Ma femme et Fabrice mon amant
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Ma femme et Fabrice mon amant
Comme je l'ai indiqué, dans la précédente histoire, j'ai informé ma chère et tendre que Fabrice était plus que partant pour me baiser devant elle.
Le fait qu'elle soit au courant de ma relation avec lui, me simplifiait la vie, plus besoin d'excuses, ce qui changeait, c'est que dans nos rapports sexuels, elle me demandait de lui raconter nos ébats.
Elle aussi me racontait ses exploits avec Patrice, et commençait à partager ses doutes, sur la continuité de leur relation.
Cela s'est passé en semaine, Fabrice est venu à midi, ma femme nous a rejoint en apportant de quoi manger.
La gêne de la présentation passée, nous nous restaurons, tout en discutant, je vois le regard d'envie de Fabrice envers ma femme.
Après avoir bu pour faire passer nos aliments, Fabrice m'attire vers lui et pose ma main sur sa bite gonflée à travers son pantalon.
Pendant que je lui caresse la queue, il se libère de son vêtement qui laisse apparaitre sa superbe bite.
Il m'appuie sur le haut du crâne, pour m'emmener sur son membre, en disant:"Montres lui comme tu aimes ma bite, salope!".
Il garde sa pression pour m'enfoncer sur lui jusqu'aux couilles, et entame encore comme à son habitude une gorge profonde perverse.
Très vite, je salive abondamment sur son sexe.
Je vois ma chère compagne, glisser une main dans sa culotte, pour se caresser le clitoris en nous matant.
"Oh, vous m'excitez! Hummmmm".
Fabrice lui lance alors:"Tu veux me sucer avec lui?".
Elle me rejoint et nous commençons un jeu de langues complices autour de sa bite.
"Putain, c'est bon ça!".
Il lui fait subir une gorge profonde, pendant un petit moment, à elle aussi, mais a cause de sa petite bouche, la pratique est peu concluante.
Il me pénètre à nouveau la gorge, puis quelques minutes après, ordonne:"Je veux ton cul maintenant!".
Ma chère et tendre, reprends sa place en se masturbant à nouveau, pendant que je baisse le pantalon qui couvrait mes fesses cambrées.
je m'appuie contre le meuble devant nous.
Fabrice prend place derrière moi, crache sur mon anus et pointe son énorme sexe en appuyant déjà pour me pénétrer.
Il pratique de petits mouvements de bassin contre mon cul, qui ont pour effet d'écarter progressivement mon œillet, il ne lui faut plus beaucoup de temps pour atteindre enfin le fond de mon cul en me faisant gémir de plaisir.
"Ahhh, c'est bon Fabrice, vas-y lâches-toi!".
"C'est sûr, je vais me lâcher, je vais bien de défoncer le cul devant ta femme, hein salope! regarde comme elle se branle".
""Oh, ça m'excite! J'adore vous voir baiser".
Il me donne de grandes claques sur les fesses en me pénétrant énergiquement à fond, sous un flot d'insultes perverses.
Son ardeur, me provoque un premier orgasme anal puissant, que ma chère compagne rejoint avec ses doigts.
"Oh, vous m'excitez! Ahhhhhhhhhh, je jouis".
C'est le moment que Fabrice choisit pour me demander de me mettre en levrette, pour changer de position.
Position qui changera trois fois, m'offrant encore deux orgasmes, sous les yeux de ma femme qui a enlevé sa jupe et sa culotte pour mieux se caresser et jouir une autre fois.
Malgré tout cette ambiance, je garde les yeux sur terre en demandant:"Quelle heure est-il?".
"Presque 14h" Réponds Fabrice.
"Je dois rouvrir mon commerce, tu n'as pas joui, on fait comment?".
"Pas grave, au cas ou, je reviens ce soir!".
"Bon, je vous laisse vous rhabiller, je ferme la porte, ne faites pas de bruits".
