Ma jolie Sarah
Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma jolie Sarah
C’est par une chaude journée de juin, qu’avec son amie Sarah, ma mère Sylvie, s’engagent sur les routes secondaires, qui nous mène à la « Cabane », revenue de droit à ma mère, suite à un héritage.
Elles travaillent dans la même société et vivent les mêmes passions, comme la randonnée par exemple. Nos mères, âgées de trente huit ans, sont des femmes très belles, inséparables, à tel point qu’on leur prête une relation assez ambiguë.
Quand nous sommes au lycée pour la semaine, je sais qu’elles se retrouvent chez une ou chez l’autre, et passe la nuit à faire l’amour. Tout ça à nôtre insu.
Moi, je suis le fils de Sylvie, je m’appelle Jordan, et vais sur mes dix huit ans. Il y a également Kevin, le fils de Sarah, de mon âge, avec qui j’ai très peu d’affinité. Nôtre seul point commun, c’est d’être puceau.
Par contre, Sarah est une vraie bombe, d’une beauté à couper le souffle. D’ailleurs,
j’ai toujours vanté sa beauté auprès de son fils.
Nous arrivons dans une clairière, garons et déchargeons la voiture.
L’endroit est paradisiaque. Une cascade, un grand plan d’eau claire ou il doit faire bon se baigner, une petite plage d’herbe et de mousse.
La « Cabane » est grande. La pièce principale est un salon spacieux, une belle cheminée, et deux grands canapés. La cuisine est dans un espace ouvert, relié au reste de la pièce par un comptoir. Il y a une salle de bains, et deux chambres avec chacune un grand lit. Derrière la « Cabane », il y a un bain à remous.
Nos mères partagent la grand chambre, nous utilisons la plus petite. Elles évitent de faire du bruit, afin de ne pas attirer l’attention sur leurs ébats saphiques.
Pendant qu’elles préparent les grillades, nous gérons le feu. Le soir, autour des braise encore chaudes, et un bon verre de vin, Kevin nous charme au son de sa guitare. Vers minuit, nos mères décident d’aller se bouffer...se coucher, pardon.
Dans l’intimité de nôtre chambre, Kevin et moi discutons de la relation qu’on nos mères, je dis à Kevin que c’est dommage, et lui avoue que je me taperais bien la sienne. Il me dit de faire gaffe, qu’il n’accepterait jamais ça.
Le lendemain, j’accompagne Sarah au village pour faire les courses, tandis que ma mère et Kevin font le ménage. Dans une allée du magasin, je prend Sarah par la taille. Elle se retourne, me sourit. Je la mâte évoluer devant moi entre les étals.
« Putain, comme elle est belle et sexy ».
Pendant que les femmes rangent les courses, je les vois chuchoter entre elles.
Je prends ma mère à part, la questionne. Elle me dit que Sarah me trouvait très séduisant, et que d’en d’autres circonstances, elle aurait tenté de me séduire, mais qu’elle était mariée, et que tu pourrais être son fils.
L’après-midi, après une courte sieste, nous décidons d’aller nous baigner au plan d’eau. Les femmes ont enfilés leurs maillots deux pièces, et ont courus dans l’eau. Sarah sourit à la façon que j’avais de lorgner dans son maillot. Elle savait qu’elle était belle, et ça lui faisait plaisir que mon regard le confirme.
Sur une impulsion, elle a nagé vers moi, et me prit dans ses bras.
Je ne cacha pas ma surprise, alors qu’elle enroulait ses bras autour de mon cou, écrasant ses seins contre mon torse. Elle pouvait sentir un objet dur à l’intérieur de mon caleçon, frotter à la hauteur de sa chatte.
- Oh là, c’est quoi ça ? Demande Kevin.
- Rien mon chéri, je suis juste heureuse d’être ici, ensemble.
Elle aurait dû être dérangé par cela, mais au contraire, ça lui donnait un regard coquin. Ma mère regardait à travers l’eau claire vers mon maillot, elle savait que c’était mal, mais voulait savoir à quel point Sarah m’avait excité..
Kevin doit me maudire de savoir que ma queue avait été en contact avec la chatte de sa mère, même par tissus interposés.
Nous avons passé la journée à la cascade, profitant de la chaleur pour nager. Je croisais souvent le regard de Sarah qui lorgnait sur un endroit précis de mon anatomie, qui avait du mal à retrouver sa taille normale au repos.
Nous sommes rentrés, nous sommes douchés, Bien sûr, j’héritais de Kevin, alors que j’aurai préférer essuyer le dos de sa mère. Une fois séché, nous sommes rentrés, et nous somme reposés dans le salon.
Nous avons pris un succulent repas accompagné d’un excellent vin blanc, pour fêter les dix huit ans de Kevin. Le soleil était encore présent au moment ou on finit de manger, et après avoir bu du vin plus que de raison, nos mères décidèrent de démarrer le bain à remous, avant que la nuit ne tombe. Ce ne fut pas long pour se détendre dans le bain fumant, ressentant la chaleur sur nos corps.
J’ouvris un œil pour regarder la mère de mon pote, vêtue d’un bikini, alors qu’elle s’abaissait. J’ai retenu l’impulsion de tendre ma main, et de la toucher. Elle était tellement sexy. Elle se retourna et croisa mon regard et me sourit.
Ayant compris le manège, ma mère proposa à Kevin de rentrer prendre une boisson fraîche, nous laissant seul. Ma mère se doutait-elle de quelque chose?
