Ma femme me fit cocu avec le curé du village. (Suite 6)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma femme me fit cocu avec le curé du village. (Suite 6)
Les trois amies d’enfance, Sophie ma belle-mère, Adèle et Justine, mis à part qu’elles aimaient toutes les trois le sexe dans toute sa splendeur, étaient très catholiques pratiquantes. Elles étaient toujours prêtes à participer aux fêtes religieuses du village et aidaient beaucoup Monsieur le curé : Le père Romain. Ce soir-là, Adèle nous avait invité mon épouse Lili et moi ainsi que ses amies et Monsieur le curé, à un repas afin de discuter de la préparation de la fête paroissiale.
Chez Adèle, la salle à manger, le salon, se confondaient dans un même espace. Comme il était important et indispensable de séparer cette grande pièce à vivre en deux espaces distincts, Adèle avait dissocier l'espace lecture, TV, détente, du coin repas, salle à manger, lieu de réception en y plaçant judicieusement l’ameublement et notamment, le grand canapé. Ainsi, la lumière, la fluidité et la notion d'ouverture, empêchait de se retrouver trop vite dans un espace confiné. Elle avait fait placer dans chaque angle des murs et des plafonds de petites caméras qui balayaient toutes les surfaces de cette vaste pièce. Elle aimait revoir les scènes d’amour qu’elle vivait avec ses amants, c’était la raison pour laquelle, elle avait tenu à les installer.
Pendant tout le dîner, la conversation n’avait pas dévié du sujet principal qu’était cette fête, mais après le dessert, les trois amies commencèrent à parler de leurs relations sexuelles du moment. Moi qui étais toujours à l’affut de ce genre de discussion, j’étais resté avec elles pendant que le père Romain et ma femme s’était retirés sur le canapé pour bavarder plus sérieusement de l’actualité et d’autres sujets bien plus sérieux. La soirée s’était terminée dans une bonne ambiance et chacun était reparti avec l’esprit tranquille, l’organisation de la fête était sur la bonne voie.
Le lendemain matin, il était onze heures lorsque je reçus un appel téléphonique d’Adèle toute affolée. Elle voulait que je passe la rencontrer d’urgence, c’était d’après elle très important. Une fois installés dans le canapé devant la télévision, elle me passa la vidéo de la soirée. Ce n’était pas la salle à manger, mais bien la discussion du curé et de Lili mon épouse qui passait sur l’écran. Les micros placés sous les coussins avaient eux aussi fonctionnés. En effet, Adèle soupçonnait depuis un long moment le père Romain, il lui avait fait déjà quelques petites avances discrètes et voulait être sûre qu’elle ne se trompait pas.
Elle avait donc mise en fonctions les caméra la veille. Sur les images, je voyais donc de face le curé et ma femme Lili. Il y avait eu beaucoup de respect entre eux. En commençant par leur position sur les coussins, ils s’étaient chacun installés côte à côte, Lili se trouvait à sa droite. Romain était un bel homme de 51 ans, malgré sa soutane. D’autres prêtes s’habillent aujourd’hui tout à fait ordinairement mais lui rarement. Les diverses discussions étaient très courtoises et il ne manquait pas d’humour. Lili qui le connaissait que très peu le trouva bien plus sympathique qu’elle ne pensait. D’après ses regards qu’elle lui lançait, je me doutais qu’elle le trouvait très attirant. J’étais persuadé que quelques pensées coquines lui vinrent à l’esprit.
Lili lança donc une conversation un peu plus osée et raconta une histoire drôle suffisamment cochonne pour faire rougir le prêtre. Lui riait et venait de rapprocher sa jambe de la sienne. Au début, il toucha son pied, il s’en excusa, puis il recommença. Cette fois il ne dit rien et leurs pieds se touchaient encore. Il plaqua son genou contre le sien, elle recula sa jambe sans bouger son pied. Puis il recommença. Elle ne dit rien la situation la surprenait mais accepta son contact qui, il fallait le dire l’excitait. Voyant que le père Romain s’approchait vraiment d’elle, Lili posa la question suivante :
— Mon père vous avez fait vœux de chasteté, comment faites-vous ?
