Ma femme et mon pote complices ?
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme et mon pote complices ?
J'étais vraiment dans la merde !
Ma société était au bord du dépôt de bilan. Je n'en dormais plus. Les angoisses m'envahissaient, j'étais prêt à tout pour trouver de l'argent frais pour renflouer la caisse.
J’en parlais tout autour de moi pour trouver une solution. Puis un matin, l’appel d’un vieux pote, perdu de vue, que j’avais recontacté pour m’aider.
- « J’ai peut-être une solution à ton problème. On peut se voir à midi ? »
- « Heu, si tu veux », je lui réponds un peu pris de cours.
A midi on se retrouve au café en bas du bureau.
Mon pote n'a pas changé. Toujours cette assurance prétentieuse, celui à qui rien ne résiste
Le type qui l’accompagne est un japonais, un Sumo de plus de 2 mètres de taille. Il aborde de suite le sujet.
- « Je te présente Tsu LI, industriel japonais. Il est à Paris jusqu'après-demain soir pour trouver des entreprises en difficultés qu'il pourrait renflouer avec en contre partie une prise de capital ou d'actions. Il n'a pas beaucoup de temps libre et ton affaire l'intéresse mais il en a plusieurs à voir ».
A ces mots mon ventre se serre, je dois assumer si je veux me sauver.
- « On peut aller au restaurant ensemble tous les trois ce soir ou demain si tu veux ».
- « Non à vrai dire je lui ai parlé de ta femme et combien elle était jolie. Cela l'a beaucoup intéressé et je crois que Chantal pourrait influencer sa décision ».
Je reste interdit. Que venait faire ici ma femme !
Surtout que je savais moi qu’elle ne voulait plus revoir ce pote qu'on avait un peu fréquenté quelques mois auparavant. Comment m'en sortir. Tant pis, je plonge.
- « OK dis-je, elle sera tout à fait ravie de se joindre à nous ».
On se sépare assez vite.
Tout de suite j’appelle ma femme pour lui proposer cette soirée. Je propose de les recevoir à la maison ou aller au restaurant. Je redoute sa réaction, la connaissant bien.
- « Il n'en est pas question ! Ce type est un salaud et il ne mettra pas les pieds ici et encore moins pour dîner ».
Mes espérances s'envolaient. Pourtant il fallait la faire fléchir.
- « Et si on allait au restaurant tous les quatre ? J'ai vraiment besoin du fric de ce japonais. Tu n'auras qu'à t'intéresser à lui et négliger mon pote ».
Je la sens qui hésite, j'en profite pour renchérir :
- « Tu te fais belle et souriante, c'est tout. Pour me sauver, nous sauver... ».
Un silence qui dure une éternité…
- « Fait comme tu veux mais ne me demande pas de sourire à ce con ! Si je comprends bien tu me demandes de jouer les putes! ».
- « N'exagère pas, le japonais mesure deux mètres et pèse 200 Kilos. Il n'est certainement pas un obsédé comme mon pote. »
- « Heureusement encore que tu ne me demandes pas baiser avec lui ! ».
- « Je t'aime ».
- « Oui, oui, arrête ton char, hypocrite. Ils viennent quand tes clients? ».
- « Demain soir ».
- « En plus; je n'ai même pas le temps de préparer un bon repas. Tant pis pour eux. J'aurais préféré les recevoir. On ira au restaurant ».
J'étais fou de joie. Il ne manquait plus maintenant qu'elle accepte d'être agréable avec mes acheteurs.
- « Salut, René. C'est OK pour demain soir, on dîne au restaurant et Chantal est ravie ».
Un mensonge certes mais il fallait y mettre le paquet.
- « J'espère que cela me permettra d'obtenir ce fric. Pour me sauver, je suis prêt à tout! »
Je ne sais pas pourquoi, mais à cet instant je me rends compte de ce que je venais de dire. Et mon pote ne manque pas de saisir l'allusion que sous entendait ma phrase.
- « Si je me souviens bien, Chantal est une femme superbe et c'est là ton meilleur atout. Mon gros nounours est très sensible à la beauté et servilité des européennes. Et si tu es prêt à tout... ».
Cette dernière phrase me fait battre le cœur à cent à l'heure. Il me conseillait simplement de leur offrir ma femme en cadeau de bienvenue et contre des sous! Et si c’était du bluff et son objectif d’instrumentaliser Chantal pour un propre projet ?
