Ma Julia super
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Ma Julia super
Julia, Stéphanie et Nico, qui prenaient tranquillement un café. Ils m’en avaient préparé un, c’était bien sympa de leur part. Alors je me joignis à eux, et on discuta, notamment de Stéphanie et de son copain, Thomas. Elle m’expliqua en se marrant qu’il avait eu comme une grosse angoisse en s’imaginant les pires trucs à son propos. Moi je ne me marrai pas, car je pensais qu’il avait en partie raison, le bougre. Mais elle me dit qu’elle avait réussi à le calmer un peu, et qu’ensuite, avec l’aide de Julia, elle l’avait même complètement détendu. Là c’est moi qui imaginai les pires choses…
Mais Nico s’excusa, et nous dit qu’il devait s’absenter un moment. Il avait promis à un de ses amis de passer le voir. Il nous demanda si on serait encore là lorsqu’il reviendrait; nous expliquant qu’il en aurait sans doute pour au moins deux heures (et il était environ 17h30 ou 18h). Je lui répondis qu’avec la permission de Julia, je serai encore probablement ici; mais Stéphanie lui dit qu’elle pensait ne plus trop tarder. Il la salua donc, lui dit de dire ciao à son copain (qui dormait encore) de sa part, et nous quitta.
On s’est alors mises à discuter, toutes les trois, surtout évidemment de trucs de filles, qui n’auraient pas grand intérêt à être évoqués ici. En tout cas c’était la première fois du week-end que l’on ne parlait pas de cul. C’était déjà pas mal. Bien entendu, cela ne dura pas. (Avec Julia, ce genre de moments ne durent jamais bien longtemps; il faut les savourer…) Notre hôte nous demanda ce qu’on avait pensé de la journée d’hier et de celle d’aujourd’hui. Que pouvions-nous lui répondre ? Pour ma part, je lui dis avec un sourire que j’en avais pris plein le cul, et qu’à ce niveau-là, j’étais largement satisfaite. Elle rigola. Steph nous dit qu’elle n’en revenait toujours pas d’avoir vu son copain faire tout ça. Et elle était intriguée quant à une chose: est-ce que Julia avait planifié tout ce qu’on avait fait, ou bien était-ce purement instinctif ? Et savait-elle que les mecs allaient réagir de la sorte, et aller jusqu’à faire ensemble ce qu’ils nous avaient juré ne jamais faire ? Je dois avouer que ces questions m’intéressaient aussi. Mais Julia se contenta de sourire et, en retour, nous demanda notre avis sur la question. Je me fis la réflexion que s’il y avait une science de la baise, alors elle aurait certainement un doctorat en la matière… (la baisologie ? En tout cas pas la sexologie, car ça c’est sérieux… Encore que Julia serait très certainement capable de résoudre les pires problèmes sexuels que rencontrent la plupart de nos concitoyens, et de faire bander le plus mou des impuissants…) Mais je traduisis simplement cette pensée en lui disant:
— Ce que je pense c’est que tu es vraiment une grosse salope…— Ça y est, c’est reparti !" répliqua-t-elle, sur le ton de la plaisanterie.
J’aimais son humeur, et la légèreté avec laquelle elle prenait des choses qui auraient fait hurler la quasi-totalité des gens. (Je ne pense pas à cette insulte stupide, en disant cela, mais à tout ce qu’on avait fait chez elle en 24 heures, ou plutôt tout ce qu’elle nous avait fait faire en 24 heures.) Puis Stéphanie lui demanda hyper-sérieusement si elle prenait des produits dopants pour autant avoir envie de sexe. Elle éclata de rire:
— Tu le penses vraiment ?
Stéphanie continua:
— Je ne comprends pas comment tu peux en bouffer autant, pardonne-moi l’expression.
Julia rigola de nouveau, puis lui répondit évasivement que ça devait être une question d’habitude. Steph me demanda alors ce que j’en pensais. Je lui dis qu’à mon avis, Julia n’avait pas totalement tort, ça pouvait être une question d’habitude. Je lui racontai comment, ayant passé quelques jours en vacances avec elle, j’en étais presque devenue comme elle, complètement acharnée. Puis je la rassurai en lui disant qu’elle n’était pas tout le temps comme ça. (En étais-je bien sûre…???) Julia plaisanta:
— Ben oui, quand vous êtes là, je fais des efforts, j’essaie de me tenir un peu…
Stéphanie démarra au quart de tour:
— Tu es en train de me dire que ce week-end, tu as fait des efforts pour être moins salope qu’à ton habitude ?!?!?
J’essayai de la calmer:
— Mais non, elle plaisante…
Cela dura ainsi une bonne demi-heure, au bout de laquelle Steph lâcha l’affaire. (Julia n’ayant vraiment répondu à aucune de ses questions.) Elle regarda l’heure, et constatant qu’il était déjà presque sept heures, nous dit qu’il était temps pour elle de rentrer.
— N’oublie pas ton mec !" lui lançai-je.
— Vous êtes sûres que vous ne voulez pas le garder ?" dit-elle en se tournant vers Julia.
Celle-ci lui répondit qu’il lui serait sans doute plus utile à elle qu’à nous.
— Oh, vous savez, je pense que ce soir, il ne va plus m’être très utile, après tout ce qu’il a donné ce week-end…" répliqua-t-elle.
Julia lui dit alors:
— Donc, tu te dis: il ne me sert plus à rien ce soir; autant le leur laisser…
On riait toutes les trois. Elle finit par nous assurer qu’elle allait le ramener, si elle parvenait à l’éveiller.
— Si tu n’y arrives pas, appelle-moi." lui dit Julia.
Je me marrai encore. Stéphanie alla donc jusqu’à la chambre, éveilla péniblement le jeune homme, et quand il eut un peu émergé, ils vinrent nous dire au-revoir, en remerciant Julia pour "ce week-end dépaysant…", puis eux-aussi nous abandonnèrent.
Maintenant que l’on n’était plus que toutes les deux, ça faisait tout vide. On avait été jusqu’à dix la veille, et là, on se retrouvait juste toutes les deux. J’étais pas mal crevée, en plus, ce qui n’aidait pas pour mettre l’ambiance. Mais Julia, infatigable, me dit, tout naturellement:
— Tout ça m’a bien excitée, pas toi ?
Je n’en croyais pas mes oreilles.
— Tu ne t’arrêtes donc jamais ?
