Ma femme m'avoue cruellement que je suis cocu et j'ai honte d'en ressentir du plaisir
Récit érotique écrit par lapinzaza [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme m'avoue cruellement que je suis cocu et j'ai honte d'en ressentir du plaisir
Ce que m’a fait ma femme avant de me quitter m’a semblé cruel mais ma réaction fut tellement surprenante que j’en ai eu honte pendant longtemps.
Je voudrais partager avec vous ce que j’ai vécu car aujourd’hui, avec du recul, j’assume totalement le plaisir que j’ai éprouvé.
Nous nous connaissions depuis nos 20 ans et sommes sortis ensemble très vite après nous être rencontré.
Nous sommes restés mariés près de 15 ans.
J’avais 41 ans et elle 39 ans quand est arrivé ce que je vais vous relater.
Elle avait toujours eu un physique agréable et envié par les hommes. Certains de mes amis me traitaient de chanceux. Certains devaient même fantasmer sur elle assez régulièrement…
Il faut dire qu’avec sa taille fine et ses longues jambes montées sur un buste gonflé d’une poitrine généreuse, elle avait de quoi séduire. Son visage aux traits fin, ses yeux verts, ses longs cheveux châtains et son sourire délicieux la rendait tellement attirante. Disons qu’elle parvenait fréquemment à obtenir la grâce de la gente masculine juste en faisant quelques sourires.
Je me souviens de la première fois où nous avons couché ensemble : je m’émerveillais de rentrer ma queue en elle et de la voir prendre son pied. Cette nuit-là j’ai éjaculé plusieurs fois, sur elle et en elle. Je ne me laissais pas de la voir prendre mon sperme avec autant de plaisir.
Elle était assez réservée et moi je m’en contentais largement. Pas besoin de positions extrêmes, pas de sodomie, des fellations assez courtes et uniquement en préliminaire, une sexualité très simpliste finalement.
Et ça a duré pendant tout notre vie ensemble. Nous avions une vie sexuelle de plus en plus routinière et simple. Quel gâchis ! Je ne me rendais même plus compte de sa beauté et trouvais normal de coucher avec elle.
Puis vinrent les difficultés d’une vie à deux qui s’use. Les engueulades, les frustrations, et petit à petit le sexe se faisait de plus en plus rare. Mais nous avons persisté à rester ensemble, pour tout un tas de mauvaises raisons. Si bien qu’à la fin nous ne pouvions plus nous supporter et nous ne faisions que cohabiter ensemble pendant les deux dernières années. Nous avons gardé le même lit malgré tout.
Nous avions chacun notre emploi du temps et ne partagions rien ensemble.
Une animosité s’était installée entre nous et les disputes étaient violentes (verbalement) et fréquentes.
Tout comme moi, elle rentrait parfois tard le soir, se glissait dans le lit sans un mot et me tournais le dos pour s’endormir.
Jusqu’au jour où, pour un détail, je me suis disputé avec elle à son retour. Elle venait de se rentrer et de se déshabiller pour aller prendre une douche.
La discussion s’est envenimée et elle m’a balancé : « Mais connard, tu ne comprends pas que j’en peux plus de toi ? Que je m’en fou de toi ?! Je viens de me faire baiser, regarde ! j’ai la chatte encore pleine de sperme ! Même ça tu ne le vois pas !» dit-elle avec une colère explosive. Afin de me faire comprendre le sens de sa phrase elle s’agenouilla sur le lit, le buste droit, les cuisses écartée et tira sur ses petites lèvres roses avec ses doigts. Je voyais son sexe mouillé et des larmes de sperme frais qui s’en échappaient, coulant doucement le long de ses cuisses.
Son regard était noir, elle venait de me blesser et y prenait un plaisir incommensurable.
Je suis resté bouche bée. Je ne la croyais pas capable de me tromper, trop chaste et trop respectueuse de ses principes. Mais elle était là devant moi, plus provocatrice que jamais, souillée par un autre mec.
Je ressentais une humiliation intense, je ne savais pas quoi dire, je venais de réaliser qu’elle n’était plus ma femme et qu’elle se donnait à un autre homme.
« Qui est-ce ? » dis-je balbutiant.
« Qu’est-ce que ça peut te foutre ? En tous cas il m’a bien baisée ! Et j’ai jouis comme une dingue ! » ajouta-t-elle en hurlant pour m’enfoncer plus encore, alors qu’elle sentait qu’elle avait déjà un net ascendant sur moi cette fois-ci.
Sa rage était incontrôlable. Elle poursuivit sur un ton cruel : « Lui, il me baise comme un vrai mâle, avec sa grosse queue ! Lui, il ne me ménage pas, quand il me prend c’est bestial, je suis sa salope et j’aime ça ! »
J’écoutais, affligé ce discours de vengeance qu’elle me déversait avec délectation.
A l’écouter, je l’imaginais entre les mains d’un homme viril qui en faisait ce qu’il voulait.
Passé le choc je me surpris à avoir une soudaine envie d’elle. Je ressentais une énorme montée de libido inattendue, inexplicable et très gênante en pareilles circonstances.
Je sentis venir une érection monumentale… que j’essaya de cacher comme je pu, mais c’était trop tard, elle avait remarqué que je bandais comme un âne malgré ma mine dépitée…
Elle fut étonnée devant cette improbable réaction de ma part.
Elle considéra cette érection comme un signe incontrôlé du pouvoir qu’elle avait encore sur moi.
Elle ne s’attendait pas à ce que je puisse encore bander pour elle et encore moins avec ce qu’elle venait de me dire.
Elle changea de ton et ricana : « Mais on dirait que mon mari aime être cocu ! Ça alors ! Sa femme se fait baiser par un autre homme et lui il bande au lieu de se révolter !? Mais quelle fiotte ! Tu me dégoutes ! »
Elle prit un temps de réflexion et poursuivit avec une cruauté assumée : « Alors tu sais quoi ? … Et bien je vais te raconter des détails puisque ça te fait bander ! ». Le ton était sarcastique, elle ne pensait pas qu’elle éprouverait autant de plaisir à m’avouer sa trahison. Je pense que ma réaction y était pour beaucoup, elle devait être persuadée que je me serais plutôt mis dans une colère noire et qu’elle aurait peiner à me contenir.
Je restais assis là, une gaule dure comme du bois entre les jambes, à l’écouter me raconter ses ébats, perturbé par ces émotions contraires qui me traversaient : la jalousie, la trahison mais également une puissante et honteuse excitation.
Je n’osais pas me toucher et ça devenait insupportable. Il fallait que je me branle, c’était tellement fort, je crois que j’aurais pu jouir sans me toucher si ça continuait.
Alors assez paradoxalement je me résolu à m’astiquer tout en écoutant ma femme désormais interdite, avec son corps superbe, et le sperme d’un autre luisant à l’intérieur de ses cuisses.
Son sourire narquois provoquait en moi une jalousie féroce mais je sentis également que j’avais envie d’elle comme jamais depuis bien longtemps.
J’imaginais un mâle viril entrain de la baiser, et elle se livrant à lui comme une chienne en chaleur.
L’imaginer comme ça m’excitait totalement.
Je réalisai à cet instant que jamais elle n’avait osé se comporter comme ça avec moi. Elle qui était toujours restée mesurée lors de nos ébats… romantiques et respectueux… si loin de ce qu’elle était entrain de me dévoiler.
« Tu veux que je te dise ? Il m’a baisée sur le palier cette fois-ci, juste devant la porte (nous habitions au dernier étage et il n’y avait pas de voisins en face), j’étais appuyée contre la porte quand il a soulevé ma robe pour me prendre en levrette. J’étais déjà toute mouillée parce que je savais qu’il allait me baiser avant qu’on ne se quitte. Et ça me plaisait de me faire défoncer juste devant notre porte, surtout avec toi à l’intérieur ! »
Elle poursuivit sur le ton de la vengeance : « Et si tu savais mon pauvre… »
Elle se retient un instant, hésitante sur l’impact qu’allait faire la bombe qu’elle s’apprêtait à larguer.
Elle poursuivit : « Tu veux savoir qui c’est hein ? »
Je hochai la tête, pas convaincu que ce soit une bonne idée mais hocha la tête en guise de réponse car oui, j’avais envie de savoir…
« Et bien tu le connais bien, même très bien… » Dit-elle avec un suspens qui ne laissait rien présager de bon.
Et puis elle prononça la réponse comme un coup d’épée : « C’est ton boss. »
Son visage était fermé, elle était en mode combat et venait de mettre un coup puissant, et surveillait attentivement ma réaction.
Je ne su que dire, ses révélations étaient tellement insoupçonnées que je n’arrivais plus à répondre. Je me sentis de plus en plus blessé mais également de plus en plus excité.
« On s’est revu après la fête de ta boite, je crois que je lui avais tapé dans l’œil…et j’avoue qu’il est plutôt bel homme »
Je répliquai : « Et c’est mon boss… Tu as choisi ton amant avec une incroyable cruauté ! »
« Exactement ! » s’exclama-t-elle. « Je crois que ça nous excite à mort tous les deux de penser à toi quand on baise ! »
Elle était désormais assise sur le fauteuil en face de moi, nue, les pieds posés sur l’assise, les jambes écartées et se caressait devant moi en m’avouant explicitement qu’elle repensait à mon boss qui lui avait donné tant de plaisir il y a seulement quelques minutes. Elle me provoquait, le savait et voulait me voir à ses pieds.
Quelle salope ! Je la voyais sous un autre angle désormais. Je venais de découvrir que celle avec qui j’ai passé près de 20 ans pouvait être une chienne avide de sexe sauvage.