L’eau bouillonnante eut un effet très relaxant et coquin sur Sarah.
J’espérais que mon érection n’était pas visible à travers l’eau, mais Sarah l’avait devinée quand elle me fit face. Je me suis retourné, rouge de honte.
Elle se déplaça vers moi. Sans mon approbation, elle passa une main dans mon caleçon, et trouva mon sexe en érection. Elle referma sa main, et se délecta de mon manque de résistance.
- Hum...mais t’es devenu un homme, murmura-t-elle doucement.
Alors que sa main trouva ma queue décalottée à travers mon maillot de bains, mon esprit se vida. Soudain, Sarah murmura à mon oreille.
- Ça ne te dérange pas si je prends soin de toi, n’est-ce pas ?
Cela ne me dérangeait pas du tout, bien sûr. Je ne pouvais espérer une femme aussi belle pour perdre ma virginité.
Elle tira mon short jusqu’au genoux, pour avoir un meilleur accès. Elle me décalotta, frotta lentement le long de ma hampe. Ma queue se sentait bien dans sa main, et me dis qu’elle en avait certainement vu de plus petites. Elle devait se demander comment elle pourrait la comparer avec celle de son mari.
Elle s’est penché pour m’embrasser, moi si novice. Alors que sa langue se frayait un passage entre mes lèvres, elle sentait ma surprise devant ma soudaine impatience. Mes mains glissèrent sur ses seins, tandis qu’elle gardait sa bouche soudée à la mienne, alors qu’elle me branlait sous l’eau. Cela n’a servi qu’à alimenter mon propre désir. Elle arracha sa bouche à la mienne, retira une main de ses seins, pour la guider vers sa chatte.
- Est-ce que ça te fais du bien mon chéri, demanda-t-elle
Je hochais simplement la tête, alors qu’elle déplaçait sa main sur ma queue tendue. Je voulait arracher le bikini, et goûter les bougeons que je savais cachés dessous. Sarah se pencha en arrière, et détacha la sangle de son dos.
Elle gloussa en voyant mes yeux s’écarquiller à le vue de sa poitrine.
- Goûte les, dit-elle d’un air encourageant.
Je me suis penché en avant, ai sorti ma langue pour l’enrouler sur le mamelon. Elle se mit à gémir, tirant ma tête pour m’encourager à sucer les bouts durcit par le désir. Mon attention sur ses seins, et les bruits de succions semblaient la rendre encore plus excitée. Elle força ma main à descendre entre ses jambes, écarta le bas du bikini. Sarah soupira lorsque mes doigts trouvèrent le chemin de sa chatte, et se mit à onduler sur ma main. Elle a déplacé rapidement sa main sur ma queue à mesure que mon propre plaisir grandissait. Je la sentais proche de l’orgasme, mes doigts sentant l’étreinte chaude de la chatte d’une femme mariée, pour la première fois.
J’ai finalement retiré ma bouche de ses seins, alors que je jouissais pour la deuxième fois. J’eus des spasmes, et projetais mon sperme par petits nuages dans l’eau claire. Sarah a remarqué mon orgasme, et tirait ma queue hors de l’eau pour nettoyer le gland, tandis qu’elle gémissait de plus en plus, faisant des va et vient de haut en bas sur mes doigts, comme si elle se baisait. Elle vint peu de temps après avec une intensité rare. La sensation d’une jeune queue dans sa main, et l’excitation d’un ado inexpérimenté, mais viril, avait comblé un besoin inassouvi à ce jour. Je la regardais alors qu’elle traversait des vagues de plaisir, et finalement, s’effondra sur moi.
Le soleil se couchait, répandant sa douce lueur orange sur l’horizon.
Maman appela pour passer à table. Le repas terminé, nos mères nous demande de nous préparer pour la nuit. Nuisette pour elles, boxer pour nous.
Sarah, vêtue d’une nuisette transparente, prétexte l’envie de fumer une clope, et sort sur la terrasse, simplement éclairée par la pleine lune. Il fait un temps magnifique.
Je la rejoins. Je surmonte sa timidité, et prend Sarah par la taille. Ne me sentant pas rejeté, je glisse une main sous la nuisette, et remonte sur les seins. Après un léger soupir, Sarah troqua sa nuisette pour une serviette, me prit par la main.
- Viens, allons faire un tour, on sera plus tranquille.
Sarah m’entraîne dans le bain à remous. De suite, les images passent en bouclent dans ma tête. Je ressens une agréable sensation quand j’imagine ma queue coulisser dans sa bouche, et lui offrir ma semence. Il me semble l’entendre gémir quand je caressait sa chatte sous l’eau. Autant de rappel qui m’excite, me motive à ne pas la décevoir.
En un tour de main, les serviette disparaissent. On se retrouve entièrement nus, nos corps offert à la vue l’un de l’autre. Sarah glisse sa main entre mes jambes, saisit ma queue déjà en érection. Elle prend soin de la décalotter, plonge sa tête sous l’eau,et la prend en bouche. A mon tour, j’essaie de caresser sa chatte, mais ne parviens qu’à l’effleurer. Hélas, la fellation fut de courte durée, à mon grand regret, mais je ne perdis pas au change. Sarah s’appuie sur le bord de bain à remous, et m’offre sa croupe.
J’approche lentement ma queue de sa chatte, et la pénètre doucement. C’est la première fois que je baise une femme. Après quelques va et vient, voila qu’elle me fuit à nouveau. Sarah me dit qu’elle préférait aller dans la chambre.
