Ma femme dominatrice m'offre à ses copines-partie 10 - de retour chez Béa

- Par l'auteur HDS Luc54 -
Récit érotique écrit par Luc54 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme dominatrice m'offre à ses copines-partie 10 - de retour chez Béa Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma femme dominatrice m'offre à ses copines-partie 10 - de retour chez Béa
Trois semaines se sont écoulées lorsqu’elle me propose de retourner chez Béa, pour une soirée spéciale. J’ai compris et je donne immédiatement mon accord, déjà tout émoustillé.
- je voudrais que ça se passe bien, surtout pour toi, je ne voudrais pas avoir à m’inquiéter. On se sent responsable de toi, Béa et moi. On ne voudrait pas que ça dérape, que quelqu’un te fasse vraiment mal, même par inadvertance. Béa est d’accord avec moi, on va « jouer » avec des personnes de confiance, tu veux bien.
Je suis entièrement de son avis, elle vient s’accrocher à mon cou, m’embrasse.
- on est attendu ce soir chez elle, fait-elle, avec son sourire coquin que j’adore.

Nous voici chez notre amie, je suis étonné, pas d’autre voiture, personne ! Ma femme me dit qu’elle voudrait que nous passions une soirée vraiment sympa, qu’elle a tout prévu avec sa copine pour que ce soit le mieux possible. Béa m’emmène dans sa chambre, pour me préparer, dit-elle. Ma femme dit qu’elle va nous attendre dans « la chambre des sévices ». Béa a chez elle une pièce aménagée, avec un immense lit, lumière tamisée et divers accessoires pour bien s’amuser. Nous y avons déjà goûté quelquefois et ça a toujours été super. Pour la circonstance, Béa a revêtu une combinaison en cuir, noire, avec des ouvertures scratch aux endroits câlins, comme elle dit. Elle est superbe. Dans sa chambre elle m’invite à me déshabiller, me met ma cagoule de soumis, des bracelets aux chevilles et aux poignets. Je sais que je serai attaché, je ne sais pas encore comment, mais je leur fais confiance. La coquine en profite pour me toucher partout, un grand sourire sur le visage. Au fil de nos soirées chaudes, nous sommes devenus de vrais complices, elle et notre couple. Nous l’aimons beaucoup et elle nous le rend bien. Je bande dur. Elle propose de me mettre le même cockring, que l’autre fois, il est double, enserre la base de la verge mais une autre boucle enserre également les testicules. Très efficace, l’éjaculation met longtemps à venir mais c’est alors puissant et super bon. C’est un peu difficile à passer, vu mon état d’excitation, on se marre beaucoup tous les deux. « J’ai quelque chose de nouveau pour toi. », me dit-elle encore. Elle exhibe une petite lanière soyeuse, avec un nœud et me la fixe à la base du gland, elle serre un peu puis y attache une chaînette d’un mètre cinquante environ, terminée par une petite boucle en cuir.
C’est agréable, je me sens captif de cette belle femme et elle s’en amuse.
- tu verras, on t’a concocté une superbe soirée, à nous aussi d’ailleurs. On va bien s’amuser.
Elle n’en dira pas plus, elle vient vers moi, me caresse la joue et m’embrasse avec fougue.
- merci, Béa, tu es super, je luis dis.
Elle me met une petite gifle sur la verge tendue, me sourit et me gronde d’un air enjoué.
- hé, le cocu soumis, comment tu me parles ?
- pardon maîtresse, j’avais oublié, mais vous êtes si jolie.
C’est vrai qu’on joue, je dois l’appeler maîtresse. Elle éclate de rire, elle est vraiment craquante, ça va être une bonne soirée. Elle me guide vers son « donjon ». La lanière autour de mon gland, la traction de Béa sur la chaînette me procurent une sensation savoureuse.
Juste avant de rentrer dans la pièce elle m’arrête et me dit : « pour le début de la soirée tu ne verras rien » et elle me fixe, avec des scratches prévus pour cela, des obturateurs sur ma cagoule, au niveau des yeux, je suis aveugle. Elle me tire dans la pièce, des chuchotements, des petits rires. Je ne sais pas qui est là, ni combien ils, elles, sont. Ça m’excite terriblement. Béa me dit de lever les bras, des mains me guident et m’attachent les poignets et les chevilles. Me voilà immobilisé, bras et jambes écartés en croix.
- le voilà bien fixé, notre petit cocu, on va pouvoir commencer, annonce Béa.
