Ma femme se lâche de plus en plus..
Récit érotique écrit par Plaisirdecouple3 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2018 dans la catégorie Plus on est
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Ma femme se lâche de plus en plus..
Madame se lâche et je m’interroge toujours (mais je suis un cérébral alors…)… Après ce fameux week-end à Nantes, ma femme se lâcha totalement et donna libre cours à ses envies. Elle n’avait plus besoin de N. pour se dévergonder et encore moins de moi. Elle commença dès la semaine suivante avec les deux jeunes à qui elle avait donné son 06 au cours des courses précédant le week-end nantais. Ce fut elle qui les contacta et elle s’envoya en l’air avec chacun d’entre eux dans les jours qui suivirent, elle alla jusqu’à réserver une chambre d’hôtel pour l’un, quant à l’autre elle se fit sauter chez lui, enfin chez ses parents. Le pire est que dans les deux cas, elle fut obligée de se faire jouir car ils ne surent pas le faire, ce qui ne l’empêcha pas de les revoir par la suite, notamment celui du magasin de chaussures auquel elle fut particulièrement attachée, c’était sa première femme et elle se donna comme mission d’en faire un amant irréprochable. Durant ces semaines, N. était reparti pour son boulot, mais il chargea Jerôme de remplir ma femme en son absence. Celui-ci s’installa pour plusieurs week-end à la maison, mais nous étions plus dans le partage qu’avec N., c’est lui qui dormait dans la chambre d’amis en général, sauf si madame le réclamait, ce qui arrivait parfois. Il demanda à ma femme si elle accepterait qu’un de ses amis vienne un soir (différence avec N. qui les imposait), ce dernier fantasmait sur les « cougars », très à la mode, et après avoir vu le garçon en question (en photo !), elle donna son accord, nous organisâmes alors un apéritif-baise dînatoire en quelque sorte. J’avais exigé d’être présent, mais elle m’avait prévenu qu’elle déciderait elle-même de la conduite de la soirée. Elle sortit le grand jeu, épilation intégrale, guêpière, talon haut. Nous étions déjà fin novembre et le temps était froid, je poussai le poêle à bois et il faisait plutôt chaud dans la maison. Vu la tenue de madame, il fallait être à l’aise. Lorsque Jerôme et son ami arrivèrent, ma femme avait passé un kimono en soie qui découvrait largement ses jambes. L’ami était jeune, 18 ans, avait seulement baisé deux fois. Il était assez intimidé en entrant, ma femme le mit à l’aise en l’embrassant sur les joues. L’apéro commença et c’était étrange de nous voir parler de choses et d’autres alors que chacun savait de quoi serait faite la suite. Ma femme était très à l’aise, et elle interrogea directement le copain de Jerôme, prénommé Hugo :- Alors, comme ça on aimerait essayer avec une « vieille » ?
- Heu, ben, Jerôme m’a dit que …- C’était possible ? Et bien oui, c’est possible, je suis très…ouverte à ce genre de relation, hein mon chéri ?
- (moi) Heu oui, en effet.
- Hugo, as-tu entendu parler de candaulisme ?
- Non.
- Et bien c’est lorsque le conjoint aime voir l’autre coucher avec un autre partenaire, c’est le cas de mon mari, il aime me voir ou me savoir avec d’autres hommes, au début je trouvais ça étrange, voire carrément pervers, mais à présent j’en profite ! Je me suis découvert une attirance pour les jeunes hommes, donc voilà pourquoi vous êtes là ce soir, et Jerôme le sait bien hein mon chéri ! J’espère que tu es en forme, j’ai beaucoup d’envies ce soir ! On commence ? Je veux que vous soyez mes chevaliers servants ce soir ! D’accord ?
- Oui (Jerôme), toujours. (Il m’avait avoué être amoureux de ma femme)- Et toi Hugo ?
- Heu oui, je veux bien.
- Alors on y va. Chéri, tu enlèves mon kimono ?
Je m’exécutai et enlevai lentement le kimono en question. Elle se retrouva en guêpière transparente et string de même. Jerôme connaissait ma femme sous toutes les coutures, mais il ne l’avait jamais vu comme ça. Hugo osait à peine regarder, je voyais leurs sexes tendus dans leur jean.
- Ça vous plait les garçons ?
- Oh oui !!!
- Vous la trouvez comment la vieille ?
- Vous êtes très belle madame !
- Hummm, j’aime quand on m’appelle madame ! Vous venez les garçons ?
Martine s’installa sur le canapé et fit venir les garçons à ses côtés. Puis elle leur tendit ses jambes et leur dit :- Deux garçons, deux pieds, au boulot les jeunes !
Jerôme qui connait ma femme et ses plaisirs comprit de suite, s’agenouilla devant elle et enleva son escarpin. Il commença à lui masser les pieds. Hugo comprit et fit de même. Voir ces deux jeunes garçons en train de lui masser les pieds était très érotique, du coup je baissai l’intensité de la lumière pour rendre la scène encore plus intime et sensuelle. Ils s’aventurèrent sur ses mollets, elle ronronnait presque de plaisir. Puis elle tendit la pointe de ses pieds et Jerôme comprit ce qu’elle voulait, il prit le pied et donna des coups de langues sur la voûte plantaire. Hugo avait l’air surpris, mais il se risqua à faire la même chose. Jerôme était passé aux orteils qu’il léchait et suçait avec entrain, son partenaire se décida à expérimenter la pratique. Tout ceci dura quelques minutes, personnellement j’aimais beaucoup. Puis elle leur adressa la parole :- Je veux voir vos queues les garçons, vous me les montrez ?
