Ma femme et mon amant 2, Un accident de parcours.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Ma femme et mon amant 2, Un accident de parcours.
Cette situation là, je l'ai pas vue venir. Ma relation avec Fabrice était acceptée par ma femme, qui du fait, se sentait moins coupable de s'amuser de son coté.
Ils avaient d'ailleurs baisé, ensemble, deux fois, alors que j'étais proche d'eux.
Fabrice m'avait rejoins à la boutique après son boulot, en apportant un paquet de bières "Adelscott".
Peu de temps après, nous voyons arriver ma femme, qui fait la bise à Fabrice.
Je suis étonné de la voir, elle devait passer l'après-midi avec une amie. Fabrice lui demande:"Ca va?".
"Pas trop, je suis contrariée!".
"Ah, bon pourquoi?".
"Je peux pas te le dire". dit-elle en me regardant.
"Il est au courant!".
"En fait, je suis pas allée voir ma copine, je devais voir Patrice, pour baiser, mais il a annulé!".
"C'est pas si grave que ça! Non?". Ajoute Fabrice.
"Oui, mais ça faisait longtemps qu'on s'était pas vus, j'en avais vraiment envie !".
"Bon, allez bois une bière, ça va te détendre!".
"Je dis pas non".
Fabrice demande à nouveau:"Tu le vois souvent ce Patrice?".
"je sais pas, ça dépend, entre une et cinq fois par mois, suivant ses envies et les miennes, pas autant que vous c'est sûr! Mais ça fait un peu plus d'un an que ça dure!".
"Nous, on aura pas cette chance!". Ajoute Fabrice.
Nous plaisantons tous les trois en buvant, le temps passant, je vois que ma chère et tendre, devient complètement pompette et joviale.
La journée avait été calme au niveau client, la coupe du monde 1998, n'arrangeait pas tout le monde.
Je vois ma femme, qui commence a faire des allusions sexuelles sur ma relation avec Fabrice et sur sa grosse queue.
Elle envoie sa main sur son sexe, pour le caresser à travers son pantalon.
"Oh, coquine, arrêtes, sinon, je réponds pas de mes actes!".
"J'en ai envie, baises-moi, par contre, tu m'encules pas, t'es trop gros! bébé, je peux?".
Fabrice me fixe avec un regard questionneur, je me doutais que cela allait arriver, l'alcool a un effet aphrodisiaque sur ma femme.
Je hoche la tête, en demandant:"T'en as envie?".
"Bien sûr!".
"Bon, allez vous enfermer, on ne sait jamais, même s'il y a pas grand monde".
Ma femme m'embrasse et me dit sur un ton rieur:"Merci, mon amour, désolé, faut que je baise! j'ai repensé à sa queue et j'en ai eu envie".
Ils disparaissent dans l'arrière salle.
Très vite, au bout de 5 minutes, j'entends les premiers murmures, je mets un peu de musique, pour couvrir le son et pour mieux m'empêcher d'aller regarder.
Il me reste une heure à tenir avant la fermeture.
C'en est trop, j'entends hurler ma belle depuis un moment, presque trente minutes, je vais les mater pour voir ce qu'il lui fait.
Elle est à califourchon sur le canapé, avec Fabrice sous elle qui lui défonce la chatte, ses seins sont secoués par ses allées venues sur sa grosse bite.
"Je vais encore jouir, Fabrice, ahhhhhhhhh, merci mon amour, elle est bonne sa queue, tu le sais, pas vrai?".
"Oui! je sais".
"Ahhhhhhh, je jouis, aaaaaahhhh".
Fabrice se dégage de cette position, pour la mettre en levrette et lui pénétrer à nouveau la chatte.
"Ouhhhh, oui encore!".
"Elle est insatiable ta salope!".
"Bon, je vous laisse finir, je retourne à mon poste".