J’étais parfaitement immobile, regardant Sarah me rejoindre sur le lit. La serviette tomba sur le côté, révélant son superbe corps, alors que la mienne restait enroulée autour de moi. Sarah se pencha, rapprochant ses seins au plus près. J’étais émerveillé par leur fermeté, par leurs bouts saillants.
- Dis-moi si tu veux que j’arrête, murmura-t-elle, alors qu’elle s’allongeait sur moi, me mordillant l’oreille et embrassant ma joue.
J’étais abasourdi. La chambre était bien éclairée, on avait décidé de ne pas éteindre la lumière. Sarah me prit le menton, le tourna vers elle. En voyant son regard défié le mien, je compris qu’elle avait des envies, et que c’était à moi à les assouvir.
- Jordan, dit-elle, nous pouvons arrêter si tu veux, ou tu peux m’embrasser maintenant.
Elle me regardait avec de la douceur dans les yeux, alors qu’elle attendait sa réponse.
Je l’enlaça, la tira vers moi, trouva ses lèvres pour en goûter la douce saveur. Elle gémit lorsque nos lèvres se soudèrent
J’appréciais la sensation d’elle sur moi. La sensation de ses seins écrasés sur mon torse, et les mouvement de son corps, alors que le désir qu’on libérait un pour l’autre étaient enivrant. Je pris soudain conscience de mon érection inconfortable, piégé dans la serviette de bain enroulée autour de ma taille.
Je la repoussais un instant, à sa grande déception. Elle sourit cependant en me voyant me battre pour enlever le tissu sur lequel elle était assise. Sarah déballa la serviette aussi avidement que si c’était un cadeau, et d’une certaine manière, c’était le cas. Son cadeau tant attendu. Elle s’émerveilla de la virilité qui s’en dégageait.
Rien ne l’aurait arrêtée maintenant, mais elle était ravie de trouver un tel spectacle. Elle ne savait exactement comment le comparer à celui de son mari, mais cela semblait plus entier et imposant pour elle. Elle céda à son envie d’y goûter. Je gémis alors qu’elle refermait ses lèvres humides de salive autour de ma queue, envoyant un frisson d’excitation à travers elle. Sarah déplaça ses lèvres autour du gland engorgé, le léchant et le goûtant avidement.
- Putain...ça fait du bien Sarah...
- Hum...tu n’as pas idée depuis combien de temps je rêve de ça.
Elle me donna un autre coup de langue appréciatif.
- Ta queue est aussi merveilleuse que je l’avais espéré.
- Mon dieu, tu es une femme incroyable. Tu es tellement sexy...
Sarah s’est senti fière d’elle, de me voir apprécier sa douce fellation. Lui faire retourner ses sentiments, professer son amour, alors que sucer ma belle queue la rendait folle.
Elle se lâcha complètement, passa sa langue sur le gland, et gémit intensément autour de mon membre, alors qu’il vibrait dans sa bouche, étant sucé par ses lèvres humides.
Je m’accrochais désespérément au drap du lit. La façon dont Sarah déplaça ses lèvres et sa langue sur ma bite étaient divin. Rien à voir avec ce que j’avais connu. La chaleur et l’humidité de celle-ci, et la façon dont elle appliquait une pression experte sur ma bite menaçaient de me rendre fou. Je fermais les yeux et sus que si je les baissait sur la façon dont ma queue disparaissait à nouveau entre ses douces lèvres, je ne pourrais pas m’empêcher de remplir sa bouche de sperme.
- Je vais jouir si tu continues comme ça, Sarah.
Elle me lâcha enfin après avoir tout avalé. Avec un dernier coup de langue le long de ma hampe, elle la laissa sa retomber sur mon ventre. J’avais l’impression d’avoir couru un marathon. Elle sourit amoureusement, remontant la tête vers moi, sur son ventre.
- On ne peut faire que ça, n’est-ce pas ? Je veux que tu jouisse en moi…
Je fus surpris, jugeant son impatience choquante. Elle a remonté ses hanches sur moi et posa sa chatte épilée sur ma queue décalottée. J’ai presque reculé devant le merveilleux contact des plis humide de sa chatte avec mon membre.
Alors qu’elle soutenait mon regard avec des yeux débordant de désir, elle a pris ma bite, la poussée vers le haut, entre ses lèvres gonflées. Sarah gémit bruyamment, avec le plaisir que cela lui procurait, alors qu’elle se frottait sur ma hampe, l’inondant d’avantage.
Je m’entendis me joindre à ses gémissements de plaisir et lui attrapa la tête et l’attira pour un baiser. Elle se laissa entraîner dans les nœuds de ma langue, alors qu’elle continuait à se déhancher. Quand elle n’en pouvait plus, elle s’assit, guida ma queue dans l’antre chaud de sa chatte. Elle a pris son temps pour l’insérer, écartant lentement ses lèvres. C’était une agréable torture pour moi de voir mon gland disparaître, aspiré par la chatte de la maman de mon pote.
- Prends-moi...baises la maman de ton copain...fais-là crier.
Je n’ai pas perdu de temps pour la prendre par les hanches, bien qu’elle ait fait le plus gros du travail, alors que mon érection glissait dans et hors de son étreinte. Nos respirations augmentaient au rythme de l’intensité de nos gémissements, promettant de nous conduire à un terrible orgasme.
- Niques-moi...envoie ton sperme...vide tes couilles en moi.
Dans une vague de plaisir, je suis entré dans l’orgasme de Sarah.
