Ma future - histoire érotique

Elles sont je ne sais combien, rieuses, habillées en été. Elles se dirigent vers la plage. Il ne faut pas croire que je les suis. Nous allons dans la même direction simplement. Souvent le grande brune me regarde. J'ai du lui taper dans l’œil. Bof, ce ne serai qu'un simple flirt de vacance. Sauf que je ne suis pas en vacances et que je la connais de vue. Oui, bien sur c'est la fille de l'épicerie. Ce serais donc plus qu'un firl de vacances. Elles m'énervent à aller dans mon coin. Là où j'aime être seul pour me mettre nu devant l'eau. Et puis tant pis. Je m'en fout totalement.
J'arrive avant la foule de filles. Je cache mes quelques affaires derrière un buisson. Je suis enfin nu en plein air. Je file dans l'eau. Je reste un instant avec de l'eau jusqu'au coup. Je le vois ce troupeau de nanas. Mais surprise elles aussi se déshabillent. Quand je pense au temps perdu quand je suis avec l'une d'elle pour lui faire enlever son haut !
Les voilà qui m'éclaboussent en riant. Alors, je pensais être tranquille nu, je suis envahi de filles aussi nues que moi. En plus elles s’entendent comme larrons en foire pour venir m’embêter. Enfin m'embêter est une grand mot. Elles décident de jouer avec moi, sauf qu’avec leur jeu à la con, elles me font bander.
En voilà une qui plonge, au passage m'attrape la queue. Elle se relève en riant. Moi moins. J'attends la suite qui ne tarde pas. J'arrive à bloquer la suivante, la fille de l'épicier, entre mes jambes. Elle se débat, se débat encore quand je l'aide à sortir. Je la garde contre moi. Elle peut sentir les résultats de ses copines contre son ventre.
Elle n'en a pas peur, la petite garce me la prend hardiment dans la main. Elle s'en vente en plus. Je ne peux que la prendre bien contre moi. Sa main me tient toujours, sauf que maintenant sa main est sur mon ventre.En quise de punition j'attrape ses fesses.
J'aurais mieux fait de m'abstenir. Elle est d'une douceur incomparable. Je suis forcé par le destin à la caresser. Elle n'est pas forcée de rester contre moi. Elle lâche ma bite en restant collée à mon corps. Elle sait que je bande et elle sait fort bien que j'ai envie d'elle ou d'une autre, dans l'immédiat je n'attends qu’un soulagement passager.
Ça te dit d'aller sur la plage avec moi ? Drôle de question de sa part.
Bien sur.
Nous filons en nous tenant par la taille. Nous allons nous cacher derrière un buisson. Je reste nu, il est normal qu'elle aussi soit nue ou presque. Son maillot ne reste pas en place. Nous sommes bien cachés. Je l'embrasse. Je n'aurais jamais du l'embrasser si j'avais connu la suite pas malheureuse.
Elle est venue sur moi, courageusement. Ses petits seins sont sur ma poitrine. Elle sent bien que je bande. Alors elle s'enhardit à prendre la pine dans sa main. Normalement c'est le garçon qui cherche le premier tripoter la fille. Je fais office de fille.
Elle me tient le sexe parce que c'est la mode, sans trop savoir qu'en faire. Nous restons longuement étendus sur le sable. Je prend sa main pour lui montrer comment faire. La leçon, sa première en la matière est vite comprise. Elle prend ma queue à pleine main, la fait aller et venir. Je dois l'arrêter pour ne pas jouir rapidement. Je peux me pencher sur elle, passer ma main entre ses cuisses qu'elle ouvre généreusement. J'arrive au paradis.
Elle me laisse lui faire ce que je veux et j'en veux de choses. J'enlève son slip, passe mes doigts là où elle doit, sans doute, elle même mettre les siens. Je trouve non pas un trésor, mais une foule de trésor. D'abords elle est toute mouillée. Ensuite ses lèvres ne sont pas régulières. Son clitoris est plus petit que eux que je connais. Il n'en bande pas moins vite.
Elle se tend vers ma main, elle m'oblige ainsi à me surpasser. Je caresse un peu son bouton avant d'aller plus bas. Mes doigts découvrent avec stupeur quelle est vierge. Pas question de la décapsuler. Mais plus bas, pourquoi ne pas essayer. J'arrive péniblement à lui mettre deux doigts sur l'anus. Elle ne voudrait pas, et finalement accepte. Je caresse le tour, je frôle le bord. Elle se laisse faire quand mon doigt entre un peu dans son anus encore vierge. Je le lui met plus profondément : elle aime. Je remplace mon doigt par un plus gros calibre. Elle me laisse approcher mon mandrin. Quand je le lui mets, elle ne veux pas tout d'abord. Quand elle est enfin sodomisée, elle me laisse aller profond. Je jouit en elle à sa grande surprise.
Plus tard après notre mariage je l'ai baisé. Elle n'a pas eu mal au contraire, elle jouissait autour de ma queue.
Elle me demande souvent de la sodomiser, elle adore.