Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 8 - avec ma belle soeur
Récit érotique écrit par Luc54 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 8 - avec ma belle soeur
Cela fait maintenant quelques semaines que j’ai vécu une séance particulièrement hot dans mes relations de soumis avec ma maîtresse, qui est également ma femme. Nous avons été chez Béa, une copine dominante de mon épouse. J’ai été attaché, fouetté, pendant que ma maîtresse se faisait bien baiser par deux mâles vigoureux, sur le lit devant mes yeux. Contrairement à ce qu’on pourrait penser cela m’avait mis dans un état de jouissance extrême ; toutes nos pratiques sont librement discutées, consenties de part et d’autre. Nos relations, sexuelles, ou simplement de couple, se subliment depuis que nous nous sommes découvert ces envies réciproques et que nous les mettons en œuvre. La première fois que ma femme m’avait « offert » à trois dominatrices, sa sœur faisait partie du trio.
Le reste du temps je suis un mari tout ce qu’il y a de plus normal, même face à ma belle sœur. Les choses étaient convenues ainsi depuis le départ et tout le monde joue le jeu, c’est super.
C’est le week-end et il pleut. Après le déjeuner ma chérie m’annonce la visite de sa frangine pour le café. Ça fait longtemps qu’elle ne l’a pas vue.
- tu sais mon cœur, depuis qu’elle a joué avec nous elle aimerait recommencer. Elle a bien essayé ailleurs mais elle a toujours été déçue. (jouer, c’est notre petit code : lorsqu’elle veut faire la domina elle me demande si je veux jouer ; si c’est ok pour moi je réponds : « oui, maîtresse » et illico je deviens son soumis, pour notre plus grand plaisir à tous les deux). Alors si tu es d’accord, seulement si tu es d’accord, on joue un peu cet après midi, tous les trois.
Ouah ! elle sait que j’adore. Elle m’a déjà offert des séances géniales pendant lesquelles je suis offert à des femmes qui m’en font voir de toutes les couleurs. Elle adore faire la voyeuse et contrôle de loin les « supplices » auxquels on me soumet.
- oui, maîtresse, je veux jouer.
- Bien, mon soumis cocu (c’est comme cela qu’elle m’appelle maintenant et ça m’excite terriblement). Alors à poil et mets ton collier et ta laisse.
Je m’exécute. Elle m’a acheté un collier avec une laisse, pour m’exhiber devant ses copines, lors des séances de jeux coquins que ces dames pratiquent avec moi. On sonne.
- tiens, c’est sûrement ma sœur, va ouvrir.
Le cœur battant je vais ouvrir, en espérant que ça ne soit pas quelqu’un d’autre qui aurait sonné.
Mais non, c’est maîtresse Diane. Elle est superbe, une robe moulante noire, des escarpins noir aussi, bas résille, le tout recouvert d’un manteau trois quart.
- salut esclave, toujours prêt à jouer, à ce que je vois (elle fixe mon sexe bandé et sourit). J’ai vachement envie aussi, tu sais.
- Oui, maîtresse- Bonjour petite sœur, fait ma femme depuis le salon. Tu nous l’amènes, promène le un peu tu veux.
Diane rigole, enlève son manteau et me prend par la laisse. Je la suis comme un petit chien, on fait le tour du salon, de la cuisine, etc… ma femme est assise dans le canapé et se marre en nous voyant. Elle sait que le fait de m’humilier ainsi, même si on sait tous que c’est un jeu de rôle, m’excite énormément. Je sais aussi tout le respect, tout l’amour qu’elle a pour moi.
- prends le par la queue, fait elle à sa sœur.
Maîtresse Diane ne se fait pas prier ; elle m’agrippe la verge et me tire dans tous les sens. Elle change de direction tout le temps et s’amuse beaucoup à tirer violemment sur ma queue bien dressée. Maintenant elle fait pareil en me prenant par les couilles, ça fait mal, je gémis, mais ça ne fait que les exciter davantage. Elle se met à courir, moi derrière, ma femme bat des mains et rigole franchement dans son canapé.
