Ma femme se fait chienne

- Par l'auteur HDS Père-vert -
Récit érotique écrit par Père-vert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme se fait chienne Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma femme se fait chienne
Il fait chaud dans la maison. Il fait même très chaud. On sue presqu'à grosse goûte.
Je suis couché dans le lit, et je ne dors pas. J’ai l’oreille attentive. La porte de la pièce voisine s’est ouverte, des gens entrent.
J’entend des talons. C'est elle, sans aucun doute. Et elle n’est pas seule. Une voix masculine accompagne ses douces parôles mélodieuses. Je ne peux déterminer l’âge de l’homme, mais sa voix laisse paraître qu’il n’est pas jeune.
Je les entend s’asseoir dans le fauteuil. Ils semblent éloignés. Ils discutent à vive voix. Il ne savent pas que je suis là. Ils font des blagues, elle rit. Il mentionne qu’elle est saoule. Elle répond qu’elle est surtout gelée. Ils se remercient de leur soirée. Puis, subtilement, il la complimente. Il lui dit qu’elle est belle. Elle répond par un merci gêné. Il a raison. Même si elle est un peu grassouillette, elle est un charme. Son visage a les traits fins d’une jeune fille de son âge. Elle a de beaux grands yeux bleu qui portent toujours un regard aguichant. Elle a les cheveux courts, noirs, qui fait encore plus ressortir ses multiples anneaux dans les oreilles ou le perçage sur sa langue. Son corps aux courbes généreuses a de grandes hanches et des fesses pulpeuses et bombées. Sa poitrine est généreuse.
Je l’ai vue se vêtir pour la soirée qu’elle vient de passer. Des jarretelles avec des bas filet noir. Une jupe en cuir noire moulante, très courte. Un corset lacé aux motifs gothiques de couleur pourpe, qui faisait remonter sa poitrine en un appétissant décolleté.
Pour se chausser, elle avait mit ses bottes à talons pointus en cuir qui remontent le long de sa jambe. Dernière touche à son accoutrement, un collier en cuir très large, avec plusieurs anneaux. Ne lui manquais plus qu’une petite culotte. Mais elle n’en avait pas besoin. Elle sortait pour rencontrer. Après quelques vaporisations de parfum, elle parti. Elle ne se doutait point que j’allais encore être là à son retour.

Le ton a baissé. Il lui parle tout doucement, très bas. J’ai du mal à entendre, mais elle répond d’autres mercis et quelques réponses affirmatives à des questions que j’entends mal. J’entend le cuir du sofa se contracter. Elle commence à bouger lentement du sofa. Le male ne parle plus. Je l’entends s’asseoir à coté d’elle. L’intensité du froissement du fauteuil lorsqu’il s’est assis laisse présumer que c'est un individu lourd? Est-il gros ou musclé? Quel âge a-t-il? Que fait-il?
Un baiser. J’ai entendu un court baiser. Et puis là? Un bruit humide. Il l’embrasse. Leur langues se collent et dansent. J’entends les salives qui s’entremelent. J’entends leur soupir qui est devenu lent et chaud. Je suis perplexe. Je commence à avoir une érection. Mon pénis se dresse de toute sa taille sous les couvertures, faisant une bosse. Je le caresse doucement et je tends l’oreille. Leurs bouches s’entre-lichent pendant un temps qui paraît énorme. J’entends ses mains qui caressent son corps sur ses vêtements. J’entends le sofa qui se froisse. Ils doivent se coller et s’embrasser à pleine bouche. Je les entends à peine se chuchoter dans l’oreille des obscénités suivies d’acquiescements. Ca y est. Elle est allumée et incontrôlable.
Tout objection est futile à partir de ce point. Cette homme a réussi à la séduire, et ce soir, il va la posséder.