Je réalise qu'on a pris trop de temps pour discuter et nous restaurer., je remarque de l'intérieur, déjà, des clients attendre devant la porte de la boutique.
"Bonjour, Messieurs, Dames!".
Je lance un CD pour mettre une ambiance avec un niveau de son moyen.
Au bout, de 15 minutes environ, j'entends faiblement:"Mmmmmmmmmmm".
Je monte le son de la musique, en me demandant ce qui se passe dans l'arrière salle au fond.
Les clients ressortent un peu plus tard en me réservant quelques produits.
Je retourne au fond et j'ouvre la porte.
Je vois ma femme pliée en avant, complètement nue, une main de Fabrice la tenant par l'épaule, l'autre lui malaxant le sein droit, avec son énorme sexe dans la chatte qui la burine sauvagement.
"Elle est bonne ta salope!".
Elle se mord le bras pour ne pas crier, puis me dit:"Ahhhhh,Il baise bien,ahhhhh, elle est grosse sa queue! c'est fort! Ahhhhh".
La sonnerie d'entrée résonne, je referme la porte en leur disant:"Faites moins de bruits! s'il vous plait!".
"Bonjour, Messieurs, Dames!".
Je m'occupe de ces nouveaux clients, perturbé par ce qui peut se passer entre eux, les gens qui sont des clients réguliers, me prennent beaucoup de marchandises et ne quittent la boutique que plus de 40 minutes aprèsJe retourne à nouveau au fond et quand j'ouvre la porte, je vois ma femme à califourchon sur Fabrice qui me dit:"T'arrives un poil trop tard, j'ai bien joui".
Elle est plantée sur lui, épuisée, le corps en arrière et lui tournant le dos, mais cette fois, elle a sa grosse queue dans l'anus.
"Il m'a fallu plus de temps et beaucoup de gel, mais je l'ai eu son petit cul!".
Elle se dégage de son gros pieu enfoncé jusqu'aux couilles, en soufflant:"Oufffff, il m'a tuée, je sens plus mon cul! Je sais pas comment tu fais!".
Ils partiront tous les deux, presque en même temps chacun de son coté.
Le soir venu, on échanges nos impressions, elle me dira:"Il baise bien, mais c'est trop pour moi, je pourrais pas baiser tous les jours comme ça! Et je pense qu'il préfère les hommes, mais toi, qu'est ce ça t'as fait de nous voir".
"C'est bizarre, voir ma femme se taper le mec qui m'encule, c'est étrange! C'est pour ça que je préfère qu'on garde un jardin secret, je suppose qu'avec ton amant, Patrice, tu pratiques des choses que tu veux garder pour toi".
"Oui, pour l'instant en tout cas! Avec lui, il y a une relation dominante de sa part qui m'excite, ses délires m'attirent, mais je sais pas jusqu'où aller, parce que ce contrôle sur moi, je pense en avoir besoin".
"Tu Verras!".
Je la prends dans mes bras, l'embrasse tendrement, et ajoute:"Je te fais confiance! Moi, tu sais que c'est pas mes délires".
"Merci! Pourtant avec Fabrice, tu te fais dominer et insulter!".
"Oui, mais ça s'arrête là! Au maximum, quelques claques sur les fesses, par contre, repousser mes limites anales, j'aime".
Quelques jours ont passé, elle m'a retrouvé à la boutique après son travail vers 16h30, puis c'est au tour de Fabrice d'entrer à 17h30.
Ce n'était pas prévu, du tout, le commerce est vide pour le moment, je m'occupe de faire du rangement.
Le temps passe, puis je vois que Fabrice taquine ma coquine en lui caressant le pubis sous sa jupe.
A travers la vitrine, au loin, je vois arriver un client du magasin.
"Cachez vous, y a quelqu'un!".
Ils entrent dans les W-C derrière eux, je lance un CD, pour couvrir le son, me méfiant des réactions de ma femme.
Une demi-heure plus tard, je leur dis:C'est bon, vous pouvez sortir!".