Elle me répondit, toujours plaisantant:
— Si, une semaine par mois, et encore…
Je pensai soudain à quelque chose qu’on m’avait dit:
— Il ne faudrait pas que tu sois enceinte, toi… Il paraît que ça augmente l’appétit sexuel…
J’ai eu l’impression que ce que je venais de dire l’avait troublée, car elle resta un moment silencieuse, pensive.
— J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ?" lui demandai-je.
Elle réalisa qu’elle avait eu une absence:
— Non, non, aucun souci. Simplement, Nico et moi, on commence à y songer quelque peu. Et puis, on va sans doute se marier d’ici un an ou deux, quand il aura complètement terminé ses études.
Je restai un peu abasourdie, surprise.
— Tu vois que tu peux être un peu sérieuse quand tu veux." finis-je par lui dire.
Mais elle reprit presque aussitôt son air malicieux, et darda sur moi des yeux embrasés qui en disaient long sur son état d’excitation. J’en eus presque peur, me demandant ce qu’elle allait encore me sortir. D’une voix tendre et presque suppliante, elle me fit:
— Dis, tu me fais jouir avec ta langue ?
C’était comme une référence à un film, me semblait-il, et ça me fit rigoler un peu. (Je crois que c’est dans Pulp Fiction.) La réponse de l’intéressé dans ce film est quelque chose comme "D’accord, mais toi aussi." (mais là c’est un couple hétéro…) Mais prenant le parti de délirer un peu, ce fut la réponse que je lui retournai.
En fait, je n’en avais pas vraiment envie. J’étais, moi aussi, comme les garçons précédemment, en overdose de sexe. Je n’avais pour le moment plus du tout envie de quoi que ce fut, à ce niveau-là. Il ne me semblait pas que ce fut physique, je pense que mon corps aurait pu en supporter plus encore, mais plutôt psychologique: j’en avais eu plus que ma dose, et ça ne me disait plus rien. Je crois qu’on aurait pu me mettre Brad Pitt ou Rocco Siffredi devant moi que ce que j’aurais pu faire de mieux eut été de parler de la politique intérieure de la Russie. J’étais moralement épuisée. Et puis, il me fallait reconnaître que, même physiquement, ce n’était pas la grande grande forme. Ma copine dut s’en apercevoir car, curieusement, elle n’insista pas (ce qui n’était pas dans ses habitudes…) Elle se reprit donc, et me proposa un apéro, en guise de détente. J’acceptai bien volontiers, à condition que ce fut quelque chose de léger. Elle me ramena en fait un whisky au coca, heureusement pas trop chargé. Et puis on se mit à parler de ce qu’elle venait de me dire, à propos d’un éventuel mariage, de fonder réellement un foyer, etc. C’était assez sympa. Elle finit quand même par craquer:
— J’espère que Laurence et toi, vous me concocterez quelque chose de spécial, pour mon enterrement de vie de jeune fille…
Incroyable, elle ne pouvait pas tenir plus de quinze minutes sans penser au cul !
— Attends, on n’en est pas encore là." lui répondis-je donc.
Sur ces entrefaites, on entendit la porte d’entrée s’ouvrir. C’était Nico qui revenait, il avait mis moins longtemps que prévu. Je me fis instantanément la réflexion qu’il allait "passer à la casserole de sa copine" dans les cinq minutes qui suivaient. D’habitude, quand ils couchaient ensemble (sans moi) j’étais assez jalouse, car je me disais qu’elle se payait une super tranche de bonheur, mais là j’étais soulagée à l’idée de savoir que ça allait la calmer un peu, et qu’après j’aurais la paix pendant un petit moment… Je m’allumai une cigarette, attendant que Nico ne vienne s’asseoir un instant avec nous. C’est alors qu’entendant d’autres bruits de pas, je réalisai qu’il n’était pas venu seul. Je me retournai (car je faisais dos au couloir qui venait de l’entrée au salon), attendant de voir qui étaient les nouveaux venus. Julia aussi semblait surprise et paraissait se demander qui ça pouvait bien être. Elle me murmura discrètement:
— J’ai failli lui crier de venir s’occuper de moi… Heureusement que je ne l’ai pas fait, t’imagines la tronche des gens…
Le fait d’imaginer la scène me fit rire. Ce ne fut pas en fait des nouveaux arrivants mais un. Nico était revenu avec l’ami qu’il nous avait dit devoir aller voir. J’essayai de comprendre pourquoi il était revenu avec lui. Deux cas critiques me sautaient aux yeux: soit il l’avait amené en se disant que j’étais seule, et que ça allait pouvoir m’occuper; soit il avait deviné l’état dans lequel était sa nana, et il s’est dit qu’à deux, ce ne serait pas de trop pour la satisfaire un peu. Ils entrèrent dans le salon. Nico me dit, désignant son copain: "Je crois que vous vous connaissez déjà." C’était un ami d’enfance à lui, je crois, et je l’avais effectivement déjà rencontré plusieurs fois. Il devait s’appeler sans doute Ludovic, mais tout le monde l’appelait Ludo. Julia se leva pour le saluer, je fis de même. Le peu que je le connaissais, il était assez sympa; en plus il était pas mal. Il ne me plaisait pas autant que Nico, physiquement, mais c’était un tout autre style, plus archétypique du sportif nordique: blond, yeux bleus, grand, et plutôt assez fin, quoique baraqué des épaules.
Julia et moi attendions que Nico nous explique dans quel but ils étaient revenus ensemble, mais il ne dit rien à ce sujet. Ma copine leur proposa alors aussi de prendre un apéro, ce qu’ils acceptèrent également volontiers. Et quand ils furent assis à côté de nous, que leurs verres furent emplis, Julia se leva pour aller se placer juste devant les deux garçons (qui s’étaient assis côte à côte dans un des deux sofas), et elle leur expliqua le plus naturellement du monde que j’étais un peu épuisée et que je n’avais pas pu la satisfaire. Le nouveau venu devait bien connaître Julia car cela n’eut pas l’air de le choquer outre mesure. J’essayai de me défendre:
— Après tout ce que j’ai vécu en 24 heures, j’aspire simplement à un peu de détente…
Comme si elle ne m’avait pas entendue, elle continua, disant à Nico qu’il avait bien fait de venir avec son ami, et qu’elle espérait qu’ils allaient pouvoir la combler. Ludo semblait très intéressé par ce genre de propositions, il donnait l’air d’un loup affamé qui allait se jeter sur un jeune et pur agneau. (La comparaison s’arrêtant là, car je ne crois pas qu’on puisse comparer Julia à un jeune et pur agneau…)
Je me voyais déjà tenir une monstrueuse chandelle, pendant que les trois allaient s’éclater à côté de moi, et évidemment ça ne me disait rien. Comme je n’avais pas envie de foutre le camp, je me dis que j’allais essayer d’emmerder un peu Julia. Connaissant l’intérêt de Nico (et sans doute aussi de son ami) pour les jeux de Playstation, et devinant aussi que sa copine ne devait pas souvent y jouer avec lui, je proposai innocemment aux deux garçons de faire une petite partie avec moi. Julia me lança un regard noir. Je lui retournai un sourire cynique. Je crois que Nico avait assez envie de jouer à la console avec moi, mais que son copain avait plutôt assez envie de jouer avec Julia… Je continuai:
— On se fait un petit jeu de bagnole ? Il faut que vous m’expliquiez les commandes.