Puis je dois me coucher sur le dos, devant elles assises côte à côte sur notre canapé. Elles posent leurs pieds sur moi et m’enfoncent les talons de leurs chaussures dans le ventre, sur ma poitrine, mon sexe et mes testicules.
- branle toi, le cocu, m’ordonne ma femme- serre tes couilles avec l’autre main, me fait Diane.
Je m’exécute, elles papotent en continuant de me piétiner.
Ma femme raconte à sa sœur comment elle s’est bien fait baiser devant moi l’autre fois par deux mecs.
- il est cocu, mais content. Béa et Cathy l’ont bien fouetté devant moi pendant que je baisais comme une folle. J’ai eu des orgasmes terribles, ces deux mâles sont vraiment bons, endurants et sacrément bien montés. N’est ce pas mon petit soumis que je me suis bien fait baiser, tu as aimé aussi, raconte à Diane.
- Oui maîtresse, j’ai bien aimé, je réponds tout en continuant de me branler, allongé sous leurs pieds qui me font souffrir.
- Raconte mieux, allez, Diane veut des détails.
Diane me sourit et attend, goguenarde. Je me lance, tout en continuant de me masturber, je ne sais pas si je vais tenir, elles le savent les garces. C’est ça le piment de nos jeux. Et je raconte.
- Maîtresse Béa et Maîtresse Cathy m’ont attaché au pied du lit. Elles m’ont bien cravaché et fouetté partout pendant que ma maîtresse baisait avec Steve et Nico. Je suis heureux du plaisir qu’elle a pris. Les maîtresses m’ont fait jouir aussi, je les en remercie.
Quelques gouttes commencent à perler de mon gland.
- tu ne vas quand même pas nous juter sur les pieds, retiens toi nom d’une pipe, m’ordonne ma femme.
Je grogne et serre mes couilles à les faire exploser, je ralentis la cadence, ce qui n’échappe pas à Diane.
- qui t’a autorisé à ralentir, cocu, continue comme avant.
Elle descend du canapé relève sa robe et vient s’agenouiller sur mon visage. Elle n’a pas de culotte. Son cul et sa chatte s’écrasent sur ma bouche. Elle sent bon, elle est trempée. Privé d’air je commence à étouffer, j’essaie de me dégager mais ma femme s’assied sur moi et me prend les poignets. Elles s’amusent ainsi un bon moment à me priver d’air, juste ce qu’il faut pour me faire paniquer un peu. Au fond de moi je sais que je ne risque rien, mais c’est bien fait. Elles s’arrêtent enfin et me poussent du pied, je dois rester couché au sol.
Ma femme me met des menottes dans le dos puis elles me passent une cordelette autour des testicules et de ma bite. Diane prend l’autre extrémité de la corde et commence à tirer dessus. C’est un jeu qu’elle affectionne particulièrement, je le sais. J’apprécie également. Mon sexe est cruellement malmené, mais ça me procure beaucoup de plaisir. C’est comme ça, j’aime ça, je sais que ma femme, ça l’excite vachement, alors je ne me pose plus de questions, on joue et c’est tout. Diane appuie de temps en temps sa chaussure sur ma verge ou mes couilles, tout en tirant sur la corde. Ma femme revient avec deux jolis petits fouets de dominas. Là aussi, on joue, les coups brûlent, c’est sûr, mais ça ne blesse pas vraiment. Ma femme prend la laisse, sa sœur la cordelette, et elles tirent chacune d’un côté. Comme je suis menotté je rampe par terre comme une larve.
- allez c’est parti, on va te mettre une bonne correction, tu aimes ça, non, dit ma femme.
- Oui maîtressesEt les deux frangines commencent à me fouetter grave. J’en prends sur le torse, le ventre, les cuisses. Elles m’ordonnent de me retourner sur le ventre pour me fouetter le cul et le dos. Ça chauffe. Je dois me remettre sur le dos et écarter les jambes.
- on va te fouetter la bite, tu ne bouges pas sinon tu auras double dose, me fait Diane.