J'aime ma femme et l'idée de la donner, même en idée à ce salaud me rend fou de rage. Mais en même temps je me sens envahir par une excitation violente, comme jamais.
Toute la fin de journée au boulot je n’ai fait que penser à demain.
Pour mes affaires bien sûr mais aussi pour l’ambigüité de cet accord.
A la fin du dîner, ce même soir, je la questionne sur le pourquoi de cette aversion envers ce vieux pote. Je la sens hésitante et tout de suite une pointe de jalousie s’empare de moi. Elle me cache quelque chose. Je la cuisine, je veux savoir.
- « Chantal, tu me caches quelque chose. Qu’est-ce qu’il t’a fait René pour lui en vouloir si longtemps. Il y a une éternité qu’on ne l’a vu. Dis-moi ».
Alors soudain, elle se lâche timidement. Un soir que j’étais en conférence à l’étranger, il l’avait invité à dîner. Un long silence.
Elle finit par avouer que ce soir là il l'avait fait boire et qu'il avait tenté d'abuser d'elle. En la poussant à avouer elle me donna plus de détails. Toute la soirée, il n’a pas arrêté de la toucher, la frôler, se frotter à elle à la moindre occasion il a même tenté des caresses. Toute la soirée, elle n’a fait que chercher à s’échapper, le fuir. Mais sûr de sa séduction, de son charme, rien n’y faisait. Il l'avait pelotée même à la fin du repas, sans vergogne. Elle prétend qu’elle ne s'est pas laissée faire. Plus tard, elle a compris qu’il l’avait fait boire subtilement car elle s’est sentie un peu saoule, avec une volonté affaiblie. Elle réagissait moins à ses avances, ses allusions foireuses au sexe, aux femmes. Elle s’est même surprise à rire de ses blagues poisseuses. Il a dû croire l’affaire dans le sac, que la belle était cuite, et qu’il pouvait porter l’estocade !
Sans force de réagir, à ce moment là, un verre de cognac à la main, elle s’est affalée sur le fauteuil de son salon. Il s’est approché et s’est assis sur le dossier du fauteuil et a entrepris de lui saisir le sein à sa portée. Elle s’est d’abord rebiffée rejetant sans ménagement cette main violeuse.
Vexé il a montré des signes agressifs accompagnés de mots violents. Elle a pris peur mais sans vraiment de volonté ni de force pour s’enfuir.
Il a alors sorti alors sa bite et se mit à se masturber devant elle, elle m'avoua avoir été troublée devant la taille de son engin. Il a pris sa main pour qu'elle le branle, elle a refusé. Il lui a alors demandé de lui montrer ses seins pour le faire jouir. Elle a pensé que c'était le bon moyen de se débarrasser de lui et d'en finir le plus vite. Elle ne savait plus très bien ce qu’elle faisait.
- « J’ai donc ouvert son chemisier, abaissé son soutien gorge et montré ma poitrine à cet obsédé. Il m’a ordonné de les caresser devant lui. Je l’ai fait. Il a accéléré son mouvement et très vite, avant que j’aie pu réagir, il a éjaculé une énorme quantité de sperme en criant des mots orduriers. Il n'a même pas essayé de détourner son jet et son sperme est venu s'écraser sur mes seins, une giclée a même atteint mon visage, sur mes lèvres. J’étais dégoûtée. Folle de rage, cette giclée, ressentie comme une souillure m’a ramenée complètement à la réalité.
J’ai foutu le camp après m'être rapidement nettoyée, et rhabillée. Il ronflait affalé sur un fauteuil du salon ».
Elle ne devait jamais plus le revoir.
En écoutant son aventure je suis pris d’une énorme érection que j’ai du mal à cacher.
- « Je vois que cette histoire te fait de l’effet me jette-t-elle avec un regard de colère. Tu es vraiment un obsédé mon pauvre mari ».
- « Tu m’as quand même avoué que tu avais été troublée par la taille de son engin ».
- « M’ouais, c’est vrai mais c’était pure curiosité. Ce qui m’a un excité si tu veux savoir, c’est de le voir se masturber en regardant mes seins. Mais jamais je ne me suis sentie attirée par son sexe ».
Sur ces mots je lui avoue que toute cette histoire m’a excité. Je me lève et m’approche d’elle par derrière. Je l’embrasse dans le cou tandis que mes mains lui caresse les seins. Elle se laisse faire car elle adore qu’on lui pelote la poitrine. Ses pointes s’érigent rapidement quand je les fais rouler entre mes doigts sur le vêtement.