Ils s’exécutèrent, Jerôme sans aucun problème, ma femme connaissait bien son sexe, Hugo était plus gêné, mais il a fini par baisser son boxer, découvrant une queue tout à fait correcte, mais avec une forme très en arc de cercle, en tout cas il bandait dur ! Elle posa un pied sur chacune d’entre elle et commença à les branler. Jerôme recula les épaules, avança son bassin et profita les yeux fermés, il avait déjà expérimenté cette caresse, quant à Hugo, il ne connaissait visiblement pas ce plaisir, mais avait l’air d’apprécier. Toujours est-il que je vis son visage se crisper et sa queue commença à asperger son ventre et le pied de ma chérie qui poursuivit ses caresses jusqu’aux derniers spasmes de la jeune verge.
- Humm le cochon, il m’en a mis plein le pied ! Tu as bien aimé mes caresses il faut croire !
- Désolé madame, mais c’était trop bon, je n’ai pas pu me retenir.
- Pas grave mon chéri, tu es jeune, tu bandes encore bien, le principal c’est que tu apprennes qu’il y a plein de façon de varier les plaisirs, même si le but est le même. Mais je vous rappelle que ce soir vous êtes à mon service, Hugo approche.
Tout en disant cela, ma femme s’allonge plus, ouvre ses cuisses. Le garçon se retrouve à ses côtés. Elle lui prend la tête et l’embrasse, je vois leur langue se mélanger, puis elle pose ses mains sur sa tête et la place entre ses cuisses.
- Lèche moi à travers la culotte, tu m’as bien excitée !
Il commence à donner quelques coups de langue maladroits.
- Tu as déjà donné du plaisir à une femme avec ta langue ?
- Non- Elles aiment ça en général, cela montre que l’homme est soucieux du plaisir de la femme. Tu aimes me le faire ?
- Oui !
- Appliques toi, c’est excitant ! Jerôme, tu me donnes ta queue !
Et pendant quelques minutes, il n’y avait plus que le bruit de la succion du sexe de Jerôme. Puis ma femme prit une initiative inattendue pour moi.
- Hugo, tu veux frotter ta queue contre ma chatte ?
- Humm oui- Viens, comme ça, passe la sous la culotte et frotte toi contre moi, tu aimes le contact du tissu sur ton gland ?
- Surprenant, mais j’adore et vous toucher avec mon sexe, c’est bon.
- Moi aussi, j’aime bien ! Viens m’embrasser, tu es mignon ! (ça dure un peu, puis) Oups, le coquin, il est rentré sans prévenir, je suis trop ouverte, mais ce qui est fait est fait ! Il est bien dur, c’est bon ! Vas-y, prend moi bien à fond, je vais te guider. Voilà, ne sois pas trop rapide, je préfère les coups de reins lents mais profonds, j’aime te sentir, tu me remplis bien. Regarde, je me caresse en même temps, tu aimes ?
- Hmm oui, vous êtes belle.
- Continue, je ne suis pas loin, essaie de te retenir. Attends, arrête de bouger, je vais te serrer avec ma chatte. Tu aimes ? C’est ma grande spécialité !
- Oui !!! C’est très très bon !
Ils baisèrent encore quelques minutes et soudain le visage de Martine se crispa et elle partit !
- Baise moi, je jouis, viens !
Obéissant, il donna de grands coups de queue, mais réussit à se retenir pendant qu’elle jouissait sans retenue ! Une fois calmée, elle se leva et les emmena dans notre chambre. Là, elle laissa sa culotte sur le sol, garda sa guêpière et elle demanda à Hugo de s’allonger, elle vint sur lui, se frotta contre sa queue, fit un signe à Jerôme qui se plaça derrière elle. Tout en embrassant Hugo, elle leva ses fesses, Jerôme comprit le message, s’installa derrière, frotta sa queue contre sa chatte baveuse pour bien humidifier son gland et l’enfila sans tarder. Il n’avait pas encore éjaculé et il essayait de se retenir. Mais il craqua après seulement quelques allers-retours. Il sorti de sa chatte, Martine prit de suite la queue de Hugo et la glissa dans son sexe. Elle était déchaînée. Elle s’empalait avec ardeur sur sa jeune bite. Jerôme approcha sa queue de son visage et elle lui happa directement, lui redonnant très vite une belle raideur et elle lui dit :- Viens dans mon cul !
En bon chevalier servant, il obéit et posa son gland sur son anus. Elle arrêta de bouger le temps qu’il la pénètre doucement après avoir enlevé le rosebud qui permettait de laisser cette entrée ouverte pour ses visiteurs. Quand il fut bien installé, elle leur demanda de bouger, mais seul Jerôme donna le rythme, Hugo était passif, mais je voyais aux crispations de son visage que la jouissance n’était pas loin. Il n’y eut plus de paroles pendant quelques minutes, les deux garçons concentrés sur leur tâche et essayant de se retenir le plus longtemps possible et elle qui profitait de la pénétration en soupirant. Elle annonça son orgasme : - Je vais venir, oui !!! Encore !!!!!!haaaa !
Je ne l’avais jamais vu jouir avec autant de plaisir, elle avait peut-être joui autant avec N., mais je pouvais mesurer le chemin parcouru en quelques mois. Du coup, les deux garçons craquèrent aussi et remplirent mon épouse, Jerôme poussa des soupirs assez bruyants, il n’hésitait pas alors que Hugo était plus discret dans son plaisir. Une fois que ma chérie se fut vidée, elle enfila son kimono et on redescendit tous afin de poursuivre notre apéro coquin. Et là, une anecdote plus ou moins coquine. D’un coup, ma femme se relève et avoue :- Mince, il faut que j’enfile une culotte, désolée, mais ça coule partout, vous ne m’avez pas ratée les cochons !