Avec de gros sourires elles me frappent la queue et les couilles, à tour de rôle. J’essaye de rester immobile le plus possible, Diane donne des bons coups de poignet sur la corde pour bien me faire cambrer.
- allez donne ta bite au fouet, m’exhorte-t-elle.
Ma femme me sourit, mais redouble d’ardeur dans ses coups, je ne bouge pratiquement pas. Je veux plaire à mes maîtresses. Ma correction dure un bon moment puis elles me lâchent enfin. Mon corps est brûlant, c’est délicieux.
Maîtresse Diane se met au dessus de moi et se déshabille langoureusement, je bande à mort. Ma femme se met à poil également.
- on va se faire du bien sur toi, t’es prêt le soumis, me fait elle du ton agressif qu’elle sait prendre dans ces moments là.
- Oui maîtresse, je vais essayer de vous satisfaire, je réponds humblement.
Diane se remet sur mon visage, sa chatte sent bon, elle mouille abondamment. Je la lèche bien, elle gémit de bonheur.
- c’est bien le cocu, mets bien ta langue partout, c’est bon ça, suce moi bien.
Maîtresse me prend en bouche et m’applique une fellation dont elle a le secret. Sa langue tourne autour de mon gland pendant que ses lèvres effectuent de lents aller-retour sur ma bite. Diane est en train de bien jouir sur mon visage, je lèche sa mouille avec délectation.
- viens le baiser, lui propose ma femme.
Diane se met sur moi, elle enfonce ma verge tendue dans son vagin chaud et gluant de mouille. Ses mains se posent sur ma poitrine et elle commence à me chevaucher à son rythme. Elle frotte son bassin sur moi, je sens ses lèvres gonfler sous l’orgasme. Ma femme, ma maîtresse bien aimée me roule une pelle appuyée et me chuchote :- je vais te baiser la bouche, donne bien ta langue mon cocu soumis.
Gros sourire et elle pose son sexe et son joli cul sur ma bouche. Je sors au maximum ma langue et elle se fait de lents va et vient dessus. Sa chatte dégouline de cyprine, elle est délicieuse. Les deux femmes se font plaisir sur moi, plusieurs fois chacune. Elles alternent leur position. Je fais des efforts surhumains pour ne pas jouir, mais c’est dur avec deux volcans pareils. Heureusement qu’elles avaient bien ligaturé mes couilles et ma queue.
Ensuite elles me mettent un bandeau sur les yeux.
- on va te traire la queue maintenant, me susurre ma belle sœur.
Des mains gantées de cuir me caressent le sexe et les testicules. C’est terrible. On me frotte lentement le gland, je grogne, j’ai envie de jouir mais elles font durer.
- arrête de gigoter, tu éjaculeras seulement quand on le décidera, compris !
- oui maîtressesEt le jeu reprend. Dès que mon plaisir monte elles s’arrêtent, juste avant le point de non retour et elles me laissent mariner jusqu’à ce que ma tension retombe. Puis elles recommencent, impitoyables. Je les implore de me finir, je deviens fou. Elles rigolent et me font deviner laquelle me caresse. Je me trompe tout le temps. Le jeu dure une éternité puis les caresses changent. Elles me branlent très fort, rapidement, et lâchent tout, juste avant que j’explose. Je râle de frustration.
- veux tu te taire, ou on te laisse là, tu te débrouilleras tout seul, me fait ma chérie.
Je ravale ma rage, elles continuent leurs branlettes courtes et violentes, entrecoupées de moments où aucune ne me touche, jusqu’à une enième fois ou j’atteins le moment de non retour. Je jouis, mais elles s’arrêtent et laissent mon sperme s’écouler de ma queue. Mon orgasme est foutu, je crie ma rage. Elles rigolent et me caressent les cheveux.
- ouh là là, mais il est fâché le vilain cocu, tu veux qu’on te branle encore, c’est ça ? eh bien tu vas voir, me fait Diane.