Elle se lève et d’autorité, elle m’entraîne dans la chambre et elle se déshabille en se laissant tomber sur le lit. Je la rejoints et très vite on se retrouve nus tous les deux.
- « Alors, parle-moi de cette bite. Elle est plus grosse que la mienne ? ».
- « … ».
- « Dis-moi, s’il te plait dis-moi que de voir cette bite cela t’a troublée ».
- « … ».
Je n’arrivais pas à lui tirer le moindre mot mais en la caressant je sentais qu’elle commençait à prendre du plaisir. Quand je me suis introduis en elle, je n’ai pas retrouvé ses réactions. Parano, c’est moi qui suis fixé sur ce mec ? Quand je commence à lui faire l’amour en limant doucement et de plus en plus vite son minou, je la sens cette fois plus excitée que d’aventure. Je ne peux m’empêcher de lui souffler :
- « C’est sa bite que tu imagines qui te baise ? ».
- « … ».
Mais très vite je la sens qui monte dans le plaisir et très vite je l’entends jouir en même temps que j’éjacule ma semence en elle. Je jouis également très fort, avec un mélange de sexe mais aussi de jalousie.
Chantal n’est pas très exubérante, de petits gémissements avec une accélération de la respiration ; au moment de jouir, elle ne crie pas très fort mais elle pousse des cris super excitants, se retenant de manifester ce qui lui paraît vulgaire. Je n’ai jamais réussi à la faire hurler. Cette fois dans mes élucubrations, j’ai comme l’impression qu’elle jouit sans moi.
Mais qu’elle est belle toute nue, les yeux fermés à reprendre son souffle après la jouissance. Elle a de très jolis seins aux aréoles « brun caramel ». Leur pointe est très marquée et bande au moindre contact. C’est du plus bel effet quand en été elle accepte de porter un simple teeshirt sans sous vêtement. Les bouts durcis pointent sous le mince coton attirant les regards des mâles en rut.
J’ai du mal à m’endormir. Son comportement est suspect. Elle rejette ce mec et en même temps je la trouve énervée quand je lui en parle.
Avant de nous endormir, je lui rappelle le dîner de demain en insistant sur son importance pour notre avenir. Elle me tourne le dos sans un mot et s’endort rapidement.
(à suivre)
Ma société était au bord du dépôt de bilan. Je n'en dormais plus. Les angoisses m'envahissaient, j'étais prêt à tout pour trouver de l'argent frais pour renflouer la caisse.
J’en parlais tout autour de moi pour trouver une solution. Puis un matin, l’appel d’un vieux pote, perdu de vue, que j’avais recontacté pour m’aider.
- « J’ai peut-être une solution à ton problème. On peut se voir à midi ? »
- « Heu, si tu veux », je lui réponds un peu pris de cours.
A midi on se retrouve au café en bas du bureau.
Mon pote n'a pas changé. Toujours cette assurance prétentieuse, celui à qui rien ne résiste
Le type qui l’accompagne est un japonais, un Sumo de plus de 2 mètres de taille. Il aborde de suite le sujet.
- « Je te présente Tsu LI, industriel japonais. Il est à Paris jusqu'après-demain soir pour trouver des entreprises en difficultés qu'il pourrait renflouer avec en contre partie une prise de capital ou d'actions. Il n'a pas beaucoup de temps libre et ton affaire l'intéresse mais il en a plusieurs à voir ».
A ces mots mon ventre se serre, je dois assumer si je veux me sauver.
- « On peut aller au restaurant ensemble tous les trois ce soir ou demain si tu veux ».
- « Non à vrai dire je lui ai parlé de ta femme et combien elle était jolie. Cela l'a beaucoup intéressé et je crois que Chantal pourrait influencer sa décision ».
Je reste interdit. Que venait faire ici ma femme !
Surtout que je savais moi qu’elle ne voulait plus revoir ce pote qu'on avait un peu fréquenté quelques mois auparavant. Comment m'en sortir. Tant pis, je plonge.
- « OK dis-je, elle sera tout à fait ravie de se joindre à nous ».
On se sépare assez vite.
Tout de suite j’appelle ma femme pour lui proposer cette soirée. Je propose de les recevoir à la maison ou aller au restaurant. Je redoute sa réaction, la connaissant bien.
- « Il n'en est pas question ! Ce type est un salaud et il ne mettra pas les pieds ici et encore moins pour dîner ».
Mes espérances s'envolaient. Pourtant il fallait la faire fléchir.