Les deux garçons avaient l’air plutôt content de leur performance, ce que je pouvais parfaitement comprendre. Par la suite, ils reprirent leurs ébats et Hugo put jouir dans l’anus de ma femme. Je passais la nuit avec mon épouse après l’avoir prise à mon tour et les garçons dans la chambre d’amis. Mais le matin, elle me demanda d’aller les chercher et ils s’occupèrent d’elle plus d’une heure pendant que j’allais chercher les croissants, le mari idéal lol ! Finalement, elle décida de les garder tout le week-end et le dimanche soir, ils ne bandaient plus, je dus les suppléer, elle n’arrêtait plus. Lorsqu’ils partirent, je fis la remarque qu’elle s’était déchaînée, ce à quoi elle répondit que je n’avais encore rien vu ! Et en effet, la semaine suivante, elle fit venir tous les soirs un ou deux de ses jeunes amants afin de la prendre, N. était ravi de ses initiatives. Il lui demanda ensuite de « lever » un jeune en allant en ville. Elle releva le défi et partit le mercredi après midi dans une grande ville normande connue pour ses maisons en colombage. Elle était habillée de manière très suggestive et je suivis l’affaire par portable comme d’habitude. Elle m’envoya une photo d’elle dans un café, toutes cuisses dehors. Puis elle m’envoya un message :- Je suis repérée, il est mignon, s’il m’aborde, je le croque.
Plus de nouvelles pendant deux heures, puis photo prise en vitesse, un jeune corps sur un lit, flou. Elle avait conclu. J’eu droit au récit le soir. Elle était restée près d’une heure au café, avait repoussé quelques avances, et lorsque le jeune était entré, il lui avait plu de suite. Mais il ne la regardait pas trop, elle sortit le grand jeu en dévoilant très largement ses cuisses, elle passa devant lui pour aller aux toilettes, constata qu’il la regardait enfin et au retour elle lui balança un grand sourire. Toutefois, il ne bougeait pas, alors elle sortit et constata avec plaisir qu’il la suivait. Elle repéra une boutique de lingerie et y entra. Elle pouvait l’apercevoir derrière la vitrine et s’amusa à regarder et à montrer des ensembles de lingerie. Puis elle en essaya quelques uns et prit soin de ne pas complètement tirer le rideau de la cabine d’essayage. Il tentait de la voir, mais n’osait pas rentrer. Elle n’acheta rien, mais en sortant, elle passa devant lui, il baissa la tête, mais elle s’arrêta devant lui et lui demanda quel ensemble il avait préféré ou s’il aimait la culotte qu’elle portait, puisqu’il l’avait copieusement maté. Il bafouilla des excuses comme un enfant pris en faute, mais elle le rassura en lui disant qu’elle ne lui en voulait pas, qu’elle avait tout fait pour qu’il la remarque. Enfin, elle rajouta qu’elle n’avait pas de temps à perdre et que s’il était d’accord, il pouvait la suivre dans un hôtel voisin. Il était plutôt surpris, mais il la suivit et la suite était prévisible. Lorsqu’elle rentra à la maison, elle prévint N. de son succès, photos à l’appui. Pour ma part, je voulus discuter avec elle, car cette idée de « lever » un mec dans la rue me gênait, surtout après la semaine très intense au niveau sexuel qu’elle avait vécu. Je dois quand même reconnaître que ça m’excitait aussi. Elle me donnait l’impression de ne plus vivre que pour se faire baiser, elle commençait à moins travailler, ce qui n’avait jamais été le cas, quant à moi, je n’en parle même pas, j’étais juste bon à l’accompagner, à couvrir ses ébats. Elle consentit à reconnaître qu’effectivement, elle avait une fâcheuse tendance à beaucoup penser au sexe, mais qu’elle gérait, ce dont je doutais de plus en plus. Nymphomane ou hypersexuelle était plutôt les mots qui pour moi caractérisait son attitude. J’ai toujours aimé qu’elle soit sexy, mais elle devenait plutôt salope que sexy, et d’ailleurs certains amis de notre dernier fils avaient remarqué ce changement et elle avait eu droit à des propositions de certains d’entre eux, les voisins la regardaient avec un regard réprobateur, quoique parfois avec envie pour les hommes et les rumeurs commençaient à courir dans le canton. Il me fallait tout de même avouer qu’elle était totalement épanouie et qu’elle dégageait une sensualité remarquable, elle était belle tout simplement, j’étais fier de ma femme, fier de me promener à ses côtés, fier des regards que les hommes lui portaient.
N. revint de sa mission et reprit sa place à la maison, il avait lâché son appartement et vivait à la maison, on le faisait passer pour un cousin qui avait trouvé un travail dans la région. Toutefois, lorsque les enfants rentraient, il prenait une chambre d’hôtel. Dès qu’il rentrait le soir, il se mettait « à l’aise », de cette façon, sa queue était toujours disponible pour une de ses fantaisies sexuelles. Mais il la baisait de moins en moins, elle devait néanmoins le sucer tous les jours. En revanche, il prenait de plus en plus son pied en l’offrant, comme moi en fait. Nous étions deux candaulistes offrant « notre » femme à d’autres, étrange situation. Nous discutions de nos envies afin d’envisager d’éventuelles aventures pour notre belle mature. Une se présenta, en effet, les copains de N. qui avaient baisé Martine à Nantes proposaient qu’elle vienne passer un week-end prolongé vers La Baule où les parents de l’un d’entre eux avaient une belle propriété avec piscine intérieure et de nombreuses chambres. Il fallait attendre les vacances scolaires de février, cette année là nous n’allions pas au ski, trop de monde, nous préférions avril. Il y avait quelques semaines à passer, elle s’entretint avec ses jeunes habituels, ils étaient une dizaine dans son « harem » et elle piochait dedans au fil de ses envies et des nôtres. Sa libido faisait qu’elle les faisait venir par deux ou trois. Certains matins étaient difficiles pour aller au travail ! Ma femme n’aime pas les préservatifs et heureusement, la médecine moderne lui permit de prendre un traitement préventif pour le sida qui permet de ne pas tomber malade, donc c’était dorénavant baise nature. Les vacances arrivèrent enfin. N. avait prévu quelques surprises dont il m’avait fait part. Il lui semblait qu’il était temps de passer à l’exhibition. Il avait eu le temps de préparer le voyage, il avait pris des contacts et prévu une halte en route où il l’exhiberait à quelques jeunes voyeurs. Ils partirent un jeudi et j’eu droit le soir à un compte rendu photo de la séance avec le récit. Elle ne le savait pas, mais elle était habillée comme une belle cochonne, prête pour ce genre de spectacle. Vers 15 heures, N. quitta l’autoroute et se rendit dans une zone boisée. Ma chérie sourit en se disant qu’il allait la baiser dans un coin discret. Elle était excitée car depuis le départ, elle jouait avec les routiers en s’exhibant en voiture. Ils s’arrêtèrent dans une clairière assez distante de la route, il y avait quelques voitures et scooters. Il sortit sa queue et lui donna l’ordre habituel :
- Suce !