Elle me serre la bite, pas encore débandée et m’administre une masturbation de première. J’ai l’impression que mon bas ventre va exploser, mon orgasme est passé mais maintenant cette branlette me met le feu. Je hurle d’arrêter, ma femme se remet sur mon visage et écrase son sexe sur ma bouche. Elle effectue de rapides mouvement du bassin pour se masturber moi. Diane me serre la tige de toute ses forces et frotte mon gland avec le creux de sa main. C’est insupportable, je commence à sangloter, je deviens dingue. Ma femme pousse un feulement de plaisir et m’inonde de son foutre, Diane arrête enfin sa masturbation. Les filles se dégagent.
Elles me lèchent le visage, m’embrassent, me chatouillent et me pincent, je reste attaché sur le tapis.
- on revient, on va se rafraîchir un peu, toi tu restes là, cocu soumis, me dit ma maîtresse.
Elles partent au bar dans le coin du salon, elles sont magnifiques.
Lorsqu’elles reviennent enfin chacune est munie d’un gode ceinture qui oscille sur elles à chaque pas.
- devine un peu qui va se faire enculer royalement, me demande ma maîtresse adorée.
- On va t’en mettre plein le cul, rajoute Diane.
Ma femme m’applique une bonne dose de gel lubrifiant à l’orée de ma rondelle, elle me masse longuement avant d’enfoncer son index dans mon cul. C’est Béa qui m’avait initié et contrairement à ce que j’avais toujours pensé, eh bien c’est agréable et ça me procure des orgasmes dignes de ce nom. Je me sens déjà bien rempli, une douce chaleur envahit mon bas ventre.
- à toi l’honneur petite sœur, fait ma femme.
Maîtresse Diane se met à genoux, darde le gland à l’entrée de mon petit trou et me pénètre d’une poussée douce mais constante. Ma femme s’installe sur mon visage, me prend aux chevilles et m’oblige à bien remonter les jambes. La pénétration est optimale, je me sens rempli comme jamais.
- on y va, je vais te baiser le cul mon soumis cocu, donne toi, salope, me dit Diane.
Et elle entame de me pilonner, lentement d’abord, puis de plus en plus vite, de plus en plus profond. Ça chauffe dans mon cul mais c’est bon nom d’une pipe. Les coups de boutoir se transmettent au cul de ma chérie installée sur ma bouche. Diane crie son plaisir, les godes ceinture sont doubles, les femmes ont une bite artificielle plantée dans leurs vagins et se font plaisir à chaque coup de rein dans mon cul. Elles inversent leurs positions, Diane met son cul sur ma bouche, ma femme me baise. Puis chacune me prend en levrette, pendant que l’autre me cravache le dos. C’est génial. On me remet sur le dos, ma femme me plante son gode au bon endroit, à la bonne profondeur et remue imperceptiblement, Diane me branle jusqu’à l’orgasme final. Je hurle, mon corps tout entier se tétanise de plaisir, un orgasme terriblement long m’achève.
Epuisés nous arrêtons de « jouer ». Allongés côte à côte nous prenons le temps de récupérer.
Après une bonne douche les femmes préparent le dîner, je sers les apéros.
Au cours du repas nous discutons cul, comme toujours après des moments d’une telle intensité. Diane veut savoir si cela ne me gêne pas de voir ma femme baiser devant moi avec d’autres mâles. Je répète qu’elle en a parfaitement le droit, au vu des expériences qu’elle me fait vivre. C’est vrai que ces moments me troublent énormément, mais me procurent un sentiment de jouissance extrême. Au plus profond de moi j’aime le jeu qui consiste à être exhibé, humilié, fouetté, et tout ça, je rajoute…Ma femme me serre dans ses bras et m’embrasse passionnément en ajoutant que je suis son homme, qu’elle m’aime plus que tout, qu’elle ne m’imposera jamais rien que je ne veuille vraiment. C’est vrai, dit elle, elle aime le sexe, de plus en plus, elle aime me dominer, jouer, baiser devant moi ; mais elle sait aussi le plaisir que nous nous faisons l’un à l’autre lors de ces séances. Tout se fait dans un respect réciproque, elle explique à sa sœur que nous avons un safeword qu’il suffit de prononcer pour que tout s’arrête immédiatement si l’un de nous n’a plus envie pour une raison ou une autre. Diane nous envie un peu mais adore jouer avec moi, dit-elle. Je suis le soumis idéal, elle est partante pour une autre session, quand on veut.