Comme à chaque fois mon cœur bat la chamade dans ma poitrine, je suis excité à mort, que va-t-on me faire ? je frémis déjà de plaisir anticipé.
On tourne autour de moi, des mains commencent à me caresser partout, puis on m’administre des petites tapes sur la poitrine, le cul, je suis chatouillé. Aïe, les chose sérieuses commencent, on me pince les tétons, les tapes sur les fesses se transforment en claques méthodiques, une main vigoureuse me prend le sexe, une autre me tire les couilles, je ne peux pas bouger, je ne vois rien, c’est délicieux, je gémis de plaisir.
- alors mon cocu, mon petit esclave adoré, on est venu se faire torturer un peu ? tu vas être servi ce soir, je crois.
C’est maîtresse (en fait mon épouse chérie, mais qui devient ma dominante, ma maîtresse, lors de ces soirées hot).
Un coup de cravache sur le cul me surprend.
- réponds à ta maîtresse, esclave cocu.
C’est maîtresse Béa. On m’appelle le cocu, depuis que ma femme baise avec d’autres mâles durant ces soirées, devant moi, pendant que je dois la regarder, souvent fouetté par ses copines dominatrices. Ma chérie et moi nous tirons une jouissance extrême de ces situations, nous les avons crées, nous sommes demandeurs et nous assumons parfaitement ces choix. En dehors de cela nous redevenons un couple normal, uni, respectueux l’un de l’autre, très amoureux. C’est peut être spécial, mais on s’en fout, c’est notre vie, c’est nous deux.

- oui , maîtresse, merci maîtresse, je crois que je vais passer une bonne soirée, je réponds.
- Eh bien, tant mieux, il y a des maîtresses qui vont bien s’amuser avec toi, je crois. Moi aussi d’ailleurs je vais bien m’amuser. Ça ne te dérange pas, cocu, si je me fais baiser pendant que tu te feras fouetter ?
- Non, maîtresse, profitez en bien maîtresse.
Béa éclate de rire, ça fait partie de notre jeu. Elles savent toutes que j’adore être humilié, je suis un cérébral, comme dit ma chérie. Ça contribue à mon plaisir et elles ça les excite aussi, me racontent-elles. On se dit tout après nos séances, nos envies, nos plaisirs réciproques, ce qui nous plaît, etc …
La main qui me tient la verge commence à me branler en me serrant très fort, une masturbation énergique, qui passe sur la lanière fixée à l’arrière de mon gland. C’est fort comme sensation, un peu douloureux. Une dizaine d’aller retour, puis elle s’arrête et me lâche. Les claques sur mon cul ont cessé, remplacées par des coups de martinet sur le dos et les fesses. Puis je suis de nouveau branlé.
Béa me fait : « comme tu ne vois rien, je vais te faire les commentaires. Pendant que tu te fais branler comme un cochon, eh ben ta femme est en train de sucer deux belles bites. Elle y va la salope, elle est à genoux sur le lit et pompe comme une malade, tu es content, dis nous. »
- oui maîtresse, je suis ravi qu’elle ait du plaisir.
- Ils lui mettent leurs grosses bites tout au fond de la gorge, écoute…
Effectivement j’entends les râles de ma chérie, les grognements caractéristiques, ça augmente encore mon érection. La masturbation reprend, puissante, rapide, avec des gestes saccadés, méthodiques. Je suis dominé complètement, je m’abandonne à ces maîtresses, je ne sais toujours pas qui elles sont, ni qui baise ma femme. Mais on joue, je sais que je peux faire confiance à Béa et à ma femme, ma maîtresse. Elle va prendre énormément de plaisir ce soir, je le sais et j’en suis heureux. Ma verge est secouée constamment à partir de la chaînette fixée à mon gland pendant que je suis fouetté au martinet par deux personnes au moins. J’en prends sur le dos et en même temps sur la poitrine, le ventre, quelques coups sur ma queue. Je pense que c’est Béa qui secoue énergiquement la chaîne attachée à ma verge, c’est un peu comme se faire branler, en tous cas j’aime. De temps en temps on arrête le martinet et je suis caressé, chatouillé, pincé, griffé légèrement aussi. Le but est de me procurer la petite douleur qui reste plaisir, dans mon statut de soumis, jamais de me faire vraiment mal ou de me blesser. J’apprécie beaucoup, les maîtresses qui s’occupent de moi sont douées, j’ai hâte de les voir. Béa continue ses commentaires, je perçois des bruits sans équivoque sur le lit devant moi. J’entends ma petite femme gémir de bonheur, elle doit s’en donner à cœur joie.