Mais Julia s’agenouilla aussitôt aux pieds des garçons, et se mit à les masser à travers leurs pantalons, au niveau du sexe. Nico me regarda, affectant un air impuissant. (Dans le sens: incapable de lutter contre les évènements, et, hélas, pas du tout dans le sens: incapable d’avoir une érection.) Je m’avouais vaincue, feignant la bouderie: le démon du sexe était plus fort que celui du jeu.
Julia était déjà en train d’extirper les deux sexes des garçons hors de leurs caleçons. Celui de Nico était loin d’être tendu, mais l’autre arborait déjà une bien belle queue (pas aussi grosse que l’autre, mais bien belle quand même) tendue et gonflée à bloc (il n’avait sans doute pas du être autant sollicité ce week-end.) Ma copine se précipita dessus, le prenant à demi dans sa bouche affamée, qu’elle fit langoureusement descendre et monter autour de l’engin. Elle masturbait aussi tranquillement Nico, qui se raidissait quand même doucement. Je sentais poindre un semblant d’excitation au fond de mon corps (sans que ce soit néanmoins l’énorme envie à laquelle j’étais habituellement sujette lorsque je voyais deux belles queues tendues devant moi.)
— Je ne vous dérange pas trop ?" leur fis-je.
Ludo ne répondit rien; Julia marmonna quelque chose, mais sans retirer ce qu’elle avait dans la bouche, ce qui fit que je ne compris rien, et Nico me proposa de me joindre à eux. Je leur répondis que non merci, je n’aimais pas les partouzes, ce qui eut pour effet instantané de faire rire Julia, laquelle faillit s’étouffer à moitié. Elle retira le sexe de sa bouche et me dit:
— Pourrais-tu avoir au moins la bienséance de ne pas me faire rire pendant que je suce, s’il te plaît ?
Je souris, puis décidai de continuer à les faire chier un peu. Je pris un magazine qui traînait par-là, un pauvre programme de télé, et je me mis à en faire la lecture à voix haute, en jetant régulièrement de petits coups d’œil vers ma copine (car c’était elle que ça emmerdait le plus, les mecs étant absorbés dans le plaisir qu’elle leur procurait.) Je tombai sur une page consacrée aux recettes de cuisine minceur de l’été, (le truc typiquement insupportable, à mon avis…), genre: comment faire cuire les fruits de mer de l’été ? (Réponse: on s’en fout, on les mange crus… ) Julia, qui s’était remise à pomper, alternant son acharnement tour à tour sur les deux sexes, n’était pas loin de craquer, à force de m’écouter lire mes conneries sur les différents types de cuisson des praires et des coques. Elle s’arrêta soudain de sucer, relevant légèrement la tête et me regarda, l’air excédé:
— Tu ne veux pas venir goûter les moules du mois de juillet ?" me dit-elle.
Les deux mecs éclatèrent de rire, et je souris légèrement, mais déclinai toujours son offre.
— Bon, alors, lis à voix basse, dans ta tête, pour toi…" ajouta-t-elle.
Elle se remit à sucer, avec encore plus d’acharnement. Les deux bites pointaient désormais toutes raides devant son visage. Au bout d’un petit instant, Nico se leva et vint s’agenouiller derrière sa chérie, la queue à la main. Il la pénétra soudain puissamment, et elle couina assez fort lorsque l’organe s’enfonça dans son vagin, mais ne relâcha pas du tout son étreinte sur l’autre sexe. Puis il alterna de rapides et féroces va-et-vients avec de longs et lents mouvements d’une amplitude maximale, et cela semblait plaire énormément à Julia. Les deux garçons gueulaient de plus en plus fort, et Ludo, commençant à son tour de couiner bizarrement, lui dit soudain:
— Aaaah, tiens, je vais t’arroser la gueule !
— Bravo ! Au moins ce n’est pas vulgaire…" lui répartis-je.
Mais le bougre ne se souciait guère de mon avis. Julia recula légèrement sa tête, et libéra le sexe du garçon. Celui-ci eut quelques convulsions, puis se déchargea bientôt d’une incroyable dose de sperme qui vint s’échouer en de nombreux jets sur toute la tête de sa partenaire. (A mon avis, il n’avait pas du se vider les burnes depuis un moment, celui-là…) Et il hurla pendant pas loin d’une minute tandis qu’il se vidait presque complètement.
Nico continuait de défoncer sa chérie, et elle, la tronche toujours pleine de sperme, s’était remise à sucer Ludo, qui ne débandait pas le moins du monde. Je me fis la réflexion que ça allait sans doute durer encore un bon moment, si elle remettait ça. Quand elle fut assurée qu’il restait bien dur, elle se releva, se délivrant momentanément du sexe de son copain, se retourna et se caressa un instant. Les deux garçons firent de même, puis elle recula légèrement, et présentant son derrière à Ludo, elle lui demanda de la lécher (ou plutôt lui ordonna… enfin je ne sais pas trop, c’était entre les deux). Il s’exécuta, et plongea la tête entre ses globes fessiers. Elle se pencha légèrement en avant, et saisit de ses deux mains le sexe de son autre partenaire, qu’elle se mit à masturber, tandis que Ludo lui léchait attentivement la chatte, et apparemment aussi le cul.