Sur ces bonnes résolutions nous partons nous coucher, fourbus mais heureux.
Le reste du temps je suis un mari tout ce qu’il y a de plus normal, même face à ma belle sœur. Les choses étaient convenues ainsi depuis le départ et tout le monde joue le jeu, c’est super.
C’est le week-end et il pleut. Après le déjeuner ma chérie m’annonce la visite de sa frangine pour le café. Ça fait longtemps qu’elle ne l’a pas vue.
- tu sais mon cœur, depuis qu’elle a joué avec nous elle aimerait recommencer. Elle a bien essayé ailleurs mais elle a toujours été déçue. (jouer, c’est notre petit code : lorsqu’elle veut faire la domina elle me demande si je veux jouer ; si c’est ok pour moi je réponds : « oui, maîtresse » et illico je deviens son soumis, pour notre plus grand plaisir à tous les deux). Alors si tu es d’accord, seulement si tu es d’accord, on joue un peu cet après midi, tous les trois.
Ouah ! elle sait que j’adore. Elle m’a déjà offert des séances géniales pendant lesquelles je suis offert à des femmes qui m’en font voir de toutes les couleurs. Elle adore faire la voyeuse et contrôle de loin les « supplices » auxquels on me soumet.
- oui, maîtresse, je veux jouer.
- Bien, mon soumis cocu (c’est comme cela qu’elle m’appelle maintenant et ça m’excite terriblement). Alors à poil et mets ton collier et ta laisse.
Je m’exécute. Elle m’a acheté un collier avec une laisse, pour m’exhiber devant ses copines, lors des séances de jeux coquins que ces dames pratiquent avec moi. On sonne.
- tiens, c’est sûrement ma sœur, va ouvrir.
Le cœur battant je vais ouvrir, en espérant que ça ne soit pas quelqu’un d’autre qui aurait sonné.
Mais non, c’est maîtresse Diane. Elle est superbe, une robe moulante noire, des escarpins noir aussi, bas résille, le tout recouvert d’un manteau trois quart.
- salut esclave, toujours prêt à jouer, à ce que je vois (elle fixe mon sexe bandé et sourit). J’ai vachement envie aussi, tu sais.
- Oui, maîtresse- Bonjour petite sœur, fait ma femme depuis le salon. Tu nous l’amènes, promène le un peu tu veux.
Diane rigole, enlève son manteau et me prend par la laisse. Je la suis comme un petit chien, on fait le tour du salon, de la cuisine, etc… ma femme est assise dans le canapé et se marre en nous voyant. Elle sait que le fait de m’humilier ainsi, même si on sait tous que c’est un jeu de rôle, m’excite énormément. Je sais aussi tout le respect, tout l’amour qu’elle a pour moi.
- prends le par la queue, fait elle à sa sœur.
Maîtresse Diane ne se fait pas prier ; elle m’agrippe la verge et me tire dans tous les sens. Elle change de direction tout le temps et s’amuse beaucoup à tirer violemment sur ma queue bien dressée. Maintenant elle fait pareil en me prenant par les couilles, ça fait mal, je gémis, mais ça ne fait que les exciter davantage. Elle se met à courir, moi derrière, ma femme bat des mains et rigole franchement dans son canapé.
Puis je dois me coucher sur le dos, devant elles assises côte à côte sur notre canapé. Elles posent leurs pieds sur moi et m’enfoncent les talons de leurs chaussures dans le ventre, sur ma poitrine, mon sexe et mes testicules.
- branle toi, le cocu, m’ordonne ma femme- serre tes couilles avec l’autre main, me fait Diane.
Je m’exécute, elles papotent en continuant de me piétiner.
Ma femme raconte à sa sœur comment elle s’est bien fait baiser devant moi l’autre fois par deux mecs.
