Ma femme se fait prendre par son chef de service
Récit érotique écrit par Caruso [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme se fait prendre par son chef de service
<p>Ceci s’est passé il y a quelques années.
Dans un précédent courrier, j’avais raconté comment j’avais surpris, ma femme
Bernadette, jolie petite blonde de 36 ans en compagnie d’un de ses camarades de
travail entrain de faire l’amour.
J’avais fait part de leurs ébats, en les regardant, malgré la colère, j’avais pris du plaisir
à les observer, et je n’avais rien dit à mon épouse.
Quelques temps plus tard, j’ai fais part à ma femme de ce que j’avais vu ce jour là.
Très surprise, elle avait tout d’abord niée, mais devant certaines précisions elle avait
reconnue m’avoir trompé, elle m’avait juré qu’il n’y avait eu qu’une seule fois, qu’elle
m’aimait et ne recommencerait plus.
Deux ans s’étaient écoulés paisiblement, la vie avait repris comme avant, jusqu’à ce
mercredi après midi ou elle me téléphone, pour me dire qu’elle rentrerait tard, car elle
avait une fin de mois assez difficile à boucler avec son chef de service.
J’ai trouvé qu’elle avait une voix bizarre, et que la façon dont elle me présenta la chose,
me laissa pensif, cela m’a paru un peu louche, en débauchant je décide donc de
passer discrètement la voir à son bureau.
Bernadette travaille dans une entreprise assez importante, elles sont plus de trente
secrétaires, elle a changé de chef de service depuis 4 mois.
D’après ses dires, c’est un homme de 40 ans, célibataire, assez sportif et assez
grand, soit disant très séduisant, bien porté sur le sexe, il est vrai qu’avec toutes ces
jeunes femmes, qu’il dirige !
La semaine dernière, mon épouse, m’a dit que la sous chef de service partait à la
retraite et que vu son ancienneté, elle était pressenti pour la remplacer.
Cette place l’intéresse particulièrement, son salaire sera doublé, et elle s’occupera de
distribuer le travail, ainsi que de la gestion, du recrutement et de l’embauche de ces
jeunes filles, secrétaires ou comptables.
J’arrive devant l’entreprise, les employés sont entrain de débaucher, j’attends vingt
minutes et je monte discrètement jusqu’à son bureau, je connais parfaitement les
lieux, pour y être venu assez souvent.
La porte du bureau est légèrement ouverte, il n’y a personne, j’entre, le bureau de son
chef est contigu au sien, la porte est entrebâillée, d’où s’échappe des bruits et des
rires.
Je m’approche et regarde, je suis positionné de telle façon que je peux voir sans être
vu.
Je suis cloué sur place, son chef un grand et corpulent black est assis à son bureau,
sur ses genoux à califourchon, Bernadette, ils sont entrain de s’embrasser
fougueusement à pleine bouche, je devine les langues qui s’entremêlent.
Son partenaire, a passé ses larges mains qu’il promène sous le petit haut de ma
femme qui pousse de petits cris, sa jupe est relevé, je peux voir son petit slip.
Bernard, c’est son nom dénude le haut de sa partenaire, il suce goulument ses petits
seins et descend ses mains vers l’entrecuisse bien écartée de ma femme.
Que faire ? entrer dans le bureau, et provoquer un scandale, ma femme perdra à coup
sûr son travail, ce n’est pas le moment car nous avons besoin de son salaire.
La main de Bernard est maintenant dans la petite culotte de mon épouse qui ouvre
bien grand ses cuisses tout en gloussant de plaisir, il écarte maintenant le petit slip
en dentelle rouge, et pénètre avec un de ses doigt, sans aucune difficulté la petite
chatte bien lubrifiée de ma chérie.
J’observe avec colère ce gros doigt coulisser dans la petite moulette bien ouverte de
ma femme qui en couine de plaisir.
Au bout d’un certain temps, il soulève sa partenaire, et la dépose devant lui, il se lève
et ôte son pantalon et son slip.
Je suis stupéfait par ce que je vois, il a un sexe hors norme, assez gros, et surtout très
long, il avoisine les vingt centimètres.