- Je veux bien, mais va plus loin, regarde il y a sûrement pas mal de monde ici !
- Non, j’ai envie ici, la voiture est fermée t’inquiète !
- Tu exagères, si quelqu’un vient, on arrête !
- Arrête de faire ta mijaurée, tu pars en week-end pour te faire baiser par une troupe de jeunes pervers, alors au boulot !
Elle se mit donc au travail, mais bien sûr, les contacts de N. étaient aux aguets et dès qu’ils virent la tête de ma femme disparaître sous le tableau de bord, les plus hardis sortirent du bois, comme des loups affamés. N. en avait contacté un maximum, se doutant bien qu’il y aurait des désistements. Il y en avait au final une dizaine, entre 18 et 20 ans. Ils s’approchèrent assez doucement, mais N. avait mis de la musique, donc pas de risque de se faire repérer par le bruit. Les moins timides se mirent près de la vitre passager et commencèrent à regarder. N. leur facilita la tâche en remontant la jupe déjà courte de ma femme afin qu’ils puissent contempler ses cuisses et le début de ses fesses. Il lui tenait la tête et la faisait coulisser le long de sa queue. Dans cette position, elle ne pouvait rien voir. Puis il lui dégagea la tête pour qu’elle gobe ses couilles, du coup en changeant de position, il put relever la jupe et bien dégager les fesses, pour le plus grand plaisir des spectateurs. Il baissa son siège, et en laissant plus de place, la vision était encore meilleure. Elle reprit sa fellation et il éjacula en lui bloquant la tête, comme il avait l’habitude de faire. Pendant qu’elle donnait les derniers coups de langue, il passa ses mains dans sa culotte et lui palpa les fesses devant les jeunes voyeurs.
- Hummm, tes fesses plaisent ma salope !
- Pardon ?
- Regarde !
- Salaud, je me doutais bien que tu avais prévu quelque chose !
- Fais leur plaisir, ils doivent nous attendre depuis un bout de temps, on a une heure de retard !
- J’imagine que tu as déjà des idées en tête !
- Humm oui, quelques unes- Je ne prendrai aucune initiative je te préviens !
- Pas de soucis, je gère, installe toi bien sur ton siège, laisse ta jupe relevée et écarte les jambes, voilà c’est bien. Regarde comme ils ont l’air content !
- De toute façon, dès que les hommes voient une chatte, ils sont contents !
- Oui, mais ces jeunes n’ont jamais vu une vraie chatte de maman mariée !
- Tant mieux pour eux alors, il ne faut pas les décevoir !
- On va commencer par le haut ! Soulève ton pull, ouais, enlève ton soutif.
Ma femme soupira, mais elle s’exécuta. Certains jeunes montrèrent leur contentement en levant le pouce. N. tripota ses seins, suça le bout. Puis il demanda à mon épouse d’enlever sa culotte, ce qu’elle fit sans rien dire. N. la plaça autour du rétroviseur. Il caressa sa chatte et commença à la pénétrer avec un, puis deux doigts.
- Mais tu mouilles ma salope, tu aimes bien te montrer ! Tiens lèche mes doigts ! Ah, ça y est, il y en a qui a sorti sa bite, le autres vont suivre. Montre leur ton cul.
Elle se retourna et s’installa sur le siège à 4 pattes. Elle entendit un bruit et la vitre se baissa afin de laisser passage à des mains exploratrices, mais aucune ne se posa sur elle à part celles de son amant. Il fallut qu’il leur dise qu’ils pouvaient s’y risquer pour que l’une se pose sur le fessier de mon épouse et commence à la tripoter. Comme tout jeune, ils étaient dans l’urgence et très vite des doigts la pénétrèrent, heureusement elle était mouillée et ils purent s’y introduire sans difficultés.
- Putain la salope elle est trempée, ça glisse tout seul. T’aimes ça hein ! Hummm, je vais te faire jouir !
N. baissa totalement le siège afin qu’elle s’offre au mieux. Elle laissa le jeune la doigter en soupirant et excitée comme elle était elle jouit très vite. C’était un fait, depuis qu’elle avait une vie sexuelle intense, elle jouissait vite et souvent. Une autre main s’immisça en elle, mais sur injonction de N., elle s’introduisit vite dans son anus. Les commentaires allaient bon train. La pénétration anale et les caresses de N. eurent vite fait de lui donner un nouvel orgasme. Le jeune était ravi de sentir ses sphincters se serrer sur ses doigts pendant son orgasme.
- Putain c’est trop comme elle serre mes doigts la salope, il est canon son cul pour une vieille !