Elle gémit doucement de bonheur et de plaisir. Elle rit doucement. J’entend un bruit de succion. Il lui suce un mamelon! Il a déjà découvert ses seins. Elle doit être dépoitraillée comme une pute, ses deux immenses mamelles se faisant palper par ses mains. Je l’entends lui lécher la poitrine. De temps à autres, il la complimente sur sa beauté et l’énormité de ses seins. Il doit laisser de longues traînées de bave? Pour ma part, je suis passé de la caresse à la masturbation. Mon membre a atteint sa taille maximale, 7 pouces. Mon gland est gonflé de sang et rouge de honte. Je l’entends commencer à respirer fort. Elle aime décidément ce qu’il lui fait. Sa respiration augmente de plus en plus. Je l’entends lui dire entre deux petits gémissement
« Entre un doigt ».
C’est aussitôt suivit d’un bruit de sa chatte dégoulinante qui se fait pénétrer. Elle laisse pousser un gémissement. C’est suivit de plusieurs petits gémissements de jouissance rapide. Il la doigte. Sa respiration n’enterre pas le bruit produit par les va et viens dans l’humidité de son con.
J’entends une fermeture éclair descendre. Puis des bruits de vêtement qu’on redescend. Elle le complimente sur la grosseur. Il ne répond rien mais j’entends un nouveau bruit de succion. Il respire fort à son tour. Les sons sont presque en harmonie. Elle s’étouffe. Il doit être énorme. Je l’entends cracher puis reprendre son va et viens de bouche. Elle sonne comme un tuyau bien bouché. De temps en temps elle gémit.
Sa chatte doit être en feu. Voilà un bon moment qu’il la doigte. Elle ne dit pas un mot, sa bouche est occupée. Lui commence à l’injurier. Il dit qu'elle suce comme une vraie salope et qu’elle aime cela. Il lui demande si elle était en manque. Elle répond par l’affirmative et ajoute qu’elle avait besoin d’être dominée par quelqu’un de son genre. D’un air surpris, il lui demande si elle veut vraiment être dominée. Elle ne répond rien car elle continue sa besogne, mais le « d’accord » dit par le male prouve qu’elle lui a répondu des yeux. Il lui demande d’aller chercher son sac. J’entends le bruit qui confirme qu'elle vient de quitter sa queue, et ses talons résonnent dans le corridor. Que va elle chercher? Le sac.
« Celui qui contient mes instruments. » dit-il. .
A ce point, je me masturbe furieusement.
J’entends le sac s’ouvrir. J’entends un click métallique.
« Une laisse ..» dit-elle avec un aire gêné .
Il lui ordonne de se retourner et de se bander les yeux. J’entends sa main aggriper son bras. Elle pousse un cri de surprise. Il a sortie quelque chose du sac. Ca sonne comme de la corde. Elle confirme.
« Ta corde est rugueuse !» lui dit-elle.
Il répond que c'est parfait pour les chiennes dans son genre. Je l’entends fixer la corde sur les barreaux d’escalier. Il l'a sûrement ficelée debout, je ne l’ai pas entendu s’asseoir. Je l’entends tirer sur la chaîne. Il lui dit,
« …maintenant, tu m’obéis. Tu est devenue ma propriété, et je fais ce que je veux de toi . Maintenant, lève tes bras au-dessus de ta tête que je te fixe les mains a ce crochet».
Mais que va t-il lui faire? Je l’entends sortir les instruments du sac. Comme moi, elle ne les voit pas, à cause du bandage sur ses yeux. Elle marmonne quelque chose. Il lui a mit quelque chose dans la bouche. Sûrement pour étouffer le son. Je discerne des objets métalliques, dont certains qui semblent lourds, d’autre très légers. Un claquement se fait entendre, puis un petit cri de douleur sec et surpris. Une petite palette de bois sûrement. Ou même sa main. Il lui infflige des claques à répétition sur plusieurs endroits. Des petits coups rapides. Elle échappe un léger cri chaque fois.
« C’est pour te préparer à ce qui s’en vient » lui dit-il.
J’entends un briquet qu’on allume. Les claques continuent. Des chandelles sûrement. Elle crie différemment maintenant. Elle se plain que sa brûle ses seins. Il lui coule de la cire sur sa poitrine. Il y a une pause. Lui ricane, et elle reprend son souffle.
« Tu est une vraie cochonne d’être aussi facile. Tu mérites une sévère correction » lui lance-t-il.
