Ma fin d'après midi
Récit érotique écrit par Jaimelalingerie2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2012 dans la catégorie En solitaire
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Ma fin d'après midi
Je m'appelle Fabienne
Récemment grand mère ( ça me fait tout drôle a chaque fois ), j'ai pourtant 48 ans à peine.
On me dit jolie ( et oui à mon âge ), je mesure 1 mètre 60 que je compense avec des talons hauts que ce soit chez moi avec des mules ou bien lors de mes sorties avec mes escarpins et bottes. Des seins qui tiennent encore bien ( 95 C ) et des fesses qui sont restées hautes et fermes.
Je suis expert comptable dans un cabinet réputé, mon mari est militaire de carrière. De loin, la vie m'a apporté beaucoup de bonheur : enfant et petit enfant, argent, carrière. J'ai eu la chance d'acheter une maison très vite et mon mari était dingue de moi.
Oui était car les années passant au sein de l'armée, même en étant gradé, il s'est, je trouve, " bidassifié ". Il est devenu de moins en moins attentif avec le temps. De plus, il est souvent en déplacement, ce qui n'arrange rien.
Du coup, je me caresse souvent, très souvent mais j'aime le sexe et puis il n'y a pas de mal à se faire du bien.
Je ne l'ai jamais trompé mais ces derniers mois, je m'amuse à tester mon pouvoir de séduction auprès des hommes.
Je m'amuse donc de leurs regards furtifs lorsque je me baisse sans plier les genoux, lorsque je laisse ouvert un bouton ( ou deux ) de mon chemisier ou que je laisse une jarretière bien apparente en croisant les jambes.
J'aime sentir leur regard sur mes fesses, mes seins ou mes jambes.
J'aime voir leur bosse se dessiner sous leur pantalon et comme ils essayent de la cacher.
Ces petits jeux coquins ne vont jamais plus loin, même si je me doute bien qu'un jour, l'un d'eux sera plus téméraire que les autres et si celui ci me plait, alors advienne que pourra.
Aujourd'hui, il fait beau, c'est une douce journée du mois de mai.
Je suis seule dans mon bureau, ma collègue étant en vacances. Comme je l'ai dit dans mon introduction, je me caresse souvent et mes portes jarretelles ont ce coté pratique et ne servent pas qu'à attirer le regard des hommes.
En ce milieu d'après midi que je trouve particulièrement long, je commence à relever ma jupe et à passer ma main sur ma culotte.
Cela m'arrive souvent de me caresser à mon travail, mon bureau est plein, face à la porte donc personne ne peux me voir. Et de toute façon on peut entendre distinctement quand quelqu'un arrive. D'autre part, ma collègue est au courant et cela ne la dérange pas, j'ai même l'impression que ça l'excite bien souvent. J'y vais tout de même plus doucement en sa présence.
Je continue à passer ma main sur ma culotte et je sens que la température de mon bas ventre monte. Je regrette d'avoir laissé mes jouets à la maison.
J'ai envie de me faire du bien et cherche un objet pouvant combler mes désirs. Je commence par voir un marqueur mais je vois ensuite un coupe papier dont le manche bien que pas très long est tout arrondi.
Je m'en saisi et le passe sur ma culotte. Je sens mon bout de tissus qui s'humidifie.
Je retire ma culotte et la glisse dans le tiroir à ma droite.
Le manche de ce coupe papier a eu le temps de se réchauffer et donc contact est de plus en plus agréable.
Je n'ai aucun mal à le lubrifier.
Je ferme alors les yeux et laisse aller mon imagination.
" Mmmm c'est bon "
" Oui je l'aie ta queue, elle est douce "
" Mets la moi "
" Tu aimes que je te suce "
L'objet de mes désir va entre mes lèvres et ma bouche. J'aime ça, j'aime le sucer, j'aime sentir ma mouille et son goût parfumé.
Je suis seule au monde. Je me pénètre avec mon sexe de substitution et j'écarte mes lèvres et caresse mon clitoris avec mes doigts.
C'est bon. J'ai l'esprit libre car je sais que personne ne va me déranger. Je me mets à genou sur mon fauteuil pour me mettre le coupe papier encore plus profond.
J'imagine qu'on me prend en levrette. J'aime ça et me met des coups de plus en plus fort.