Et le pire c’est que je ne l’ai jamais su et que je n’en ai jamais profité… Quel con, me dis-je…
Mais ce soir-là je n’éprouvais aucune colère et restait muet.
« Ça fait longtemps que tu me trompes ? » demandais-je d’une voix basse et craintive.
« Tu n’imagines pas… » Dit-elle d’un ton assuré qui laissait présager qu’elle était prête à me révéler d’autres cachoteries.
Elle prenait du plaisir à me voir me branler maladroitement. Cela lui plaisait de dominer un cocu obéissant et soumis. Celui qui lui tient tête d’habitude est vaincu. Elle se faisait une joie de me maltraiter à sa guise et semblait se venger de tout ce qui l’insupportait chez moi.
Je sentais au fond d’elle une colère et un violent désir de vengeance.
Elle était si furieuse de réaliser que son mari était une véritable lopette qu’elle se leva et fonça vers moi avec un regard noir. Je ressentis une crainte subite de ce qu’elle voulait me faire et me protégea avec les mains. Je redoutais des coups et avait vu juste. Dans une colère noire elle se mit à me donner des claques en traitant de looser, de petite bite, de sous homme, de soumis et j’en passe… Jamais je ne l’avais vue dans cet état, et jamais je n’aurais imaginé un jour que je me laisserais frappé sans chercher à la maitriser. Je pense que sa colère était nourrie par la prise de conscience qu’elle m’avait pris pour mari, qu’elle réalisait à quel point elle s’était trompé sur moi, et que de se voir avec un mec en train de bander quand on lui annonce qu’il est cocu lui était insupportable…
Elle me pris par les cheveux d’une main et m’ordonna de ne plus bouger.
Elle approcha son visage du mien et me cracha au visage avec haine. Je tentai de lever les yeux vers elle pour percevoir l’ampleur de sa méchanceté mais à peine avais-je les yeux dans les siens elle exigea que je baisse le regard et me tira la tête vers le sol.
« A genoux ! » Cria-t-elle
Sa poigne m’arrachait le scalpe dans une douleur à en pleurer. Je n’eus d’autre réaction que de me soumettre à ses ordres comme un lâche. Cette fois-ci elle me dominait physiquement également.
Je sentais qu’elle était en train de transformer sa haine démesurée envers moi en plaisir jubilatoire de me dominer.
Elle me mit une claque qui me brula la joue et cracha à nouveau sur mon visage.
Elle me regardait avec dégout et l’assurance qu’elle voulait me faire souffrir.
Elle se recula et retourna sur son fauteuil en m’ordonnant de rester sagement à genoux parterre pour écouter la suite de ce qu’elle brulait de me dire.
« Je crois que ça va être dur pour toi, mais puisqu’on est parti, je vais te dire à quel point tu es un looser. »
Je me sentis humilié, rabaissé… mais au fond de moi je dois avouer que cette humiliation provoquait une réaction que je n’aurais jamais soupçonné : un inavouable plaisir de soumission absolue. Et ce qu’elle promettait de me révéler renforçait cette excitation au plus au point.
« Tu crois que je n’ai pas envie de sexe ? Tu crois que je vais laisser la vie passer pour me retrouver un jour vieille et frustrée ?
Depuis le début j’ai compris que tu n’étais pas doué au lit et que tu ne le serais jamais.
Mais j’étais jeune, je m’en fichais, me disait que ce qui comptait c’était que nous nous aimions.
Je pensais que le sexe n’était pas important…
Mais très vite c’est devenu ennuyeux à mourir de baiser avec toi, toujours la même routine, toujours les mêmes positions… quoi que je tente tu revenais à des classiques, rien d’excitant. On en a parlé pourtant, mais je crois que tu n’as jamais compris ce que j’espérais.
Alors je faisais semblant de jouir, pour te motiver à finir plus vite, mais au fond, moi, je n’avais rien eu, j’étais en manque tu comprends ? C’était devenu insupportable ! Je mouillais rien qu’à voir un beau mec dans la rue... Alors tu imagines bien qu’à un moment il fallait que je choisisse entre rester avec toi bien rangée et faire une croix sur le sexe, ou bien te quitter et vivre une vie sexuellement épanouie.
J’ai bien réfléchi et je me suis dit que tu étais un bon gars, que tu m’offrais une situation bien confortable et surtout que tu étais un gros naïf et que je pourrais avoir tout ce que tu m’offrais plus tout le sexe qui me manquait !
Alors je me suis autorisée à faire quelques écarts...
Avec des inconnus au début, des mecs rencontrés dans les soirées, qui ne s’accrocheraient pas à moi, que je ne reverrais pas.
J’avais un peu de remords au début, alors je ne faisais que sucer.
Les mecs déchargeaient dans ma bouche et je me finissais seule.
Ah oui, ça non plus tu n’as jamais osé : m’en mettre plein la bouche ! A chaque fois que j’ai essayé tu m’a repoussé pour éjaculer proprement, toujours à côté. Sans doute que tu aurais eu l’impression de me souiller, que tu ne pouvais pas me baiser, il fallait que tu « fasses l’amouuuuur », pfff, qu’est-ce que tu es coincé…
Portant si tu savais comme j’ai adoré sentir ces mâles me balancer de grosses saccades de sperme chaud dans la bouche ! J’ai adoré être traitée comme la meilleure des salopes qu’ils n’ont jamais rencontrée.
Je les laissais me tenir par la tête par les deux mains et les sentir se crisper quand ils allaient décharger…Hmmm…
Si tu savais le nombre de mecs que j’ai pu sucer dans la boite où l’on sortait si souvent…
Mais assez vite j’ai craquée, ça ne me suffisait plus. Je ne pouvais plus me contenter de sentir que je les faisais jouir juste en suçant leurs bites. Il fallait que je la sente en moi leurs bites !
Alors je les ai laissés me baiser…
Il fallait faire vite en général, ce n’était pas très romantique mais c’était exactement ce qui me plaisait : être baisée bien profond, bien fort, par un mec qui en meurt d’envie !
Ça se passait dans les chiottes la plupart du temps pendant que toi tu dansais comme un plouc sur la piste… Tu étais tellement pathétique…
Le problème c’est que ça a commencé à se savoir au bout d’un moment… Tu te rappelles que je ne voulais plus y aller ? Et bien maintenant tu comprends pourquoi…
Mais j’avais pris goût à ces extras. Fini la culpabilité des débuts. Ça me plaisait ces cache-cache !
Je crois avoir peut-être un peu abusé quelques fois… » poursuivit-elle sur un ton inquiétant.
« Il se pourrait même que j’ais fauté avec l’un ou l’autre de… tes potes…» dit-elle sur un ton faussement horrifié, la main devant la bouche et les yeux hypocritement tristes.
Elle pris un air étonné et ajouta : « Ils ne t’ont rien dit…? Les vilains… De si bons potes pourtant… Ils voulaient certainement te protéger de la vérité qui aurait été trop violente à encaisser pour toi… Ca devait être pour ton bien… » avec un ton devenu moqueur.
« Tu savais que Marc a une queue énorme ? « Qu’est-ce qu’il m’a mis ton pote pendant les dernières vacances ensemble ! Bon, on était un peu bourrés et il se peut que je l’ais un peu chauffé aussi… Il a dû résister quoi ?...30 secondes ? Un vrai pote Marc hein ? Tu le connais depuis combien de temps déjà ? Ha oui, depuis les études… Il aime bien t’appeler « Frérot » ou « Bro » je crois ? non ?»
J’encaissais la nouvelle, et me sentais déshonoré, mais incapable de me révolter. Au contraire la façon qu’elle avait de me traiter me faisait bander encore plus. Des images arrivaient à mon cerveau et me procuraient une honteuse et exceptionnelle excitation.
« Je sais, je suis une vilaine fiiiiiiille» dit-elle en ponctuant sa phrase avec un air condescendant et assumé.
« Quand j’ai vu la queue de Marc je me suis dit que j’aurais dû en profiter bien plus tôt ! Si j’avais su… » ajouta-t-elle, d’un air déçu.
Je sentais que j’allais éjaculer… Quelle petite pute ! Comme elle a bien caché son jeu toutes ces années !
Elle se plu à me confier que dès la première fois, après l’avoir démontée bestialement en la traitant de salope et de pute, il l’avait forcée à se mettre à genoux en la tenant par les cheveux pour lui décharger sur le visage et dans sa bouche grande ouverte. Elle poussa le vice à me raconter qu’elle avait avaler son sperme et qu’elle s’était ensuite appliquée à lui nettoyer le gland avec sa langue, jusqu’à la dernière goutte…
Elle affirma que le fait que ce soit l’un de mes meilleurs potes a démultiplié le plaisir, tant pour elle que pour lui.
Il lui aurait avoué avoir eu envie de la baiser depuis toujours et s’être branlé à maintes reprises en pensant à elle. Je ne fus pas vraiment surpris de cette dernière révélation car il ne cachait bien mal son désir pour elle, ce salaud, avec son regard libidineux…je ne pensais tout de même pas qu’il oserait se comporter de la sorte.
« Bon je ne vais quand même pas te raconter toutes les fois où j’ai baiser avec ton pote pendant ces vacances là… » soupira-t-elle avec une jubilation à peine étouffée
« Je ne vais pas te dire non plus avec quels potes à toi j’ai couché non plus. Ce sera à toi d’enquêter ! Je te vois déjà en train de leur demander un par un s’ils ont baiser ta femme ! » Dit-elle en se fondant de rires grinçants.