- « Et si on allait au restaurant tous les quatre ? J'ai vraiment besoin du fric de ce japonais. Tu n'auras qu'à t'intéresser à lui et négliger mon pote ».
Je la sens qui hésite, j'en profite pour renchérir :
- « Tu te fais belle et souriante, c'est tout. Pour me sauver, nous sauver... ».
Un silence qui dure une éternité…
- « Fait comme tu veux mais ne me demande pas de sourire à ce con ! Si je comprends bien tu me demandes de jouer les putes! ».
- « N'exagère pas, le japonais mesure deux mètres et pèse 200 Kilos. Il n'est certainement pas un obsédé comme mon pote. »
- « Heureusement encore que tu ne me demandes pas baiser avec lui ! ».
- « Je t'aime ».
- « Oui, oui, arrête ton char, hypocrite. Ils viennent quand tes clients? ».
- « Demain soir ».
- « En plus; je n'ai même pas le temps de préparer un bon repas. Tant pis pour eux. J'aurais préféré les recevoir. On ira au restaurant ».
J'étais fou de joie. Il ne manquait plus maintenant qu'elle accepte d'être agréable avec mes acheteurs.
- « Salut, René. C'est OK pour demain soir, on dîne au restaurant et Chantal est ravie ».
Un mensonge certes mais il fallait y mettre le paquet.
- « J'espère que cela me permettra d'obtenir ce fric. Pour me sauver, je suis prêt à tout! »
Je ne sais pas pourquoi, mais à cet instant je me rends compte de ce que je venais de dire. Et mon pote ne manque pas de saisir l'allusion que sous entendait ma phrase.
- « Si je me souviens bien, Chantal est une femme superbe et c'est là ton meilleur atout. Mon gros nounours est très sensible à la beauté et servilité des européennes. Et si tu es prêt à tout... ».
Cette dernière phrase me fait battre le cœur à cent à l'heure. Il me conseillait simplement de leur offrir ma femme en cadeau de bienvenue et contre des sous! Et si c’était du bluff et son objectif d’instrumentaliser Chantal pour un propre projet ?
J'aime ma femme et l'idée de la donner, même en idée à ce salaud me rend fou de rage. Mais en même temps je me sens envahir par une excitation violente, comme jamais.
Toute la fin de journée au boulot je n’ai fait que penser à demain.
Pour mes affaires bien sûr mais aussi pour l’ambigüité de cet accord.
A la fin du dîner, ce même soir, je la questionne sur le pourquoi de cette aversion envers ce vieux pote. Je la sens hésitante et tout de suite une pointe de jalousie s’empare de moi. Elle me cache quelque chose. Je la cuisine, je veux savoir.
- « Chantal, tu me caches quelque chose. Qu’est-ce qu’il t’a fait René pour lui en vouloir si longtemps. Il y a une éternité qu’on ne l’a vu. Dis-moi ».
Alors soudain, elle se lâche timidement. Un soir que j’étais en conférence à l’étranger, il l’avait invité à dîner. Un long silence.
Elle finit par avouer que ce soir là il l'avait fait boire et qu'il avait tenté d'abuser d'elle. En la poussant à avouer elle me donna plus de détails. Toute la soirée, il n’a pas arrêté de la toucher, la frôler, se frotter à elle à la moindre occasion il a même tenté des caresses. Toute la soirée, elle n’a fait que chercher à s’échapper, le fuir. Mais sûr de sa séduction, de son charme, rien n’y faisait. Il l'avait pelotée même à la fin du repas, sans vergogne. Elle prétend qu’elle ne s'est pas laissée faire. Plus tard, elle a compris qu’il l’avait fait boire subtilement car elle s’est sentie un peu saoule, avec une volonté affaiblie. Elle réagissait moins à ses avances, ses allusions foireuses au sexe, aux femmes. Elle s’est même surprise à rire de ses blagues poisseuses. Il a dû croire l’affaire dans le sac, que la belle était cuite, et qu’il pouvait porter l’estocade !
Sans force de réagir, à ce moment là, un verre de cognac à la main, elle s’est affalée sur le fauteuil de son salon. Il s’est approché et s’est assis sur le dossier du fauteuil et a entrepris de lui saisir le sein à sa portée. Elle s’est d’abord rebiffée rejetant sans ménagement cette main violeuse.
Vexé il a montré des signes agressifs accompagnés de mots violents. Elle a pris peur mais sans vraiment de volonté ni de force pour s’enfuir.