- il est cocu, mais content. Béa et Cathy l’ont bien fouetté devant moi pendant que je baisais comme une folle. J’ai eu des orgasmes terribles, ces deux mâles sont vraiment bons, endurants et sacrément bien montés. N’est ce pas mon petit soumis que je me suis bien fait baiser, tu as aimé aussi, raconte à Diane.
- Oui maîtresse, j’ai bien aimé, je réponds tout en continuant de me branler, allongé sous leurs pieds qui me font souffrir.
- Raconte mieux, allez, Diane veut des détails.
Diane me sourit et attend, goguenarde. Je me lance, tout en continuant de me masturber, je ne sais pas si je vais tenir, elles le savent les garces. C’est ça le piment de nos jeux. Et je raconte.
- Maîtresse Béa et Maîtresse Cathy m’ont attaché au pied du lit. Elles m’ont bien cravaché et fouetté partout pendant que ma maîtresse baisait avec Steve et Nico. Je suis heureux du plaisir qu’elle a pris. Les maîtresses m’ont fait jouir aussi, je les en remercie.
Quelques gouttes commencent à perler de mon gland.
- tu ne vas quand même pas nous juter sur les pieds, retiens toi nom d’une pipe, m’ordonne ma femme.
Je grogne et serre mes couilles à les faire exploser, je ralentis la cadence, ce qui n’échappe pas à Diane.
- qui t’a autorisé à ralentir, cocu, continue comme avant.
Elle descend du canapé relève sa robe et vient s’agenouiller sur mon visage. Elle n’a pas de culotte. Son cul et sa chatte s’écrasent sur ma bouche. Elle sent bon, elle est trempée. Privé d’air je commence à étouffer, j’essaie de me dégager mais ma femme s’assied sur moi et me prend les poignets. Elles s’amusent ainsi un bon moment à me priver d’air, juste ce qu’il faut pour me faire paniquer un peu. Au fond de moi je sais que je ne risque rien, mais c’est bien fait. Elles s’arrêtent enfin et me poussent du pied, je dois rester couché au sol.
Ma femme me met des menottes dans le dos puis elles me passent une cordelette autour des testicules et de ma bite. Diane prend l’autre extrémité de la corde et commence à tirer dessus. C’est un jeu qu’elle affectionne particulièrement, je le sais. J’apprécie également. Mon sexe est cruellement malmené, mais ça me procure beaucoup de plaisir. C’est comme ça, j’aime ça, je sais que ma femme, ça l’excite vachement, alors je ne me pose plus de questions, on joue et c’est tout. Diane appuie de temps en temps sa chaussure sur ma verge ou mes couilles, tout en tirant sur la corde. Ma femme revient avec deux jolis petits fouets de dominas. Là aussi, on joue, les coups brûlent, c’est sûr, mais ça ne blesse pas vraiment. Ma femme prend la laisse, sa sœur la cordelette, et elles tirent chacune d’un côté. Comme je suis menotté je rampe par terre comme une larve.
- allez c’est parti, on va te mettre une bonne correction, tu aimes ça, non, dit ma femme.
- Oui maîtressesEt les deux frangines commencent à me fouetter grave. J’en prends sur le torse, le ventre, les cuisses. Elles m’ordonnent de me retourner sur le ventre pour me fouetter le cul et le dos. Ça chauffe. Je dois me remettre sur le dos et écarter les jambes.
- on va te fouetter la bite, tu ne bouges pas sinon tu auras double dose, me fait Diane.
Avec de gros sourires elles me frappent la queue et les couilles, à tour de rôle. J’essaye de rester immobile le plus possible, Diane donne des bons coups de poignet sur la corde pour bien me faire cambrer.
- allez donne ta bite au fouet, m’exhorte-t-elle.
Ma femme me sourit, mais redouble d’ardeur dans ses coups, je ne bouge pratiquement pas. Je veux plaire à mes maîtresses. Ma correction dure un bon moment puis elles me lâchent enfin. Mon corps est brûlant, c’est délicieux.