Pendant qu’elle me parlait avec un regard hautin elle se caressait et se donnait du plaisir. Ce n’était pas pour m’en procurer, juste pour soulager toute l’excitation qu’elle éprouvait à me raconter son récit.
Sur un ton grave et déterminé elle poursuivit :
« Je dois te prévenir également d’une chose que tu dois désormais connaître pour mesurer à quel point personne ne te respecte »
Je me demandais bien ce qu’elle allait pouvoir me dire de plus cruel encore…
Elle brulait d’envie de me regarder écouter sa prochaine révélation. Je sentais à sa voix que j’allais devoir encaisser une horrible trahison de sa part. Le ton de sa voix était cruel et laissait percevoir une jubilation profonde.
Elle finit par lâcher : « Ton père est un chaud lapin… Il cache bien son jeu ce vieux pervers ! »
Je sentis là le coup de grâce, je n’osais pas imaginer une seconde que mon père ait pu toucher à ma femme ! Je ne voulais pas le croire. Et si elle bluffait juste pour me faire du mal gratuitement ?
« Je ne te crois pas une seconde ! » lui rétorquais-je fermement, arrêtant net de me masturber dans cette position ridicule.
« Et bien, attends une seconde » lança-t-elle en attrapant son téléphone et en y fouillant quelques secondes pour me brandir au visage leurs conversations whatsapp. Elle remonta le fil jusqu’à ce qu’elle trouve ce qu’elle cherchait.
« Tu n’as qu’à lire toi-même » dit-t-elle en me tendant le téléphone en me faisant un clin d’œil.
Lorsque je vis les émoticones Aubergine et Flamme je compris qu’elle ne bluffait pas…
Sous le pseudo si respectueux de « Beau Papa » je lisais mon propre père écrire le plus crument du monde, ce qui était déjà bouleversant en soi, à ma femme, ce qui était inconcevable.
Il lui parlait comme à un maître à une soumise.
J’étais sidéré… J’essayais de mesurer ce qui se passait mais plus je lisais plus j’était choqué. Il lui ordonnait de lui envoyer des photos d’elle dans des tenues très hard (mais où les cachait-t-elle ?!) que je la voyais porter quelques messages plus loin…
Il lui écrivait presque tous les 3 ou 4 jours ! Le dernier message datait d’avant-hier où il lui ordonnait de venir demain à 12H15 précise avec sa tenue N°7 (?) pour sa punition suite aux écarts de la semaine dernière. Je ne comprenais pas tout mais je saisissais l’énormité de la chose !
« Mais depuis quand ?! » bredouillais-je…
« Oh alors tu sais ton père m’a draguée dès la première fois où tu me l’as présenté. Sous ses airs de cadre hyper sérieux et ses discussions cultivées, il m’a vite fait comprendre que je lui plaisais. A 20 ans je n’imaginais rien de possible avec lui, c’était impensable pour moi, alors j’accueillais ses compliments avec plaisir, sans arrière-pensée. Mais au fil des années je sentais qu’il me regardait avec un regard de plus en plus lubrique et j’ai senti plusieurs fois des effleurements douteux. Je me suis donc méfiée et j’ai réussi à le garder à distance.
Et puis quand j’ai commencé à te tromper, ou plutôt à compenser tes incapacités majeures, je me suis mis à fantasmer de temps en temps sur lui. Je crois que cet interdit m’attirait quelque part mais je restais une belle fille modèle quand je le voyais. Au fil du temps j’ai commencé à te détester de plus en plus. C’est là que j’ai couché avec tes potes, j’ai découvert que je prenais beaucoup de plaisir à te trahir avec des amis à toi. J’éprouvais une véritable vengeance pour tes discours haineux à mon égard lors de nos disputes où tu voulais toujours avoir raison. J’ai aimé de plus en plus me taper tes potes, et de plus en plus salement. J’aimais l’idée qu’ils t’abandonnent, te trahissent, en baisant la femme de leur ami comme une salope, bien mieux que tout ce que pouvait faire leur femme, et bien plus que ce que leur permettrait une pute. Je suis devenue accro à ce double personnage. Alors lors d’une énième tentative de ton père je me suis dis que je pourrais me le taper, que ce serait terriblement excitant finalement. J’y ai pensé un moment sans oser vraiment passer à l’acte. Et puis au fil du temps, à force d’y penser, je me suis décidée à me lancer. C’était il y a 2 ans, pendant les vacances que nous passions dans leur manoir en Bretagne. J’avais bien calculé, il a sauté sur l’opportunité que je lui ai offerte : un après-midi alors que vous étiez tous partis à la plage, je suis restée prétextant une envie de sieste, lui aussi est resté. Je lui ai fait mes yeux de braise et je l’ai vu piger très vite. Je lui ai dit que j’allais prendre une douche et j’ai laissé la porte presque ouverte complétement. Je l’ai senti me suivre et bien sûr je savais qu’il allait me mater sous la douche à coup sûr. Je pariais même qu’il allait me filmer en douce, comme je parie qu’il a déjà essayé plusieurs fois, ou alors peut-être se branler discrètement.
Moi je voulais qu’il craque, alors j’ai fait monter la température en commençant à me caresser sous la douche en feignant de le voir. Je poussais des gémissements de plus en plus fort. Il devait devenir dingue ! Mais je fus surprise qu’il n’entre pas, il devait résister à mort…
Alors j’ai décidé de prononcer son prénom pendant mes gémissements, pour qu’il n’hésite plus et qu’il craque. Et ça a fonctionné à merveille ! Il est entré, nu, la bite en érection, a fermé la porte à clef et s’est approché de moi. J’ai continué à me caresser, accroupie dans la douche, lui faisant comprendre que je l’attendais, que j’avais envie de lui. Nous n’avons pas échangé un seul mot. Je me suis agenouillée, ai fait mes yeux de salope soumise qui cède à une envie trop forte et de trop longue date. Il s’est mis devant moi et m’a regardé avec des yeux qui voulaient dire « ça y est, enfin ! Rien ne peut m’arrêter maintenant ».
Je l’ai sucé avec passion, comme dans la version la plus débridée de ses fantasmes.
Je l’ai avalé en gorge profonde, et oui j’en suis capable, désolé de te l’apprendre maintenant !
Je lui ai lécher les couilles et même l’anus comme une chienne affamée.
Il ne devait certainement pas en espérer autant !
Je l’ai laissé me baiser la bouche avec la main sur la nuque mais je pense que c’était trop intense pour lui, après tout ce qu’il avait dû contenir pendant toutes ces années…
Alors j’ai senti qu’il allait exploser…
Dommage car j’aurais voulu qu’il me baise… mais il a déchargé des flots de sperme sur la jolie gueule de pute de sa belle-fille, en râlant comme un bœuf. Je croyais qu’il n’allait jamais s’arrêter, je pense que me voir couverte de son sperme le faisait jouir encore et encore… Il m’a littéralement crépi le visage beau-papa !
Je souriais en me souvenant qu’il aimait me murmurer à l’oreille quand tu n’étais pas là que j’avais un sourire « à faire renoncer un moine au célibat ». Je lui ai donc fait plaisir en souriant pour qu’il savoure ce moment et puisse se vider ses couilles bien pleines sur mon visage et ma bouche souriante.
Je vois encore son visage ébailli. J’ai continué à le sucer encore en le regardant, et en jouant de ma langue pour nettoyer méticuleusement son gland violacé.
Toujours sans un mot je lui ai fait un chut avec le doigt devant la bouche et un clin d’œil avec un sourire complice et lui ai fait signe de partir. Il est ressorti, je me suis lavée et me suis faite jouir en me délectant d’avoir franchi ce cap. J’ai pensé fort à toi et je pense que tu as dû percevoir le doigt d’honneur que je t’adressais mentalement à ce moment.
C’était trop pour moi. Je visualisais très bien la scène immonde : mon père que j’ai toujours admiré et respecté pour sa droiture inondant allégrement le visage si innocent de ma propre femme. Mais où sont passés ses valeurs morales ? Son sens de la famille ? Sa force de caractère ? Comment a-t-il osé souiller de la sorte sa belle-fille et bafouer son propre fils, la chair de sa chair… Je me sentis plus que jamais trahi et délibérément humilié.
Et proportionnellement à cette douleur se trouvait un jouissif plaisir.
Je ne pu me retenir plus longtemps, j’avais arrêté de me branler dès que je l’avais entendu parler de mon père. Mais je continuais à bander à mort. Et cette histoire était aussi blessante que jouissive. Je n’eus même pas à me toucher pour sentir ma queue convulser. J’essaya de me retenir car j’éprouvais une honte supplémentaire à jouir en étant ridiculisé à ce point. Pas avec mon père, non.. Mais de gros jets de sperme jaillirent de ma queue malgré tout, j’abandonnai alors toute résistance et ressentis un orgasme incommensurable exulter par ma queue. Je peinais à garder les yeux ouverts.
Ma femme explosa de rire et n’arrivait pas à concevoir que je puisse jouir comme ça.
Elle se moqua de moi et n’arrivait pas à contenir sa surprise. Elle était en train de me filmer et répétait que c’était inimaginable, que je devais être le seul homme au monde à aimer autant être humilié à ce point.
Et plus elle se moquait plus j’éjaculais…
Une fois vidé je repris mes esprits devant une femme consternée.
Elle se leva et alla prendre sa douche en ricanant.