La porte s'ouvre, et je vois ma femme collée au mur avec Fabrice plantée en elle, qui la baise frénétiquement.
"Allez dans l'arrière salle, vous serez plus tranquille, et c'est plus discret".
Ils s'y rendent, sans se rhabiller, en se pressant.
Je ferme derrière eux et monte le son.
Les clients s'enchainent dans le magasin jusqu'à 19 h, je ferme fortement intrigué de savoir ce qu'ils ont pu faire pendant tout ce temps.
Je vais voir, et tombe sur la vue imprenable de ma femme en levrette cambrée et enculée par Fabrice qui commence à ralentir ses assauts.
Ma femme à sa main derrière elle, qui retient le ventre de Fabrice et le supplie:"Stop! j'en peux plus, je sens plus mon cul, arrêtes s'il te plait".
Je demande:"Qu'est-ce qu'il y a?".
"Il arrive pas à jouir! et moi, j'en peux plus".
Je regarde Fabrice, qui lui dit:"C'est bon, je te laisse tranquille".
Elle lui répond, je suis désolée Fabrice".
"C'est pas ta faute".
Je demande à ma femme:"Ca te déranges, si je reste avec lui?".
"Non, je comprends!".
Elle rentre en nous laissant seuls, Fabrice éjaculera en me faisant ce qu'il adorait le plus; m'enculer en me faisant juter sur mon visage.
Quelques jours plus tard, avant un rapport, il m'annonce:"Tu sais, j'ai compris une chose depuis la dernière fois avec ta femme, c'est sûr que je préfère les mecs".
"Je m'en doutais".
"Oui, mais le fait que j'en sois conscient, je l'assume mieux, ça m'aide beaucoup, et puis depuis le temps qu'on se connait, j'aime toujours autant te baiser, ça veut dire aussi quelque chose".
Notre rapport fut intense, et après, son éjaculation, je l'ai trouvé beaucoup plus caressant et tendre.
J'avoue que malgré les fortes envies de sexe et mes possibilités anales qu'on repoussait toujours plus loin, on y ajoutait de plus en plus de complicité et de tendresse.
Le fait qu'elle soit au courant de ma relation avec lui, me simplifiait la vie, plus besoin d'excuses, ce qui changeait, c'est que dans nos rapports sexuels, elle me demandait de lui raconter nos ébats.
Elle aussi me racontait ses exploits avec Patrice, et commençait à partager ses doutes, sur la continuité de leur relation.
Cela s'est passé en semaine, Fabrice est venu à midi, ma femme nous a rejoint en apportant de quoi manger.
La gêne de la présentation passée, nous nous restaurons, tout en discutant, je vois le regard d'envie de Fabrice envers ma femme.
Après avoir bu pour faire passer nos aliments, Fabrice m'attire vers lui et pose ma main sur sa bite gonflée à travers son pantalon.
Pendant que je lui caresse la queue, il se libère de son vêtement qui laisse apparaitre sa superbe bite.
Il m'appuie sur le haut du crâne, pour m'emmener sur son membre, en disant:"Montres lui comme tu aimes ma bite, salope!".
Il garde sa pression pour m'enfoncer sur lui jusqu'aux couilles, et entame encore comme à son habitude une gorge profonde perverse.
Très vite, je salive abondamment sur son sexe.
Je vois ma chère compagne, glisser une main dans sa culotte, pour se caresser le clitoris en nous matant.
"Oh, vous m'excitez! Hummmmm".
Fabrice lui lance alors:"Tu veux me sucer avec lui?".
Elle me rejoint et nous commençons un jeu de langues complices autour de sa bite.
"Putain, c'est bon ça!".
Il lui fait subir une gorge profonde, pendant un petit moment, à elle aussi, mais a cause de sa petite bouche, la pratique est peu concluante.
Il me pénètre à nouveau la gorge, puis quelques minutes après, ordonne:"Je veux ton cul maintenant!".