- tu entends comme c’est bon pour elle. Elle est sur le dos, ils lui ont relevé les cuisses, elle se fait bien défoncer la chatte, une autre bite lui baise la bouche.
J’imagine la scène entre deux coups, ça chauffe terriblement mon dos et ma poitrine, je suis aux anges, c’est bon, bien dosé.
On me trifouille le gland, mon sexe est libéré de la chaînette et une bouche chaude me gobe. Les coups de martinet me cinglent de plus en plus fort. Je subis une fellation méthodique mais qui est calculée pour ne pas me faire jouir. Ce doit être Béa, elle me connaît bien. J’entends ma maîtresse hurler de plaisir sur le lit, je pousse mon bassin en avant, je veux jouir, rien à faire, une main autoritaire m’empoigne les couilles et serre, ça calme mon ardeur. La bouche me quitte, le martinet cesse.
- tu veux voir ce qui se passe, cocu ?, fait Béa
- oh oui maîtresse, s’il vous plaît.
Je sens Béa qui s’approche de moi, elle m’ôte les scratches des yeux et je vois…
Devant moi se tiennent deux nanas que je connais bien. Il y a Diane, ma belle sœur, qui participe occasionnellement à nos jeux, elle me sourit d’un air coquin. Elle porte une jupe à carreaux ultra courte, des escarpins et un chemisier blanc, transparent, qui me laisse entrevoir ses beaux seins dressés d’envie. Elle est super mignonne.
A côté d’elle se tient Cathy, une amie de ma femme que j’ai rencontrée à deux occasions, la première fois chez nous, ensuite chez Béa. A chaque fois elle avait participé à nos ébats cochons, avec beaucoup de plaisir et de motivation. Elle est vêtue d’un t-shirt noir, moulant, pas de sous tif, un pantalon collant en cuir, des bottes noires qui montent haut. Elle a un doigt en bouche et le suce en me scrutant, l’air moqueur.
Ensuite, en deuxième plan il y a le lit, ma petite femme entièrement nue en levrette. Steve la baise, elle a en bouche le dard de Nico. Ce sont deux gars que je connais aussi, ils ont déjà baisé ma maîtresse adorée en d’autres occasions, chez Béa. Ils sont clean et maîtresse prend beaucoup de plaisir avec eux à chaque fois. Ils reprennent leur baise de plus belle, maîtresse me jette son regard d’amour et se replonge dans le plaisir, je pense qu’elle jouit sur le champ en voyant comme je la regarde baiser.
Diane vient vers moi et m’embrasse à pleine bouche, elle me saisit la verge et me masturbe comme tout à l’heure, je sais maintenant que c’était elle. Elle se colle à moi, ses seins s’écrasent sur ma poitrine.
- alors mon cocu, content de me revoir, je vais bien jouer avec toi, on a toute la nuit pour te faire du bien, me chuchote-t-elle à l’oreille.
- Oui maîtresse Diane, je suis à vous, faites de moi ce que vous voulez, je réponds, mi joueur, mi sincère.
Je sais qu’elles vont me combler.
Cathy s’approche et me pince fort les tétons, puis elle me claque la verge, des petits coups rapides du bout des doigts, elle me roule une pelle, sa langue fouille ma bouche, c’est bon.
- surprise de la soirée, rigole Béa, t’es content le cocu ? elles ont vachement envie de s’amuser avec toi. Je pense qu’une petite séance au fouet nous fera du bien.
Elle tend aux deux autres des fouets, spécialement conçus pour ce genre d’activité. Ils font mal, ça brûle mais ne blesse pas vraiment. J’adore, surtout lorsque c’est administré par de jolies dominas.
Diane se met en place, derrière moi, légèrement en biais.
- allez, respire un gros coup mon chou, c’est parti, fait elle avec un sourire.
Les premiers coups sont presque tendres, histoire de prendre la mesure, puis elle accentue la force et augmente la cadence. Ça me chauffe terriblement, je grimace, je gémis et je me tortille autant que mes attaches le permettent. Cathy et Béa m’observent, narquoises. Sur le lit les mâles inversent les rôles. Tout en se faisant baiser royalement par ces deux gars fougueux, maîtresse ne perd pas une miette de la correction que m’inflige sa petite sœur. Je sais que la plus grande partie de son plaisir vient du fait qu’elle regarde d’autres femmes s’amuser avec son petit soumis de mari. Nico la baise tranquillement et brusquement change de cadence, la pilonne furieusement pendant quelques secondes pour revenir à un rythme plus langoureux.