« Je ne sais plus si je dois te raconter comment ton père m’a traitée… Tu es tellement dingue ! »
Je me posais la même question… et n’avais absolument plus aucune estime de moi, je me détestais… Je ressentais une horrible honte désormais et je savais que le témoin de ce pire moment d’humiliation de mon existence n’est autre que la personne qui m’en veut le plus sur cette terre.
Je mesure d’un coup les conséquences de ce témoignage d’ultime faiblesse et je suis effrayé par l’usage qu’en fera ma femme.
Elle s’arrêta de marcher, mis un doigt devant la bouche comme si elle venait de penser à quelque chose d’important et se retourna pour me dire : « Et puis, si je vais te dire… Maintenant que tu as jouis comme le pire des loosers tu vas surement écouter d’une autre oreille » pensant que je ne ressentirais désormais que de la douleur et plus aucune excitation sexuelle.
Elle revint s’assoir sur son fauteuil, les jambes écartées et caressa langoureusement son corps avec ses deux mains, les yeux à demi clos et prononça avec une voix douce et innocente : « Beau-papa… Hmmmmm… Vous êtes un vilain… Je suis votre belle-fille voyons… Pensez à votre fils enfin… Je vous fais bander ? Mais je suis si jeune par rapport à vous… Ca vous excite à ce point ? Est-ce mon corps sans cellulite ? Ma peau jeune et tendue ? Mon visage sans une seule ride ? Attendez, j’ai deviné : Ma petite chatte si serrée ! C’est ça hein ?!
Ca fait bander votre grosse queue ? Hmmm… vous allez m’exciter Beau-Papa à force…
Vous n’oseriez pas tout de même ?... C’est impensable de trahir son propre fils en touchant sa femme, aussi bandante soit-elle… Vous avez des principes non ?
Mais si ça peut vous aider je dois vous avouer que moi aussi j’ai déjà fantasmer sur vous, mais je résiste voyons ! Vous devriez y arriver vous aussi ! Ah ça vous excite encore plus de savoir ça… ? Oups… Que je suis sotte alors, je n’aurais rien dû vous dire…
Mais je ne suis pas dupe vous savez… Je n’ai aucun doute que vous vous branlez en pensant à votre petite salope de belle-fille n’est-ce pas ? Qu’est-ce que vous me faites dans vos pensées ? Vous me tringlez comme une petite pute version hard ? Ou peut-être que vous préférez la version soft en me caressant la tête pendant que je vous suce consciencieusement, à genoux devant vous, comme une bonne fi-fille bien obéissante qui va docilement tout avaler le sperme de son beau-papa ?
Ce n’est pas bien de penser des choses comme ça de sa belle-fille et vous le savez… ça doit être un sacré combat pour vous de résister… Et encore plus quand je m’amuse à vous allumer en sachant pertinemment que vous ne pouvez rien tenter… Je vous avoue que j’en ai joué quelques fois, par pure malice… Vous vous souvenez de cette fois à la plage ensemble quand je venais de faire votre connaissance ? J’avais à peine 20 ans et ne me doutais pas que ça deviendrait sérieux avec votre fils… Je m’étais allongée pile devant vous avec mon string volontairement trop tiré pour vous faire voir mes lèvres qui dépassaient du tissu. Je savais que vous alliez vous rincez l’œil… Je ne sais pas si vous bandiez mais vous aviez pris des photos en douce vieux cochon, j’ai entendu le déclencheur !
Et vous vous rappelez de cette fois où je suis venue prendre le petit déjeuner vêtue uniquement d’un tee shirt long ? Je faisais la fille encore endormie qui ne se rappelle plus que si je elle se penche en avant vous alliez voir sa petite chatte…
Je sais… c’était facile… surtout que vous ne pouviez rien tenter parce à chaque fois il y avait du monde autour de nous, et que de toutes façons nous allions vous quitter juste après… »
Elle faisait exprès de rejouer ces conversations avec mon père en se touchant et en me montrant à quel point ça l’excitait.
Elle savourait le mal qu’elle m’infligeait en me révélant ainsi ces propos inqualifiables.
Quel monstre ! Que de cruauté et de perversité chez ma propre femme à aimer me nuire ainsi.
Elle se justifie qu’elle ne fait que de se venger pour ne pas avoir été à la hauteur de ses attentes, pour l’avoir sous-estimée et pour être devenu un mari aussi déshonorant.
Elle entreprend de reprendre ses cruels aveux et poursuit :
« Évidemment après ce qui s’était passé sous la douche il voulait recommencer très vite…
Le soir même, quand tout le monde dormait, il sorti aussitôt de sa chambre au moment même où je sortais de la nôtre pour me rendre aux toilettes.
Il bandait sous son peignoir sans s’en cacher et me regardait comme un prédateur affamé regarde une proie s’avancer vers lui.
Sans presque un mot, juste avec des regards, nous sommes allés dans une chambre d’amis au second étage.
Nous y avons baisé comme des bêtes, c’était intense et il m’a fait jouir comme une folle, si tu savais… Que c’était bon de sentir la queue de beau papa défoncer ma petite chatte en cachette… !
Il m’a ensuite avoué tout le désir qu’il avait pour moi depuis si longtemps. Il a répété qu’il ne souhaitait surtout pas briser notre couple.
Je lui ai fait comprendre que je ne pouvais plus résister à l’envie qu’il me baise, que ça devenait obsessionnel et qu’il fallait assouvir ce désir sans quoi j’allais devenir folle.
Je l’ai rassuré en lui précisant que je ne souhaitais que du sexe avec lui, que je n’avais absolument aucun sentiment amoureux et que cette relation interdite devait rester secrète.
Je lui ai parlé de mes fantasmes à son égard et mon inavouable envie de rapports différents que ceux avec toi, que cet interdit, une fois dépassé, ouvrait sur d’autres de mes fantasmes que je lui soumettrais.
Il fut bien évidemment curieux de connaitre ce qui pourrait bien me faire fantasmer. Alors je lui ai avoué que tu étais plus que médiocre au lit et tellement coincé que j’en étais frustrée. Je lui ai menti en lui disant que ce n’était pas grave en soit et que je parvenais à m’accommoder de cette frustration et lui ai fait croire que j’étais la plus fidèle des femmes. J’ai ajouté que je ne comprenais pas ce qui se passait avec lui, que je ne pouvais pas résister, qu’il n’y avait que lui qui me mettait troublait à ce point.
Une fois rassuré sur mes intentions je lui ai avoué avoir souvent imaginé qu’il me baisait sauvagement.
Il n’en fallu pas plus pour le rendre fou d’excitation.
Tu connais ton père, avec son caractère macho, son égo surdimensionné et son tempérament de leader de troupe, tout le contraire de toi au passage, et bien là il était comblé.
Il rebanda aussitôt et je sentis cette fois qu’il allait me baiser comme une chienne. J’en fus tellement excitée que je lui fis découvrir sa belle-fille sous un angle qu’il n’avait jamais espéré… Savoir que c’était ton père me transforma en véritable chienne et il en profita plusieurs fois de suite.
Je ne me doutais pas que tu aimerais être humilié. Je constate même que plus mes aventures sont humiliantes plus tu sembles excité ! Je ne pensais pas que tu étais si faible et soumis ! J’ai honte de toi, quel sous homme tu es devenu…
Être humilié à ce point me procurait un orgasme presque permanent… Je savais que lui montrer ce côté de moi revenait à lui offrir un contrôle total de mon existence et me condamnait à me soumettre à elle.
Mais je ne pouvais pas résister à l’excitation qu’elle me procurait avec ses aveux, et plus ils étaient immoraux, plus je prenais du plaisir malgré moi…
« Ton père s’est permis de me baiser ensuite comme une salope avec un vilain plaisir !
Si j’avais su que c’était un tel pervers je n’aurais peut-être pas franchi le cap.
Au début il s’est contenté de me baiser sauvagement, il avait tellement envie de moi que ça le satisfaisait amplement. Il arrivait tout de même à m’utiliser 3 ou 4 fois par jour ce vicieux…
Il a profité de moi autant qu’il a pu pour réaliser un paquet de fantasmes plus ou moins avouables… mais je pense que tu apprécieras d’en connaitre quelque uns…
Je me souviens que chaque fois que nous lui rendions visite il inventait une excuse pour que nous soyons que tous les deux. A chaque fois tu gobais tout ! Et pendant que tu t’occupais il m’utilisait pour se vider les couilles dans ton dos.
Et puis je l’ai retrouvée seule, régulièrement.
Il adorait que je m’habille avec de la lingerie et que je les achète avec ton argent.
Je dois t’avouer que je baise encore avec lui et que j’aime qu’il me traite comme une salope… »
Je rebandais à mort et me branlait honteusement
J’ai alors senti un autre orgasme arriver et plusieurs jets de sperme ont filés dans sa direction sans l’atteindre.
Elle jubilait de me narguer de la sorte et me voir jouir encore dans une situation pareille lui procura un orgasme à elle aussi, ses doigts qui pénétraient sa petite chatte à un rythme de plus en plus soutenu venaient de se crisper, ses yeux étaient révulsés, son corps entier tremblait, sa bouche grande ouverte laissa échapper un cri de soulagement long et profond, un cri de libération.
Nous sommes restés sans rien dire pendant quelques secondes, le temps de reprendre nos esprits puis elle se leva et se dirigea vers la douche. Je la regardai disparaître, sans la reconnaître, assommé par ce qui venait de se passer, ne trouvant plus ma place ici. Honteux d’avoir pris du plaisir à être humilié ainsi. Désorienté. Inquiet par ce que le futur me réservait désormais.