— Vous savez Lili, je fais abstinence mais je reste un homme. Je ne suis pas insensible à nos contacts. Je commence à être en érection.
— Excusez-moi mon père, je ne sais pas ce qu’il m’a pris.
— Ne vous inquiétez pas, si vous acceptez, j’en serais très heureux.
Lili l’entendant parler était stupéfaite, il était allé trop loin. Elle recula sa jambe et son pied, ils continuèrent la conversation. Il revint poser sa jambe entre les deux siennes, attirant un peu sa jambe droite vers lui. Il prit la main de Lili discrètement sans que nous puissions voir et la posa sur son sexe. Il devait être nu sous sa soutane, elle sentait très bien son pénis en érection. Elle retira la main brusquement et il dit :
— Vous voyez, nous sommes que de pauvres pêcheurs. Que Dieu nous pardonne nos pêchers.
— Amen Répondit Lili en le fixant droit dans les yeux. Soit elle avait rêvé, soit elle tentait l’expérience. Après tout, comme il avait dit, ce n’était qu’un homme. Nu, il était comme les autres à en croire ce qu’elle avait ressenti lorsque sa main s’était posée sur la soutane. Moi, la trompant avec sa mère, elle était en face d’un choix délicat. Fallait-il accepter ses avances. Néanmoins, elle s’imaginait mal avec un représentant du culte, elle n’était pas prête à franchir le pas, la soutane lui faisait peur. Elle continua :
— Vous faites pareil avec Adèle ?
— Non, mais j’aimerais, je vous l’avoue. Mais avec vous qui respirez la jeunesse, je crois que vous m ‘excitez.
— Et d’autres femmes. Cela vous arrive-t-il ?
— Quand elles voulaient bien de moi dans le passé. Je suis un homme d’église très peu essaie de le faire. Je suis arrivé à tenir jusqu’à l’âge de trente ans, mais ce fut trop difficile. J’ai donc pêché souvent. Que Dieu me bénisse.
Lili eut de la compassion pour cet homme, sans vouloir lui faire d’avance, elle posa machinalement sa main sur la sienne.
— Je vous plains mon père, cela a dû être très difficile en effet.
Adèle servit le café aux deux et repartit vers la salle à manger, le père Romain posa sa main sur la cuisse nue de Lili qui n’avait qu’une petite jupe en jean et se pencha à son oreille.
— Vous êtes merveilleuse, je vous trouve très attirante, Lili.
— Mon père je suis très gênée, je ne sais pas si je pourrai … Mon mari se trouve à deux pas.
— Il est bien trop absorbé par les pècheresses du sexe en ce moment pour faire attention à vous.
Lili n’avait pas répondu, mais elle avait écarté ses jambes afin que le curé puisse monter sa main d’avantage. Elle but le café puis voyant qu’il ne faisait rien de plus, lui prit la main et la dirigea beaucoup plus vers son pubis qui s’humidifiait. Le père Romain jeta un œil derrière lui pour vérifier que nous ne les regardions pas, se pencha vers sa voisine et lui fit une bise sur la bouche en lui disant : — Je vais avoir beaucoup de mal à vous oublier cette nuit, ce que vous me faites vivre me fait bander, vous pouvez sentir si vous le voulez.
— Mon père, pas ici quand même.
Il fit comme Lili, il lui dirigea sa main vers sa verge directement sous la soutane, en effet, il était nu dessous et sa queue était toute raide. Elle n’avait plus connu d’homme lui faisant la cour ainsi depuis longtemps et de surcroit un curé, elle mouillait sa culotte, les doigts du curé savaient comment faire. Jamais elle n’aurait imaginé connaître un jour cela. Un curé qui la draguait, c’était impensable. En plus, il était parvenu à l’exciter, elle qui mouillait très peu, surtout lorsque ses deux doigts avaient pris possession de son intimité. Elle ne le branlait pas mais lui enserrait le gland de sa main en passant le bout du doigt sur le méat qui suintait au fur et à mesure de sa caresse précise, tout cela discrètement, sans que nous les apercevions. Il faut dire que nous étions en plein récit érotique, à ce moment-là :
— Continue Lili, c’est trop bon.
— Vous aussi Monsieur le curé, je n’ai jamais mouillé autant.