Ma chère et tendre, reprends sa place en se masturbant à nouveau, pendant que je baisse le pantalon qui couvrait mes fesses cambrées.
je m'appuie contre le meuble devant nous.
Fabrice prend place derrière moi, crache sur mon anus et pointe son énorme sexe en appuyant déjà pour me pénétrer.
Il pratique de petits mouvements de bassin contre mon cul, qui ont pour effet d'écarter progressivement mon œillet, il ne lui faut plus beaucoup de temps pour atteindre enfin le fond de mon cul en me faisant gémir de plaisir.
"Ahhh, c'est bon Fabrice, vas-y lâches-toi!".
"C'est sûr, je vais me lâcher, je vais bien de défoncer le cul devant ta femme, hein salope! regarde comme elle se branle".
""Oh, ça m'excite! J'adore vous voir baiser".
Il me donne de grandes claques sur les fesses en me pénétrant énergiquement à fond, sous un flot d'insultes perverses.
Son ardeur, me provoque un premier orgasme anal puissant, que ma chère compagne rejoint avec ses doigts.
"Oh, vous m'excitez! Ahhhhhhhhhh, je jouis".
C'est le moment que Fabrice choisit pour me demander de me mettre en levrette, pour changer de position.
Position qui changera trois fois, m'offrant encore deux orgasmes, sous les yeux de ma femme qui a enlevé sa jupe et sa culotte pour mieux se caresser et jouir une autre fois.
Malgré tout cette ambiance, je garde les yeux sur terre en demandant:"Quelle heure est-il?".
"Presque 14h" Réponds Fabrice.
"Je dois rouvrir mon commerce, tu n'as pas joui, on fait comment?".
"Pas grave, au cas ou, je reviens ce soir!".
"Bon, je vous laisse vous rhabiller, je ferme la porte, ne faites pas de bruits".
Je réalise qu'on a pris trop de temps pour discuter et nous restaurer., je remarque de l'intérieur, déjà, des clients attendre devant la porte de la boutique.
"Bonjour, Messieurs, Dames!".
Je lance un CD pour mettre une ambiance avec un niveau de son moyen.
Au bout, de 15 minutes environ, j'entends faiblement:"Mmmmmmmmmmm".
Je monte le son de la musique, en me demandant ce qui se passe dans l'arrière salle au fond.
Les clients ressortent un peu plus tard en me réservant quelques produits.
Je retourne au fond et j'ouvre la porte.
Je vois ma femme pliée en avant, complètement nue, une main de Fabrice la tenant par l'épaule, l'autre lui malaxant le sein droit, avec son énorme sexe dans la chatte qui la burine sauvagement.
"Elle est bonne ta salope!".
Elle se mord le bras pour ne pas crier, puis me dit:"Ahhhhh,Il baise bien,ahhhhh, elle est grosse sa queue! c'est fort! Ahhhhh".
La sonnerie d'entrée résonne, je referme la porte en leur disant:"Faites moins de bruits! s'il vous plait!".
"Bonjour, Messieurs, Dames!".
Je m'occupe de ces nouveaux clients, perturbé par ce qui peut se passer entre eux, les gens qui sont des clients réguliers, me prennent beaucoup de marchandises et ne quittent la boutique que plus de 40 minutes aprèsJe retourne à nouveau au fond et quand j'ouvre la porte, je vois ma femme à califourchon sur Fabrice qui me dit:"T'arrives un poil trop tard, j'ai bien joui".
Elle est plantée sur lui, épuisée, le corps en arrière et lui tournant le dos, mais cette fois, elle a sa grosse queue dans l'anus.
"Il m'a fallu plus de temps et beaucoup de gel, mais je l'ai eu son petit cul!".
Elle se dégage de son gros pieu enfoncé jusqu'aux couilles, en soufflant:"Oufffff, il m'a tuée, je sens plus mon cul! Je sais pas comment tu fais!".
Ils partiront tous les deux, presque en même temps chacun de son coté.