Cela dura ainsi quelques minutes, puis elle prit la décision de s’asseoir littéralement sur le sexe toujours tendu du garçon qui la léchait un instant auparavant. Ils gueulèrent tous les deux lorsque le sexe pénétra son derrière et s’enfonça lentement dans son anus; puis elle imprima un lent va-et-vient, qui parut les combler tous les deux. Nico se rapprocha alors de sa partenaire, et lui présenta son engin, juste sous le nez. Elle ne se fit pas prier pour le prendre bien profondément dans sa bouche. Mais cela ne dura que quelques secondes, au bout desquelles elle se pencha complètement en arrière, quasiment allongée sur Ludo, et ouvrit largement ses cuisses, présentant sa fente dégoulinante à son amoureux qui s’empressa de venir la combler. Là elle hurla de toutes ses forces, sous les impulsions mêlées de ses deux partenaires. Je remarquai qu’elle avait toujours le visage plein de sperme. Je dois avouer aussi que ça m’excitait finalement pas mal de la voir se faire ainsi shooter par les deux garçons. Je continuai cependant d’admirer tranquillement la scène.
Au bout de cinq bonnes minutes ainsi, pendant lesquelles les trois protagonistes avaient hurlé pleinement toute leur jouissance, Nico s’extirpa du corps de sa chérie, et vint s’agenouiller sur le canapé, lui présentant à nouveau sa queue trempée de son plaisir. Elle le pompa encore un peu, tandis que l’autre l’enculait toujours férocement. Puis Nico se mit à gueuler de plus en plus fort; je pensai qu’elle allait avaler tout son jus, mais elle recula encore la tête, et quelques nouveaux jets de sperme vinrent rejoindre ce qu’il y avait déjà sur son visage. Quand il eut tout éjaculé, elle le suça à nouveau quelques secondes, mais la grosse queue débanda assez rapidement. Nico se renfroqua et gagna rapidement la salle de bains (sans doute la pièce qui aura le plus servi du week-end.) Julia savoura alors encore quelques minutes les violents coups de bite de Ludo qui la sodomisait toujours. Mais il la souleva soudain, la reposa à côté de lui, et vint de nouveau lui éjaculer sur le visage. Ce fut cette fois-ci beaucoup moins dense, mais après cela, elle avait vraiment le visage tout blanc de sperme. Le garçon avait l’air content, et quand Nico sortit de la salle d’eaux, il s’y dirigea à son tour.
Julia restait affalée, rêveuse, sur le canapé. Je crois qu’elle avait vraiment pris son pied, là. Je demandai à Nico de la photographier ainsi, larvique, étendue sur le sofa, le visage recouvert de sperme. Il partit fouiller je-ne-sais-où à la recherche d’un appareil photo, et revint prendre quelques clichés de sa copine, qui se caressait encore vaguement les seins, également légèrement entachés de sperme, tout en regardant droit vers l’objectif, provocatrice et malicieuse.
Quelques minutes plus tard, tout en sirotant mon apéro, je me demandai si le copain de Nico n’était venu que pour tirer sa crampe et repartir aussitôt (ce qui aurait été d’un rustre absolu) ou bien s’il allait rester un peu avec nous. Je fus bientôt fixée, car quand il ressortit de s’être lavé, il vint se rasseoir près de moi, et me dit qu’il était désormais prêt à m’apprendre à jouer à n’importe quel jeu de console.
— Non, c’est trop tard; maintenant je n’en ai plus envie." lui répondis-je.
— Elle boude…" fit Julia, qui était toujours complètement affalée dans le sofa, toujours la gueule toute blanche.
— Non, je ne boude pas," lui rétorquai-je, "et puis au lieu de dire des conneries, tu ferais mieux d’aller te laver…"
J’eus un instant l’appréhension qu’elle prenne mal ces paroles (que je ne voulais nullement agressives). Mais elle me répondit, d’un petit air innocent:
— Ah bon ? Tu ne m’aimes pas comme ça ?
J’esquissai une moue de doute.
— En ai-je donc tant que ça ?" demanda-t-elle alors, tout en se tâtant vaguement le front et les joues d’un doigt distrait.
Elle se rendit alors compte de la quantité de sperme qu’elle avait sur la tête, et qui commençait lentement à sécher. Je lui dis qu’il valait très certainement mieux qu’elle se lave avant que ça ne sèche, notamment ce qu’elle avait dans les cheveux. Elle en convint, et nous abandonna à son tour pour aller prendre une bonne douche.
Quand elle revint, elle était plus belle que jamais. On la regardait, tous les trois, sans rien dire. Mais je pense que nos yeux, dardés fixement sur elle, devaient lui en dire long sur ce qu’on pensait. Elle était drapée dans une sorte de léger paréo qui ne cachait que légèrement l’essentiel de son corps sublime. Ses longs cheveux mouillés ondulaient le long de sa nuque, et dégageaient complètement son visage parfait. Mais le plus beau de tout, à mon avis, c’était ses yeux. Ses grands yeux gris-verts qui pétillaient de bonheur, de joie de vivre, mais aussi de malice. J’étais subjuguée par tout son être; elle me faisait autant d’effet que pouvait m’en faire le plus beau des apollons. Il est inutile, évidemment, de parler de l’état dans lequel se trouvaient les garçons. On aurait dit qu’ils avaient vu une apparition. Julia savait très certainement que nous la trouvions très belle, et je crois que la façon dont on la dévorait du regard lui plaisait énormément. Mais si elle en profitait un peu, c’était sans prétention: je ne pense pas qu’elle eut souhaité que nous lui lancions des fleurs, elle n’en avait pas besoin. (Car certaines personnes, bien que se sachant belles, éprouvent sans cesse le besoin de se sentir rassurées, mais ce n’était pas son cas.)