Ma queue forçait continuellement son chemin, entre le conduit serré, poussant à l’intérieur d’elle jusqu’à ce qu’elle sente toute ma force, et toute ma longueur en elle. Sarah avait perdu toute décence, et me suppliait de la baiser, baiser encore comme jamais. Elle me dit n’avoir jamais ressenti auparavant un sentiment aussi puissant de luxure.
Sarah se sentait sur le point de jouir, quand un autre sentiment familier s’est répandu en elle. Je l’avais devancé et lui déchargeais à nouveau de puissant jets de sperme.
Elle se tourna, prit appuie de ses mains sur les barres du lit. Elle cambra sa croupe, me demande de venir. Je me colla à elle, frotta ma queue contre sa chatte.
- Non...pas là, me dit-elle….le petit…
Je n’hésitais pas une seconde, c’était pour moi l’occasion de découvrir une autre façon de prendre une femme. A ma grande surprise, ma queue pénétra facilement le petit trou, comme elle me l’avait demandé. Elle laissa échapper de se lèvres un long soupir, et sentis son corps réagir à la réalisation que ma semence coulait à l’intérieur d’elle. Elle est venu alors que j’étais encore en train de jouir en elle. Cela devait faire longtemps qu’elle n’avait connu la sodomie, car elle vint rapidement. Elle est venu violemment, tout son corps se convulsant d’un plaisir intense, en sachant ce qu’elle avait entre les jambes. La queue d’un adolescent plein de fougue et de ressource. Nous avons gémit, partageant nôtre premier orgasme ensemble.
Quand nous avons ouvert les yeux, nos corps étaient toujours connectés.
Sarah était fatiguée, mais me murmura à l’oreille avant de s’assoupir.
- Tu es un amant merveilleux mon chéri...tu m’a rendu heureuse tu sais.
Nous nous sommes embrassés tendrement avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre.
Sarah se réveille avant moi, je sens son doigt tracer un sillon dans mes cheveux, alors que je suis encore assoupi. On avait dû dormir toute la nuit, car elle ne pouvait supporter la lumière qui filtrait à travers les persiennes.
Sarah jeta un coup d’œil sous le drap, admirant ma virilité matinale. Elle se sentait coquine au saut du lit. Elle glissa sa tête sous le drap, aspirant mon gland décalotté, l’humidifiant de salive, fit courir sa langue le long de ma hampe, de haut en bas jusqu’aux couilles. Elle aurait tant aimé me tailler une pipe, sentir ma sève coulait dans sa bouche. Elle refit surface, remarqua mes yeux mi-clos, la respiration saccadée. Elle roula sur moi, poussant son corps contre ma chair nue. Elle mit sa poitrine bien ferme devant moi. Elle a frotté et cajolé son bourgeon durcit dans ma bouche endormie. Le réveil se fit en douceur.
- Hum...Sarah
- Bonjour mon chéri...voici ton petit déjeuner. Mais je peux te faire autre chose.
De toute évidence, elle voulait confirmer qu’hier n’était pas une relation unique. Sa réaction, alors qu’elle venait de se réveiller, a apaisé mes doutes. Sarah rampa sous le drap, prit les dix huit centimètres de ma queue en bouche. Elle commença une lente fellation, qui finit de me réveiller. Je crochetais mes doigts sur le drap, me tendais au maximum, puis, dans un râle de plaisir, éjacula.
Sarah avala l’abondante semence, put enfin se délecter de mon sperme, jusqu’à la dernière goutte. On resta blotti l’un contre l’autre jusqu’à ce que nous reprenions nos esprit, puis on compris qu’il était temps de se lever.
Après que je fus habillé, je me dirigeais au salon...je suis resté cloué sur place.
Là, devant la cheminée, je vis ma mère en grande discussion avec Sarah.
- Bonjour Jordan, sourit Sarah.
- Bonjour mon chéri, ajouta ma mère…
- Heu...bonjour.
Impossible. C’est bien le corps de Sarah, la maman de mon pote, que j’ai caressé cette nuit, que j’ai baisé, sodomisé, que j’ai fait jouir, crier, c’est bien elle qui m’a sucé, avalé ma semence. Je prends ma tête dans les mains, sens des larmes me monter au yeux.
Nous somme dimanche soir, et nous préparons pour le départ. A l’avant, je vois Sarah prendre la main de ma mère. J’ai le cœur déchiré, ne dis pas un mot de tout le trajet. Arrivé à la maison, j’ignore Sarah, ne lui dis même pas au revoir.
- Ben alors Jordan, dit Sarah, tu ne m’embrasses pas.
Le lundi au lycée, je rencontrais Kevin, un sourire narquois au coin des lèvres, comme s’il connaissait mon rêve.
Jusqu’au vendredi, je me réfugiais dans ma chambre, quand soudain, un appel.
C’est Sarah. J’ignore son appel, laisse tomber le message sur la messagerie. C’est bien la dernière personne à qui j’ai envie de parler en ce moment, après mes désillusions, même si elle n’y était pour rien. Je décidais enfin de le lire.
« Mon chéri, je suis libre tout le week-end, je pensais le passer avec toi à la « Cabane ». Si tu es d’accord, réponds à ce message. Ceci ne concerne que nous deux. Si c’est le cas, je te prends dans une heure. »
Bien sûr, je répondis favorablement au message, le temps de préparer mes habits.
Elle me répondit que ce n’était pas nécessaire. qu’on n’en aurait pas besoin.