Je ne vois pas la tête de mon épouse, mais elle doit être très surprise, elle qui a une
petite minette très étroite, cela va lui faire tout drôle d’être pénétrer par une aussi
longue et grosse bite.
Il se remet dans son fauteuil, il la fait mettre à genoux et lui intime l’ordre de le
masturber, ensuite, il prend sa tête avec ses mains et la rapproche de son sexe, elle
le lèche, mais ce qu’il souhaite c’est autre chose.
Elle a de la peine à absorber un tel engin, il la force, elle hoquète et manque à
plusieurs reprises de s’étouffer.
Passé ce supplice, il la dénude entièrement, la positionne dans son fauteuil cuisses
bien ouvertes et relevées assez haut, il entreprend de lui manger son petit abricot qui
de part sa position est bien ouvert, il la lèche sans ménagement avec son épaisse
langue, mordille son clito, enfonce sa langue dans l’intimité juteuse de sa partenaire
qui est toute rouge et qui halète et transpire sous ses caresses.
A un moment, je vois ma femme se raidir et trembler de tout son corps, elle vient de
jouir, il plonge sa langue à la rencontre le la jouissance de Bernadette.
Il ne va pas être déçu, car d’ordinaire, elle mouille abondamment.
Elle a du mal à reprendre ses esprits tant cela a été violent.
Il fini de se dénuder, la prend par les hanches et la positionne sur son bureau,
cuisses bien ouvertes.
C’est vrais que c’est un bel homme bien musclé, ma petite femme, toute fine parait
bien frêle comparait à son partenaire.
Il positionne son gros gland à l’entrée de la petite moule bien ouverte et toute juteuse
de mouille, Bernadette anxieuse, se met sur ses coudes pour suivre cette pénétration
qui devrait s’avérait assez juste et surtout assez laborieuse, vu l’étroite minette de mon
épouse.
Le gland avance lentement se frayant un passage en écartant les lèvres, il est stoppé
dans sa progression, la petite vulve, grande ouverte, et bien lubrifiée ne peu absorber
un tel intrus, il pousse, ma femme grimace et se mord les lèvres, Bernard prend
Bernadette par les hanches et donne un coup sec qui a pour effet de franchir la porte,
mon épouse pousse un cri, étouffé par un profond baisé.
Aucun des deux amants n’ose bouger, puis je vois la queue s’enfoncer lentement
pour se bloquer au deux tiers de sa longueur bien encrée au plus profond de son
vagin.
Bernadette transpire et halète fortement sous les assauts répétés de son amant.
Je suis impressionné de voir cette bite coulisser tel un piston bien huilé à l’intérieur de
l’intimité de mon épouse qui gesticule et s’écarte au maximum.
Il positionne les jambes de mon épouse sur ses épaules, écartant et pénétrant
encore plus profond sa chatte, elle souffle et à des difficultés pour respirer, sa bouche
est grande ouverte.
Etre aussi bien prise, par une aussi grosse et longue queue, sentant venir le plaisir, je
la vois se raidir, agripper son amant, en le griffant, elle crie sa jouissance sous les
poussées de son chef, qui n’a qu’une idée, faire pénétrer son sexe entièrement.
Malgré tous ses efforts, la grotte intime de ma femme ne peu avaler cette queue .
Il se retire enfin de l’abricot bien fendu et tout juteux, il prend sa partenaire par les
hanches et la positionne sur le canapé pour la prendre en levrette, Bernadette bien
écarté et cambré au maximum n’attend que la pénétration.
Il la prend et la besogne activement, arrachant un cri à mon épouse à chaque fois
qu’il percute le fond de son vagin tout dégoulinant de jouissance.
Cette bite toute luisante se retire et se positionne maintenant devant l’anus dilaté de
sa secrétaire, avec ses mains, ma femme écarte ses fesses au maximum, Bernard
en profite pour y planter son doigt qu’il fait coulisser aisément..