Après ces deux orgasmes, N. la fit descendre de voiture, elle n’était pas trop rassurée de voir tous ces jeunes se presser bite à la main autour d’elle, mais son amant sût bien maîtriser la situation et tout se passa bien. Elle en avait toujours une dans la bouche et deux dans les mains, certains jouirent très vite, elle n’avait jamais sucé autant de queues en même temps. Puis N., qui avait tout prévu, installa un plaid et demanda à ma femme de s’allonger. Les jeunes purent tour à tour la lécher en essayant de la faire jouir, tel était le challenge que N. leur assigna. Un seul y parvint. Il avait gagné le droit de la baiser, ce qu’il fit sans se faire prier ! Après ce nouvel orgasme, elle avait envie d’uriner et de se vider et son amant la fit faire au milieu des jeunes qui étaient ravis. Il demanda si l’un était d’accord pour la nettoyer avec la langue et il y avait même deux volontaires. Du coup, ils eurent le droit de la pénétrer et ils purent jouir en elle, les autres se contentèrent de sa bouche ou de son corps. Cette pause dura une heure et demi. N. était très content car elle s’était bien prêtée au jeu. Encore une nouvelle pratique testée par ma coquine. J’étais bien sûr très excité aussi, toutefois je me posai toujours des questions, allions-nous trop loin ? Un jour, N. trouverait une autre femme à dévergonder, comment gérer la suite, le manque ? Une sexualité plus classique serait-elle encore possible ? En attendant, un week-end partouze l’attendait, il était en effet prévu que deux jeunes filles soient là aussi et aussi peut-être une mature que N. avait baisé par le passé.
- Heu, ben, Jerôme m’a dit que …- C’était possible ? Et bien oui, c’est possible, je suis très…ouverte à ce genre de relation, hein mon chéri ?
- (moi) Heu oui, en effet.
- Hugo, as-tu entendu parler de candaulisme ?
- Non.
- Et bien c’est lorsque le conjoint aime voir l’autre coucher avec un autre partenaire, c’est le cas de mon mari, il aime me voir ou me savoir avec d’autres hommes, au début je trouvais ça étrange, voire carrément pervers, mais à présent j’en profite ! Je me suis découvert une attirance pour les jeunes hommes, donc voilà pourquoi vous êtes là ce soir, et Jerôme le sait bien hein mon chéri ! J’espère que tu es en forme, j’ai beaucoup d’envies ce soir ! On commence ? Je veux que vous soyez mes chevaliers servants ce soir ! D’accord ?
- Oui (Jerôme), toujours. (Il m’avait avoué être amoureux de ma femme)- Et toi Hugo ?
- Heu oui, je veux bien.
- Alors on y va. Chéri, tu enlèves mon kimono ?
Je m’exécutai et enlevai lentement le kimono en question. Elle se retrouva en guêpière transparente et string de même. Jerôme connaissait ma femme sous toutes les coutures, mais il ne l’avait jamais vu comme ça. Hugo osait à peine regarder, je voyais leurs sexes tendus dans leur jean.
- Ça vous plait les garçons ?
- Oh oui !!!
- Vous la trouvez comment la vieille ?
- Vous êtes très belle madame !
- Hummm, j’aime quand on m’appelle madame ! Vous venez les garçons ?
Martine s’installa sur le canapé et fit venir les garçons à ses côtés. Puis elle leur tendit ses jambes et leur dit :- Deux garçons, deux pieds, au boulot les jeunes !
Jerôme qui connait ma femme et ses plaisirs comprit de suite, s’agenouilla devant elle et enleva son escarpin. Il commença à lui masser les pieds. Hugo comprit et fit de même. Voir ces deux jeunes garçons en train de lui masser les pieds était très érotique, du coup je baissai l’intensité de la lumière pour rendre la scène encore plus intime et sensuelle. Ils s’aventurèrent sur ses mollets, elle ronronnait presque de plaisir. Puis elle tendit la pointe de ses pieds et Jerôme comprit ce qu’elle voulait, il prit le pied et donna des coups de langues sur la voûte plantaire. Hugo avait l’air surpris, mais il se risqua à faire la même chose. Jerôme était passé aux orteils qu’il léchait et suçait avec entrain, son partenaire se décida à expérimenter la pratique. Tout ceci dura quelques minutes, personnellement j’aimais beaucoup. Puis elle leur adressa la parole :- Je veux voir vos queues les garçons, vous me les montrez ?
Ils s’exécutèrent, Jerôme sans aucun problème, ma femme connaissait bien son sexe, Hugo était plus gêné, mais il a fini par baisser son boxer, découvrant une queue tout à fait correcte, mais avec une forme très en arc de cercle, en tout cas il bandait dur ! Elle posa un pied sur chacune d’entre elle et commença à les branler. Jerôme recula les épaules, avança son bassin et profita les yeux fermés, il avait déjà expérimenté cette caresse, quant à Hugo, il ne connaissait visiblement pas ce plaisir, mais avait l’air d’apprécier. Toujours est-il que je vis son visage se crisper et sa queue commença à asperger son ventre et le pied de ma chérie qui poursuivit ses caresses jusqu’aux derniers spasmes de la jeune verge.
- Humm le cochon, il m’en a mis plein le pied ! Tu as bien aimé mes caresses il faut croire !
- Désolé madame, mais c’était trop bon, je n’ai pas pu me retenir.
- Pas grave mon chéri, tu es jeune, tu bandes encore bien, le principal c’est que tu apprennes qu’il y a plein de façon de varier les plaisirs, même si le but est le même. Mais je vous rappelle que ce soir vous êtes à mon service, Hugo approche.
Tout en disant cela, ma femme s’allonge plus, ouvre ses cuisses. Le garçon se retrouve à ses côtés. Elle lui prend la tête et l’embrasse, je vois leur langue se mélanger, puis elle pose ses mains sur sa tête et la place entre ses cuisses.
- Lèche moi à travers la culotte, tu m’as bien excitée !
Il commence à donner quelques coups de langue maladroits.
- Tu as déjà donné du plaisir à une femme avec ta langue ?