Je m’imaginais déjà prendre Sarah en levrette, dans le bain à remous.
Elles travaillent dans la même société et vivent les mêmes passions, comme la randonnée par exemple. Nos mères, âgées de trente huit ans, sont des femmes très belles, inséparables, à tel point qu’on leur prête une relation assez ambiguë.
Quand nous sommes au lycée pour la semaine, je sais qu’elles se retrouvent chez une ou chez l’autre, et passe la nuit à faire l’amour. Tout ça à nôtre insu.
Moi, je suis le fils de Sylvie, je m’appelle Jordan, et vais sur mes dix huit ans. Il y a également Kevin, le fils de Sarah, de mon âge, avec qui j’ai très peu d’affinité. Nôtre seul point commun, c’est d’être puceau.
Par contre, Sarah est une vraie bombe, d’une beauté à couper le souffle. D’ailleurs,
j’ai toujours vanté sa beauté auprès de son fils.
Nous arrivons dans une clairière, garons et déchargeons la voiture.
L’endroit est paradisiaque. Une cascade, un grand plan d’eau claire ou il doit faire bon se baigner, une petite plage d’herbe et de mousse.
La « Cabane » est grande. La pièce principale est un salon spacieux, une belle cheminée, et deux grands canapés. La cuisine est dans un espace ouvert, relié au reste de la pièce par un comptoir. Il y a une salle de bains, et deux chambres avec chacune un grand lit. Derrière la « Cabane », il y a un bain à remous.
Nos mères partagent la grand chambre, nous utilisons la plus petite. Elles évitent de faire du bruit, afin de ne pas attirer l’attention sur leurs ébats saphiques.
Pendant qu’elles préparent les grillades, nous gérons le feu. Le soir, autour des braise encore chaudes, et un bon verre de vin, Kevin nous charme au son de sa guitare. Vers minuit, nos mères décident d’aller se bouffer...se coucher, pardon.
Dans l’intimité de nôtre chambre, Kevin et moi discutons de la relation qu’on nos mères, je dis à Kevin que c’est dommage, et lui avoue que je me taperais bien la sienne. Il me dit de faire gaffe, qu’il n’accepterait jamais ça.
Le lendemain, j’accompagne Sarah au village pour faire les courses, tandis que ma mère et Kevin font le ménage. Dans une allée du magasin, je prend Sarah par la taille. Elle se retourne, me sourit. Je la mâte évoluer devant moi entre les étals.
« Putain, comme elle est belle et sexy ».
Pendant que les femmes rangent les courses, je les vois chuchoter entre elles.
Je prends ma mère à part, la questionne. Elle me dit que Sarah me trouvait très séduisant, et que d’en d’autres circonstances, elle aurait tenté de me séduire, mais qu’elle était mariée, et que tu pourrais être son fils.
L’après-midi, après une courte sieste, nous décidons d’aller nous baigner au plan d’eau. Les femmes ont enfilés leurs maillots deux pièces, et ont courus dans l’eau. Sarah sourit à la façon que j’avais de lorgner dans son maillot. Elle savait qu’elle était belle, et ça lui faisait plaisir que mon regard le confirme.
Sur une impulsion, elle a nagé vers moi, et me prit dans ses bras.
Je ne cacha pas ma surprise, alors qu’elle enroulait ses bras autour de mon cou, écrasant ses seins contre mon torse. Elle pouvait sentir un objet dur à l’intérieur de mon caleçon, frotter à la hauteur de sa chatte.
- Oh là, c’est quoi ça ? Demande Kevin.
- Rien mon chéri, je suis juste heureuse d’être ici, ensemble.
Elle aurait dû être dérangé par cela, mais au contraire, ça lui donnait un regard coquin. Ma mère regardait à travers l’eau claire vers mon maillot, elle savait que c’était mal, mais voulait savoir à quel point Sarah m’avait excité..
Kevin doit me maudire de savoir que ma queue avait été en contact avec la chatte de sa mère, même par tissus interposés.
Nous avons passé la journée à la cascade, profitant de la chaleur pour nager. Je croisais souvent le regard de Sarah qui lorgnait sur un endroit précis de mon anatomie, qui avait du mal à retrouver sa taille normale au repos.
Nous sommes rentrés, nous sommes douchés, Bien sûr, j’héritais de Kevin, alors que j’aurai préférer essuyer le dos de sa mère. Une fois séché, nous sommes rentrés, et nous somme reposés dans le salon.
Nous avons pris un succulent repas accompagné d’un excellent vin blanc, pour fêter les dix huit ans de Kevin. Le soleil était encore présent au moment ou on finit de manger, et après avoir bu du vin plus que de raison, nos mères décidèrent de démarrer le bain à remous, avant que la nuit ne tombe. Ce ne fut pas long pour se détendre dans le bain fumant, ressentant la chaleur sur nos corps.
J’ouvris un œil pour regarder la mère de mon pote, vêtue d’un bikini, alors qu’elle s’abaissait. J’ai retenu l’impulsion de tendre ma main, et de la toucher. Elle était tellement sexy. Elle se retourna et croisa mon regard et me sourit.
Ayant compris le manège, ma mère proposa à Kevin de rentrer prendre une boisson fraîche, nous laissant seul. Ma mère se doutait-elle de quelque chose?
L’eau bouillonnante eut un effet très relaxant et coquin sur Sarah.
J’espérais que mon érection n’était pas visible à travers l’eau, mais Sarah l’avait devinée quand elle me fit face. Je me suis retourné, rouge de honte.