Elle avait envie qu’il ne reste pas ainsi, il était si dur et si droit sous la soutane. Elle aurait tant voulu le prendre dans la bouche, mais c’était vraiment risqué, la situation était telle que cela l’excitait d’autant plus.
— Viens Lili, il te trompe, tu le sais, ne te gêne pas, avale-moi.
— Attendez Monsieur le curé je me place comme si je dormais.
Elle enleva ses chaussures, se mit dans la position fœtale, la tête sur ses cuisses, la main droite du curé passa la main sous sa jupe, cette position facilitait aussi le doigté du père Romain qui lui mit en même temps, deux doigts dans sa petite chatte et le pouce dans le petit trou. Lili faillit tout gâcher mais se retint à la dernière minute de crier. Elle releva la soutane dévoilant la belle bite tendue vers les cieux du curé qu’elle happa entre ses lèvres. Les mouvements de tête qu’elle faisait, n’étaient pas ceux d’une experte, Lili n’aimait pas la fellation, elle n’aimait pas grand-chose dans le sexe d’ailleurs, mais ce soir, elle se surpassait :
— Passe ta langue en même temps Lili. Lui dit-il Lorsque qu’après quelques va et vient, le père Romain éjacula à l’intérieur de sa bouche par de grands jets chauds, elle recracha sur sa verge encore en pleine érection, ce mélange de sperme et de salive. Il prit un mouchoir pour s’essuyer et remit sa soutane en place. Il retira ses doigts trempés de cyprine qu’il avala puis quelques minutes plus tard, Lili s’endormit sur ses jambes jusqu’à son départ. Jamais, Monsieur le curé et Lili ne pensaient que nous pourrions voir la vidéo de cette scène pornographique comme si nous y étions aux premières loges :
— Quel vicieux le curé et quelle salope cette Lili. M’exclamais-je— Je crois que tu n’as rien à dire, tu ne penses pas. Regarde-toi, tu bandes comme un cerf. Tu veux ma bouche ?
— Oui ! Cette putain m’a excité, j’ai besoin de toi et de ta langue.
— Contrairement à ta femme, je t’avalerai jusqu’à la dernière goutte.
Depuis cette soirée, Lili était devenue une fervente de la messe dominicale, elle ne rentrait que bien après l’office, je supposais donc qu’elle ne voulait pas que l’hostie les dimanche matin mais le cierge du père Romain.
Chez Adèle, la salle à manger, le salon, se confondaient dans un même espace. Comme il était important et indispensable de séparer cette grande pièce à vivre en deux espaces distincts, Adèle avait dissocier l'espace lecture, TV, détente, du coin repas, salle à manger, lieu de réception en y plaçant judicieusement l’ameublement et notamment, le grand canapé. Ainsi, la lumière, la fluidité et la notion d'ouverture, empêchait de se retrouver trop vite dans un espace confiné. Elle avait fait placer dans chaque angle des murs et des plafonds de petites caméras qui balayaient toutes les surfaces de cette vaste pièce. Elle aimait revoir les scènes d’amour qu’elle vivait avec ses amants, c’était la raison pour laquelle, elle avait tenu à les installer.
Pendant tout le dîner, la conversation n’avait pas dévié du sujet principal qu’était cette fête, mais après le dessert, les trois amies commencèrent à parler de leurs relations sexuelles du moment. Moi qui étais toujours à l’affut de ce genre de discussion, j’étais resté avec elles pendant que le père Romain et ma femme s’était retirés sur le canapé pour bavarder plus sérieusement de l’actualité et d’autres sujets bien plus sérieux. La soirée s’était terminée dans une bonne ambiance et chacun était reparti avec l’esprit tranquille, l’organisation de la fête était sur la bonne voie.
Le lendemain matin, il était onze heures lorsque je reçus un appel téléphonique d’Adèle toute affolée. Elle voulait que je passe la rencontrer d’urgence, c’était d’après elle très important. Une fois installés dans le canapé devant la télévision, elle me passa la vidéo de la soirée. Ce n’était pas la salle à manger, mais bien la discussion du curé et de Lili mon épouse qui passait sur l’écran. Les micros placés sous les coussins avaient eux aussi fonctionnés. En effet, Adèle soupçonnait depuis un long moment le père Romain, il lui avait fait déjà quelques petites avances discrètes et voulait être sûre qu’elle ne se trompait pas.
