Ma femme se fait prendre devant moi durant toute une soirée par son patron et un de ses amis black - histoire érotique

MA FEMME ET SON PATRON ( 2)
Je vous avais promis la suite.
Mon épouse Bernadette petite femme blonde de 26 ans qui en paraissait six de moins de part sa façon de s’habiller, et aussi par sa petite taille et sa stature frêle.
Elle s’était donné à son patron bel homme de 55 ans lors d’une soirée , consentant, j’avais assisté et filmé leurs ébats en étant dissimulé dans les combles de notre maison.
Son patron que nous appellerons Gérard avait fortement apprécié cette soirée et avait tenu à lui faire une surprise lors de leur prochaine rencontre, car d’un commun accord, ils avaient décidés de remettre çà.
Gérard, l’avait convoqué dans son bureau, l’avait embrassé et pelottée, il aurait bien voulu allez plus loin, mais ma femme n’avait pas acceptée lui signifiant qu’elle n’aimait pas faire l’amour à la sauvette, il n’avait pas insisté.
Le rendez vous fut pris pour le mercredi de la semaine suivante à vingt heure à notre domicile, mon épouse prétextant que j’étais absent pour quatre jours.

Pour cette soirée Bernadette souhaitait lui faire de l’effet, disait-elle.
Elle avait choisi une petite jupe noire très légère et surtout très courte et transparente, un petit haut blanc tout en dentelle ajourée.
Elle n’avait pas mis de sous vêtement, ses cheveux attachés en queue de cheval avec un petit nœud rouge.
Elle s’était rasé entièrement sa minette blonde.
Quand on la regardait dans la lumière, on voyait bien qu’elle était nue sous sa petite jupette et sous son petit caraco transparent !
Comme la semaine précédente, des dix neuf heure quarante cinq, je regagnais mon perchoir avec la caméra non sans avoir passé la main aux fesses de Bernadette en lui faisant un petit baisé.
Elle était très énervée, et attendait avec impatience son amant avec lequel, malgré la différence d’âge, elle avait pris son pied, elle disait qu’il avait su lui donner énormément de plaisir, nous avions convenu que c’était la dernière fois qu’elle se donnerait à lui.

La sonnette retentit, Gérard rentra avec un magnum de champagne , mais oh surprise, il était accompagné d’un grand noir très bien baraqué et assez jeune qui s’appelait Paul, il y avait également une petite asiatique toute jeune sexy et très mignonne, il fit les présentations.
Ma femme était très surprise, elle devint écarlate, car elle s’était préparé pour lui, et ne s’attendait pas à avoir d’autres invités pour cette soirée.
Elle se ressaisit, la petite asiatique qui s’appelait Li enleva son manteau, elle était vêtue d’un petit short rose et d’un soutient gorge rose, bien plus petite que mon épouse, et encore plus fine, elle était ravissante on lui aurait donné quatorze ou quinze ans.
Je su par la suite qu’elle avait dix neuf ans et était une des secrétaires de Paul qui avait lui aussi une entreprise de travaux public.
Bernadette attrapa quatre coupes, pendant que Gérard ouvrait la bouteille.

Ils discutèrent un bon moment tout en buvant du champagne qui commençait à leur faire de l’effet, sous le coup de l’émotion ma femme avait oubliée de mettre de la musique pour masquer le bruit de la caméra, c’est Gérard qui demanda à Bernadette si elle pouvait mettre quelques slows, ce qu’elle fit en jetant un coup d’œil discret à mon adresse pour s’excuser de cet oubli.
Gérard invita Li à danser, il l’enlassa aussitôt et ne tarda pas à lui caresser le dos et ses petites fesses, qui se tortillaient, il dégrafa le soutient gorge qui libéra deux magnifiques petits nichons qui se dressaient fièrement, elle avait des tétons assez prononcés.
Pendant ce temps mon épouse et Paul discutaient en buvant, Paul avait son regard qui guettait tous les mouvements de jambes de mon épouse, il savait maintenant qu’elle n’avait pas mis de sous vêtements, quand soudain Paul se leva et invita ma femme à danser, ils se collèrent progressivement, les mains de Paul ne restaient pas inactive et exploraient l’anatomie de Bernadette qui semblait appréciée ses caresses, ainsi que la bosse de son pantalon qui frottait contre le ventre de ma chérie.

Gérard et Li avaient rejoint la chambre, ils étaient maintenant entièrement nu, la petite avait une petite chatte et un petit cul qui ne me laissaient pas insensible, ils s’embrassaient et se caressaient, mon épouse était pratiquement nue et se faisait caressait et léchait par Paul.
Ils se retrouvèrent tous les quatre sur le lit, Gérard très excité se préparait à pénétrer sa partenaire, sa petite chatte avait du mal d’avaler cette grosse queue , il y parvint sans ménagement, la petite grimaçait et se tortillait sous les assauts de son partenaire, après l’avoir copieusement ramonée, il se mit à vouloir lui pénétrer son petit trou, la petite se refusait à cette pénétration.
Paul qui avait suivi la scène, saisit Li par un bras, se mit à l’embrasser et à lui caresser la poitrine, tout en la positionnant pour que Gérard la pénètre, sous la pénétration , elle se débattait et criait, après quelques aller et retour, elle semblait appréciait cette pénétration qui déformait son petit cul si mignon.