Elle se déplaça vers moi. Sans mon approbation, elle passa une main dans mon caleçon, et trouva mon sexe en érection. Elle referma sa main, et se délecta de mon manque de résistance.
- Hum...mais t’es devenu un homme, murmura-t-elle doucement.
Alors que sa main trouva ma queue décalottée à travers mon maillot de bains, mon esprit se vida. Soudain, Sarah murmura à mon oreille.
- Ça ne te dérange pas si je prends soin de toi, n’est-ce pas ?
Cela ne me dérangeait pas du tout, bien sûr. Je ne pouvais espérer une femme aussi belle pour perdre ma virginité.
Elle tira mon short jusqu’au genoux, pour avoir un meilleur accès. Elle me décalotta, frotta lentement le long de ma hampe. Ma queue se sentait bien dans sa main, et me dis qu’elle en avait certainement vu de plus petites. Elle devait se demander comment elle pourrait la comparer avec celle de son mari.
Elle s’est penché pour m’embrasser, moi si novice. Alors que sa langue se frayait un passage entre mes lèvres, elle sentait ma surprise devant ma soudaine impatience. Mes mains glissèrent sur ses seins, tandis qu’elle gardait sa bouche soudée à la mienne, alors qu’elle me branlait sous l’eau. Cela n’a servi qu’à alimenter mon propre désir. Elle arracha sa bouche à la mienne, retira une main de ses seins, pour la guider vers sa chatte.
- Est-ce que ça te fais du bien mon chéri, demanda-t-elle
Je hochais simplement la tête, alors qu’elle déplaçait sa main sur ma queue tendue. Je voulait arracher le bikini, et goûter les bougeons que je savais cachés dessous. Sarah se pencha en arrière, et détacha la sangle de son dos.
Elle gloussa en voyant mes yeux s’écarquiller à le vue de sa poitrine.
- Goûte les, dit-elle d’un air encourageant.
Je me suis penché en avant, ai sorti ma langue pour l’enrouler sur le mamelon. Elle se mit à gémir, tirant ma tête pour m’encourager à sucer les bouts durcit par le désir. Mon attention sur ses seins, et les bruits de succions semblaient la rendre encore plus excitée. Elle força ma main à descendre entre ses jambes, écarta le bas du bikini. Sarah soupira lorsque mes doigts trouvèrent le chemin de sa chatte, et se mit à onduler sur ma main. Elle a déplacé rapidement sa main sur ma queue à mesure que mon propre plaisir grandissait. Je la sentais proche de l’orgasme, mes doigts sentant l’étreinte chaude de la chatte d’une femme mariée, pour la première fois.
J’ai finalement retiré ma bouche de ses seins, alors que je jouissais pour la deuxième fois. J’eus des spasmes, et projetais mon sperme par petits nuages dans l’eau claire. Sarah a remarqué mon orgasme, et tirait ma queue hors de l’eau pour nettoyer le gland, tandis qu’elle gémissait de plus en plus, faisant des va et vient de haut en bas sur mes doigts, comme si elle se baisait. Elle vint peu de temps après avec une intensité rare. La sensation d’une jeune queue dans sa main, et l’excitation d’un ado inexpérimenté, mais viril, avait comblé un besoin inassouvi à ce jour. Je la regardais alors qu’elle traversait des vagues de plaisir, et finalement, s’effondra sur moi.
Le soleil se couchait, répandant sa douce lueur orange sur l’horizon.
Maman appela pour passer à table. Le repas terminé, nos mères nous demande de nous préparer pour la nuit. Nuisette pour elles, boxer pour nous.
Sarah, vêtue d’une nuisette transparente, prétexte l’envie de fumer une clope, et sort sur la terrasse, simplement éclairée par la pleine lune. Il fait un temps magnifique.
Je la rejoins. Je surmonte sa timidité, et prend Sarah par la taille. Ne me sentant pas rejeté, je glisse une main sous la nuisette, et remonte sur les seins. Après un léger soupir, Sarah troqua sa nuisette pour une serviette, me prit par la main.
- Viens, allons faire un tour, on sera plus tranquille.
Sarah m’entraîne dans le bain à remous. De suite, les images passent en bouclent dans ma tête. Je ressens une agréable sensation quand j’imagine ma queue coulisser dans sa bouche, et lui offrir ma semence. Il me semble l’entendre gémir quand je caressait sa chatte sous l’eau. Autant de rappel qui m’excite, me motive à ne pas la décevoir.
En un tour de main, les serviette disparaissent. On se retrouve entièrement nus, nos corps offert à la vue l’un de l’autre. Sarah glisse sa main entre mes jambes, saisit ma queue déjà en érection. Elle prend soin de la décalotter, plonge sa tête sous l’eau,et la prend en bouche. A mon tour, j’essaie de caresser sa chatte, mais ne parviens qu’à l’effleurer. Hélas, la fellation fut de courte durée, à mon grand regret, mais je ne perdis pas au change. Sarah s’appuie sur le bord de bain à remous, et m’offre sa croupe.
J’approche lentement ma queue de sa chatte, et la pénètre doucement. C’est la première fois que je baise une femme. Après quelques va et vient, voila qu’elle me fuit à nouveau. Sarah me dit qu’elle préférait aller dans la chambre.
J’étais parfaitement immobile, regardant Sarah me rejoindre sur le lit. La serviette tomba sur le côté, révélant son superbe corps, alors que la mienne restait enroulée autour de moi. Sarah se pencha, rapprochant ses seins au plus près. J’étais émerveillé par leur fermeté, par leurs bouts saillants.