A présent, j’avais presque envie qu’elle me réitère les propositions qu’elle m’avait faites un peu avant. Je crois que cette fois-ci, j’aurais vraiment eu envie d’elle. Mais elle me paraissait s’être un peu calmée… Elle vint s’asseoir tranquillement à côté de moi sur le sofa, s’alluma une cigarette, et commença seulement de savourer l’apéritif qu’elle s’était servie presque une demi-heure auparavant. On a tous trinqué avec elle (à quoi, je ne sais pas trop… sans doute tacitement à ce qu’elle reste toujours la même…) Mais personne ne parlait. Nous étions toujours absorbés dans sa contemplation. J’eus alors l’irrésistible envie de l’embrasser. Rien de bien méchant, juste un gros bisou sur la joue (à présent propre !) C’était plus fort que moi. Je crois que je commençais de tomber amoureuse d’elle, sans que je ne comprenne vraiment ce qui m’arrivait. Mon geste les surprit tous; les mecs ne comprenaient guère, et même elle se tourna vers moi, écarquillant ses yeux interloqués, et demeurant un peu perplexe. Elle me sourit, haussa les épaules, et me répondit:
— Moi aussi, je t’aime…
Mais Nico s’excusa, et nous dit qu’il devait s’absenter un moment. Il avait promis à un de ses amis de passer le voir. Il nous demanda si on serait encore là lorsqu’il reviendrait; nous expliquant qu’il en aurait sans doute pour au moins deux heures (et il était environ 17h30 ou 18h). Je lui répondis qu’avec la permission de Julia, je serai encore probablement ici; mais Stéphanie lui dit qu’elle pensait ne plus trop tarder. Il la salua donc, lui dit de dire ciao à son copain (qui dormait encore) de sa part, et nous quitta.
On s’est alors mises à discuter, toutes les trois, surtout évidemment de trucs de filles, qui n’auraient pas grand intérêt à être évoqués ici. En tout cas c’était la première fois du week-end que l’on ne parlait pas de cul. C’était déjà pas mal. Bien entendu, cela ne dura pas. (Avec Julia, ce genre de moments ne durent jamais bien longtemps; il faut les savourer…) Notre hôte nous demanda ce qu’on avait pensé de la journée d’hier et de celle d’aujourd’hui. Que pouvions-nous lui répondre ? Pour ma part, je lui dis avec un sourire que j’en avais pris plein le cul, et qu’à ce niveau-là, j’étais largement satisfaite. Elle rigola. Steph nous dit qu’elle n’en revenait toujours pas d’avoir vu son copain faire tout ça. Et elle était intriguée quant à une chose: est-ce que Julia avait planifié tout ce qu’on avait fait, ou bien était-ce purement instinctif ? Et savait-elle que les mecs allaient réagir de la sorte, et aller jusqu’à faire ensemble ce qu’ils nous avaient juré ne jamais faire ? Je dois avouer que ces questions m’intéressaient aussi. Mais Julia se contenta de sourire et, en retour, nous demanda notre avis sur la question. Je me fis la réflexion que s’il y avait une science de la baise, alors elle aurait certainement un doctorat en la matière… (la baisologie ? En tout cas pas la sexologie, car ça c’est sérieux… Encore que Julia serait très certainement capable de résoudre les pires problèmes sexuels que rencontrent la plupart de nos concitoyens, et de faire bander le plus mou des impuissants…) Mais je traduisis simplement cette pensée en lui disant:
— Ce que je pense c’est que tu es vraiment une grosse salope…— Ça y est, c’est reparti !" répliqua-t-elle, sur le ton de la plaisanterie.
J’aimais son humeur, et la légèreté avec laquelle elle prenait des choses qui auraient fait hurler la quasi-totalité des gens. (Je ne pense pas à cette insulte stupide, en disant cela, mais à tout ce qu’on avait fait chez elle en 24 heures, ou plutôt tout ce qu’elle nous avait fait faire en 24 heures.) Puis Stéphanie lui demanda hyper-sérieusement si elle prenait des produits dopants pour autant avoir envie de sexe. Elle éclata de rire:
— Tu le penses vraiment ?
Stéphanie continua:
— Je ne comprends pas comment tu peux en bouffer autant, pardonne-moi l’expression.
Julia rigola de nouveau, puis lui répondit évasivement que ça devait être une question d’habitude. Steph me demanda alors ce que j’en pensais. Je lui dis qu’à mon avis, Julia n’avait pas totalement tort, ça pouvait être une question d’habitude. Je lui racontai comment, ayant passé quelques jours en vacances avec elle, j’en étais presque devenue comme elle, complètement acharnée. Puis je la rassurai en lui disant qu’elle n’était pas tout le temps comme ça. (En étais-je bien sûre…???) Julia plaisanta:
— Ben oui, quand vous êtes là, je fais des efforts, j’essaie de me tenir un peu…
Stéphanie démarra au quart de tour:
— Tu es en train de me dire que ce week-end, tu as fait des efforts pour être moins salope qu’à ton habitude ?!?!?
J’essayai de la calmer:
— Mais non, elle plaisante…
Cela dura ainsi une bonne demi-heure, au bout de laquelle Steph lâcha l’affaire. (Julia n’ayant vraiment répondu à aucune de ses questions.) Elle regarda l’heure, et constatant qu’il était déjà presque sept heures, nous dit qu’il était temps pour elle de rentrer.
— N’oublie pas ton mec !" lui lançai-je.
— Vous êtes sûres que vous ne voulez pas le garder ?" dit-elle en se tournant vers Julia.
Celle-ci lui répondit qu’il lui serait sans doute plus utile à elle qu’à nous.
— Oh, vous savez, je pense que ce soir, il ne va plus m’être très utile, après tout ce qu’il a donné ce week-end…" répliqua-t-elle.
Julia lui dit alors:
— Donc, tu te dis: il ne me sert plus à rien ce soir; autant le leur laisser…
On riait toutes les trois. Elle finit par nous assurer qu’elle allait le ramener, si elle parvenait à l’éveiller.
— Si tu n’y arrives pas, appelle-moi." lui dit Julia.
Je me marrai encore. Stéphanie alla donc jusqu’à la chambre, éveilla péniblement le jeune homme, et quand il eut un peu émergé, ils vinrent nous dire au-revoir, en remerciant Julia pour "ce week-end dépaysant…", puis eux-aussi nous abandonnèrent.
Maintenant que l’on n’était plus que toutes les deux, ça faisait tout vide. On avait été jusqu’à dix la veille, et là, on se retrouvait juste toutes les deux. J’étais pas mal crevée, en plus, ce qui n’aidait pas pour mettre l’ambiance. Mais Julia, infatigable, me dit, tout naturellement:
— Tout ça m’a bien excitée, pas toi ?
Je n’en croyais pas mes oreilles.
— Tu ne t’arrêtes donc jamais ?
Elle me répondit, toujours plaisantant:
— Si, une semaine par mois, et encore…
Je pensai soudain à quelque chose qu’on m’avait dit:
— Il ne faudrait pas que tu sois enceinte, toi… Il paraît que ça augmente l’appétit sexuel…
J’ai eu l’impression que ce que je venais de dire l’avait troublée, car elle resta un moment silencieuse, pensive.