Il faut dire que mon épouse est une adepte de la sodomie, elle possède de nombreux
godes et plugs assez imposant qu’elle s’enfile régulièrement, bien souvent il lui arrive
de partir travailler un petit plug dans l’anus, et le garde une bonne partie de la journée.
De ce coté là je sais qu’elle supportera et appréciera cette belle queue, il n’a aucune
difficulté à la pénétrer sous les encouragements assez cru de ma femme.
Bernadette trémousse son petit cul pour qu’il la pénètre entièrement, mais elle est
bien trop longue, Bernard la besogne sans ménagement, au bout d’un moment, il
éjacule longuement et crie sa jouissance, après un cours instant sans bouger, il retire
son membre tout luisant et maculé de sperme et d’excréments.
Il lui a mis une belle dose, car de son petit trou s’échappe un filet de sperme assez
abondant.
Les deux amants s’enlacent, en se soudant dans un profond baiser, leurs corps tout
transpirant est impressionnant à voir.
Ils se dirigent vers la douche en riant et en s’embrassant.
J’en profite pour m’éclipser, jaloux et vexé d’avoir vu ma femme jouir aussi fortement et
prendre autant de plaisir sous les caresses et les pénétrations de son amant.
De retour à la maison, j’ai attendu Bernadette qui arrive un peu plus d’une heure
après, il est aux environ de minuit.
A son arrivée, elle m’embrasse, je lui mets la main sur les fesses, elle me repousse
vivement, me disant qu’elle a eu une journée fatiguante, j’en suis convaincu ….si elle
savait !
Je lui en ai parlé un mois plus tard, elle m’avoua que c’était dans le contrat que son
chef lui avait proposé pour avoir le poste qu’elle convoitait, et qu’elle a obtenue.
Son chef selon ses dires, ne lui a jamais plus fait l’amour, quelques baisers ou
attouchements, il est vrais qu’il n’a que l’embarras du choix autour de lui.
Je vous raconterais un autre épisode qui a suivi, car mon épouse de par son poste
était devenue responsable du recrutement, et en fait, dans cette affaire j’ai eu
quelques compensations …..
</p>
Dans un précédent courrier, j’avais raconté comment j’avais surpris, ma femme
Bernadette, jolie petite blonde de 36 ans en compagnie d’un de ses camarades de
travail entrain de faire l’amour.
J’avais fait part de leurs ébats, en les regardant, malgré la colère, j’avais pris du plaisir
à les observer, et je n’avais rien dit à mon épouse.
Quelques temps plus tard, j’ai fais part à ma femme de ce que j’avais vu ce jour là.
Très surprise, elle avait tout d’abord niée, mais devant certaines précisions elle avait
reconnue m’avoir trompé, elle m’avait juré qu’il n’y avait eu qu’une seule fois, qu’elle
m’aimait et ne recommencerait plus.
Deux ans s’étaient écoulés paisiblement, la vie avait repris comme avant, jusqu’à ce
mercredi après midi ou elle me téléphone, pour me dire qu’elle rentrerait tard, car elle
avait une fin de mois assez difficile à boucler avec son chef de service.
J’ai trouvé qu’elle avait une voix bizarre, et que la façon dont elle me présenta la chose,
me laissa pensif, cela m’a paru un peu louche, en débauchant je décide donc de
passer discrètement la voir à son bureau.
Bernadette travaille dans une entreprise assez importante, elles sont plus de trente
secrétaires, elle a changé de chef de service depuis 4 mois.
D’après ses dires, c’est un homme de 40 ans, célibataire, assez sportif et assez
grand, soit disant très séduisant, bien porté sur le sexe, il est vrai qu’avec toutes ces
jeunes femmes, qu’il dirige !
La semaine dernière, mon épouse, m’a dit que la sous chef de service partait à la
retraite et que vu son ancienneté, elle était pressenti pour la remplacer.
Cette place l’intéresse particulièrement, son salaire sera doublé, et elle s’occupera de
distribuer le travail, ainsi que de la gestion, du recrutement et de l’embauche de ces
jeunes filles, secrétaires ou comptables.