Maîtresse Diane se met au dessus de moi et se déshabille langoureusement, je bande à mort. Ma femme se met à poil également.
- on va se faire du bien sur toi, t’es prêt le soumis, me fait elle du ton agressif qu’elle sait prendre dans ces moments là.
- Oui maîtresse, je vais essayer de vous satisfaire, je réponds humblement.
Diane se remet sur mon visage, sa chatte sent bon, elle mouille abondamment. Je la lèche bien, elle gémit de bonheur.
- c’est bien le cocu, mets bien ta langue partout, c’est bon ça, suce moi bien.
Maîtresse me prend en bouche et m’applique une fellation dont elle a le secret. Sa langue tourne autour de mon gland pendant que ses lèvres effectuent de lents aller-retour sur ma bite. Diane est en train de bien jouir sur mon visage, je lèche sa mouille avec délectation.
- viens le baiser, lui propose ma femme.
Diane se met sur moi, elle enfonce ma verge tendue dans son vagin chaud et gluant de mouille. Ses mains se posent sur ma poitrine et elle commence à me chevaucher à son rythme. Elle frotte son bassin sur moi, je sens ses lèvres gonfler sous l’orgasme. Ma femme, ma maîtresse bien aimée me roule une pelle appuyée et me chuchote :- je vais te baiser la bouche, donne bien ta langue mon cocu soumis.
Gros sourire et elle pose son sexe et son joli cul sur ma bouche. Je sors au maximum ma langue et elle se fait de lents va et vient dessus. Sa chatte dégouline de cyprine, elle est délicieuse. Les deux femmes se font plaisir sur moi, plusieurs fois chacune. Elles alternent leur position. Je fais des efforts surhumains pour ne pas jouir, mais c’est dur avec deux volcans pareils. Heureusement qu’elles avaient bien ligaturé mes couilles et ma queue.
Ensuite elles me mettent un bandeau sur les yeux.
- on va te traire la queue maintenant, me susurre ma belle sœur.
Des mains gantées de cuir me caressent le sexe et les testicules. C’est terrible. On me frotte lentement le gland, je grogne, j’ai envie de jouir mais elles font durer.
- arrête de gigoter, tu éjaculeras seulement quand on le décidera, compris !
- oui maîtressesEt le jeu reprend. Dès que mon plaisir monte elles s’arrêtent, juste avant le point de non retour et elles me laissent mariner jusqu’à ce que ma tension retombe. Puis elles recommencent, impitoyables. Je les implore de me finir, je deviens fou. Elles rigolent et me font deviner laquelle me caresse. Je me trompe tout le temps. Le jeu dure une éternité puis les caresses changent. Elles me branlent très fort, rapidement, et lâchent tout, juste avant que j’explose. Je râle de frustration.
- veux tu te taire, ou on te laisse là, tu te débrouilleras tout seul, me fait ma chérie.
Je ravale ma rage, elles continuent leurs branlettes courtes et violentes, entrecoupées de moments où aucune ne me touche, jusqu’à une enième fois ou j’atteins le moment de non retour. Je jouis, mais elles s’arrêtent et laissent mon sperme s’écouler de ma queue. Mon orgasme est foutu, je crie ma rage. Elles rigolent et me caressent les cheveux.
- ouh là là, mais il est fâché le vilain cocu, tu veux qu’on te branle encore, c’est ça ? eh bien tu vas voir, me fait Diane.
Elle me serre la bite, pas encore débandée et m’administre une masturbation de première. J’ai l’impression que mon bas ventre va exploser, mon orgasme est passé mais maintenant cette branlette me met le feu. Je hurle d’arrêter, ma femme se remet sur mon visage et écrase son sexe sur ma bouche. Elle effectue de rapides mouvement du bassin pour se masturber moi. Diane me serre la tige de toute ses forces et frotte mon gland avec le creux de sa main. C’est insupportable, je commence à sangloter, je deviens dingue. Ma femme pousse un feulement de plaisir et m’inonde de son foutre, Diane arrête enfin sa masturbation. Les filles se dégagent.