- Non- Elles aiment ça en général, cela montre que l’homme est soucieux du plaisir de la femme. Tu aimes me le faire ?
- Oui !
- Appliques toi, c’est excitant ! Jerôme, tu me donnes ta queue !
Et pendant quelques minutes, il n’y avait plus que le bruit de la succion du sexe de Jerôme. Puis ma femme prit une initiative inattendue pour moi.
- Hugo, tu veux frotter ta queue contre ma chatte ?
- Humm oui- Viens, comme ça, passe la sous la culotte et frotte toi contre moi, tu aimes le contact du tissu sur ton gland ?
- Surprenant, mais j’adore et vous toucher avec mon sexe, c’est bon.
- Moi aussi, j’aime bien ! Viens m’embrasser, tu es mignon ! (ça dure un peu, puis) Oups, le coquin, il est rentré sans prévenir, je suis trop ouverte, mais ce qui est fait est fait ! Il est bien dur, c’est bon ! Vas-y, prend moi bien à fond, je vais te guider. Voilà, ne sois pas trop rapide, je préfère les coups de reins lents mais profonds, j’aime te sentir, tu me remplis bien. Regarde, je me caresse en même temps, tu aimes ?
- Hmm oui, vous êtes belle.
- Continue, je ne suis pas loin, essaie de te retenir. Attends, arrête de bouger, je vais te serrer avec ma chatte. Tu aimes ? C’est ma grande spécialité !
- Oui !!! C’est très très bon !
Ils baisèrent encore quelques minutes et soudain le visage de Martine se crispa et elle partit !
- Baise moi, je jouis, viens !
Obéissant, il donna de grands coups de queue, mais réussit à se retenir pendant qu’elle jouissait sans retenue ! Une fois calmée, elle se leva et les emmena dans notre chambre. Là, elle laissa sa culotte sur le sol, garda sa guêpière et elle demanda à Hugo de s’allonger, elle vint sur lui, se frotta contre sa queue, fit un signe à Jerôme qui se plaça derrière elle. Tout en embrassant Hugo, elle leva ses fesses, Jerôme comprit le message, s’installa derrière, frotta sa queue contre sa chatte baveuse pour bien humidifier son gland et l’enfila sans tarder. Il n’avait pas encore éjaculé et il essayait de se retenir. Mais il craqua après seulement quelques allers-retours. Il sorti de sa chatte, Martine prit de suite la queue de Hugo et la glissa dans son sexe. Elle était déchaînée. Elle s’empalait avec ardeur sur sa jeune bite. Jerôme approcha sa queue de son visage et elle lui happa directement, lui redonnant très vite une belle raideur et elle lui dit :- Viens dans mon cul !
En bon chevalier servant, il obéit et posa son gland sur son anus. Elle arrêta de bouger le temps qu’il la pénètre doucement après avoir enlevé le rosebud qui permettait de laisser cette entrée ouverte pour ses visiteurs. Quand il fut bien installé, elle leur demanda de bouger, mais seul Jerôme donna le rythme, Hugo était passif, mais je voyais aux crispations de son visage que la jouissance n’était pas loin. Il n’y eut plus de paroles pendant quelques minutes, les deux garçons concentrés sur leur tâche et essayant de se retenir le plus longtemps possible et elle qui profitait de la pénétration en soupirant. Elle annonça son orgasme : - Je vais venir, oui !!! Encore !!!!!!haaaa !
Je ne l’avais jamais vu jouir avec autant de plaisir, elle avait peut-être joui autant avec N., mais je pouvais mesurer le chemin parcouru en quelques mois. Du coup, les deux garçons craquèrent aussi et remplirent mon épouse, Jerôme poussa des soupirs assez bruyants, il n’hésitait pas alors que Hugo était plus discret dans son plaisir. Une fois que ma chérie se fut vidée, elle enfila son kimono et on redescendit tous afin de poursuivre notre apéro coquin. Et là, une anecdote plus ou moins coquine. D’un coup, ma femme se relève et avoue :- Mince, il faut que j’enfile une culotte, désolée, mais ça coule partout, vous ne m’avez pas ratée les cochons !
Les deux garçons avaient l’air plutôt content de leur performance, ce que je pouvais parfaitement comprendre. Par la suite, ils reprirent leurs ébats et Hugo put jouir dans l’anus de ma femme. Je passais la nuit avec mon épouse après l’avoir prise à mon tour et les garçons dans la chambre d’amis. Mais le matin, elle me demanda d’aller les chercher et ils s’occupèrent d’elle plus d’une heure pendant que j’allais chercher les croissants, le mari idéal lol ! Finalement, elle décida de les garder tout le week-end et le dimanche soir, ils ne bandaient plus, je dus les suppléer, elle n’arrêtait plus. Lorsqu’ils partirent, je fis la remarque qu’elle s’était déchaînée, ce à quoi elle répondit que je n’avais encore rien vu ! Et en effet, la semaine suivante, elle fit venir tous les soirs un ou deux de ses jeunes amants afin de la prendre, N. était ravi de ses initiatives. Il lui demanda ensuite de « lever » un jeune en allant en ville. Elle releva le défi et partit le mercredi après midi dans une grande ville normande connue pour ses maisons en colombage. Elle était habillée de manière très suggestive et je suivis l’affaire par portable comme d’habitude. Elle m’envoya une photo d’elle dans un café, toutes cuisses dehors. Puis elle m’envoya un message :- Je suis repérée, il est mignon, s’il m’aborde, je le croque.