Il a alors sorti alors sa bite et se mit à se masturber devant elle, elle m'avoua avoir été troublée devant la taille de son engin. Il a pris sa main pour qu'elle le branle, elle a refusé. Il lui a alors demandé de lui montrer ses seins pour le faire jouir. Elle a pensé que c'était le bon moyen de se débarrasser de lui et d'en finir le plus vite. Elle ne savait plus très bien ce qu’elle faisait.
- « J’ai donc ouvert son chemisier, abaissé son soutien gorge et montré ma poitrine à cet obsédé. Il m’a ordonné de les caresser devant lui. Je l’ai fait. Il a accéléré son mouvement et très vite, avant que j’aie pu réagir, il a éjaculé une énorme quantité de sperme en criant des mots orduriers. Il n'a même pas essayé de détourner son jet et son sperme est venu s'écraser sur mes seins, une giclée a même atteint mon visage, sur mes lèvres. J’étais dégoûtée. Folle de rage, cette giclée, ressentie comme une souillure m’a ramenée complètement à la réalité.
J’ai foutu le camp après m'être rapidement nettoyée, et rhabillée. Il ronflait affalé sur un fauteuil du salon ».
Elle ne devait jamais plus le revoir.
En écoutant son aventure je suis pris d’une énorme érection que j’ai du mal à cacher.
- « Je vois que cette histoire te fait de l’effet me jette-t-elle avec un regard de colère. Tu es vraiment un obsédé mon pauvre mari ».
- « Tu m’as quand même avoué que tu avais été troublée par la taille de son engin ».
- « M’ouais, c’est vrai mais c’était pure curiosité. Ce qui m’a un excité si tu veux savoir, c’est de le voir se masturber en regardant mes seins. Mais jamais je ne me suis sentie attirée par son sexe ».
Sur ces mots je lui avoue que toute cette histoire m’a excité. Je me lève et m’approche d’elle par derrière. Je l’embrasse dans le cou tandis que mes mains lui caresse les seins. Elle se laisse faire car elle adore qu’on lui pelote la poitrine. Ses pointes s’érigent rapidement quand je les fais rouler entre mes doigts sur le vêtement.
Elle se lève et d’autorité, elle m’entraîne dans la chambre et elle se déshabille en se laissant tomber sur le lit. Je la rejoints et très vite on se retrouve nus tous les deux.
- « Alors, parle-moi de cette bite. Elle est plus grosse que la mienne ? ».
- « … ».
- « Dis-moi, s’il te plait dis-moi que de voir cette bite cela t’a troublée ».
- « … ».
Je n’arrivais pas à lui tirer le moindre mot mais en la caressant je sentais qu’elle commençait à prendre du plaisir. Quand je me suis introduis en elle, je n’ai pas retrouvé ses réactions. Parano, c’est moi qui suis fixé sur ce mec ? Quand je commence à lui faire l’amour en limant doucement et de plus en plus vite son minou, je la sens cette fois plus excitée que d’aventure. Je ne peux m’empêcher de lui souffler :
- « C’est sa bite que tu imagines qui te baise ? ».
- « … ».
Mais très vite je la sens qui monte dans le plaisir et très vite je l’entends jouir en même temps que j’éjacule ma semence en elle. Je jouis également très fort, avec un mélange de sexe mais aussi de jalousie.
Chantal n’est pas très exubérante, de petits gémissements avec une accélération de la respiration ; au moment de jouir, elle ne crie pas très fort mais elle pousse des cris super excitants, se retenant de manifester ce qui lui paraît vulgaire. Je n’ai jamais réussi à la faire hurler. Cette fois dans mes élucubrations, j’ai comme l’impression qu’elle jouit sans moi.
Mais qu’elle est belle toute nue, les yeux fermés à reprendre son souffle après la jouissance. Elle a de très jolis seins aux aréoles « brun caramel ». Leur pointe est très marquée et bande au moindre contact. C’est du plus bel effet quand en été elle accepte de porter un simple teeshirt sans sous vêtement. Les bouts durcis pointent sous le mince coton attirant les regards des mâles en rut.
J’ai du mal à m’endormir. Son comportement est suspect. Elle rejette ce mec et en même temps je la trouve énervée quand je lui en parle.
Avant de nous endormir, je lui rappelle le dîner de demain en insistant sur son importance pour notre avenir. Elle me tourne le dos sans un mot et s’endort rapidement.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je comprends ton état, quand ma femme me raconte ses aventures ça me rends fou.j'adore se genre d'histoire merci