" Ah, c'est bon, prends moi fort, prend moi bien, met la moi encore "
Je me caresse et me pénètre comme jamais, je sens que ces regards sur moi ce midi m'ont excité plus que d'habitude.
J'ai envie de sexe, de me faire prendre comme une salope. Mon mari est à 800 km et de toute façon, ce n'est pas lui qui va me combler.
Je prends le marqueur que j'avais dédaigné tout à l'heure et le porte à ma bouche.
J'imagine que deux hommes s'occupent de moi, qu'un me prend et que je suce l'autre, que je suis l'objet de leur désir.
Quand je sens que ça vient, je ralenti pour faire durer mon plaisir.
J'ai envie de me faire salope, chienne.
Il est bien loin le temps où pour me donner du plaisir, de prenait un coussin que je serrais entre mes cuisses. J'en veux plus, toujours plus.
Je me pénètre de plus en plus fort.
" Prenez moi, je suis une chienne, je veux vos bites en moi "
" Oui comme ça, c'est bon, continuez "
Je sens le plaisir qui revient à la charge, je délaisse ma bouche et me met le coupe papier bien profond en caressant mon clitoris.
Ca vient
" Oui ... "
" Oui ... "
" Oui ... "
" Oui ... "
" Ouuuuiiiii !!!!!! "
" Ah c'est boooooon "
" Ouiiiiii "
Je reste quelques instants dans cette position et je sens mon jus qui coule le long de mes cuisses.
Je rouvre les yeux et me trouve presque face au laveur de carreaux. Les idées se bousculent dans ma tête, depuis quand est-il là ? M'a-t-il vue ?
En trois secondes j'ai ma réponse, je vois la bosse de son bleu de travail. Puis il me tend son poing et lève son pouce.
Il a donc tout vu ... C'est un homme magnifique, grand, brun et qui m'a l'air musclé mais je suis terriblement gênée.
Je me rhabille en vitesse, range mes dossiers et quitte mon travail.
En sortant du bâtiment, j'entend une voix inconnue.
"Bonjour ... ou plutôt ... rebonjour "
Mais ça, c'est une autre histoire
Merci de vos commentaires.
Récemment grand mère ( ça me fait tout drôle a chaque fois ), j'ai pourtant 48 ans à peine.
On me dit jolie ( et oui à mon âge ), je mesure 1 mètre 60 que je compense avec des talons hauts que ce soit chez moi avec des mules ou bien lors de mes sorties avec mes escarpins et bottes. Des seins qui tiennent encore bien ( 95 C ) et des fesses qui sont restées hautes et fermes.
Je suis expert comptable dans un cabinet réputé, mon mari est militaire de carrière. De loin, la vie m'a apporté beaucoup de bonheur : enfant et petit enfant, argent, carrière. J'ai eu la chance d'acheter une maison très vite et mon mari était dingue de moi.
Oui était car les années passant au sein de l'armée, même en étant gradé, il s'est, je trouve, " bidassifié ". Il est devenu de moins en moins attentif avec le temps. De plus, il est souvent en déplacement, ce qui n'arrange rien.
Du coup, je me caresse souvent, très souvent mais j'aime le sexe et puis il n'y a pas de mal à se faire du bien.
Je ne l'ai jamais trompé mais ces derniers mois, je m'amuse à tester mon pouvoir de séduction auprès des hommes.
Je m'amuse donc de leurs regards furtifs lorsque je me baisse sans plier les genoux, lorsque je laisse ouvert un bouton ( ou deux ) de mon chemisier ou que je laisse une jarretière bien apparente en croisant les jambes.
J'aime sentir leur regard sur mes fesses, mes seins ou mes jambes.
J'aime voir leur bosse se dessiner sous leur pantalon et comme ils essayent de la cacher.
Ces petits jeux coquins ne vont jamais plus loin, même si je me doute bien qu'un jour, l'un d'eux sera plus téméraire que les autres et si celui ci me plait, alors advienne que pourra.
Aujourd'hui, il fait beau, c'est une douce journée du mois de mai.
Je suis seule dans mon bureau, ma collègue étant en vacances. Comme je l'ai dit dans mon introduction, je me caresse souvent et mes portes jarretelles ont ce coté pratique et ne servent pas qu'à attirer le regard des hommes.