Plus de nouvelles pendant deux heures, puis photo prise en vitesse, un jeune corps sur un lit, flou. Elle avait conclu. J’eu droit au récit le soir. Elle était restée près d’une heure au café, avait repoussé quelques avances, et lorsque le jeune était entré, il lui avait plu de suite. Mais il ne la regardait pas trop, elle sortit le grand jeu en dévoilant très largement ses cuisses, elle passa devant lui pour aller aux toilettes, constata qu’il la regardait enfin et au retour elle lui balança un grand sourire. Toutefois, il ne bougeait pas, alors elle sortit et constata avec plaisir qu’il la suivait. Elle repéra une boutique de lingerie et y entra. Elle pouvait l’apercevoir derrière la vitrine et s’amusa à regarder et à montrer des ensembles de lingerie. Puis elle en essaya quelques uns et prit soin de ne pas complètement tirer le rideau de la cabine d’essayage. Il tentait de la voir, mais n’osait pas rentrer. Elle n’acheta rien, mais en sortant, elle passa devant lui, il baissa la tête, mais elle s’arrêta devant lui et lui demanda quel ensemble il avait préféré ou s’il aimait la culotte qu’elle portait, puisqu’il l’avait copieusement maté. Il bafouilla des excuses comme un enfant pris en faute, mais elle le rassura en lui disant qu’elle ne lui en voulait pas, qu’elle avait tout fait pour qu’il la remarque. Enfin, elle rajouta qu’elle n’avait pas de temps à perdre et que s’il était d’accord, il pouvait la suivre dans un hôtel voisin. Il était plutôt surpris, mais il la suivit et la suite était prévisible. Lorsqu’elle rentra à la maison, elle prévint N. de son succès, photos à l’appui. Pour ma part, je voulus discuter avec elle, car cette idée de « lever » un mec dans la rue me gênait, surtout après la semaine très intense au niveau sexuel qu’elle avait vécu. Je dois quand même reconnaître que ça m’excitait aussi. Elle me donnait l’impression de ne plus vivre que pour se faire baiser, elle commençait à moins travailler, ce qui n’avait jamais été le cas, quant à moi, je n’en parle même pas, j’étais juste bon à l’accompagner, à couvrir ses ébats. Elle consentit à reconnaître qu’effectivement, elle avait une fâcheuse tendance à beaucoup penser au sexe, mais qu’elle gérait, ce dont je doutais de plus en plus. Nymphomane ou hypersexuelle était plutôt les mots qui pour moi caractérisait son attitude. J’ai toujours aimé qu’elle soit sexy, mais elle devenait plutôt salope que sexy, et d’ailleurs certains amis de notre dernier fils avaient remarqué ce changement et elle avait eu droit à des propositions de certains d’entre eux, les voisins la regardaient avec un regard réprobateur, quoique parfois avec envie pour les hommes et les rumeurs commençaient à courir dans le canton. Il me fallait tout de même avouer qu’elle était totalement épanouie et qu’elle dégageait une sensualité remarquable, elle était belle tout simplement, j’étais fier de ma femme, fier de me promener à ses côtés, fier des regards que les hommes lui portaient.
N. revint de sa mission et reprit sa place à la maison, il avait lâché son appartement et vivait à la maison, on le faisait passer pour un cousin qui avait trouvé un travail dans la région. Toutefois, lorsque les enfants rentraient, il prenait une chambre d’hôtel. Dès qu’il rentrait le soir, il se mettait « à l’aise », de cette façon, sa queue était toujours disponible pour une de ses fantaisies sexuelles. Mais il la baisait de moins en moins, elle devait néanmoins le sucer tous les jours. En revanche, il prenait de plus en plus son pied en l’offrant, comme moi en fait. Nous étions deux candaulistes offrant « notre » femme à d’autres, étrange situation. Nous discutions de nos envies afin d’envisager d’éventuelles aventures pour notre belle mature. Une se présenta, en effet, les copains de N. qui avaient baisé Martine à Nantes proposaient qu’elle vienne passer un week-end prolongé vers La Baule où les parents de l’un d’entre eux avaient une belle propriété avec piscine intérieure et de nombreuses chambres. Il fallait attendre les vacances scolaires de février, cette année là nous n’allions pas au ski, trop de monde, nous préférions avril. Il y avait quelques semaines à passer, elle s’entretint avec ses jeunes habituels, ils étaient une dizaine dans son « harem » et elle piochait dedans au fil de ses envies et des nôtres. Sa libido faisait qu’elle les faisait venir par deux ou trois. Certains matins étaient difficiles pour aller au travail ! Ma femme n’aime pas les préservatifs et heureusement, la médecine moderne lui permit de prendre un traitement préventif pour le sida qui permet de ne pas tomber malade, donc c’était dorénavant baise nature. Les vacances arrivèrent enfin. N. avait prévu quelques surprises dont il m’avait fait part. Il lui semblait qu’il était temps de passer à l’exhibition. Il avait eu le temps de préparer le voyage, il avait pris des contacts et prévu une halte en route où il l’exhiberait à quelques jeunes voyeurs. Ils partirent un jeudi et j’eu droit le soir à un compte rendu photo de la séance avec le récit. Elle ne le savait pas, mais elle était habillée comme une belle cochonne, prête pour ce genre de spectacle. Vers 15 heures, N. quitta l’autoroute et se rendit dans une zone boisée. Ma chérie sourit en se disant qu’il allait la baiser dans un coin discret. Elle était excitée car depuis le départ, elle jouait avec les routiers en s’exhibant en voiture. Ils s’arrêtèrent dans une clairière assez distante de la route, il y avait quelques voitures et scooters. Il sortit sa queue et lui donna l’ordre habituel :
- Suce !
- Je veux bien, mais va plus loin, regarde il y a sûrement pas mal de monde ici !
- Non, j’ai envie ici, la voiture est fermée t’inquiète !
- Tu exagères, si quelqu’un vient, on arrête !
- Arrête de faire ta mijaurée, tu pars en week-end pour te faire baiser par une troupe de jeunes pervers, alors au boulot !
