir dans tout le spa. Je ne remets pas mon paréo, j’ai besoin qu’on mate mon corps et que celui qui prendra soin de moi fantasme sur mon joli petit cul. Lorsque je marche, je sens mon jus de chatte qui glisse le long de ma cuisse.
LUI : Deux hommes se joignent aux deux massothérapeutes. Un homme mature, mais qui a conservé toute sa virilité se présente : « Bonjour, mon nom est Marc, c’est moi ainsi que ma collègue Fanny qui vous offrira un soin. Si vous acceptez, nous ferons la séance avec deux de nos stagiaires, Dom et Tom. Clairement, ceux-ci en sont à leur premier pas dans le métier, plus jeunes que nous. Je te vois déjà regarder leur sexe à travers leur petit pantalon blanc. Fanny nous demande de les suivre, en tournant la tête, ses cheveux roux, parfumé agacent mon visage. Je vois déjà que je n’existe plus pour toi. Une belle grande salle nous attend, deux tables à massage sont bien positionnées en «V», nos têtes cote à cote. Nos hôtes nous quittent quelques instants, tu retires tout, je suis pâmé sur ton corps comme la première fois que je t’ai vu. Nous nous installons sur la table et le quatuor entre. Immédiatement Marc se dirige de mon côté. Il me glisse à l’oreille « mon impression est que vous êtes ici pour plus qu’un soulagement musculaire, si c’est le cas, nous pouvons aussi vous satisfaire. Le visage dans l’anneau de message déjà, je lève le pouce en guise d’approbation.
ELLE : Je m’installe sur la table de massage, ça débute. Je sens quatre mains glisser sur mon corps. À peine débutée, ma respiration s’accélère. Bordel que j’aimerais que tout ça dégénère. Je sais que mon homme me le permettrait, rien ne l’excite plus que voir mon corps traversé par des membres masculins. Marc n’est clairement pas à son premier massage, j’imagine que ses doigts en ont satisfait plus d’une, du moins je leur souhaite. J’espère seulement une petite pression de sa part sur mon sexe, je sais que mon réflexe serait de pousser en sa direction pour que ses gros doigts fermes s’introduisent en moi et me remplissent. Dom quant à lui apprend, je pense qu’il devra apprendre à contrôler son membre, déjà je sens un frottement sur mon épaule, c’est clairement son jeune sexe qui ne peut demeurer discret.
LUI : Coucher sur le ventre, Fanny débute mon massage, j’ai clairement remonté mon sexe vers le haut, car il ne serait pas thérapeutique qu’elle voit ma plus grosse tension aux premiers instants. Tom quant à lui semble distrait, un peu d’incohérence dans le mouvement. Il me laisse l’impression que quelque chose le distrait, Fanny ou encore ma petite salope à moi qui a déjà quelque chose en elle ? Je demeure attentif, car je sais que sous peu, ma femme sera bien mouillée et remplie de plaisir. Déjà, sa respiration est accélérée.
ELLE : Les mains sur mon corps me remplissent de chaleur et apaisent ma tension dorsale, mais je ne peux relaxer, l’idée de profiter d’un moment de jouissance me hante trop. Si Marc savait à quel point mon sexe est gorgé de jus. Il suffirait d’un petit point d’appui sur mon sexe que celui-ci lui coulerait le long du doigt. Je sens ses mains remonter mes cuisses, espérant que ce bel homme lit dans mes pensées. Dom surplombe ma tête, il me masse les épaules au bout de la table. Je peux clairement voir qu’il est sous tension, son érection ne fait pas de doute et elle ne me laisse pas indifférente. Marc continue de réchauffer mes cuisses, il empoigne mes fesses, jusque l’à, il semble vouloir demeurer thérapeutique, mais ma respiration s’accélère toujours. Je sens ses doigts effleurer mon cul, s’il savait à quel point il pourrait le remplir. Le corps sous tensions, j’ai besoin d’être soulagé, au moment où je le sens près de mon sexe, j’agrippe la table et donne une poussée vers le bas; ses doigts n’ont d’autre choix que de percer mes lèvres. Il n’a jamais massé avec cette huile sur les doigts. Une petite fontaine lui mouille la main.
LUI : Un bruit de table me sort de mon état apaisé. J’ouvre les yeux, je vois le visage de ma femme déjà satisfait, sans tout voir, je sais qu’elle n’est déjà plus vierge de Marc. Excité, je garde les yeux ouverts, ma queue toujours bien positionnée pour que Fanny demeure concentrée sur le reste de mon corps. Je vois Tom qui retire ses chaussettes, il détache le cordon de son pantalon qui tombe au sol. Une belle grosse queue se met à pointer vers le visage de ma femme. Il lui saisit le cou et pousse sa tête dans l’appui-tête. Ma femme n’a d’autre choix que de tout prendre. Je vois déjà ses lèvres au travail.
ELLE : Tom me viole littéralement la bouche, j’adore la sensation d’être étouffée par une queue. Il serre de plus en plus mon cou, je n’ai pas le choix, je suis coincé, j’ai déjà le gout de jouir. Les doigts de Marc ont déjà commencé leur travail en profondeur. Je savais que ceux-ci n’en étaient pas à leur premier roulement en fond humide. Mon point G est déjà sous son emprise. Marc demande à Dom qui semble avoir envie de quitter la table de mon homme pour la mienne, de lui amener les attaches. Dom prend brusquement mes mains et mes chevilles et les attachent aux pattes de la table. Je ne peux plus bouger. J’ai la gueule remplie. L’agressivité de ces petits jeunes m’excite. Pour eux je suis clairement un contenant de décharge pour apaiser les tensions de leurs membres. J’espère les conforter dans leur choix de carrière.