— J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ?" lui demandai-je.
Elle réalisa qu’elle avait eu une absence:
— Non, non, aucun souci. Simplement, Nico et moi, on commence à y songer quelque peu. Et puis, on va sans doute se marier d’ici un an ou deux, quand il aura complètement terminé ses études.
Je restai un peu abasourdie, surprise.
— Tu vois que tu peux être un peu sérieuse quand tu veux." finis-je par lui dire.
Mais elle reprit presque aussitôt son air malicieux, et darda sur moi des yeux embrasés qui en disaient long sur son état d’excitation. J’en eus presque peur, me demandant ce qu’elle allait encore me sortir. D’une voix tendre et presque suppliante, elle me fit:
— Dis, tu me fais jouir avec ta langue ?
C’était comme une référence à un film, me semblait-il, et ça me fit rigoler un peu. (Je crois que c’est dans Pulp Fiction.) La réponse de l’intéressé dans ce film est quelque chose comme "D’accord, mais toi aussi." (mais là c’est un couple hétéro…) Mais prenant le parti de délirer un peu, ce fut la réponse que je lui retournai.
En fait, je n’en avais pas vraiment envie. J’étais, moi aussi, comme les garçons précédemment, en overdose de sexe. Je n’avais pour le moment plus du tout envie de quoi que ce fut, à ce niveau-là. Il ne me semblait pas que ce fut physique, je pense que mon corps aurait pu en supporter plus encore, mais plutôt psychologique: j’en avais eu plus que ma dose, et ça ne me disait plus rien. Je crois qu’on aurait pu me mettre Brad Pitt ou Rocco Siffredi devant moi que ce que j’aurais pu faire de mieux eut été de parler de la politique intérieure de la Russie. J’étais moralement épuisée. Et puis, il me fallait reconnaître que, même physiquement, ce n’était pas la grande grande forme. Ma copine dut s’en apercevoir car, curieusement, elle n’insista pas (ce qui n’était pas dans ses habitudes…) Elle se reprit donc, et me proposa un apéro, en guise de détente. J’acceptai bien volontiers, à condition que ce fut quelque chose de léger. Elle me ramena en fait un whisky au coca, heureusement pas trop chargé. Et puis on se mit à parler de ce qu’elle venait de me dire, à propos d’un éventuel mariage, de fonder réellement un foyer, etc. C’était assez sympa. Elle finit quand même par craquer:
— J’espère que Laurence et toi, vous me concocterez quelque chose de spécial, pour mon enterrement de vie de jeune fille…
Incroyable, elle ne pouvait pas tenir plus de quinze minutes sans penser au cul !
— Attends, on n’en est pas encore là." lui répondis-je donc.
Sur ces entrefaites, on entendit la porte d’entrée s’ouvrir. C’était Nico qui revenait, il avait mis moins longtemps que prévu. Je me fis instantanément la réflexion qu’il allait "passer à la casserole de sa copine" dans les cinq minutes qui suivaient. D’habitude, quand ils couchaient ensemble (sans moi) j’étais assez jalouse, car je me disais qu’elle se payait une super tranche de bonheur, mais là j’étais soulagée à l’idée de savoir que ça allait la calmer un peu, et qu’après j’aurais la paix pendant un petit moment… Je m’allumai une cigarette, attendant que Nico ne vienne s’asseoir un instant avec nous. C’est alors qu’entendant d’autres bruits de pas, je réalisai qu’il n’était pas venu seul. Je me retournai (car je faisais dos au couloir qui venait de l’entrée au salon), attendant de voir qui étaient les nouveaux venus. Julia aussi semblait surprise et paraissait se demander qui ça pouvait bien être. Elle me murmura discrètement:
— J’ai failli lui crier de venir s’occuper de moi… Heureusement que je ne l’ai pas fait, t’imagines la tronche des gens…
Le fait d’imaginer la scène me fit rire. Ce ne fut pas en fait des nouveaux arrivants mais un. Nico était revenu avec l’ami qu’il nous avait dit devoir aller voir. J’essayai de comprendre pourquoi il était revenu avec lui. Deux cas critiques me sautaient aux yeux: soit il l’avait amené en se disant que j’étais seule, et que ça allait pouvoir m’occuper; soit il avait deviné l’état dans lequel était sa nana, et il s’est dit qu’à deux, ce ne serait pas de trop pour la satisfaire un peu. Ils entrèrent dans le salon. Nico me dit, désignant son copain: "Je crois que vous vous connaissez déjà." C’était un ami d’enfance à lui, je crois, et je l’avais effectivement déjà rencontré plusieurs fois. Il devait s’appeler sans doute Ludovic, mais tout le monde l’appelait Ludo. Julia se leva pour le saluer, je fis de même. Le peu que je le connaissais, il était assez sympa; en plus il était pas mal. Il ne me plaisait pas autant que Nico, physiquement, mais c’était un tout autre style, plus archétypique du sportif nordique: blond, yeux bleus, grand, et plutôt assez fin, quoique baraqué des épaules.
Julia et moi attendions que Nico nous explique dans quel but ils étaient revenus ensemble, mais il ne dit rien à ce sujet. Ma copine leur proposa alors aussi de prendre un apéro, ce qu’ils acceptèrent également volontiers. Et quand ils furent assis à côté de nous, que leurs verres furent emplis, Julia se leva pour aller se placer juste devant les deux garçons (qui s’étaient assis côte à côte dans un des deux sofas), et elle leur expliqua le plus naturellement du monde que j’étais un peu épuisée et que je n’avais pas pu la satisfaire. Le nouveau venu devait bien connaître Julia car cela n’eut pas l’air de le choquer outre mesure. J’essayai de me défendre:
— Après tout ce que j’ai vécu en 24 heures, j’aspire simplement à un peu de détente…
Comme si elle ne m’avait pas entendue, elle continua, disant à Nico qu’il avait bien fait de venir avec son ami, et qu’elle espérait qu’ils allaient pouvoir la combler. Ludo semblait très intéressé par ce genre de propositions, il donnait l’air d’un loup affamé qui allait se jeter sur un jeune et pur agneau. (La comparaison s’arrêtant là, car je ne crois pas qu’on puisse comparer Julia à un jeune et pur agneau…)
Je me voyais déjà tenir une monstrueuse chandelle, pendant que les trois allaient s’éclater à côté de moi, et évidemment ça ne me disait rien. Comme je n’avais pas envie de foutre le camp, je me dis que j’allais essayer d’emmerder un peu Julia. Connaissant l’intérêt de Nico (et sans doute aussi de son ami) pour les jeux de Playstation, et devinant aussi que sa copine ne devait pas souvent y jouer avec lui, je proposai innocemment aux deux garçons de faire une petite partie avec moi. Julia me lança un regard noir. Je lui retournai un sourire cynique. Je crois que Nico avait assez envie de jouer à la console avec moi, mais que son copain avait plutôt assez envie de jouer avec Julia… Je continuai:
— On se fait un petit jeu de bagnole ? Il faut que vous m’expliquiez les commandes.