Elle avait donc mise en fonctions les caméra la veille. Sur les images, je voyais donc de face le curé et ma femme Lili. Il y avait eu beaucoup de respect entre eux. En commençant par leur position sur les coussins, ils s’étaient chacun installés côte à côte, Lili se trouvait à sa droite. Romain était un bel homme de 51 ans, malgré sa soutane. D’autres prêtes s’habillent aujourd’hui tout à fait ordinairement mais lui rarement. Les diverses discussions étaient très courtoises et il ne manquait pas d’humour. Lili qui le connaissait que très peu le trouva bien plus sympathique qu’elle ne pensait. D’après ses regards qu’elle lui lançait, je me doutais qu’elle le trouvait très attirant. J’étais persuadé que quelques pensées coquines lui vinrent à l’esprit.
Lili lança donc une conversation un peu plus osée et raconta une histoire drôle suffisamment cochonne pour faire rougir le prêtre. Lui riait et venait de rapprocher sa jambe de la sienne. Au début, il toucha son pied, il s’en excusa, puis il recommença. Cette fois il ne dit rien et leurs pieds se touchaient encore. Il plaqua son genou contre le sien, elle recula sa jambe sans bouger son pied. Puis il recommença. Elle ne dit rien la situation la surprenait mais accepta son contact qui, il fallait le dire l’excitait. Voyant que le père Romain s’approchait vraiment d’elle, Lili posa la question suivante :
— Mon père vous avez fait vœux de chasteté, comment faites-vous ?
— Vous savez Lili, je fais abstinence mais je reste un homme. Je ne suis pas insensible à nos contacts. Je commence à être en érection.
— Excusez-moi mon père, je ne sais pas ce qu’il m’a pris.
— Ne vous inquiétez pas, si vous acceptez, j’en serais très heureux.
Lili l’entendant parler était stupéfaite, il était allé trop loin. Elle recula sa jambe et son pied, ils continuèrent la conversation. Il revint poser sa jambe entre les deux siennes, attirant un peu sa jambe droite vers lui. Il prit la main de Lili discrètement sans que nous puissions voir et la posa sur son sexe. Il devait être nu sous sa soutane, elle sentait très bien son pénis en érection. Elle retira la main brusquement et il dit :
— Vous voyez, nous sommes que de pauvres pêcheurs. Que Dieu nous pardonne nos pêchers.
— Amen Répondit Lili en le fixant droit dans les yeux. Soit elle avait rêvé, soit elle tentait l’expérience. Après tout, comme il avait dit, ce n’était qu’un homme. Nu, il était comme les autres à en croire ce qu’elle avait ressenti lorsque sa main s’était posée sur la soutane. Moi, la trompant avec sa mère, elle était en face d’un choix délicat. Fallait-il accepter ses avances. Néanmoins, elle s’imaginait mal avec un représentant du culte, elle n’était pas prête à franchir le pas, la soutane lui faisait peur. Elle continua :
— Vous faites pareil avec Adèle ?
— Non, mais j’aimerais, je vous l’avoue. Mais avec vous qui respirez la jeunesse, je crois que vous m ‘excitez.
— Et d’autres femmes. Cela vous arrive-t-il ?
— Quand elles voulaient bien de moi dans le passé. Je suis un homme d’église très peu essaie de le faire. Je suis arrivé à tenir jusqu’à l’âge de trente ans, mais ce fut trop difficile. J’ai donc pêché souvent. Que Dieu me bénisse.
Lili eut de la compassion pour cet homme, sans vouloir lui faire d’avance, elle posa machinalement sa main sur la sienne.
— Je vous plains mon père, cela a dû être très difficile en effet.
Adèle servit le café aux deux et repartit vers la salle à manger, le père Romain posa sa main sur la cuisse nue de Lili qui n’avait qu’une petite jupe en jean et se pencha à son oreille.
— Vous êtes merveilleuse, je vous trouve très attirante, Lili.