J’entrevois sa bite épaisse entrer et sortir de la chatte humide de ma salope adorée.
Steve se branle entre ses lèvres, lui donne des coups de bite sur le visage puis lui baise la bouche, lui enfonce son sexe profondément dans la gorge. Elle râle de plaisir, des orgasmes la secouent à intervalles réguliers, c’est géant.
Diane passe le relais à Cathy. Elle y va carrément, je pense qu’elle a un orgasme à un moment donné, rien qu’en me fouettant. Les coups sont forts, rapides, elle est en transe jouissive. Je déguste, mais je suis heureux d’être là, malmené par ces femmes dominantes qui prennent leur pied avec moi.
Maîtresse chérie est à présent sur Steve et le chevauche, Nico, debout devant elle, se fait sucer, Béa vient me fouetter, c’est son tour. Auparavant elle se colle contre moi et me demande doucement si ça va. Je lui réponds que tout est OK, je suis ravi, c’est génial. Elle m’embrasse et se met en place. Les coups sont appuyés, rapides ; elle vise par moment ma queue et mes couilles. Elles semble heureuse, ses yeux ne quittent pas les miens, elle regarde aussi ma femme, son amie, baiser avec les deux étalons. Ensuite mes trois bourreaux se mettent ensemble et me fouettent de concert, je prends des coups partout, mon corps devient brûlant, je tressaille de douleur-plaisir. C’est génialement bon.
Elles font des pauses régulières pendant lesquelles elles viennent me caresser. Elles me procurent des petites branlettes ou de légères fellations, histoire de me rendre complètement dingue, de me garder bien raide. Et la séance continue. Sur le lit les trois amants varient les positions, les hommes se retiennent ; pendant que l’un baise, l’autre se repose. Ils prennent maîtresse en continu, calmement, elle n’a plus de gros orgasme, je pense, mais un plaisir incessant tout le long. Son corps tressaille sans arrêt. Elle regarde ses copines qui me fouettent avec un art consommé. Je subis cette torture pendant une bonne demie heure au moins. Je voudrais que ça ne s’arrête jamais.
Mais Béa pose le fouet, les autres l’imitent. Petit conciliabule entre elles. Cathy se déshabille et avec Béa elles grimpent sur le lit, Diane reste avec moi. Béa réorganise la partie de baise à sa façon, la coquine. Nico va s’occuper de Cathy, il l’allonge sur le dos et entreprend de lui brouter la chatte, elle gémit de bonheur, elle doit bien mouiller. Maîtresse est mise sur le dos, Steve la pénètre et la baise lentement. Béa embrasse sa copine, elles regardent vers moi, puis Béa va s’installer sur son visage. Maîtresse la lèche, prise par Steve. Nico est derrière Cathy et la pistonne en levrette.
Diane s’est collée derrière moi, me saisit la verge et me masturbe consciencieusement.
- je vais te faire juter, mais juste un peu, histoire de te vider légèrement les couilles ; je ne te finirai pas complètement, oh mon petit cocu, ça va pas trop te plaire, mais nous, ça nous amuse. Tu prendras ce que je veux bien te donner.
Les salopes font cela régulièrement, elles me ratent sciemment mon premier orgasme et se marrent. Je me rattrape par la suite car elles finissent toujours par me faire jouir fabuleusement. Elle me branle méthodiquement et d’un seul coup elle accélère, puis me caresse de nouveau en m’effleurant juste la verge, attentive à mon état. Je râle, je grogne, rien n’y fait, Diane est intraitable.
Sur le lit, Steve a abandonné maîtresse et s’est rapproché de Cathy. Il lui présente sa bite, elle le prend en bouche, avidement, et le suce pendant que Nico lui percute la chatte avec sa queue. Elle crie sans arrêt son plaisir. Béa et maîtresse se caressent maintenant tendrement et se sont rapprochées tout près de moi. Diane continue son manège, elle m’encourage, me taquine.
- ça vient, dis, ça vient, oh pas encore, on ralentit un peu… allez j’y vais.
Et elle me frotte la queue à toute vitesse pour de nouveau s’arrêter. Je crie de rage :
- finis moi, putain, finis moi.