- Dis-moi si tu veux que j’arrête, murmura-t-elle, alors qu’elle s’allongeait sur moi, me mordillant l’oreille et embrassant ma joue.
J’étais abasourdi. La chambre était bien éclairée, on avait décidé de ne pas éteindre la lumière. Sarah me prit le menton, le tourna vers elle. En voyant son regard défié le mien, je compris qu’elle avait des envies, et que c’était à moi à les assouvir.
- Jordan, dit-elle, nous pouvons arrêter si tu veux, ou tu peux m’embrasser maintenant.
Elle me regardait avec de la douceur dans les yeux, alors qu’elle attendait sa réponse.
Je l’enlaça, la tira vers moi, trouva ses lèvres pour en goûter la douce saveur. Elle gémit lorsque nos lèvres se soudèrent
J’appréciais la sensation d’elle sur moi. La sensation de ses seins écrasés sur mon torse, et les mouvement de son corps, alors que le désir qu’on libérait un pour l’autre étaient enivrant. Je pris soudain conscience de mon érection inconfortable, piégé dans la serviette de bain enroulée autour de ma taille.
Je la repoussais un instant, à sa grande déception. Elle sourit cependant en me voyant me battre pour enlever le tissu sur lequel elle était assise. Sarah déballa la serviette aussi avidement que si c’était un cadeau, et d’une certaine manière, c’était le cas. Son cadeau tant attendu. Elle s’émerveilla de la virilité qui s’en dégageait.
Rien ne l’aurait arrêtée maintenant, mais elle était ravie de trouver un tel spectacle. Elle ne savait exactement comment le comparer à celui de son mari, mais cela semblait plus entier et imposant pour elle. Elle céda à son envie d’y goûter. Je gémis alors qu’elle refermait ses lèvres humides de salive autour de ma queue, envoyant un frisson d’excitation à travers elle. Sarah déplaça ses lèvres autour du gland engorgé, le léchant et le goûtant avidement.
- Putain...ça fait du bien Sarah...
- Hum...tu n’as pas idée depuis combien de temps je rêve de ça.
Elle me donna un autre coup de langue appréciatif.
- Ta queue est aussi merveilleuse que je l’avais espéré.
- Mon dieu, tu es une femme incroyable. Tu es tellement sexy...
Sarah s’est senti fière d’elle, de me voir apprécier sa douce fellation. Lui faire retourner ses sentiments, professer son amour, alors que sucer ma belle queue la rendait folle.
Elle se lâcha complètement, passa sa langue sur le gland, et gémit intensément autour de mon membre, alors qu’il vibrait dans sa bouche, étant sucé par ses lèvres humides.
Je m’accrochais désespérément au drap du lit. La façon dont Sarah déplaça ses lèvres et sa langue sur ma bite étaient divin. Rien à voir avec ce que j’avais connu. La chaleur et l’humidité de celle-ci, et la façon dont elle appliquait une pression experte sur ma bite menaçaient de me rendre fou. Je fermais les yeux et sus que si je les baissait sur la façon dont ma queue disparaissait à nouveau entre ses douces lèvres, je ne pourrais pas m’empêcher de remplir sa bouche de sperme.
- Je vais jouir si tu continues comme ça, Sarah.
Elle me lâcha enfin après avoir tout avalé. Avec un dernier coup de langue le long de ma hampe, elle la laissa sa retomber sur mon ventre. J’avais l’impression d’avoir couru un marathon. Elle sourit amoureusement, remontant la tête vers moi, sur son ventre.
- On ne peut faire que ça, n’est-ce pas ? Je veux que tu jouisse en moi…
Je fus surpris, jugeant son impatience choquante. Elle a remonté ses hanches sur moi et posa sa chatte épilée sur ma queue décalottée. J’ai presque reculé devant le merveilleux contact des plis humide de sa chatte avec mon membre.
Alors qu’elle soutenait mon regard avec des yeux débordant de désir, elle a pris ma bite, la poussée vers le haut, entre ses lèvres gonflées. Sarah gémit bruyamment, avec le plaisir que cela lui procurait, alors qu’elle se frottait sur ma hampe, l’inondant d’avantage.
Je m’entendis me joindre à ses gémissements de plaisir et lui attrapa la tête et l’attira pour un baiser. Elle se laissa entraîner dans les nœuds de ma langue, alors qu’elle continuait à se déhancher. Quand elle n’en pouvait plus, elle s’assit, guida ma queue dans l’antre chaud de sa chatte. Elle a pris son temps pour l’insérer, écartant lentement ses lèvres. C’était une agréable torture pour moi de voir mon gland disparaître, aspiré par la chatte de la maman de mon pote.
- Prends-moi...baises la maman de ton copain...fais-là crier.
Je n’ai pas perdu de temps pour la prendre par les hanches, bien qu’elle ait fait le plus gros du travail, alors que mon érection glissait dans et hors de son étreinte. Nos respirations augmentaient au rythme de l’intensité de nos gémissements, promettant de nous conduire à un terrible orgasme.
- Niques-moi...envoie ton sperme...vide tes couilles en moi.
Dans une vague de plaisir, je suis entré dans l’orgasme de Sarah.