Le reste du temps, est agrémenté de cris et suppliques de ma femme (Dans le style: encore, oui défonces-moi, je jouis, oh putain c'est bon, sans compter le nombre important de râles de jouissances).
L'heure de fermer arrive bientôt, je décide de ne pas attendre, personne ne viendra, je vais fermer la porte d'entrée.
Je vais voir les deux complices du moment, et surprends ma femme mordant le canapé sous elle pendant que Fabrice écartèle à grands coups de queue son anus.
"C'est elle qui me l'a réclamé!".
"Je suis trop excitée, ahhhhhhhhhh, encore, encules-moi!".
Elle reprends:"Ahhhhhhhhhhh, je jouis, ahhhhhhhhhhh".
"Putain, elle est bonne ta salope, P...! Elle va me faire jouir".
"Oui, s'il te plait, viens dans mon cul!".
Il la burine encore quelques minutes et en l'écroulant sur le ventre, éjacule tout son sperme, bien enfoncé dans son cul.
Après un léger temps de récupération, ma belle dit:"Humm, ça me rassure, que tu ai jouis, ça prouve que t'aimes pas que les hommes!".
Il rit et réponds:"Tu sais bien encaisser, pour une femme, et t'es bandante surtout!".
Puis me demande:"Ca va?, tu le prends bien?".
"Oui, par contre, je m'y attendais pas!".
Il sort du cul de ma femme, et me fais un signe pour que j'approche, en lui écartant les fesses.
"Regarde comme elle est bien ouverte, et le sperme qui remonte!".
"Vous êtes des pervers!" dit elle.
"Ca t'excite pas, peut-être?".
"Si!"Il remarque que je bande fermement.
"Tu vas rester comme ça?".
"Je pense pas!".
J'ouvre ma braguette et plante ma queue dans la bouche de ma femme, qui me suce énergiquement aussitôt.
"Je bande depuis que vous avez commencé à baiser! Enfoirés!".
L'excitation est trop forte, je ne résiste guère plus de cinq minutes avant d'exploser dans sa gorge.
On s'est quittés, ma femme était câline toute la soirée, quand à moi, ce jour là, je n'ai pas eu ma dose de sexe anal.
Ils avaient d'ailleurs baisé, ensemble, deux fois, alors que j'étais proche d'eux.
Fabrice m'avait rejoins à la boutique après son boulot, en apportant un paquet de bières "Adelscott".
Peu de temps après, nous voyons arriver ma femme, qui fait la bise à Fabrice.
Je suis étonné de la voir, elle devait passer l'après-midi avec une amie. Fabrice lui demande:"Ca va?".
"Pas trop, je suis contrariée!".
"Ah, bon pourquoi?".
"Je peux pas te le dire". dit-elle en me regardant.
"Il est au courant!".
"En fait, je suis pas allée voir ma copine, je devais voir Patrice, pour baiser, mais il a annulé!".
"C'est pas si grave que ça! Non?". Ajoute Fabrice.
"Oui, mais ça faisait longtemps qu'on s'était pas vus, j'en avais vraiment envie !".
"Bon, allez bois une bière, ça va te détendre!".
"Je dis pas non".
Fabrice demande à nouveau:"Tu le vois souvent ce Patrice?".
"je sais pas, ça dépend, entre une et cinq fois par mois, suivant ses envies et les miennes, pas autant que vous c'est sûr! Mais ça fait un peu plus d'un an que ça dure!".
"Nous, on aura pas cette chance!". Ajoute Fabrice.
Nous plaisantons tous les trois en buvant, le temps passant, je vois que ma chère et tendre, devient complètement pompette et joviale.
La journée avait été calme au niveau client, la coupe du monde 1998, n'arrangeait pas tout le monde.
Je vois ma femme, qui commence a faire des allusions sexuelles sur ma relation avec Fabrice et sur sa grosse queue.
Elle envoie sa main sur son sexe, pour le caresser à travers son pantalon.
"Oh, coquine, arrêtes, sinon, je réponds pas de mes actes!".