Elle rigole, Béa et maîtresse se marrent bien aussi. Je sens mon sperme remonter de mes couilles, Diane le sent aussi, elles m’administre encore trois, quatre aller retour et me lâche, je hurle. Du jus s’écoule lamentablement de ma queue et vient se perdre sur le sol, le reste refoule en moi. Maîtresse et Béa rigolent franchement, elles se foutent de moi, c’est vache mais elles jouent à fond le jeu, je le sais, même si sur le coup ma frustration est énorme. Diane me caresse partout sur la poitrine, elle se frotte à moi.
- pauvre petit cocu soumis, on a raté son petit orgasme, on va te faire du bien tout à l’heure tu verras ; tu ne vas pas le regretter. Il faut encore attendre un peu.
Je grogne de rage, je suis à deux doigts d’éclater en sanglots. Sur le lit Steve prend la tête de Cathy et lui enfonce sa verge au fond de la gorge, il éjacule puissamment, Cathy avale avec délice le nectar. Dans la foulée Nico se dégage de sa chatte et vient lui jouir dans la bouche également, elle engrange une deuxième fournée. Elle s’écroule et se roule en boule, comblée. Les gars font un petit signe à Béa et se retirent faire une pause.
Mes trois maîtresses me détachent enfin, je suis tétanisé, ça fait au moins deux heures que je suis attaché. Mon corps est brûlant des coups de fouets. Elles me ramènent les bras derrière le dos, Béa me met des menottes.
- sinon tu es capable de te branler, rigole-t-elle.
Elle me font allonger sur le lit, maîtresse vient contre moi, me câline la joue, m’embrasse.
- Tu as vu, ils m’ont bien baisée, les salauds, minaude-t-elle. Tu as aimé me regarder jouir, j’espère. Quelle raclée elles t’ont mise. Je crois qu’on va encore jouer un peu avec toi, tu vas nous sucer les minous maintenant. Tu jouiras plus tard.
- Je ferai tout ce que vous voudrez, je râle.
Elle me retourne sur le dos et vient me plaquer sa chatte sur le visage. Je lèche ses lèvres gonflées, son vagin est grand ouvert, elle coule dans ma bouche. Béa m’effleure doucement la queue avec ses doigts, la garce. Je souffre le martyr. Cathy nous rejoint, Diane se met à l’écart. Les deux étalons reviennent et vont s’occuper de ma belle sœur, elle l’a bien mérité, ils la déshabillent lentement. Ma chérie cède la place à Béa sur ma bouche.
J’adore lui sucer la chatte, elle oscille sur mon visage, doucement d’abord puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Cathy me prend en bouche et promène sa langue sur mon gland. Elle me maintient au bord longtemps, le temps que Béa explose et que des jets de mouille jaillissent dans ma gorge. Cathy accentue alors sa fellation, je jouis puissamment dans sa bouche, elle continue à me vider, j’arque mon bassin, mon corps entier tremble.
- lâche toi mon cocu, vas y, crache, me fait ma chérie.
Enfin Cathy me lâche, Béa descend de ma bouche, elle me lèche, enfonce sa langue entre mes lèvres. Maîtresse me caresse les tétons, mon orgasme s’apaise lentement, c’est terriblement bon, je savais qu’elles me gâteraient.
A côté de nous Diane profite allègrement des deux mecs. Elle chevauche Steve, la bite de Nico au fond de sa gorge. Elle grogne de bonheur et nous jette des petits regards comblés.
- on va encore te gâter un peu, tu veux, tu as droit à un deuxième orgasme après tout ce qu’on t’as mis, me susurre Béa à l’oreille.
Je suis toujours sur le dos, menotté, maîtresse se met contre moi et m’embrasse.
- laisse toi aller maintenant, c’est ton tour, profite au max de ce qu’on va te faire toutes les trois.
Elle me titille les tétons, Béa a pris ma verge entre ses doigts et recommence à me caresser, Cathy prend mes couilles dans sa main et me les presse doucement ; aucune envie de faire mal. Ma chérie me met sa langue dans la bouche, ses yeux ne quittent plus les miens.
Diane, à côté de nous, se fait défoncer par Nico. Il l’a mise en levrette, lui a mis les bras dans le dos et la retient aux poignets. Elle a la tête plaquée sur le matelas et se fait pilonner brutalement. Elle hurle sans arrêt, mais pas de douleur, ça non... Steve se tient en réserve.