J’arrive devant l’entreprise, les employés sont entrain de débaucher, j’attends vingt
minutes et je monte discrètement jusqu’à son bureau, je connais parfaitement les
lieux, pour y être venu assez souvent.
La porte du bureau est légèrement ouverte, il n’y a personne, j’entre, le bureau de son
chef est contigu au sien, la porte est entrebâillée, d’où s’échappe des bruits et des
rires.
Je m’approche et regarde, je suis positionné de telle façon que je peux voir sans être
vu.
Je suis cloué sur place, son chef un grand et corpulent black est assis à son bureau,
sur ses genoux à califourchon, Bernadette, ils sont entrain de s’embrasser
fougueusement à pleine bouche, je devine les langues qui s’entremêlent.
Son partenaire, a passé ses larges mains qu’il promène sous le petit haut de ma
femme qui pousse de petits cris, sa jupe est relevé, je peux voir son petit slip.
Bernard, c’est son nom dénude le haut de sa partenaire, il suce goulument ses petits
seins et descend ses mains vers l’entrecuisse bien écartée de ma femme.
Que faire ? entrer dans le bureau, et provoquer un scandale, ma femme perdra à coup
sûr son travail, ce n’est pas le moment car nous avons besoin de son salaire.
La main de Bernard est maintenant dans la petite culotte de mon épouse qui ouvre
bien grand ses cuisses tout en gloussant de plaisir, il écarte maintenant le petit slip
en dentelle rouge, et pénètre avec un de ses doigt, sans aucune difficulté la petite
chatte bien lubrifiée de ma chérie.
J’observe avec colère ce gros doigt coulisser dans la petite moulette bien ouverte de
ma femme qui en couine de plaisir.
Au bout d’un certain temps, il soulève sa partenaire, et la dépose devant lui, il se lève
et ôte son pantalon et son slip.
Je suis stupéfait par ce que je vois, il a un sexe hors norme, assez gros, et surtout très
long, il avoisine les vingt centimètres.
Je ne vois pas la tête de mon épouse, mais elle doit être très surprise, elle qui a une
petite minette très étroite, cela va lui faire tout drôle d’être pénétrer par une aussi
longue et grosse bite.
Il se remet dans son fauteuil, il la fait mettre à genoux et lui intime l’ordre de le
masturber, ensuite, il prend sa tête avec ses mains et la rapproche de son sexe, elle
le lèche, mais ce qu’il souhaite c’est autre chose.
Elle a de la peine à absorber un tel engin, il la force, elle hoquète et manque à
plusieurs reprises de s’étouffer.
Passé ce supplice, il la dénude entièrement, la positionne dans son fauteuil cuisses
bien ouvertes et relevées assez haut, il entreprend de lui manger son petit abricot qui
de part sa position est bien ouvert, il la lèche sans ménagement avec son épaisse
langue, mordille son clito, enfonce sa langue dans l’intimité juteuse de sa partenaire
qui est toute rouge et qui halète et transpire sous ses caresses.
A un moment, je vois ma femme se raidir et trembler de tout son corps, elle vient de
jouir, il plonge sa langue à la rencontre le la jouissance de Bernadette.
Il ne va pas être déçu, car d’ordinaire, elle mouille abondamment.
Elle a du mal à reprendre ses esprits tant cela a été violent.
Il fini de se dénuder, la prend par les hanches et la positionne sur son bureau,
cuisses bien ouvertes.
C’est vrais que c’est un bel homme bien musclé, ma petite femme, toute fine parait
bien frêle comparait à son partenaire.
Il positionne son gros gland à l’entrée de la petite moule bien ouverte et toute juteuse
de mouille, Bernadette anxieuse, se met sur ses coudes pour suivre cette pénétration
qui devrait s’avérait assez juste et surtout assez laborieuse, vu l’étroite minette de mon
épouse.
Le gland avance lentement se frayant un passage en écartant les lèvres, il est stoppé
dans sa progression, la petite vulve, grande ouverte, et bien lubrifiée ne peu absorber
un tel intrus, il pousse, ma femme grimace et se mord les lèvres, Bernard prend
Bernadette par les hanches et donne un coup sec qui a pour effet de franchir la porte,
mon épouse pousse un cri, étouffé par un profond baisé.