Cette fois-ci c'est un claquement vif comme l’éclair. Un hurlement s’échappe de sa bouche. Il rit. Elle pleure. C’était un fouet. Il déchire l’air d’un autre coup, puis d’un autre et d’un autre. Elle répond d’un cri chaque fois. Ses coups claquent avec assurance sur sa peau. Il ne rate jamais son coup. J’entends qu’il se déplace autour. Il la couvre de coups. Les seins, les fesses, les cuisses, le dos, rien ne doit échapper à ses coups tellement il y en a. Et ça continue. Ses cris se sont transformés en une longue plainte gémissante qui tressaute à chaque coup. Ses cris sont bien audibles malgré son bâillon. Elle pleure. Elle ne peut dire un mot. Lui continue son massacre. Il la fouette d’un coup précis et régulier, malgré quelques saccades. Il prend manifestement plaisir à la faire gémir. C’est un sadique, et je la laisse entre ses mains. C’est une sorte de vengeance. J’espère qu’il ne fait que commencer.
Effectivement, les coups continuent à pleuvoir de façon brutale. Le fouet claque contre sa peau. Elle doit être rouge. Il y a sûrement des plaies à certains endroits. Rien ne l’arrête. Il est constant dans ses coups. Soudain, il halète d’essoufflement. Il doit y aller fort. Il commence à se fatiguer. Le bruit du fouet cesse, ne laissant que les lamentations sourdes après un brutal assaut. Il a enlevé son bâillon puisqu’elle répond à ses questions qu’il lui chuchote dans l’oreille. J’entend ses pleurs. J’entends aussi qu’il la couche sur le fauteuil.
« Ouvre ta bouche saloppe, que je la défonce comme une sale plotte » .
J’entends sa gorge profonde qui s’ouvre, et les ressorts du fauteuil qui grince. Il lui pénètre la bouche et fait de grand va et viens. Parfois une claque brise la monotonie. J'entends qu’elle s’étouffe. J’entends aussi qu'elle se masturbe. Je l’entends avoir des hauts le cœur. Puis soudain, j’entends le male jouir. C’est presque un grognement bestial. J’entend la belle, réceptacle phallique, s’étouffer puis vomir. Elle constate qu’il éjacule abondamment. Lui n’en a cure.
Je l’entends qu’il la revire. Elle recommence à jouir, mais rien n’étouffe sa bouche. Il la pénètre, lui fait part de l’étroitesse de son vagin. J’entend les ressort du sofa qui grincent. Ses couilles frappent sur ses grosses fesses. Parfois une claque. Il accélère la cadence, il la défonce. Il la traite de saloppe, de pute, de chienne. Elle, elle hurle de jouissance, elle le supplie de la défoncer plus fort. La scène que j’entends est bestiale. Il crache sur elle, la tire par les cheveux. Il y a une pause. Il manipule ce qui semble être un bouchon.
« On va voir comment est ton cul » lui-dit il.
Je l’entend qui crie de jouissance et de douleur à nouveau. Le male continue ses va et viens, mais dans un autre trou. Il la pénètre fort. Vigoureusement. Elle halète comme une chienne. Ils doivent suer à grosses goûtes à cause de la chaleur. J’entends l’homme jouir une seconde fois.
Je l’entends se relever et lui dire
« Maintenant, c’est à ton tour de jouir. Masturbe-toi comme la chienne que tu es. Mais tu ne mérites pas de jouir en paix. Tu va avoir mal pendant que tu jouie. »
Je l’entends soudain crier. Il y a aussi un bruit de liquide qui coule abondamment en flot continu.
« Tu est une truie, une sale truie, avale ma pisse! » lui-ordonne t-il.
L’urine doit faire atrocement mal sur ses plaies, c’est pourquoi je l’entends avaler la douche dorée afin d’épargner sa peau. Elle est aussi en train de se masturber intensément. J’entends la main du maître qui entre dans son vagin et doigte son cul pendant qu’elle roule son clitoris. C’est dans un éclair de jouissance et de douleur extrême entre-mélées qu’elle pousse son ultime cri d’orgasme en même temps que j’asperge mes couvertures.

A suivre….

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