En ce milieu d'après midi que je trouve particulièrement long, je commence à relever ma jupe et à passer ma main sur ma culotte.
Cela m'arrive souvent de me caresser à mon travail, mon bureau est plein, face à la porte donc personne ne peux me voir. Et de toute façon on peut entendre distinctement quand quelqu'un arrive. D'autre part, ma collègue est au courant et cela ne la dérange pas, j'ai même l'impression que ça l'excite bien souvent. J'y vais tout de même plus doucement en sa présence.
Je continue à passer ma main sur ma culotte et je sens que la température de mon bas ventre monte. Je regrette d'avoir laissé mes jouets à la maison.
J'ai envie de me faire du bien et cherche un objet pouvant combler mes désirs. Je commence par voir un marqueur mais je vois ensuite un coupe papier dont le manche bien que pas très long est tout arrondi.
Je m'en saisi et le passe sur ma culotte. Je sens mon bout de tissus qui s'humidifie.
Je retire ma culotte et la glisse dans le tiroir à ma droite.
Le manche de ce coupe papier a eu le temps de se réchauffer et donc contact est de plus en plus agréable.
Je n'ai aucun mal à le lubrifier.
Je ferme alors les yeux et laisse aller mon imagination.
" Mmmm c'est bon "
" Oui je l'aie ta queue, elle est douce "
" Mets la moi "
" Tu aimes que je te suce "
L'objet de mes désir va entre mes lèvres et ma bouche. J'aime ça, j'aime le sucer, j'aime sentir ma mouille et son goût parfumé.
Je suis seule au monde. Je me pénètre avec mon sexe de substitution et j'écarte mes lèvres et caresse mon clitoris avec mes doigts.
C'est bon. J'ai l'esprit libre car je sais que personne ne va me déranger. Je me mets à genou sur mon fauteuil pour me mettre le coupe papier encore plus profond.
J'imagine qu'on me prend en levrette. J'aime ça et me met des coups de plus en plus fort.
" Ah, c'est bon, prends moi fort, prend moi bien, met la moi encore "
Je me caresse et me pénètre comme jamais, je sens que ces regards sur moi ce midi m'ont excité plus que d'habitude.
J'ai envie de sexe, de me faire prendre comme une salope. Mon mari est à 800 km et de toute façon, ce n'est pas lui qui va me combler.
Je prends le marqueur que j'avais dédaigné tout à l'heure et le porte à ma bouche.
J'imagine que deux hommes s'occupent de moi, qu'un me prend et que je suce l'autre, que je suis l'objet de leur désir.
Quand je sens que ça vient, je ralenti pour faire durer mon plaisir.
J'ai envie de me faire salope, chienne.
Il est bien loin le temps où pour me donner du plaisir, de prenait un coussin que je serrais entre mes cuisses. J'en veux plus, toujours plus.
Je me pénètre de plus en plus fort.
" Prenez moi, je suis une chienne, je veux vos bites en moi "
" Oui comme ça, c'est bon, continuez "
Je sens le plaisir qui revient à la charge, je délaisse ma bouche et me met le coupe papier bien profond en caressant mon clitoris.
Ca vient
" Oui ... "
" Oui ... "
" Oui ... "
" Oui ... "
" Ouuuuiiiii !!!!!! "
" Ah c'est boooooon "
" Ouiiiiii "
Je reste quelques instants dans cette position et je sens mon jus qui coule le long de mes cuisses.
Je rouvre les yeux et me trouve presque face au laveur de carreaux. Les idées se bousculent dans ma tête, depuis quand est-il là ? M'a-t-il vue ?
En trois secondes j'ai ma réponse, je vois la bosse de son bleu de travail. Puis il me tend son poing et lève son pouce.
Il a donc tout vu ... C'est un homme magnifique, grand, brun et qui m'a l'air musclé mais je suis terriblement gênée.
Je me rhabille en vitesse, range mes dossiers et quitte mon travail.
En sortant du bâtiment, j'entend une voix inconnue.