Aucun des deux amants n’ose bouger, puis je vois la queue s’enfoncer lentement
pour se bloquer au deux tiers de sa longueur bien encrée au plus profond de son
vagin.
Bernadette transpire et halète fortement sous les assauts répétés de son amant.
Je suis impressionné de voir cette bite coulisser tel un piston bien huilé à l’intérieur de
l’intimité de mon épouse qui gesticule et s’écarte au maximum.
Il positionne les jambes de mon épouse sur ses épaules, écartant et pénétrant
encore plus profond sa chatte, elle souffle et à des difficultés pour respirer, sa bouche
est grande ouverte.
Etre aussi bien prise, par une aussi grosse et longue queue, sentant venir le plaisir, je
la vois se raidir, agripper son amant, en le griffant, elle crie sa jouissance sous les
poussées de son chef, qui n’a qu’une idée, faire pénétrer son sexe entièrement.
Malgré tous ses efforts, la grotte intime de ma femme ne peu avaler cette queue .
Il se retire enfin de l’abricot bien fendu et tout juteux, il prend sa partenaire par les
hanches et la positionne sur le canapé pour la prendre en levrette, Bernadette bien
écarté et cambré au maximum n’attend que la pénétration.
Il la prend et la besogne activement, arrachant un cri à mon épouse à chaque fois
qu’il percute le fond de son vagin tout dégoulinant de jouissance.
Cette bite toute luisante se retire et se positionne maintenant devant l’anus dilaté de
sa secrétaire, avec ses mains, ma femme écarte ses fesses au maximum, Bernard
en profite pour y planter son doigt qu’il fait coulisser aisément..
Il faut dire que mon épouse est une adepte de la sodomie, elle possède de nombreux
godes et plugs assez imposant qu’elle s’enfile régulièrement, bien souvent il lui arrive
de partir travailler un petit plug dans l’anus, et le garde une bonne partie de la journée.
De ce coté là je sais qu’elle supportera et appréciera cette belle queue, il n’a aucune
difficulté à la pénétrer sous les encouragements assez cru de ma femme.
Bernadette trémousse son petit cul pour qu’il la pénètre entièrement, mais elle est
bien trop longue, Bernard la besogne sans ménagement, au bout d’un moment, il
éjacule longuement et crie sa jouissance, après un cours instant sans bouger, il retire
son membre tout luisant et maculé de sperme et d’excréments.
Il lui a mis une belle dose, car de son petit trou s’échappe un filet de sperme assez
abondant.
Les deux amants s’enlacent, en se soudant dans un profond baiser, leurs corps tout
transpirant est impressionnant à voir.
Ils se dirigent vers la douche en riant et en s’embrassant.
J’en profite pour m’éclipser, jaloux et vexé d’avoir vu ma femme jouir aussi fortement et
prendre autant de plaisir sous les caresses et les pénétrations de son amant.
De retour à la maison, j’ai attendu Bernadette qui arrive un peu plus d’une heure
après, il est aux environ de minuit.
A son arrivée, elle m’embrasse, je lui mets la main sur les fesses, elle me repousse
vivement, me disant qu’elle a eu une journée fatiguante, j’en suis convaincu ….si elle
savait !
Je lui en ai parlé un mois plus tard, elle m’avoua que c’était dans le contrat que son
chef lui avait proposé pour avoir le poste qu’elle convoitait, et qu’elle a obtenue.
Son chef selon ses dires, ne lui a jamais plus fait l’amour, quelques baisers ou
attouchements, il est vrais qu’il n’a que l’embarras du choix autour de lui.
Je vous raconterais un autre épisode qui a suivi, car mon épouse de par son poste
était devenue responsable du recrutement, et en fait, dans cette affaire j’ai eu
quelques compensations …..
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire inventée l auteur n à pas beaucoup d imagination récit lu plusieurs fois sur d autres sites.
Moi j adore imaginer ma femme se faire défoncer comme une chienne par son chef