A suivre…
Je voudrais partager avec vous ce que j’ai vécu car aujourd’hui, avec du recul, j’assume totalement le plaisir que j’ai éprouvé.
Nous nous connaissions depuis nos 20 ans et sommes sortis ensemble très vite après nous être rencontré.
Nous sommes restés mariés près de 15 ans.
J’avais 41 ans et elle 39 ans quand est arrivé ce que je vais vous relater.
Elle avait toujours eu un physique agréable et envié par les hommes. Certains de mes amis me traitaient de chanceux. Certains devaient même fantasmer sur elle assez régulièrement…
Il faut dire qu’avec sa taille fine et ses longues jambes montées sur un buste gonflé d’une poitrine généreuse, elle avait de quoi séduire. Son visage aux traits fin, ses yeux verts, ses longs cheveux châtains et son sourire délicieux la rendait tellement attirante. Disons qu’elle parvenait fréquemment à obtenir la grâce de la gente masculine juste en faisant quelques sourires.
Je me souviens de la première fois où nous avons couché ensemble : je m’émerveillais de rentrer ma queue en elle et de la voir prendre son pied. Cette nuit-là j’ai éjaculé plusieurs fois, sur elle et en elle. Je ne me laissais pas de la voir prendre mon sperme avec autant de plaisir.
Elle était assez réservée et moi je m’en contentais largement. Pas besoin de positions extrêmes, pas de sodomie, des fellations assez courtes et uniquement en préliminaire, une sexualité très simpliste finalement.
Et ça a duré pendant tout notre vie ensemble. Nous avions une vie sexuelle de plus en plus routinière et simple. Quel gâchis ! Je ne me rendais même plus compte de sa beauté et trouvais normal de coucher avec elle.
Puis vinrent les difficultés d’une vie à deux qui s’use. Les engueulades, les frustrations, et petit à petit le sexe se faisait de plus en plus rare. Mais nous avons persisté à rester ensemble, pour tout un tas de mauvaises raisons. Si bien qu’à la fin nous ne pouvions plus nous supporter et nous ne faisions que cohabiter ensemble pendant les deux dernières années. Nous avons gardé le même lit malgré tout.
Nous avions chacun notre emploi du temps et ne partagions rien ensemble.
Une animosité s’était installée entre nous et les disputes étaient violentes (verbalement) et fréquentes.
Tout comme moi, elle rentrait parfois tard le soir, se glissait dans le lit sans un mot et me tournais le dos pour s’endormir.
Jusqu’au jour où, pour un détail, je me suis disputé avec elle à son retour. Elle venait de se rentrer et de se déshabiller pour aller prendre une douche.
La discussion s’est envenimée et elle m’a balancé : « Mais connard, tu ne comprends pas que j’en peux plus de toi ? Que je m’en fou de toi ?! Je viens de me faire baiser, regarde ! j’ai la chatte encore pleine de sperme ! Même ça tu ne le vois pas !» dit-elle avec une colère explosive. Afin de me faire comprendre le sens de sa phrase elle s’agenouilla sur le lit, le buste droit, les cuisses écartée et tira sur ses petites lèvres roses avec ses doigts. Je voyais son sexe mouillé et des larmes de sperme frais qui s’en échappaient, coulant doucement le long de ses cuisses.
Son regard était noir, elle venait de me blesser et y prenait un plaisir incommensurable.
Je suis resté bouche bée. Je ne la croyais pas capable de me tromper, trop chaste et trop respectueuse de ses principes. Mais elle était là devant moi, plus provocatrice que jamais, souillée par un autre mec.
Je ressentais une humiliation intense, je ne savais pas quoi dire, je venais de réaliser qu’elle n’était plus ma femme et qu’elle se donnait à un autre homme.
« Qui est-ce ? » dis-je balbutiant.
« Qu’est-ce que ça peut te foutre ? En tous cas il m’a bien baisée ! Et j’ai jouis comme une dingue ! » ajouta-t-elle en hurlant pour m’enfoncer plus encore, alors qu’elle sentait qu’elle avait déjà un net ascendant sur moi cette fois-ci.
Sa rage était incontrôlable. Elle poursuivit sur un ton cruel : « Lui, il me baise comme un vrai mâle, avec sa grosse queue ! Lui, il ne me ménage pas, quand il me prend c’est bestial, je suis sa salope et j’aime ça ! »
J’écoutais, affligé ce discours de vengeance qu’elle me déversait avec délectation.
A l’écouter, je l’imaginais entre les mains d’un homme viril qui en faisait ce qu’il voulait.
Passé le choc je me surpris à avoir une soudaine envie d’elle. Je ressentais une énorme montée de libido inattendue, inexplicable et très gênante en pareilles circonstances.
Je sentis venir une érection monumentale… que j’essaya de cacher comme je pu, mais c’était trop tard, elle avait remarqué que je bandais comme un âne malgré ma mine dépitée…
Elle fut étonnée devant cette improbable réaction de ma part.
Elle considéra cette érection comme un signe incontrôlé du pouvoir qu’elle avait encore sur moi.
Elle ne s’attendait pas à ce que je puisse encore bander pour elle et encore moins avec ce qu’elle venait de me dire.
Elle changea de ton et ricana : « Mais on dirait que mon mari aime être cocu ! Ça alors ! Sa femme se fait baiser par un autre homme et lui il bande au lieu de se révolter !? Mais quelle fiotte ! Tu me dégoutes ! »
Elle prit un temps de réflexion et poursuivit avec une cruauté assumée : « Alors tu sais quoi ? … Et bien je vais te raconter des détails puisque ça te fait bander ! ». Le ton était sarcastique, elle ne pensait pas qu’elle éprouverait autant de plaisir à m’avouer sa trahison. Je pense que ma réaction y était pour beaucoup, elle devait être persuadée que je me serais plutôt mis dans une colère noire et qu’elle aurait peiner à me contenir.
Je restais assis là, une gaule dure comme du bois entre les jambes, à l’écouter me raconter ses ébats, perturbé par ces émotions contraires qui me traversaient : la jalousie, la trahison mais également une puissante et honteuse excitation.
Je n’osais pas me toucher et ça devenait insupportable. Il fallait que je me branle, c’était tellement fort, je crois que j’aurais pu jouir sans me toucher si ça continuait.
Alors assez paradoxalement je me résolu à m’astiquer tout en écoutant ma femme désormais interdite, avec son corps superbe, et le sperme d’un autre luisant à l’intérieur de ses cuisses.
Son sourire narquois provoquait en moi une jalousie féroce mais je sentis également que j’avais envie d’elle comme jamais depuis bien longtemps.
J’imaginais un mâle viril entrain de la baiser, et elle se livrant à lui comme une chienne en chaleur.
L’imaginer comme ça m’excitait totalement.
Je réalisai à cet instant que jamais elle n’avait osé se comporter comme ça avec moi. Elle qui était toujours restée mesurée lors de nos ébats… romantiques et respectueux… si loin de ce qu’elle était entrain de me dévoiler.
« Tu veux que je te dise ? Il m’a baisée sur le palier cette fois-ci, juste devant la porte (nous habitions au dernier étage et il n’y avait pas de voisins en face), j’étais appuyée contre la porte quand il a soulevé ma robe pour me prendre en levrette. J’étais déjà toute mouillée parce que je savais qu’il allait me baiser avant qu’on ne se quitte. Et ça me plaisait de me faire défoncer juste devant notre porte, surtout avec toi à l’intérieur ! »
Elle poursuivit sur le ton de la vengeance : « Et si tu savais mon pauvre… »
Elle se retient un instant, hésitante sur l’impact qu’allait faire la bombe qu’elle s’apprêtait à larguer.
Elle poursuivit : « Tu veux savoir qui c’est hein ? »
Je hochai la tête, pas convaincu que ce soit une bonne idée mais hocha la tête en guise de réponse car oui, j’avais envie de savoir…
« Et bien tu le connais bien, même très bien… » Dit-elle avec un suspens qui ne laissait rien présager de bon.
Et puis elle prononça la réponse comme un coup d’épée : « C’est ton boss. »
Son visage était fermé, elle était en mode combat et venait de mettre un coup puissant, et surveillait attentivement ma réaction.
Je ne su que dire, ses révélations étaient tellement insoupçonnées que je n’arrivais plus à répondre. Je me sentis de plus en plus blessé mais également de plus en plus excité.
« On s’est revu après la fête de ta boite, je crois que je lui avais tapé dans l’œil…et j’avoue qu’il est plutôt bel homme »
Je répliquai : « Et c’est mon boss… Tu as choisi ton amant avec une incroyable cruauté ! »
« Exactement ! » s’exclama-t-elle. « Je crois que ça nous excite à mort tous les deux de penser à toi quand on baise ! »
Elle était désormais assise sur le fauteuil en face de moi, nue, les pieds posés sur l’assise, les jambes écartées et se caressait devant moi en m’avouant explicitement qu’elle repensait à mon boss qui lui avait donné tant de plaisir il y a seulement quelques minutes. Elle me provoquait, le savait et voulait me voir à ses pieds.
Quelle salope ! Je la voyais sous un autre angle désormais. Je venais de découvrir que celle avec qui j’ai passé près de 20 ans pouvait être une chienne avide de sexe sauvage.
Et le pire c’est que je ne l’ai jamais su et que je n’en ai jamais profité… Quel con, me dis-je…
Mais ce soir-là je n’éprouvais aucune colère et restait muet.
« Ça fait longtemps que tu me trompes ? » demandais-je d’une voix basse et craintive.
« Tu n’imagines pas… » Dit-elle d’un ton assuré qui laissait présager qu’elle était prête à me révéler d’autres cachoteries.