"Bonjour ... ou plutôt ... rebonjour "
Mais ça, c'est une autre histoire
Merci de vos commentaires.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tellement exquis... je suis pourtant hetero mais qu est ce que j aurai aimé vous donner
du plaisir, lecher vos levres et titiller ce joli clito huuuuum un delice j en veux
encore et toujours plus jouissif a bientot et merci
du plaisir, lecher vos levres et titiller ce joli clito huuuuum un delice j en veux
encore et toujours plus jouissif a bientot et merci
j ai aimé votre histoire elle ma bien excité comme j aurai aimé ce laveur de carreaux
qu elle surprise pour lui bisous
qu elle surprise pour lui bisous
j'ai beaucoup votre histoire mais je suis plus souvent de l'autre coté j'ai regarder
voir ou aprecevoir
voir ou aprecevoir
Bonjour,
j'ai beaucoup aimé votre histoire. Comme vous j'aime me masturber et comme vous je me
suis fait surprendre, par ma nouvelle voisine. Elle vient de s'installer dans un
appartement situé en face du mien et, depuis sa terrasse, sa vue plonge directement
sur mon salon.
Je vis seul et, cet après-midi ensoleillé, je rêvassais en pensant à une femme que
j'avais rencontré la veille. Yeux bleus presque transparents, sourire coquin elle
avait cet âge que l'on dit "mur" et qui est sans doute le meilleur. Quelques rides au
coin des yeux montraient qu'elle avait comme on dit vécu... et qu'elle avait bien
l'envie et le besoin de vivre encore. Je songeais à elle avec envie et ma main est
tout naturellement descendue vers et sur mon sexe, que j'ai dégagé et commencé à
carresser. Je m'étais installé dans un fauteuil, face à la fenêtre, et c'est à ce
moment que j'ai apperçu ma nouvelle voisine. Elle me regardait faire et ne paraissait
pas du tout gênée d'être là. Au contraire... Je me suis masturbé longuement,
lentement, j'ai fait durer le plaisir pendant de longues minutes, en jettant de temps
à autre un regard en direction de la fenêtre. Ma voisine ne bougeait pas, il me
semblait qu'elle prenait elle aussi du plaisir à m'observer. Quand j'ai joui elle a
esquissé un joli sourire, puis 'est reournée et a disparu dans son appartement, en me
semble-t-il exagéré un peu le roulement de ses hanches. Je ne l'ai pas revue depuis,
mais le soir, en rentrant chez moi, je ne manque jamais d'observer sa fenêtre. Avec
l'espoir qu'un jour ce sera à elle de m'offrir le spectacle de ses propres carresses.
Je vous embrasse
j'ai beaucoup aimé votre histoire. Comme vous j'aime me masturber et comme vous je me
suis fait surprendre, par ma nouvelle voisine. Elle vient de s'installer dans un
appartement situé en face du mien et, depuis sa terrasse, sa vue plonge directement
sur mon salon.
Je vis seul et, cet après-midi ensoleillé, je rêvassais en pensant à une femme que
j'avais rencontré la veille. Yeux bleus presque transparents, sourire coquin elle
avait cet âge que l'on dit "mur" et qui est sans doute le meilleur. Quelques rides au
coin des yeux montraient qu'elle avait comme on dit vécu... et qu'elle avait bien
l'envie et le besoin de vivre encore. Je songeais à elle avec envie et ma main est
tout naturellement descendue vers et sur mon sexe, que j'ai dégagé et commencé à
carresser. Je m'étais installé dans un fauteuil, face à la fenêtre, et c'est à ce
moment que j'ai apperçu ma nouvelle voisine. Elle me regardait faire et ne paraissait
pas du tout gênée d'être là. Au contraire... Je me suis masturbé longuement,
lentement, j'ai fait durer le plaisir pendant de longues minutes, en jettant de temps
à autre un regard en direction de la fenêtre. Ma voisine ne bougeait pas, il me
semblait qu'elle prenait elle aussi du plaisir à m'observer. Quand j'ai joui elle a
esquissé un joli sourire, puis 'est reournée et a disparu dans son appartement, en me
semble-t-il exagéré un peu le roulement de ses hanches. Je ne l'ai pas revue depuis,
mais le soir, en rentrant chez moi, je ne manque jamais d'observer sa fenêtre. Avec
l'espoir qu'un jour ce sera à elle de m'offrir le spectacle de ses propres carresses.
Je vous embrasse
y a pas de mal a se faire du bien ,j ai hate de lire la suite