— Mon père je suis très gênée, je ne sais pas si je pourrai … Mon mari se trouve à deux pas.
— Il est bien trop absorbé par les pècheresses du sexe en ce moment pour faire attention à vous.
Lili n’avait pas répondu, mais elle avait écarté ses jambes afin que le curé puisse monter sa main d’avantage. Elle but le café puis voyant qu’il ne faisait rien de plus, lui prit la main et la dirigea beaucoup plus vers son pubis qui s’humidifiait. Le père Romain jeta un œil derrière lui pour vérifier que nous ne les regardions pas, se pencha vers sa voisine et lui fit une bise sur la bouche en lui disant : — Je vais avoir beaucoup de mal à vous oublier cette nuit, ce que vous me faites vivre me fait bander, vous pouvez sentir si vous le voulez.
— Mon père, pas ici quand même.
Il fit comme Lili, il lui dirigea sa main vers sa verge directement sous la soutane, en effet, il était nu dessous et sa queue était toute raide. Elle n’avait plus connu d’homme lui faisant la cour ainsi depuis longtemps et de surcroit un curé, elle mouillait sa culotte, les doigts du curé savaient comment faire. Jamais elle n’aurait imaginé connaître un jour cela. Un curé qui la draguait, c’était impensable. En plus, il était parvenu à l’exciter, elle qui mouillait très peu, surtout lorsque ses deux doigts avaient pris possession de son intimité. Elle ne le branlait pas mais lui enserrait le gland de sa main en passant le bout du doigt sur le méat qui suintait au fur et à mesure de sa caresse précise, tout cela discrètement, sans que nous les apercevions. Il faut dire que nous étions en plein récit érotique, à ce moment-là :
— Continue Lili, c’est trop bon.
— Vous aussi Monsieur le curé, je n’ai jamais mouillé autant.
Elle avait envie qu’il ne reste pas ainsi, il était si dur et si droit sous la soutane. Elle aurait tant voulu le prendre dans la bouche, mais c’était vraiment risqué, la situation était telle que cela l’excitait d’autant plus.
— Viens Lili, il te trompe, tu le sais, ne te gêne pas, avale-moi.
— Attendez Monsieur le curé je me place comme si je dormais.
Elle enleva ses chaussures, se mit dans la position fœtale, la tête sur ses cuisses, la main droite du curé passa la main sous sa jupe, cette position facilitait aussi le doigté du père Romain qui lui mit en même temps, deux doigts dans sa petite chatte et le pouce dans le petit trou. Lili faillit tout gâcher mais se retint à la dernière minute de crier. Elle releva la soutane dévoilant la belle bite tendue vers les cieux du curé qu’elle happa entre ses lèvres. Les mouvements de tête qu’elle faisait, n’étaient pas ceux d’une experte, Lili n’aimait pas la fellation, elle n’aimait pas grand-chose dans le sexe d’ailleurs, mais ce soir, elle se surpassait :
— Passe ta langue en même temps Lili. Lui dit-il Lorsque qu’après quelques va et vient, le père Romain éjacula à l’intérieur de sa bouche par de grands jets chauds, elle recracha sur sa verge encore en pleine érection, ce mélange de sperme et de salive. Il prit un mouchoir pour s’essuyer et remit sa soutane en place. Il retira ses doigts trempés de cyprine qu’il avala puis quelques minutes plus tard, Lili s’endormit sur ses jambes jusqu’à son départ. Jamais, Monsieur le curé et Lili ne pensaient que nous pourrions voir la vidéo de cette scène pornographique comme si nous y étions aux premières loges :
— Quel vicieux le curé et quelle salope cette Lili. M’exclamais-je— Je crois que tu n’as rien à dire, tu ne penses pas. Regarde-toi, tu bandes comme un cerf. Tu veux ma bouche ?
— Oui ! Cette putain m’a excité, j’ai besoin de toi et de ta langue.
— Contrairement à ta femme, je t’avalerai jusqu’à la dernière goutte.
Depuis cette soirée, Lili était devenue une fervente de la messe dominicale, elle ne rentrait que bien après l’office, je supposais donc qu’elle ne voulait pas que l’hostie les dimanche matin mais le cierge du père Romain.
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