Tout cela me refait bander doucement mais sûrement. Les trois femmes sont collées contre, sur moi. Je suis bien. La masturbation de Béa se fait plus insistante, Cathy est en train de m’insérer son index dans le cul et me branle l’anus. J’aime ! ma maîtresse chérie ne me lâche plus et continue à m’embrasser à pleine bouche. Diane se tape un orgasme après l’autre, elle crie, gémit de plaisir. Les garçons se relaient pour la prendre de partout. Elle balbutie des « encore, oui, oui, vas y , baise moi, ». C’est très stimulant.
Je suis de nouveau bien raide. Ma maîtresse me chuchote à l’oreille « Maîtresse Béa va bien te baiser maintenant, tu veux, tu en as envie, dis le ».
- oh oui, je veux être baisé, je vous appartiens, mon dieu que c’est bon.
Béa se met sur moi, sa chatte est douce, chaude, accueillante. A califourchon elle entame sa chevauchée, yeux mi clos, elle me sourit et m’envoie des petits bisous. Ma chérie est allongée contre moi, elle a mis ses bras autour de ma poitrine et me serre fort, elle regarde son amie qui me baise, elle est ravie. Cathy a rejoint les trois autres. Diane est sur le dos, baisée par Steve. Nico met Cathy en levrette, au-dessus de Diane et la prend par derrière, je crois même qu’il est en train de l’enculer magistralement. Cathy se serre contre Diane, les deux femmes se tiennent, elles se regardent et finissent par coller leur bouche l’une contre l’autre, dans un baiser passionné. Elles restent ainsi pendant que les gars les défoncent bien.
- wouah, me fait ma chérie, tu as vu les deux cochonnes.
Je ne perçois plus grand chose, Béa me chevauche, elle ondule sur moi, c’est super. Mon cockring est efficace, je bande fort, mais l’éjaculation tarde. J’arrive à bien me retenir, je veux en profiter longtemps. Comme si elle lisait dans mes pensées maîtresse chérie me dit :
- retiens toi mon cocu, j’ai encore envie, je veux que tu me lèches bien pendant que Béa te baise.
Et elle vient s’asseoir sur mon visage, elle écrase sa chatte sur ma bouche, elle est délicieuse. Béa et elle s’enlacent au-dessus de moi et s’embrassent fougueusement. Elles sont terriblement synchro et se tapent un orgasme foudroyant, simultané. Elles descendent de moi, se pelotonnent contre mon corps.
- tu n’es toujours pas venu, fait Béa, on va te finir maintenant.
Toutes les deux elles descendent vers mon sexe et c’est un festival de fellations et de branlettes, par deux expertes en la matière. Elles me mènent au bord de l’orgasme, me calment, recommencent jusqu’au bouquet final. C’est l’apothéose, je hurle, mon corps tout entier se tétanise lorsque je jouis dans la bouche de ma chérie. Elle m’avale, puis me pompe encore, doucement, Béa remonte et me roule une pelle géniale ; ma maîtresse me suce encore et encore, jusqu’à ce que je demande pitié. Elle s’arrête enfin, glisse vers moi et me dit assez fort pour que tous entendent : « je t’aime, mon chéri, mon cocu adoré, tu es le meilleur ! ».
Béa me sourit, à côté les mâles se finissent dans la bouche de leurs partenaires respectives. Là c’est terminé pour ce soir, les mecs font un petit signe à Béa, viennent embrasser les femmes et, pour la première fois, me font un petit signe de la main, pouce levé, je prends cela pour un compliment. Ils s’en vont.
Ma chérie m’enlève les menottes, la cagoule, le cockring. Je reste allongé de longues minutes sur le lit, besoin de récupérer. Les filles sont passablement crevées aussi, je les comprends. On reste là, sans parler, je trouve qu’on est bien. Ma chérie vient m’embrasser ainsi que notre très chère complice Béa. Diane et Cathy sont pelotonnées l’une contre l’autre et se câlinent doucement.
Comme toujours après ces séances de plaisir intense une espèce de bien être magique s’installe entre nous.
Qu’est ce qu’on est bien…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
super récit

Histoire Erotique
Superbe on ressent tous votre désirs par l'humiliation toute cette envie de voir sa petite salope de femme prendre du plaisir tous en etan utilise et maltraité par ces dominas... Bravo votre cote cérébral doit être exacerbé au possible pour prendre autant de plaisir dans la soumission... Un fan



Texte coquin : Ma femme dominatrice m'offre à ses copines-partie 10 - de retour chez Béa
Histoire sexe : Une rose rouge
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