Le soir venu, on échanges nos impressions, elle me dira:"Il baise bien, mais c'est trop pour moi, je pourrais pas baiser tous les jours comme ça! Et je pense qu'il préfère les hommes, mais toi, qu'est ce ça t'as fait de nous voir".
"C'est bizarre, voir ma femme se taper le mec qui m'encule, c'est étrange! C'est pour ça que je préfère qu'on garde un jardin secret, je suppose qu'avec ton amant, Patrice, tu pratiques des choses que tu veux garder pour toi".
"Oui, pour l'instant en tout cas! Avec lui, il y a une relation dominante de sa part qui m'excite, ses délires m'attirent, mais je sais pas jusqu'où aller, parce que ce contrôle sur moi, je pense en avoir besoin".
"Tu Verras!".
Je la prends dans mes bras, l'embrasse tendrement, et ajoute:"Je te fais confiance! Moi, tu sais que c'est pas mes délires".
"Merci! Pourtant avec Fabrice, tu te fais dominer et insulter!".
"Oui, mais ça s'arrête là! Au maximum, quelques claques sur les fesses, par contre, repousser mes limites anales, j'aime".
Quelques jours ont passé, elle m'a retrouvé à la boutique après son travail vers 16h30, puis c'est au tour de Fabrice d'entrer à 17h30.
Ce n'était pas prévu, du tout, le commerce est vide pour le moment, je m'occupe de faire du rangement.
Le temps passe, puis je vois que Fabrice taquine ma coquine en lui caressant le pubis sous sa jupe.
A travers la vitrine, au loin, je vois arriver un client du magasin.
"Cachez vous, y a quelqu'un!".
Ils entrent dans les W-C derrière eux, je lance un CD, pour couvrir le son, me méfiant des réactions de ma femme.
Une demi-heure plus tard, je leur dis:C'est bon, vous pouvez sortir!".
La porte s'ouvre, et je vois ma femme collée au mur avec Fabrice plantée en elle, qui la baise frénétiquement.
"Allez dans l'arrière salle, vous serez plus tranquille, et c'est plus discret".
Ils s'y rendent, sans se rhabiller, en se pressant.
Je ferme derrière eux et monte le son.
Les clients s'enchainent dans le magasin jusqu'à 19 h, je ferme fortement intrigué de savoir ce qu'ils ont pu faire pendant tout ce temps.
Je vais voir, et tombe sur la vue imprenable de ma femme en levrette cambrée et enculée par Fabrice qui commence à ralentir ses assauts.
Ma femme à sa main derrière elle, qui retient le ventre de Fabrice et le supplie:"Stop! j'en peux plus, je sens plus mon cul, arrêtes s'il te plait".
Je demande:"Qu'est-ce qu'il y a?".
"Il arrive pas à jouir! et moi, j'en peux plus".
Je regarde Fabrice, qui lui dit:"C'est bon, je te laisse tranquille".
Elle lui répond, je suis désolée Fabrice".
"C'est pas ta faute".
Je demande à ma femme:"Ca te déranges, si je reste avec lui?".
"Non, je comprends!".
Elle rentre en nous laissant seuls, Fabrice éjaculera en me faisant ce qu'il adorait le plus; m'enculer en me faisant juter sur mon visage.
Quelques jours plus tard, avant un rapport, il m'annonce:"Tu sais, j'ai compris une chose depuis la dernière fois avec ta femme, c'est sûr que je préfère les mecs".
"Je m'en doutais".
"Oui, mais le fait que j'en sois conscient, je l'assume mieux, ça m'aide beaucoup, et puis depuis le temps qu'on se connait, j'aime toujours autant te baiser, ça veut dire aussi quelque chose".
Notre rapport fut intense, et après, son éjaculation, je l'ai trouvé beaucoup plus caressant et tendre.
J'avoue que malgré les fortes envies de sexe et mes possibilités anales qu'on repoussait toujours plus loin, on y ajoutait de plus en plus de complicité et de tendresse.
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