Ma queue forçait continuellement son chemin, entre le conduit serré, poussant à l’intérieur d’elle jusqu’à ce qu’elle sente toute ma force, et toute ma longueur en elle. Sarah avait perdu toute décence, et me suppliait de la baiser, baiser encore comme jamais. Elle me dit n’avoir jamais ressenti auparavant un sentiment aussi puissant de luxure.
Sarah se sentait sur le point de jouir, quand un autre sentiment familier s’est répandu en elle. Je l’avais devancé et lui déchargeais à nouveau de puissant jets de sperme.
Elle se tourna, prit appuie de ses mains sur les barres du lit. Elle cambra sa croupe, me demande de venir. Je me colla à elle, frotta ma queue contre sa chatte.
- Non...pas là, me dit-elle….le petit…
Je n’hésitais pas une seconde, c’était pour moi l’occasion de découvrir une autre façon de prendre une femme. A ma grande surprise, ma queue pénétra facilement le petit trou, comme elle me l’avait demandé. Elle laissa échapper de se lèvres un long soupir, et sentis son corps réagir à la réalisation que ma semence coulait à l’intérieur d’elle. Elle est venu alors que j’étais encore en train de jouir en elle. Cela devait faire longtemps qu’elle n’avait connu la sodomie, car elle vint rapidement. Elle est venu violemment, tout son corps se convulsant d’un plaisir intense, en sachant ce qu’elle avait entre les jambes. La queue d’un adolescent plein de fougue et de ressource. Nous avons gémit, partageant nôtre premier orgasme ensemble.
Quand nous avons ouvert les yeux, nos corps étaient toujours connectés.
Sarah était fatiguée, mais me murmura à l’oreille avant de s’assoupir.
- Tu es un amant merveilleux mon chéri...tu m’a rendu heureuse tu sais.
Nous nous sommes embrassés tendrement avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre.
Sarah se réveille avant moi, je sens son doigt tracer un sillon dans mes cheveux, alors que je suis encore assoupi. On avait dû dormir toute la nuit, car elle ne pouvait supporter la lumière qui filtrait à travers les persiennes.
Sarah jeta un coup d’œil sous le drap, admirant ma virilité matinale. Elle se sentait coquine au saut du lit. Elle glissa sa tête sous le drap, aspirant mon gland décalotté, l’humidifiant de salive, fit courir sa langue le long de ma hampe, de haut en bas jusqu’aux couilles. Elle aurait tant aimé me tailler une pipe, sentir ma sève coulait dans sa bouche. Elle refit surface, remarqua mes yeux mi-clos, la respiration saccadée. Elle roula sur moi, poussant son corps contre ma chair nue. Elle mit sa poitrine bien ferme devant moi. Elle a frotté et cajolé son bourgeon durcit dans ma bouche endormie. Le réveil se fit en douceur.
- Hum...Sarah
- Bonjour mon chéri...voici ton petit déjeuner. Mais je peux te faire autre chose.
De toute évidence, elle voulait confirmer qu’hier n’était pas une relation unique. Sa réaction, alors qu’elle venait de se réveiller, a apaisé mes doutes. Sarah rampa sous le drap, prit les dix huit centimètres de ma queue en bouche. Elle commença une lente fellation, qui finit de me réveiller. Je crochetais mes doigts sur le drap, me tendais au maximum, puis, dans un râle de plaisir, éjacula.
Sarah avala l’abondante semence, put enfin se délecter de mon sperme, jusqu’à la dernière goutte. On resta blotti l’un contre l’autre jusqu’à ce que nous reprenions nos esprit, puis on compris qu’il était temps de se lever.
Après que je fus habillé, je me dirigeais au salon...je suis resté cloué sur place.
Là, devant la cheminée, je vis ma mère en grande discussion avec Sarah.
- Bonjour Jordan, sourit Sarah.
- Bonjour mon chéri, ajouta ma mère…
- Heu...bonjour.
Impossible. C’est bien le corps de Sarah, la maman de mon pote, que j’ai caressé cette nuit, que j’ai baisé, sodomisé, que j’ai fait jouir, crier, c’est bien elle qui m’a sucé, avalé ma semence. Je prends ma tête dans les mains, sens des larmes me monter au yeux.
Nous somme dimanche soir, et nous préparons pour le départ. A l’avant, je vois Sarah prendre la main de ma mère. J’ai le cœur déchiré, ne dis pas un mot de tout le trajet. Arrivé à la maison, j’ignore Sarah, ne lui dis même pas au revoir.
- Ben alors Jordan, dit Sarah, tu ne m’embrasses pas.
Le lundi au lycée, je rencontrais Kevin, un sourire narquois au coin des lèvres, comme s’il connaissait mon rêve.
Jusqu’au vendredi, je me réfugiais dans ma chambre, quand soudain, un appel.
C’est Sarah. J’ignore son appel, laisse tomber le message sur la messagerie. C’est bien la dernière personne à qui j’ai envie de parler en ce moment, après mes désillusions, même si elle n’y était pour rien. Je décidais enfin de le lire.
« Mon chéri, je suis libre tout le week-end, je pensais le passer avec toi à la « Cabane ». Si tu es d’accord, réponds à ce message. Ceci ne concerne que nous deux. Si c’est le cas, je te prends dans une heure. »
Bien sûr, je répondis favorablement au message, le temps de préparer mes habits.
Elle me répondit que ce n’était pas nécessaire. qu’on n’en aurait pas besoin.
Je m’imaginais déjà prendre Sarah en levrette, dans le bain à remous.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent, j'ai pris mon pied au fur et à mesure du récit, bien écrit et pas vulgaire du tout. Un suite?