LUI : Mes yeux sont grands ouverts, elle est immobilisée et les derniers vêtements sont retirés. Trois hommes entourent ma femme. Je vois leurs sexes durs, leurs belles couilles pleines. Deux d’entre marchent un peu carré tellement leurs balles sont énormes. Je vois Marc monter sur la table, complètement debout. Et puis, il descend tranquillement en petit bonhomme. Il se réserve clairement les premiers coups, les stagiaires passeront en dernier. Son sexe est parfait, bien huiler par le jus de ma femme qu’il avait sur les mains. De ma table, je vois son gland tranquillement disparaitre. Je sais qu’il sera bien dans ma petite pute, je le suis tellement souvent. Sa queue continue de s’enfoncer, et ce, jusqu’au bout. Il la saute, ma femme est comblée je le sais, sa gueule pleine, elle ne peut que faire des gémissements primaux. On peut entendre « encore, encore plus fort ! » Il semble que Marc veut être le premier et le dernier à la défoncer. Son jus de mâle ne se mêlera pas aux autres, il veut qu’elle savoure entièrement le maitre. Il empoigne sa taille, toujours dans la même position. Je vois son sexe entrer et sortir de plus en plus vite et il la souille. Il retire son sexe et l’essuie sur son petit anus. Il quitte la pièce. C’est déjà l’heure d’aller servir d’autres clients.
Elle : Jamais un jet de mâle n’a été aussi puissant en moi. J’aurais envie de serrer la chatte, les cuisses pour le garder à jamais. Mais Dom et Ton en ont décidé autrement. Un après l’autre, ils trucident ma chatte avec leurs tiges. À chacun de leurs coups, ma chatte est en éruption, ils répendent la semence de Marc partout dans la pièce. Il est sûr que mon homme reçoit un peu de nous. Ça m’excite et ça lui rappelle qu’il n’est pas la seule queue dans ma vie. Je lui répète souvent, mais rien de mieux qu’une pluie de sperme venant de moi pour confirmer le tout.
Lui : Fanny sent bien que mon excitation n’a plus de mesure. Elle sait depuis le début que mon sexe se cache sous mon ventre. Elle l’agrippe et avec ses bras, elle parvient à me positionner à quatre pattes. Elle me dit, regarde ta pute, je vais te faire jouir. Elle se place derrière moi et empoigne mon sexe. Ma femme ne m’a jamais fait cela. J’ai la queue entre les jambes qui pointe vers la table. Fanny tout en contrôle masturbe mon boyau; une main sur mon cul, une directement sur mon plaisir, elle fait de grands mouvements de haut en bas. La chienne, elle m’amène ailleurs.
Elle : Mon chum à quatre pattes, je suis surprise. Il est clairement entre bonnes mains et il ne devrait pas tarder à inonder la table de sa gouteuse semence. Les deux jeunes se relaient dans mon corps. Je les vois me regarder l’anus comme s’il s’agirait d’une caverne interdite, s’ils savaient. Je demande à Tom de me détacher une main, je dois le supplier, je pense qu’il a peur que tout se termine. Il faut dire que leurs noix sont pleines encore pauvres jeunots. Il s’exécute, Dom me retient sur la table, il pousse sur mes hanches, il n’a pas terminé et ne veut pas que je me dégage. La main déliée, je dirige mon doigt en direction de mon anus, et leur dit « votre décharge, c’est ici que je la veux ». Je vois leurs queues grossir au moment où je prononce ces mots. Tom me détache l’autre main, Dom me positionne à quatre pattes. Je regarde mon homme dans les yeux. Fanny lui masse le sexe comme jamais je l’ai fait. Son initiative m’agace, je ne suis pas la première à le faire jouir comme cela. Je n'ai pas le temps d’être agacé longtemps par cela, les deux jeunes m’enculent à relais. Je qualifierais leurs pénétrations de sportives tellement la forme y ait. Plus ils défoncent mon cul, plus Marc coule entre mes jambes. Je peux maintenant glisser mes doigts et gouter ce jus de male bien épais. Je glisse un doigt dans la bouche de mon mec pour lui rappeler que j’ai été souillée par ce mec. Tom et Dom m’enculent, me tapent le cul, me traitent de pute, de salope. Je vais jouir, je vais jouir !
LUI : Fanny est parfaite, je n’ai d’autre choix que de la laisser m’amener à l’extase. J’attends un peu, j’espère jouir au même moment que ma petite pute de femme qui se fait remplir comme jamais. Je sens ma semence qui veut se propulser hors de ma bite. Je regarde sur l’autre table et clairement, elle va jouir. Dom se retire et va se placer devant pour être sucé, alors que Tom prend son sexe et l’enfonce dans le cul de ma douce. Fanny sait que je ne pourrai résister à cette image. Elle se penche et enveloppe ma queue de sa grande bouche, son nez effleure légèrement mon anus et je jouis. Au même moment, ma femme qui subit toujours les foudres de ces deux jeunes hurle de jouissance pour le bonheur de tous. Épuisés, nous demeurons couchés sur nos tables enduites de sperme, alors que nos massothérapeutes quittent la pièce. Silence, nous sommes épuisés. Fanny nous rappelle de remplir le sondage de satisfaction et ferme doucement la porte.
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