Elle prenait du plaisir à me voir me branler maladroitement. Cela lui plaisait de dominer un cocu obéissant et soumis. Celui qui lui tient tête d’habitude est vaincu. Elle se faisait une joie de me maltraiter à sa guise et semblait se venger de tout ce qui l’insupportait chez moi.
Je sentais au fond d’elle une colère et un violent désir de vengeance.
Elle était si furieuse de réaliser que son mari était une véritable lopette qu’elle se leva et fonça vers moi avec un regard noir. Je ressentis une crainte subite de ce qu’elle voulait me faire et me protégea avec les mains. Je redoutais des coups et avait vu juste. Dans une colère noire elle se mit à me donner des claques en traitant de looser, de petite bite, de sous homme, de soumis et j’en passe… Jamais je ne l’avais vue dans cet état, et jamais je n’aurais imaginé un jour que je me laisserais frappé sans chercher à la maitriser. Je pense que sa colère était nourrie par la prise de conscience qu’elle m’avait pris pour mari, qu’elle réalisait à quel point elle s’était trompé sur moi, et que de se voir avec un mec en train de bander quand on lui annonce qu’il est cocu lui était insupportable…
Elle me pris par les cheveux d’une main et m’ordonna de ne plus bouger.
Elle approcha son visage du mien et me cracha au visage avec haine. Je tentai de lever les yeux vers elle pour percevoir l’ampleur de sa méchanceté mais à peine avais-je les yeux dans les siens elle exigea que je baisse le regard et me tira la tête vers le sol.
« A genoux ! » Cria-t-elle
Sa poigne m’arrachait le scalpe dans une douleur à en pleurer. Je n’eus d’autre réaction que de me soumettre à ses ordres comme un lâche. Cette fois-ci elle me dominait physiquement également.
Je sentais qu’elle était en train de transformer sa haine démesurée envers moi en plaisir jubilatoire de me dominer.
Elle me mit une claque qui me brula la joue et cracha à nouveau sur mon visage.
Elle me regardait avec dégout et l’assurance qu’elle voulait me faire souffrir.
Elle se recula et retourna sur son fauteuil en m’ordonnant de rester sagement à genoux parterre pour écouter la suite de ce qu’elle brulait de me dire.
« Je crois que ça va être dur pour toi, mais puisqu’on est parti, je vais te dire à quel point tu es un looser. »
Je me sentis humilié, rabaissé… mais au fond de moi je dois avouer que cette humiliation provoquait une réaction que je n’aurais jamais soupçonné : un inavouable plaisir de soumission absolue. Et ce qu’elle promettait de me révéler renforçait cette excitation au plus au point.
« Tu crois que je n’ai pas envie de sexe ? Tu crois que je vais laisser la vie passer pour me retrouver un jour vieille et frustrée ?
Depuis le début j’ai compris que tu n’étais pas doué au lit et que tu ne le serais jamais.
Mais j’étais jeune, je m’en fichais, me disait que ce qui comptait c’était que nous nous aimions.
Je pensais que le sexe n’était pas important…
Mais très vite c’est devenu ennuyeux à mourir de baiser avec toi, toujours la même routine, toujours les mêmes positions… quoi que je tente tu revenais à des classiques, rien d’excitant. On en a parlé pourtant, mais je crois que tu n’as jamais compris ce que j’espérais.
Alors je faisais semblant de jouir, pour te motiver à finir plus vite, mais au fond, moi, je n’avais rien eu, j’étais en manque tu comprends ? C’était devenu insupportable ! Je mouillais rien qu’à voir un beau mec dans la rue... Alors tu imagines bien qu’à un moment il fallait que je choisisse entre rester avec toi bien rangée et faire une croix sur le sexe, ou bien te quitter et vivre une vie sexuellement épanouie.
J’ai bien réfléchi et je me suis dit que tu étais un bon gars, que tu m’offrais une situation bien confortable et surtout que tu étais un gros naïf et que je pourrais avoir tout ce que tu m’offrais plus tout le sexe qui me manquait !
Alors je me suis autorisée à faire quelques écarts...
Avec des inconnus au début, des mecs rencontrés dans les soirées, qui ne s’accrocheraient pas à moi, que je ne reverrais pas.
J’avais un peu de remords au début, alors je ne faisais que sucer.
Les mecs déchargeaient dans ma bouche et je me finissais seule.
Ah oui, ça non plus tu n’as jamais osé : m’en mettre plein la bouche ! A chaque fois que j’ai essayé tu m’a repoussé pour éjaculer proprement, toujours à côté. Sans doute que tu aurais eu l’impression de me souiller, que tu ne pouvais pas me baiser, il fallait que tu « fasses l’amouuuuur », pfff, qu’est-ce que tu es coincé…
Portant si tu savais comme j’ai adoré sentir ces mâles me balancer de grosses saccades de sperme chaud dans la bouche ! J’ai adoré être traitée comme la meilleure des salopes qu’ils n’ont jamais rencontrée.
Je les laissais me tenir par la tête par les deux mains et les sentir se crisper quand ils allaient décharger…Hmmm…
Si tu savais le nombre de mecs que j’ai pu sucer dans la boite où l’on sortait si souvent…
Mais assez vite j’ai craquée, ça ne me suffisait plus. Je ne pouvais plus me contenter de sentir que je les faisais jouir juste en suçant leurs bites. Il fallait que je la sente en moi leurs bites !
Alors je les ai laissés me baiser…
Il fallait faire vite en général, ce n’était pas très romantique mais c’était exactement ce qui me plaisait : être baisée bien profond, bien fort, par un mec qui en meurt d’envie !
Ça se passait dans les chiottes la plupart du temps pendant que toi tu dansais comme un plouc sur la piste… Tu étais tellement pathétique…
Le problème c’est que ça a commencé à se savoir au bout d’un moment… Tu te rappelles que je ne voulais plus y aller ? Et bien maintenant tu comprends pourquoi…
Mais j’avais pris goût à ces extras. Fini la culpabilité des débuts. Ça me plaisait ces cache-cache !
Je crois avoir peut-être un peu abusé quelques fois… » poursuivit-elle sur un ton inquiétant.
« Il se pourrait même que j’ais fauté avec l’un ou l’autre de… tes potes…» dit-elle sur un ton faussement horrifié, la main devant la bouche et les yeux hypocritement tristes.
Elle pris un air étonné et ajouta : « Ils ne t’ont rien dit…? Les vilains… De si bons potes pourtant… Ils voulaient certainement te protéger de la vérité qui aurait été trop violente à encaisser pour toi… Ca devait être pour ton bien… » avec un ton devenu moqueur.
« Tu savais que Marc a une queue énorme ? « Qu’est-ce qu’il m’a mis ton pote pendant les dernières vacances ensemble ! Bon, on était un peu bourrés et il se peut que je l’ais un peu chauffé aussi… Il a dû résister quoi ?...30 secondes ? Un vrai pote Marc hein ? Tu le connais depuis combien de temps déjà ? Ha oui, depuis les études… Il aime bien t’appeler « Frérot » ou « Bro » je crois ? non ?»
J’encaissais la nouvelle, et me sentais déshonoré, mais incapable de me révolter. Au contraire la façon qu’elle avait de me traiter me faisait bander encore plus. Des images arrivaient à mon cerveau et me procuraient une honteuse et exceptionnelle excitation.
« Je sais, je suis une vilaine fiiiiiiille» dit-elle en ponctuant sa phrase avec un air condescendant et assumé.
« Quand j’ai vu la queue de Marc je me suis dit que j’aurais dû en profiter bien plus tôt ! Si j’avais su… » ajouta-t-elle, d’un air déçu.
Je sentais que j’allais éjaculer… Quelle petite pute ! Comme elle a bien caché son jeu toutes ces années !
Elle se plu à me confier que dès la première fois, après l’avoir démontée bestialement en la traitant de salope et de pute, il l’avait forcée à se mettre à genoux en la tenant par les cheveux pour lui décharger sur le visage et dans sa bouche grande ouverte. Elle poussa le vice à me raconter qu’elle avait avaler son sperme et qu’elle s’était ensuite appliquée à lui nettoyer le gland avec sa langue, jusqu’à la dernière goutte…
Elle affirma que le fait que ce soit l’un de mes meilleurs potes a démultiplié le plaisir, tant pour elle que pour lui.
Il lui aurait avoué avoir eu envie de la baiser depuis toujours et s’être branlé à maintes reprises en pensant à elle. Je ne fus pas vraiment surpris de cette dernière révélation car il ne cachait bien mal son désir pour elle, ce salaud, avec son regard libidineux…je ne pensais tout de même pas qu’il oserait se comporter de la sorte.
« Bon je ne vais quand même pas te raconter toutes les fois où j’ai baiser avec ton pote pendant ces vacances là… » soupira-t-elle avec une jubilation à peine étouffée
« Je ne vais pas te dire non plus avec quels potes à toi j’ai couché non plus. Ce sera à toi d’enquêter ! Je te vois déjà en train de leur demander un par un s’ils ont baiser ta femme ! » Dit-elle en se fondant de rires grinçants.
Pendant qu’elle me parlait avec un regard hautin elle se caressait et se donnait du plaisir. Ce n’était pas pour m’en procurer, juste pour soulager toute l’excitation qu’elle éprouvait à me raconter son récit.