Mais Julia s’agenouilla aussitôt aux pieds des garçons, et se mit à les masser à travers leurs pantalons, au niveau du sexe. Nico me regarda, affectant un air impuissant. (Dans le sens: incapable de lutter contre les évènements, et, hélas, pas du tout dans le sens: incapable d’avoir une érection.) Je m’avouais vaincue, feignant la bouderie: le démon du sexe était plus fort que celui du jeu.
Julia était déjà en train d’extirper les deux sexes des garçons hors de leurs caleçons. Celui de Nico était loin d’être tendu, mais l’autre arborait déjà une bien belle queue (pas aussi grosse que l’autre, mais bien belle quand même) tendue et gonflée à bloc (il n’avait sans doute pas du être autant sollicité ce week-end.) Ma copine se précipita dessus, le prenant à demi dans sa bouche affamée, qu’elle fit langoureusement descendre et monter autour de l’engin. Elle masturbait aussi tranquillement Nico, qui se raidissait quand même doucement. Je sentais poindre un semblant d’excitation au fond de mon corps (sans que ce soit néanmoins l’énorme envie à laquelle j’étais habituellement sujette lorsque je voyais deux belles queues tendues devant moi.)
— Je ne vous dérange pas trop ?" leur fis-je.
Ludo ne répondit rien; Julia marmonna quelque chose, mais sans retirer ce qu’elle avait dans la bouche, ce qui fit que je ne compris rien, et Nico me proposa de me joindre à eux. Je leur répondis que non merci, je n’aimais pas les partouzes, ce qui eut pour effet instantané de faire rire Julia, laquelle faillit s’étouffer à moitié. Elle retira le sexe de sa bouche et me dit:
— Pourrais-tu avoir au moins la bienséance de ne pas me faire rire pendant que je suce, s’il te plaît ?
Je souris, puis décidai de continuer à les faire chier un peu. Je pris un magazine qui traînait par-là, un pauvre programme de télé, et je me mis à en faire la lecture à voix haute, en jetant régulièrement de petits coups d’œil vers ma copine (car c’était elle que ça emmerdait le plus, les mecs étant absorbés dans le plaisir qu’elle leur procurait.) Je tombai sur une page consacrée aux recettes de cuisine minceur de l’été, (le truc typiquement insupportable, à mon avis…), genre: comment faire cuire les fruits de mer de l’été ? (Réponse: on s’en fout, on les mange crus… ) Julia, qui s’était remise à pomper, alternant son acharnement tour à tour sur les deux sexes, n’était pas loin de craquer, à force de m’écouter lire mes conneries sur les différents types de cuisson des praires et des coques. Elle s’arrêta soudain de sucer, relevant légèrement la tête et me regarda, l’air excédé:
— Tu ne veux pas venir goûter les moules du mois de juillet ?" me dit-elle.
Les deux mecs éclatèrent de rire, et je souris légèrement, mais déclinai toujours son offre.
— Bon, alors, lis à voix basse, dans ta tête, pour toi…" ajouta-t-elle.
Elle se remit à sucer, avec encore plus d’acharnement. Les deux bites pointaient désormais toutes raides devant son visage. Au bout d’un petit instant, Nico se leva et vint s’agenouiller derrière sa chérie, la queue à la main. Il la pénétra soudain puissamment, et elle couina assez fort lorsque l’organe s’enfonça dans son vagin, mais ne relâcha pas du tout son étreinte sur l’autre sexe. Puis il alterna de rapides et féroces va-et-vients avec de longs et lents mouvements d’une amplitude maximale, et cela semblait plaire énormément à Julia. Les deux garçons gueulaient de plus en plus fort, et Ludo, commençant à son tour de couiner bizarrement, lui dit soudain:
— Aaaah, tiens, je vais t’arroser la gueule !
— Bravo ! Au moins ce n’est pas vulgaire…" lui répartis-je.
Mais le bougre ne se souciait guère de mon avis. Julia recula légèrement sa tête, et libéra le sexe du garçon. Celui-ci eut quelques convulsions, puis se déchargea bientôt d’une incroyable dose de sperme qui vint s’échouer en de nombreux jets sur toute la tête de sa partenaire. (A mon avis, il n’avait pas du se vider les burnes depuis un moment, celui-là…) Et il hurla pendant pas loin d’une minute tandis qu’il se vidait presque complètement.
Nico continuait de défoncer sa chérie, et elle, la tronche toujours pleine de sperme, s’était remise à sucer Ludo, qui ne débandait pas le moins du monde. Je me fis la réflexion que ça allait sans doute durer encore un bon moment, si elle remettait ça. Quand elle fut assurée qu’il restait bien dur, elle se releva, se délivrant momentanément du sexe de son copain, se retourna et se caressa un instant. Les deux garçons firent de même, puis elle recula légèrement, et présentant son derrière à Ludo, elle lui demanda de la lécher (ou plutôt lui ordonna… enfin je ne sais pas trop, c’était entre les deux). Il s’exécuta, et plongea la tête entre ses globes fessiers. Elle se pencha légèrement en avant, et saisit de ses deux mains le sexe de son autre partenaire, qu’elle se mit à masturber, tandis que Ludo lui léchait attentivement la chatte, et apparemment aussi le cul.
