Ma jolie eurasienne - histoire érotique

Ma jolie eurasienne

Lorsque j'ai fait la connaissance de cette jolie eurasienne, en 1969 elle allait avoir 21 ans. Elle travaillait dans le même compagnie que moi. Pendant 10 ans, je la regardais tous les jours, me disant qu'elle était bien trop jolie pour moi, ce n'étais qu'une bonne copine.
C'est au cour d'un voyage du comité d'entreprise de cette entreprise en 1978 que notre amitié c'est transformée en amour.

C'était lors d'une sortie en plein air, il faisait un temps épouvantable pour la visite des Ardennes Belges où on avait été invités a passer quelques jours. Pour moi elle était un super canon, mais tout de suite, il y a eu un déclic entre nous et je me suis dit :

- Enfin ! Je vais pouvoir la draguer. Elle se laissa prendre la main et répondit à mes avances. Super ! j'allais pouvoir me la faire. On est sorti ensemble le même soir et j'ai pu lui masser ses joli seins à travers son pull tout en lui donnant baiser sur baiser. Elle me paraissait alors comme une fille facile.

C'est donc de retour à notre hôtel que j'ai pu la peloter après lui avoir défait pull et sous-tif. Elle avait des seins bien fermes. Elle se laissait faire en me rendant mes baisers. Cette scène fut reconduite pendant quatre ou cinq jours.

De retour de notre voyage, je me suis dit qu'il fallait à tout prix que je puisse continuer notre relation amoureuse. Je l'ai conduite dans la maison de ma mère, sachant qu'il n'y avait personne. Je lui ai fait visiter les lieux. Une fois dans la chambre, je lui donnais des baisers et, tout en m'asseyant sur le lit, je l'attirais contre moi. Son pull défait tomba à terre et fut rejoint par son sous-tif. Je lui pris la main pour qu'elle la mette sur la bosse de mon pantalon, et je vis qu'elle aussi avait envie mais avait peur de prendre des initiatives.

J'aventurais alors ma main sous sa jupe relevée et, d'elle-même elle me facilita le passage en ouvrant les cuisses. Je lui ôtais alors son collant, sa jupe. Elle avait ouvert ma braguette afin de mieux me caresser. Je quittai alors mon pull, mon maillot et mon pantalon et je me retrouvai en slip. Elle semblait terrorisée et n'osait pas regarder mon sexe bandé qui sortait de mon slip.
Ma main s'aventura dans sa culotte que je finis par faire glisser et par enlever. Elle a alors pris sa main pour ce cacher le sexe. Là je fus vraiment surpris, car de plus elle me dit :

- Tu sais, je suis vierge et tu es le premier à me voir ainsi.

Elle vit ma surprise et sortit timidement d'une main mon sexe. Je fis alors glisser mon slip. Je la mis en travers du lit tout en plaçant ses jambes sur mes épaules de façon à ce que son sexe ce retrouve en premier plan et ouvert. Ma queue toute proche commença à toucher son minou. Elle serrait les dents. Elle me dit d'y aller doucement. Je poussais alors, et un petit "aie " sortit de sa bouche. Elle n'était plus pucelle, ma queue venait de la perforer.

Restant immobile un moment, je commençais mes vas et viens dans ce sexe serré, tout neuf. Elle ne disait rien et se laissait faire, immobile. Je n'ai pas été long à gicler en elle n'ayant pas mis la capote. C'est dans ce ventre que personne d'autre que moi avez éjaculé, que je déposais une bonne dose de semence. Elle n'avait pas joui mais semblait heureuse. Il fut temps de se rhabiller et de partir.

En chemin elle me dit qu'elle s'était offerte à moi car elle avait peur de rester vierge toute sa vie, elle était timide pourtant très jolie mais peu de garçons s'intéressaient à elle. Les jours qui ont suivi, on les a passés à faire l'amour.

Nous sommes restés depuis ce jour ensemble et c'est deux ans plus tard elle est devenue ma femme. Moi qui la trouvais trop jolie pour moi j'avais toujours peur que ce ne soit qu'un rêve.

Un jour elle invita sa grande copine Marie qui devint de plus en plus intime avec nous jusqu'au jour où elle coucha chez nous car il était trop tard. Nous avons partagé le même lit, je me retrouve alors entre deux femmes, la mienne et sa copine. Je me trouvais bien ainsi, à ma droite, ma femme de l'autre côté Marie difficile de rester de bois bien sage, alors cette nuit à était une nuit formidable. J'ai passé mon bras au tour du coup de chacune, et me trouver vraiment bien, un bisou à gauche, un bisou à droite, la nuit fut trop courte.

Marie est aussi maintenant mariée, et a deux garçons, elle est toujours notre grande copine, pour moi elle a été aussi ma confidente, car avant mon mariage, des personnes ont tenté faire rompre mon union avec ma jolie eurasienne, elle sait au besoin me consoler lorsque j'ai de la peine, je sais que je peu me confier à elle,

Ma femme fut enceinte cinq ans après de notre fils.

C'est formidable d'avoir une famille.