Sur un ton grave et déterminé elle poursuivit :
« Je dois te prévenir également d’une chose que tu dois désormais connaître pour mesurer à quel point personne ne te respecte »
Je me demandais bien ce qu’elle allait pouvoir me dire de plus cruel encore…
Elle brulait d’envie de me regarder écouter sa prochaine révélation. Je sentais à sa voix que j’allais devoir encaisser une horrible trahison de sa part. Le ton de sa voix était cruel et laissait percevoir une jubilation profonde.
Elle finit par lâcher : « Ton père est un chaud lapin… Il cache bien son jeu ce vieux pervers ! »
Je sentis là le coup de grâce, je n’osais pas imaginer une seconde que mon père ait pu toucher à ma femme ! Je ne voulais pas le croire. Et si elle bluffait juste pour me faire du mal gratuitement ?
« Je ne te crois pas une seconde ! » lui rétorquais-je fermement, arrêtant net de me masturber dans cette position ridicule.
« Et bien, attends une seconde » lança-t-elle en attrapant son téléphone et en y fouillant quelques secondes pour me brandir au visage leurs conversations whatsapp. Elle remonta le fil jusqu’à ce qu’elle trouve ce qu’elle cherchait.
« Tu n’as qu’à lire toi-même » dit-t-elle en me tendant le téléphone en me faisant un clin d’œil.
Lorsque je vis les émoticones Aubergine et Flamme je compris qu’elle ne bluffait pas…
Sous le pseudo si respectueux de « Beau Papa » je lisais mon propre père écrire le plus crument du monde, ce qui était déjà bouleversant en soi, à ma femme, ce qui était inconcevable.
Il lui parlait comme à un maître à une soumise.
J’étais sidéré… J’essayais de mesurer ce qui se passait mais plus je lisais plus j’était choqué. Il lui ordonnait de lui envoyer des photos d’elle dans des tenues très hard (mais où les cachait-t-elle ?!) que je la voyais porter quelques messages plus loin…
Il lui écrivait presque tous les 3 ou 4 jours ! Le dernier message datait d’avant-hier où il lui ordonnait de venir demain à 12H15 précise avec sa tenue N°7 (?) pour sa punition suite aux écarts de la semaine dernière. Je ne comprenais pas tout mais je saisissais l’énormité de la chose !
« Mais depuis quand ?! » bredouillais-je…
« Oh alors tu sais ton père m’a draguée dès la première fois où tu me l’as présenté. Sous ses airs de cadre hyper sérieux et ses discussions cultivées, il m’a vite fait comprendre que je lui plaisais. A 20 ans je n’imaginais rien de possible avec lui, c’était impensable pour moi, alors j’accueillais ses compliments avec plaisir, sans arrière-pensée. Mais au fil des années je sentais qu’il me regardait avec un regard de plus en plus lubrique et j’ai senti plusieurs fois des effleurements douteux. Je me suis donc méfiée et j’ai réussi à le garder à distance.
Et puis quand j’ai commencé à te tromper, ou plutôt à compenser tes incapacités majeures, je me suis mis à fantasmer de temps en temps sur lui. Je crois que cet interdit m’attirait quelque part mais je restais une belle fille modèle quand je le voyais. Au fil du temps j’ai commencé à te détester de plus en plus. C’est là que j’ai couché avec tes potes, j’ai découvert que je prenais beaucoup de plaisir à te trahir avec des amis à toi. J’éprouvais une véritable vengeance pour tes discours haineux à mon égard lors de nos disputes où tu voulais toujours avoir raison. J’ai aimé de plus en plus me taper tes potes, et de plus en plus salement. J’aimais l’idée qu’ils t’abandonnent, te trahissent, en baisant la femme de leur ami comme une salope, bien mieux que tout ce que pouvait faire leur femme, et bien plus que ce que leur permettrait une pute. Je suis devenue accro à ce double personnage. Alors lors d’une énième tentative de ton père je me suis dis que je pourrais me le taper, que ce serait terriblement excitant finalement. J’y ai pensé un moment sans oser vraiment passer à l’acte. Et puis au fil du temps, à force d’y penser, je me suis décidée à me lancer. C’était il y a 2 ans, pendant les vacances que nous passions dans leur manoir en Bretagne. J’avais bien calculé, il a sauté sur l’opportunité que je lui ai offerte : un après-midi alors que vous étiez tous partis à la plage, je suis restée prétextant une envie de sieste, lui aussi est resté. Je lui ai fait mes yeux de braise et je l’ai vu piger très vite. Je lui ai dit que j’allais prendre une douche et j’ai laissé la porte presque ouverte complétement. Je l’ai senti me suivre et bien sûr je savais qu’il allait me mater sous la douche à coup sûr. Je pariais même qu’il allait me filmer en douce, comme je parie qu’il a déjà essayé plusieurs fois, ou alors peut-être se branler discrètement.
Moi je voulais qu’il craque, alors j’ai fait monter la température en commençant à me caresser sous la douche en feignant de le voir. Je poussais des gémissements de plus en plus fort. Il devait devenir dingue ! Mais je fus surprise qu’il n’entre pas, il devait résister à mort…
Alors j’ai décidé de prononcer son prénom pendant mes gémissements, pour qu’il n’hésite plus et qu’il craque. Et ça a fonctionné à merveille ! Il est entré, nu, la bite en érection, a fermé la porte à clef et s’est approché de moi. J’ai continué à me caresser, accroupie dans la douche, lui faisant comprendre que je l’attendais, que j’avais envie de lui. Nous n’avons pas échangé un seul mot. Je me suis agenouillée, ai fait mes yeux de salope soumise qui cède à une envie trop forte et de trop longue date. Il s’est mis devant moi et m’a regardé avec des yeux qui voulaient dire « ça y est, enfin ! Rien ne peut m’arrêter maintenant ».
Je l’ai sucé avec passion, comme dans la version la plus débridée de ses fantasmes.
Je l’ai avalé en gorge profonde, et oui j’en suis capable, désolé de te l’apprendre maintenant !
Je lui ai lécher les couilles et même l’anus comme une chienne affamée.
Il ne devait certainement pas en espérer autant !
Je l’ai laissé me baiser la bouche avec la main sur la nuque mais je pense que c’était trop intense pour lui, après tout ce qu’il avait dû contenir pendant toutes ces années…
Alors j’ai senti qu’il allait exploser…
Dommage car j’aurais voulu qu’il me baise… mais il a déchargé des flots de sperme sur la jolie gueule de pute de sa belle-fille, en râlant comme un bœuf. Je croyais qu’il n’allait jamais s’arrêter, je pense que me voir couverte de son sperme le faisait jouir encore et encore… Il m’a littéralement crépi le visage beau-papa !
Je souriais en me souvenant qu’il aimait me murmurer à l’oreille quand tu n’étais pas là que j’avais un sourire « à faire renoncer un moine au célibat ». Je lui ai donc fait plaisir en souriant pour qu’il savoure ce moment et puisse se vider ses couilles bien pleines sur mon visage et ma bouche souriante.
Je vois encore son visage ébailli. J’ai continué à le sucer encore en le regardant, et en jouant de ma langue pour nettoyer méticuleusement son gland violacé.
Toujours sans un mot je lui ai fait un chut avec le doigt devant la bouche et un clin d’œil avec un sourire complice et lui ai fait signe de partir. Il est ressorti, je me suis lavée et me suis faite jouir en me délectant d’avoir franchi ce cap. J’ai pensé fort à toi et je pense que tu as dû percevoir le doigt d’honneur que je t’adressais mentalement à ce moment.
C’était trop pour moi. Je visualisais très bien la scène immonde : mon père que j’ai toujours admiré et respecté pour sa droiture inondant allégrement le visage si innocent de ma propre femme. Mais où sont passés ses valeurs morales ? Son sens de la famille ? Sa force de caractère ? Comment a-t-il osé souiller de la sorte sa belle-fille et bafouer son propre fils, la chair de sa chair… Je me sentis plus que jamais trahi et délibérément humilié.
Et proportionnellement à cette douleur se trouvait un jouissif plaisir.
Je ne pu me retenir plus longtemps, j’avais arrêté de me branler dès que je l’avais entendu parler de mon père. Mais je continuais à bander à mort. Et cette histoire était aussi blessante que jouissive. Je n’eus même pas à me toucher pour sentir ma queue convulser. J’essaya de me retenir car j’éprouvais une honte supplémentaire à jouir en étant ridiculisé à ce point. Pas avec mon père, non.. Mais de gros jets de sperme jaillirent de ma queue malgré tout, j’abandonnai alors toute résistance et ressentis un orgasme incommensurable exulter par ma queue. Je peinais à garder les yeux ouverts.
Ma femme explosa de rire et n’arrivait pas à concevoir que je puisse jouir comme ça.
Elle se moqua de moi et n’arrivait pas à contenir sa surprise. Elle était en train de me filmer et répétait que c’était inimaginable, que je devais être le seul homme au monde à aimer autant être humilié à ce point.
Et plus elle se moquait plus j’éjaculais…
Une fois vidé je repris mes esprits devant une femme consternée.
Elle se leva et alla prendre sa douche en ricanant.
« Je ne sais plus si je dois te raconter comment ton père m’a traitée… Tu es tellement dingue ! »
Je me posais la même question… et n’avais absolument plus aucune estime de moi, je me détestais… Je ressentais une horrible honte désormais et je savais que le témoin de ce pire moment d’humiliation de mon existence n’est autre que la personne qui m’en veut le plus sur cette terre.
Je mesure d’un coup les conséquences de ce témoignage d’ultime faiblesse et je suis effrayé par l’usage qu’en fera ma femme.