Cela dura ainsi quelques minutes, puis elle prit la décision de s’asseoir littéralement sur le sexe toujours tendu du garçon qui la léchait un instant auparavant. Ils gueulèrent tous les deux lorsque le sexe pénétra son derrière et s’enfonça lentement dans son anus; puis elle imprima un lent va-et-vient, qui parut les combler tous les deux. Nico se rapprocha alors de sa partenaire, et lui présenta son engin, juste sous le nez. Elle ne se fit pas prier pour le prendre bien profondément dans sa bouche. Mais cela ne dura que quelques secondes, au bout desquelles elle se pencha complètement en arrière, quasiment allongée sur Ludo, et ouvrit largement ses cuisses, présentant sa fente dégoulinante à son amoureux qui s’empressa de venir la combler. Là elle hurla de toutes ses forces, sous les impulsions mêlées de ses deux partenaires. Je remarquai qu’elle avait toujours le visage plein de sperme. Je dois avouer aussi que ça m’excitait finalement pas mal de la voir se faire ainsi shooter par les deux garçons. Je continuai cependant d’admirer tranquillement la scène.
Au bout de cinq bonnes minutes ainsi, pendant lesquelles les trois protagonistes avaient hurlé pleinement toute leur jouissance, Nico s’extirpa du corps de sa chérie, et vint s’agenouiller sur le canapé, lui présentant à nouveau sa queue trempée de son plaisir. Elle le pompa encore un peu, tandis que l’autre l’enculait toujours férocement. Puis Nico se mit à gueuler de plus en plus fort; je pensai qu’elle allait avaler tout son jus, mais elle recula encore la tête, et quelques nouveaux jets de sperme vinrent rejoindre ce qu’il y avait déjà sur son visage. Quand il eut tout éjaculé, elle le suça à nouveau quelques secondes, mais la grosse queue débanda assez rapidement. Nico se renfroqua et gagna rapidement la salle de bains (sans doute la pièce qui aura le plus servi du week-end.) Julia savoura alors encore quelques minutes les violents coups de bite de Ludo qui la sodomisait toujours. Mais il la souleva soudain, la reposa à côté de lui, et vint de nouveau lui éjaculer sur le visage. Ce fut cette fois-ci beaucoup moins dense, mais après cela, elle avait vraiment le visage tout blanc de sperme. Le garçon avait l’air content, et quand Nico sortit de la salle d’eaux, il s’y dirigea à son tour.
Julia restait affalée, rêveuse, sur le canapé. Je crois qu’elle avait vraiment pris son pied, là. Je demandai à Nico de la photographier ainsi, larvique, étendue sur le sofa, le visage recouvert de sperme. Il partit fouiller je-ne-sais-où à la recherche d’un appareil photo, et revint prendre quelques clichés de sa copine, qui se caressait encore vaguement les seins, également légèrement entachés de sperme, tout en regardant droit vers l’objectif, provocatrice et malicieuse.
Quelques minutes plus tard, tout en sirotant mon apéro, je me demandai si le copain de Nico n’était venu que pour tirer sa crampe et repartir aussitôt (ce qui aurait été d’un rustre absolu) ou bien s’il allait rester un peu avec nous. Je fus bientôt fixée, car quand il ressortit de s’être lavé, il vint se rasseoir près de moi, et me dit qu’il était désormais prêt à m’apprendre à jouer à n’importe quel jeu de console.
— Non, c’est trop tard; maintenant je n’en ai plus envie." lui répondis-je.
— Elle boude…" fit Julia, qui était toujours complètement affalée dans le sofa, toujours la gueule toute blanche.
— Non, je ne boude pas," lui rétorquai-je, "et puis au lieu de dire des conneries, tu ferais mieux d’aller te laver…"
J’eus un instant l’appréhension qu’elle prenne mal ces paroles (que je ne voulais nullement agressives). Mais elle me répondit, d’un petit air innocent:
— Ah bon ? Tu ne m’aimes pas comme ça ?
J’esquissai une moue de doute.
— En ai-je donc tant que ça ?" demanda-t-elle alors, tout en se tâtant vaguement le front et les joues d’un doigt distrait.
Elle se rendit alors compte de la quantité de sperme qu’elle avait sur la tête, et qui commençait lentement à sécher. Je lui dis qu’il valait très certainement mieux qu’elle se lave avant que ça ne sèche, notamment ce qu’elle avait dans les cheveux. Elle en convint, et nous abandonna à son tour pour aller prendre une bonne douche.
Quand elle revint, elle était plus belle que jamais. On la regardait, tous les trois, sans rien dire. Mais je pense que nos yeux, dardés fixement sur elle, devaient lui en dire long sur ce qu’on pensait. Elle était drapée dans une sorte de léger paréo qui ne cachait que légèrement l’essentiel de son corps sublime. Ses longs cheveux mouillés ondulaient le long de sa nuque, et dégageaient complètement son visage parfait. Mais le plus beau de tout, à mon avis, c’était ses yeux. Ses grands yeux gris-verts qui pétillaient de bonheur, de joie de vivre, mais aussi de malice. J’étais subjuguée par tout son être; elle me faisait autant d’effet que pouvait m’en faire le plus beau des apollons. Il est inutile, évidemment, de parler de l’état dans lequel se trouvaient les garçons. On aurait dit qu’ils avaient vu une apparition. Julia savait très certainement que nous la trouvions très belle, et je crois que la façon dont on la dévorait du regard lui plaisait énormément. Mais si elle en profitait un peu, c’était sans prétention: je ne pense pas qu’elle eut souhaité que nous lui lancions des fleurs, elle n’en avait pas besoin. (Car certaines personnes, bien que se sachant belles, éprouvent sans cesse le besoin de se sentir rassurées, mais ce n’était pas son cas.)
A présent, j’avais presque envie qu’elle me réitère les propositions qu’elle m’avait faites un peu avant. Je crois que cette fois-ci, j’aurais vraiment eu envie d’elle. Mais elle me paraissait s’être un peu calmée… Elle vint s’asseoir tranquillement à côté de moi sur le sofa, s’alluma une cigarette, et commença seulement de savourer l’apéritif qu’elle s’était servie presque une demi-heure auparavant. On a tous trinqué avec elle (à quoi, je ne sais pas trop… sans doute tacitement à ce qu’elle reste toujours la même…) Mais personne ne parlait. Nous étions toujours absorbés dans sa contemplation. J’eus alors l’irrésistible envie de l’embrasser. Rien de bien méchant, juste un gros bisou sur la joue (à présent propre !) C’était plus fort que moi. Je crois que je commençais de tomber amoureuse d’elle, sans que je ne comprenne vraiment ce qui m’arrivait. Mon geste les surprit tous; les mecs ne comprenaient guère, et même elle se tourna vers moi, écarquillant ses yeux interloqués, et demeurant un peu perplexe. Elle me sourit, haussa les épaules, et me répondit:
— Moi aussi, je t’aime…
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