Paul avait rejoint ma chérie, il l’embrassait avec ses grosses lèvres, pénétrait avec sa grosse langue la cavité buccale de Bernadette.
Le grand black se positionna entre les cuisses de mon épouse et se mit à lui sucer et lui lécher sa petite moule toute luisante de mouille, tout en la pénétrant de ses gros doigts qui allaient et venaient vigoureusement, il se mit à la pénétrer avec sa langue, sous la pression de cette appendice qui la fouillait assez profondément, Bernadette eut un premier et très violent orgasme.
Paul avait une queue plus imposante que celle de Gérard, sentant sa partenaire prête à se faire enfiler, il la positionna à l’entrée de l’intimité de ma chérie, je voyais cette queue repoussait les chairs intimes, elle pénétrait progressivement, ma femme se tortillait et couinait, malgré cette imposante bite, elle appréciait cette intrusion qui devait la remplir pleinement.
Les deux amants étaient en sueur, Paul se démenait sur le corps de femme, il la fit se retourner et la pénétra en levrette, ces couilles battaient contre les cuisses de sa partenaire qui se cambrait et venait au devant de cette bête qui la fouillait profondément avec violence en laissant échapper d’étranges bruits.
Mais Bernadette n’attendait qu’une chose qu’il la sodomise , de part ma position je voyais son petit trou mouiller et s’ouvrir en « appelant le mâle » elle lui fit comprendre en lui tendant un tube de gel, il pointa alors son engin vers cet anus qui n’attendait que çà, le gland avait du mal à rentrer, ma femme s’écartait les fesses à l’aide de ses deux mains elle l’encourageait par des mots crus tout en l’injuriant, il forçait et transpirait, je crus un instant qu’il ne pourrait pas la pénétrer , mais si, cette longue et grosse queue l’investissait maintenant au plus profond de ses reins.
Ma femme se tortillait et criait sous les aller-retour de cette bite toute luisante qui la pistonnait sans ménagement, c’était la première fois que je voyais Bernadette prendre son pied de la sorte, j’en étais jaloux.
Gérard qui n’avait pas éjaculé vint se positionner sous mon épouse pour lui pénétrer petite sa chatte, elle voulu se soustraire à cette autre queue, mais devant l’insistance de son amant , elle abdiqua, sous la pénétration de ces deux belles bites, ma femme était comme désarticulée, elle était bloquée entre ces deux corps, ne pouvant plus bouger, elle criait son plaisir sous les assauts des deux males qui l’enveloppaient entièrement de leurs bras , la petite Li vint se positionner devant mon épouse et se mit à l’embrasser en la pénétrant de sa petite langue en lui caressant la poitrine, c’était une première pour ma femme qui se lâcha dans un deuxième orgasme , aussi violent que le premier.
Les deux queues éjaculèrent pratiquement en même temps, en se retirant le sperme coulait abondamment des deux orifices intime de leur partenaire qui était épuisée par un tel traitement.

Après avoir repris leurs esprits et leur souffle, ils se dirigèrent vers la salle de bain tout en riant et plaisantant.
A leur retour vingt minutes plus tard, ils se désaltérèrent avec du champagne, ils étaient tous les quatre sur le canapé, ils s’embrassaient et se caressaient, les deux males étaient morts, mais les deux filles se mirent à se caresser, s’embrassant, se mangeant leur petites moules mutuellement, elles se démenaient tout en poussant de petits cris, elles atteignirent un semblant d’orgasme sous les regards de leurs amants qui malgré leur envie ne purent positivement réagir.
Il était deux heures du matin, ils décidèrent de se rhabiller, se quittèrent non sans s’être pelotté et embrassé copieusement.

Mon épouse était très fatiguée, mais très heureuse de cette partie à quatre qu’elle qualifia de première, moi je rajoutais aussi de dernière, car mon amour propre en avait pris un coup malgré l’excitation que cela m’avait procurée.
Par la suite je sus par ma femme que cette soirée surprise avait été initiée par Paul et Gérard qui n’en étaient pas à leur coup d’essais et qui étaient de bons amis.
Gérard voulait se faire cette petite Li qui le faisait fantasmer , moi aussi je la trouvais très attirante avec ses petits seins et son petit cul qui avalait de belles queues, Paul lui était un célibataire, amateur de petites blonde à l’allure assez jeune, ma femme lui avait particulièrement plu, il aurait selon les dires de mon épouse et de son patron bien voulu recommencer ce genre de soirée, mais cela pour moi suffisait.