"J'en ai envie, baises-moi, par contre, tu m'encules pas, t'es trop gros! bébé, je peux?".
Fabrice me fixe avec un regard questionneur, je me doutais que cela allait arriver, l'alcool a un effet aphrodisiaque sur ma femme.
Je hoche la tête, en demandant:"T'en as envie?".
"Bien sûr!".
"Bon, allez vous enfermer, on ne sait jamais, même s'il y a pas grand monde".
Ma femme m'embrasse et me dit sur un ton rieur:"Merci, mon amour, désolé, faut que je baise! j'ai repensé à sa queue et j'en ai eu envie".
Ils disparaissent dans l'arrière salle.
Très vite, au bout de 5 minutes, j'entends les premiers murmures, je mets un peu de musique, pour couvrir le son et pour mieux m'empêcher d'aller regarder.
Il me reste une heure à tenir avant la fermeture.
C'en est trop, j'entends hurler ma belle depuis un moment, presque trente minutes, je vais les mater pour voir ce qu'il lui fait.
Elle est à califourchon sur le canapé, avec Fabrice sous elle qui lui défonce la chatte, ses seins sont secoués par ses allées venues sur sa grosse bite.
"Je vais encore jouir, Fabrice, ahhhhhhhhh, merci mon amour, elle est bonne sa queue, tu le sais, pas vrai?".
"Oui! je sais".
"Ahhhhhhh, je jouis, aaaaaahhhh".
Fabrice se dégage de cette position, pour la mettre en levrette et lui pénétrer à nouveau la chatte.
"Ouhhhh, oui encore!".
"Elle est insatiable ta salope!".
"Bon, je vous laisse finir, je retourne à mon poste".
Le reste du temps, est agrémenté de cris et suppliques de ma femme (Dans le style: encore, oui défonces-moi, je jouis, oh putain c'est bon, sans compter le nombre important de râles de jouissances).
L'heure de fermer arrive bientôt, je décide de ne pas attendre, personne ne viendra, je vais fermer la porte d'entrée.
Je vais voir les deux complices du moment, et surprends ma femme mordant le canapé sous elle pendant que Fabrice écartèle à grands coups de queue son anus.
"C'est elle qui me l'a réclamé!".
"Je suis trop excitée, ahhhhhhhhhh, encore, encules-moi!".
Elle reprends:"Ahhhhhhhhhhh, je jouis, ahhhhhhhhhhh".
"Putain, elle est bonne ta salope, P...! Elle va me faire jouir".
"Oui, s'il te plait, viens dans mon cul!".
Il la burine encore quelques minutes et en l'écroulant sur le ventre, éjacule tout son sperme, bien enfoncé dans son cul.
Après un léger temps de récupération, ma belle dit:"Humm, ça me rassure, que tu ai jouis, ça prouve que t'aimes pas que les hommes!".
Il rit et réponds:"Tu sais bien encaisser, pour une femme, et t'es bandante surtout!".
Puis me demande:"Ca va?, tu le prends bien?".
"Oui, par contre, je m'y attendais pas!".
Il sort du cul de ma femme, et me fais un signe pour que j'approche, en lui écartant les fesses.
"Regarde comme elle est bien ouverte, et le sperme qui remonte!".
"Vous êtes des pervers!" dit elle.
"Ca t'excite pas, peut-être?".
"Si!"Il remarque que je bande fermement.
"Tu vas rester comme ça?".
"Je pense pas!".
J'ouvre ma braguette et plante ma queue dans la bouche de ma femme, qui me suce énergiquement aussitôt.
"Je bande depuis que vous avez commencé à baiser! Enfoirés!".
L'excitation est trop forte, je ne résiste guère plus de cinq minutes avant d'exploser dans sa gorge.
On s'est quittés, ma femme était câline toute la soirée, quand à moi, ce jour là, je n'ai pas eu ma dose de sexe anal.
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