Elles me lèchent le visage, m’embrassent, me chatouillent et me pincent, je reste attaché sur le tapis.
- on revient, on va se rafraîchir un peu, toi tu restes là, cocu soumis, me dit ma maîtresse.
Elles partent au bar dans le coin du salon, elles sont magnifiques.
Lorsqu’elles reviennent enfin chacune est munie d’un gode ceinture qui oscille sur elles à chaque pas.
- devine un peu qui va se faire enculer royalement, me demande ma maîtresse adorée.
- On va t’en mettre plein le cul, rajoute Diane.
Ma femme m’applique une bonne dose de gel lubrifiant à l’orée de ma rondelle, elle me masse longuement avant d’enfoncer son index dans mon cul. C’est Béa qui m’avait initié et contrairement à ce que j’avais toujours pensé, eh bien c’est agréable et ça me procure des orgasmes dignes de ce nom. Je me sens déjà bien rempli, une douce chaleur envahit mon bas ventre.
- à toi l’honneur petite sœur, fait ma femme.
Maîtresse Diane se met à genoux, darde le gland à l’entrée de mon petit trou et me pénètre d’une poussée douce mais constante. Ma femme s’installe sur mon visage, me prend aux chevilles et m’oblige à bien remonter les jambes. La pénétration est optimale, je me sens rempli comme jamais.
- on y va, je vais te baiser le cul mon soumis cocu, donne toi, salope, me dit Diane.
Et elle entame de me pilonner, lentement d’abord, puis de plus en plus vite, de plus en plus profond. Ça chauffe dans mon cul mais c’est bon nom d’une pipe. Les coups de boutoir se transmettent au cul de ma chérie installée sur ma bouche. Diane crie son plaisir, les godes ceinture sont doubles, les femmes ont une bite artificielle plantée dans leurs vagins et se font plaisir à chaque coup de rein dans mon cul. Elles inversent leurs positions, Diane met son cul sur ma bouche, ma femme me baise. Puis chacune me prend en levrette, pendant que l’autre me cravache le dos. C’est génial. On me remet sur le dos, ma femme me plante son gode au bon endroit, à la bonne profondeur et remue imperceptiblement, Diane me branle jusqu’à l’orgasme final. Je hurle, mon corps tout entier se tétanise de plaisir, un orgasme terriblement long m’achève.
Epuisés nous arrêtons de « jouer ». Allongés côte à côte nous prenons le temps de récupérer.
Après une bonne douche les femmes préparent le dîner, je sers les apéros.
Au cours du repas nous discutons cul, comme toujours après des moments d’une telle intensité. Diane veut savoir si cela ne me gêne pas de voir ma femme baiser devant moi avec d’autres mâles. Je répète qu’elle en a parfaitement le droit, au vu des expériences qu’elle me fait vivre. C’est vrai que ces moments me troublent énormément, mais me procurent un sentiment de jouissance extrême. Au plus profond de moi j’aime le jeu qui consiste à être exhibé, humilié, fouetté, et tout ça, je rajoute…Ma femme me serre dans ses bras et m’embrasse passionnément en ajoutant que je suis son homme, qu’elle m’aime plus que tout, qu’elle ne m’imposera jamais rien que je ne veuille vraiment. C’est vrai, dit elle, elle aime le sexe, de plus en plus, elle aime me dominer, jouer, baiser devant moi ; mais elle sait aussi le plaisir que nous nous faisons l’un à l’autre lors de ces séances. Tout se fait dans un respect réciproque, elle explique à sa sœur que nous avons un safeword qu’il suffit de prononcer pour que tout s’arrête immédiatement si l’un de nous n’a plus envie pour une raison ou une autre. Diane nous envie un peu mais adore jouer avec moi, dit-elle. Je suis le soumis idéal, elle est partante pour une autre session, quand on veut.
Sur ces bonnes résolutions nous partons nous coucher, fourbus mais heureux.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cher collègue de fortune,
Continue de nous narrer ces excitantes expériences tellement jouissives.
Continue de nous narrer ces excitantes expériences tellement jouissives.