Elle s’arrêta de marcher, mis un doigt devant la bouche comme si elle venait de penser à quelque chose d’important et se retourna pour me dire : « Et puis, si je vais te dire… Maintenant que tu as jouis comme le pire des loosers tu vas surement écouter d’une autre oreille » pensant que je ne ressentirais désormais que de la douleur et plus aucune excitation sexuelle.
Elle revint s’assoir sur son fauteuil, les jambes écartées et caressa langoureusement son corps avec ses deux mains, les yeux à demi clos et prononça avec une voix douce et innocente : « Beau-papa… Hmmmmm… Vous êtes un vilain… Je suis votre belle-fille voyons… Pensez à votre fils enfin… Je vous fais bander ? Mais je suis si jeune par rapport à vous… Ca vous excite à ce point ? Est-ce mon corps sans cellulite ? Ma peau jeune et tendue ? Mon visage sans une seule ride ? Attendez, j’ai deviné : Ma petite chatte si serrée ! C’est ça hein ?!
Ca fait bander votre grosse queue ? Hmmm… vous allez m’exciter Beau-Papa à force…
Vous n’oseriez pas tout de même ?... C’est impensable de trahir son propre fils en touchant sa femme, aussi bandante soit-elle… Vous avez des principes non ?
Mais si ça peut vous aider je dois vous avouer que moi aussi j’ai déjà fantasmer sur vous, mais je résiste voyons ! Vous devriez y arriver vous aussi ! Ah ça vous excite encore plus de savoir ça… ? Oups… Que je suis sotte alors, je n’aurais rien dû vous dire…
Mais je ne suis pas dupe vous savez… Je n’ai aucun doute que vous vous branlez en pensant à votre petite salope de belle-fille n’est-ce pas ? Qu’est-ce que vous me faites dans vos pensées ? Vous me tringlez comme une petite pute version hard ? Ou peut-être que vous préférez la version soft en me caressant la tête pendant que je vous suce consciencieusement, à genoux devant vous, comme une bonne fi-fille bien obéissante qui va docilement tout avaler le sperme de son beau-papa ?
Ce n’est pas bien de penser des choses comme ça de sa belle-fille et vous le savez… ça doit être un sacré combat pour vous de résister… Et encore plus quand je m’amuse à vous allumer en sachant pertinemment que vous ne pouvez rien tenter… Je vous avoue que j’en ai joué quelques fois, par pure malice… Vous vous souvenez de cette fois à la plage ensemble quand je venais de faire votre connaissance ? J’avais à peine 20 ans et ne me doutais pas que ça deviendrait sérieux avec votre fils… Je m’étais allongée pile devant vous avec mon string volontairement trop tiré pour vous faire voir mes lèvres qui dépassaient du tissu. Je savais que vous alliez vous rincez l’œil… Je ne sais pas si vous bandiez mais vous aviez pris des photos en douce vieux cochon, j’ai entendu le déclencheur !
Et vous vous rappelez de cette fois où je suis venue prendre le petit déjeuner vêtue uniquement d’un tee shirt long ? Je faisais la fille encore endormie qui ne se rappelle plus que si je elle se penche en avant vous alliez voir sa petite chatte…
Je sais… c’était facile… surtout que vous ne pouviez rien tenter parce à chaque fois il y avait du monde autour de nous, et que de toutes façons nous allions vous quitter juste après… »
Elle faisait exprès de rejouer ces conversations avec mon père en se touchant et en me montrant à quel point ça l’excitait.
Elle savourait le mal qu’elle m’infligeait en me révélant ainsi ces propos inqualifiables.
Quel monstre ! Que de cruauté et de perversité chez ma propre femme à aimer me nuire ainsi.
Elle se justifie qu’elle ne fait que de se venger pour ne pas avoir été à la hauteur de ses attentes, pour l’avoir sous-estimée et pour être devenu un mari aussi déshonorant.
Elle entreprend de reprendre ses cruels aveux et poursuit :
« Évidemment après ce qui s’était passé sous la douche il voulait recommencer très vite…
Le soir même, quand tout le monde dormait, il sorti aussitôt de sa chambre au moment même où je sortais de la nôtre pour me rendre aux toilettes.
Il bandait sous son peignoir sans s’en cacher et me regardait comme un prédateur affamé regarde une proie s’avancer vers lui.
Sans presque un mot, juste avec des regards, nous sommes allés dans une chambre d’amis au second étage.
Nous y avons baisé comme des bêtes, c’était intense et il m’a fait jouir comme une folle, si tu savais… Que c’était bon de sentir la queue de beau papa défoncer ma petite chatte en cachette… !
Il m’a ensuite avoué tout le désir qu’il avait pour moi depuis si longtemps. Il a répété qu’il ne souhaitait surtout pas briser notre couple.
Je lui ai fait comprendre que je ne pouvais plus résister à l’envie qu’il me baise, que ça devenait obsessionnel et qu’il fallait assouvir ce désir sans quoi j’allais devenir folle.
Je l’ai rassuré en lui précisant que je ne souhaitais que du sexe avec lui, que je n’avais absolument aucun sentiment amoureux et que cette relation interdite devait rester secrète.
Je lui ai parlé de mes fantasmes à son égard et mon inavouable envie de rapports différents que ceux avec toi, que cet interdit, une fois dépassé, ouvrait sur d’autres de mes fantasmes que je lui soumettrais.
Il fut bien évidemment curieux de connaitre ce qui pourrait bien me faire fantasmer. Alors je lui ai avoué que tu étais plus que médiocre au lit et tellement coincé que j’en étais frustrée. Je lui ai menti en lui disant que ce n’était pas grave en soit et que je parvenais à m’accommoder de cette frustration et lui ai fait croire que j’étais la plus fidèle des femmes. J’ai ajouté que je ne comprenais pas ce qui se passait avec lui, que je ne pouvais pas résister, qu’il n’y avait que lui qui me mettait troublait à ce point.
Une fois rassuré sur mes intentions je lui ai avoué avoir souvent imaginé qu’il me baisait sauvagement.
Il n’en fallu pas plus pour le rendre fou d’excitation.
Tu connais ton père, avec son caractère macho, son égo surdimensionné et son tempérament de leader de troupe, tout le contraire de toi au passage, et bien là il était comblé.
Il rebanda aussitôt et je sentis cette fois qu’il allait me baiser comme une chienne. J’en fus tellement excitée que je lui fis découvrir sa belle-fille sous un angle qu’il n’avait jamais espéré… Savoir que c’était ton père me transforma en véritable chienne et il en profita plusieurs fois de suite.
Je ne me doutais pas que tu aimerais être humilié. Je constate même que plus mes aventures sont humiliantes plus tu sembles excité ! Je ne pensais pas que tu étais si faible et soumis ! J’ai honte de toi, quel sous homme tu es devenu…
Être humilié à ce point me procurait un orgasme presque permanent… Je savais que lui montrer ce côté de moi revenait à lui offrir un contrôle total de mon existence et me condamnait à me soumettre à elle.
Mais je ne pouvais pas résister à l’excitation qu’elle me procurait avec ses aveux, et plus ils étaient immoraux, plus je prenais du plaisir malgré moi…
« Ton père s’est permis de me baiser ensuite comme une salope avec un vilain plaisir !
Si j’avais su que c’était un tel pervers je n’aurais peut-être pas franchi le cap.
Au début il s’est contenté de me baiser sauvagement, il avait tellement envie de moi que ça le satisfaisait amplement. Il arrivait tout de même à m’utiliser 3 ou 4 fois par jour ce vicieux…
Il a profité de moi autant qu’il a pu pour réaliser un paquet de fantasmes plus ou moins avouables… mais je pense que tu apprécieras d’en connaitre quelque uns…
Je me souviens que chaque fois que nous lui rendions visite il inventait une excuse pour que nous soyons que tous les deux. A chaque fois tu gobais tout ! Et pendant que tu t’occupais il m’utilisait pour se vider les couilles dans ton dos.
Et puis je l’ai retrouvée seule, régulièrement.
Il adorait que je m’habille avec de la lingerie et que je les achète avec ton argent.
Je dois t’avouer que je baise encore avec lui et que j’aime qu’il me traite comme une salope… »
Je rebandais à mort et me branlait honteusement
J’ai alors senti un autre orgasme arriver et plusieurs jets de sperme ont filés dans sa direction sans l’atteindre.
Elle jubilait de me narguer de la sorte et me voir jouir encore dans une situation pareille lui procura un orgasme à elle aussi, ses doigts qui pénétraient sa petite chatte à un rythme de plus en plus soutenu venaient de se crisper, ses yeux étaient révulsés, son corps entier tremblait, sa bouche grande ouverte laissa échapper un cri de soulagement long et profond, un cri de libération.
Nous sommes restés sans rien dire pendant quelques secondes, le temps de reprendre nos esprits puis elle se leva et se dirigea vers la douche. Je la regardai disparaître, sans la reconnaître, assommé par ce qui venait de se passer, ne trouvant plus ma place ici. Honteux d’avoir pris du plaisir à être humilié ainsi. Désorienté. Inquiet par ce que le futur me réservait désormais.
A suivre…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle mise en abime, maintenant que l'on sait que c'est une "Marie couche toi là" et que ça fait bander son mari, j'espère des turpitudes encore plus vicieuses pour la suite.
Terrible la suite est attendue mais c’est violent
Hâte de la suite. Même si le coup du père aurait de trop pour moi
La femme est 1 taspe qui traite son mari comme 1 merde.
Elle est perverse et immonde envers son mari.
Elle n’a pas de figure.
Elle est perverse et immonde envers son mari.
Elle n’a pas de figure.