Elle se mit donc au travail, mais bien sûr, les contacts de N. étaient aux aguets et dès qu’ils virent la tête de ma femme disparaître sous le tableau de bord, les plus hardis sortirent du bois, comme des loups affamés. N. en avait contacté un maximum, se doutant bien qu’il y aurait des désistements. Il y en avait au final une dizaine, entre 18 et 20 ans. Ils s’approchèrent assez doucement, mais N. avait mis de la musique, donc pas de risque de se faire repérer par le bruit. Les moins timides se mirent près de la vitre passager et commencèrent à regarder. N. leur facilita la tâche en remontant la jupe déjà courte de ma femme afin qu’ils puissent contempler ses cuisses et le début de ses fesses. Il lui tenait la tête et la faisait coulisser le long de sa queue. Dans cette position, elle ne pouvait rien voir. Puis il lui dégagea la tête pour qu’elle gobe ses couilles, du coup en changeant de position, il put relever la jupe et bien dégager les fesses, pour le plus grand plaisir des spectateurs. Il baissa son siège, et en laissant plus de place, la vision était encore meilleure. Elle reprit sa fellation et il éjacula en lui bloquant la tête, comme il avait l’habitude de faire. Pendant qu’elle donnait les derniers coups de langue, il passa ses mains dans sa culotte et lui palpa les fesses devant les jeunes voyeurs.
- Hummm, tes fesses plaisent ma salope !
- Pardon ?
- Regarde !
- Salaud, je me doutais bien que tu avais prévu quelque chose !
- Fais leur plaisir, ils doivent nous attendre depuis un bout de temps, on a une heure de retard !
- J’imagine que tu as déjà des idées en tête !
- Humm oui, quelques unes- Je ne prendrai aucune initiative je te préviens !
- Pas de soucis, je gère, installe toi bien sur ton siège, laisse ta jupe relevée et écarte les jambes, voilà c’est bien. Regarde comme ils ont l’air content !
- De toute façon, dès que les hommes voient une chatte, ils sont contents !
- Oui, mais ces jeunes n’ont jamais vu une vraie chatte de maman mariée !
- Tant mieux pour eux alors, il ne faut pas les décevoir !
- On va commencer par le haut ! Soulève ton pull, ouais, enlève ton soutif.
Ma femme soupira, mais elle s’exécuta. Certains jeunes montrèrent leur contentement en levant le pouce. N. tripota ses seins, suça le bout. Puis il demanda à mon épouse d’enlever sa culotte, ce qu’elle fit sans rien dire. N. la plaça autour du rétroviseur. Il caressa sa chatte et commença à la pénétrer avec un, puis deux doigts.
- Mais tu mouilles ma salope, tu aimes bien te montrer ! Tiens lèche mes doigts ! Ah, ça y est, il y en a qui a sorti sa bite, le autres vont suivre. Montre leur ton cul.
Elle se retourna et s’installa sur le siège à 4 pattes. Elle entendit un bruit et la vitre se baissa afin de laisser passage à des mains exploratrices, mais aucune ne se posa sur elle à part celles de son amant. Il fallut qu’il leur dise qu’ils pouvaient s’y risquer pour que l’une se pose sur le fessier de mon épouse et commence à la tripoter. Comme tout jeune, ils étaient dans l’urgence et très vite des doigts la pénétrèrent, heureusement elle était mouillée et ils purent s’y introduire sans difficultés.
- Putain la salope elle est trempée, ça glisse tout seul. T’aimes ça hein ! Hummm, je vais te faire jouir !
N. baissa totalement le siège afin qu’elle s’offre au mieux. Elle laissa le jeune la doigter en soupirant et excitée comme elle était elle jouit très vite. C’était un fait, depuis qu’elle avait une vie sexuelle intense, elle jouissait vite et souvent. Une autre main s’immisça en elle, mais sur injonction de N., elle s’introduisit vite dans son anus. Les commentaires allaient bon train. La pénétration anale et les caresses de N. eurent vite fait de lui donner un nouvel orgasme. Le jeune était ravi de sentir ses sphincters se serrer sur ses doigts pendant son orgasme.
- Putain c’est trop comme elle serre mes doigts la salope, il est canon son cul pour une vieille !
Après ces deux orgasmes, N. la fit descendre de voiture, elle n’était pas trop rassurée de voir tous ces jeunes se presser bite à la main autour d’elle, mais son amant sût bien maîtriser la situation et tout se passa bien. Elle en avait toujours une dans la bouche et deux dans les mains, certains jouirent très vite, elle n’avait jamais sucé autant de queues en même temps. Puis N., qui avait tout prévu, installa un plaid et demanda à ma femme de s’allonger. Les jeunes purent tour à tour la lécher en essayant de la faire jouir, tel était le challenge que N. leur assigna. Un seul y parvint. Il avait gagné le droit de la baiser, ce qu’il fit sans se faire prier ! Après ce nouvel orgasme, elle avait envie d’uriner et de se vider et son amant la fit faire au milieu des jeunes qui étaient ravis. Il demanda si l’un était d’accord pour la nettoyer avec la langue et il y avait même deux volontaires. Du coup, ils eurent le droit de la pénétrer et ils purent jouir en elle, les autres se contentèrent de sa bouche ou de son corps. Cette pause dura une heure et demi. N. était très content car elle s’était bien prêtée au jeu. Encore une nouvelle pratique testée par ma coquine. J’étais bien sûr très excité aussi, toutefois je me posai toujours des questions, allions-nous trop loin ? Un jour, N. trouverait une autre femme à dévergonder, comment gérer la suite, le manque ? Une sexualité plus classique serait-elle encore possible ? En attendant, un week-end partouze l’attendait, il était en effet prévu que deux jeunes filles soient là aussi et aussi peut-être une mature que N. avait baisé par le passé.
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Les avis des lecteurs
Histoire délirante et fantasmée née dans un cerveau de malade a la limite de la folie dut à l alcool .c est triste cette histoire ça donne envie de chier.