Ma kiné a tout compris !
Récit érotique écrit par Alain40 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma kiné a tout compris !
En ce début d'année, j'avais décidé d'aller voir un kiné. Je me suis rendu compte de mes raideurs (pas celles auxquelles vous pensez). Qu'allais-je lui dire? Que je n'étais que très peu souple, qu'il m'était impossible pour moi de toucher le sol avec mes mains etc...
Finalement c'était une kiné que mon docteur m'avait conseillée. Je sonna à l'entrée du cabinet.. J'ouvris et aperçus une silhouette fine et dynamique, aux longs cheveux roux et des yeux bleus contrastant avec cette rousseur cutanée. Son corps était parfaitement entretenu. Cela me rassurait, voir un kiné gras comme un lardon n'est pas très vendeur.
Je lui expliquais que la trentaine passée, je refusais de continuer à voir mon corps rigide, sec et sans élan.
Elle semblait étonnée ; les patients ne venaient chez elle que pour des douleurs ressenties, rarement pour l'entretien de leur corps. Elle commença par me faire deux trois exercices, avant de conclure : « Il y a du boulot ! ».
D'étirements en étirements je sentais mes tendons et ligaments s'étirer plus facilement.
Au fur et à mesure des séances je remarquais sa beauté. Par exemple, ses longues jambes laissaient apparaître un espace merveilleux qui me donnait une trique d'enfer : jambes tendues, cuisses serrées, se dessinait au dessus de ces cuisses, une sorte de creux, de triangle vide juste sous le pubis. Juste une femme mince a cet espace. Je l'imaginais nue, les lèvres charnues en lévitation au dessus ce ce creux. Hummm...
Parfois elle me faisait quelques manipulation d'ostéopathie, me demandant de me mettre en caleçon.« Ne pas bander, ne pas bander!» me disais-je...
Elle relevait mes jambes par dessus ma tête, me faisant le dos rond. Et plus je faisais le dos rond, plus j'étais souple, et pus je voyais mon pubis se rapprocher de ma tête comme jamais je n'avais pu faire. Face à moi elle poussait de son corps sur ma jambe, faisant balloter sa poitrine si proche de moi. Si proche d'émoi plutôt !
J'insistai pour qu'elle appuie plus, que ce dos soit parfaitement rond.
Elle me demandait souvent pourquoi je voulais une telle souplesse. Je restais vague et flou. Je la sentais curieuse et méfiante...
Il y a deux mois, rebelote. Même exercice. Quand elle amena mon bassin si près de ma tête, je vis qu'aucun soutien gorge ne cachait ses seins. Cela créa vous savez quoi... une rigidité de mon membre ; je rougissais en la voyant ainsi et en sentant mon sexe si proche de ma tête... Car c'était je dois maintenant vous l'avouer mon désir : avoir suffisamment de souplesse pour donner vie à mon plus grand fantasme, comme beaucoup d'hommes, mais moi, j'ai voulu m'y donner les moyens... Pouvoir me sucer tout seul !
Face à l'ardeur de mon pénis, elle rougis, puis arrêta précipitamment la séance. J'étais honteux devant elle et peut être encore plus rouge qu'elle! Les séances continuèrent et, à chaque fois que j'étais proche de mon sexe dans ses manipulations, j'approchais ma tête vers mon sexe pour me tester enfin discrètement...
J'allais bientôt pouvoir accomplir cela chez moi tout seul.
Lundi dernier, on avait rendez vous en fin de journée, plus personne derrière moi. J'étais seul avec elle...
Je la savais nue sous sa blouse courte, et pouvait sentir l'odeur de sa peau laiteuse.
Appuyée sur mes jambes qui effleuraient mon caleçon, elle me disait : « avoue moi vraiment pourquoi tu veux être si souple »...
Je ne lui avouait pas.
« Avoue ou je t'écrase encore plus ». Elle me disait ça bien penchée vers moi, en voyant que j'apercevais ses seins.
« Tu sais, j'ai des types qui viennent juste pour se faire toucher par une femme, mais ce n’est pas ton cas. Pourquoi tant de souplesse désirée ? »De son autre main elle relevait ma tête qui faisait face à mon pénis.
« C'est pour ça » ?
« Quoi ça » ? lui disais-je.
« Tu vas bientôt y arriver, sois en sûr », avec un joli sourire.
« Reviens la semaine prochaine, même heure ».
Pouvait-elle avoir compris ? Et si oui pourquoi me redonner un rendez-vous et pas m'envoyer ailleurs ?
De retour sept jours plus tard, elle me fit entrer dans son cabinet. Je me déshabilla comme d'habitude, mais elle n’étais pas comme d’habitude.
Elle sortit puis revint, oh surprise ! en culotte sous-tif. « C'est aujourd'hui ton grand jour dit-elle en m'installant sur la table. » J'eus la politesse de bander.
Elle respirait la sensualité.Puis à son tour, sans vouloir donner le moindre effet de mise en scène, sans érotisme surjoué, elle laissa tomber ses dessous. Elle était sublime, athlétique, la potirine haute et fière, ses tétons durcis et très fins . Je ne disais rien et me laissai faire... c'était tellement offert que j'étais subjugué et attendais de me faire choyer.Sa chatte était rousse de poils bien tondus, aux lèvres légèrement tomates. Elle était si musclée, mais pourtant si délicate. J'étais subjugué par elle et par une telle offrande.
« Tu auras du mal ainsi vêtu. » me dit-elle. Puis elle glisse mon shorty , mon sexe rebondissant sur son visage.
« Enchanté » dit-elle à ma queue fière et droite. Je fais alors bouger mon sexe, semblant lui répondre « hello ! ».
« Pas besoin de rééducation du périnée semble t-il , vu ta fougue à bouger » dit-elle toujours à ma verge.
« Par contre vu ta taille trop normale beau chibre, il va falloir pousser fort sur le dos pour faire tressaillir la bouche de ton maître » s'en va t-elle dans un dialogue drôle et très imaginatif (j'essaie de dédramatiser le fait qu'elle vient de me dire que j'avais une petite bite!!)« Prête ? » fit-elle à ma queue dont elle embrassa d'un baiser léger le gland. Elle lui répondit à nouveau tapant sa bouche.
Elle m'aida à soulever mes jambes puis mes fesses tout en me manipulant... J'essayais de forcer mais elle me demander de ne rien activer, mais juste de me laisser faire. Je voyais sa magie approcher mon sexe près de ma bouche.
Elle me demanda de ne pas faire le timide et de tirer la langue... Et magie et délices... ma langue effleura mon gland. Je pouvais enfin me connaître et me goûter. Plus elle travaillait mon corps et plus ma bite se rapprochait de moi afin, enfin, de pouvoir rentrer dans ma bouche. Je vous mentirai si je vous disais que je l'avalai entière, mais ma bouche l'avais d'un bon tiers. La kiné me lacha puis me laissa faire.
« Je vais te laisser finir, tu seras plus tranquille sans moi » me dit-elle. Je lui dis de rester et elle accepta.. Je jouais avec ma langue autour du gland par de lents et goulus mouvements de langue. Je me mordillais le pénis et commençait des mouvements de va et viens. Elle me regardai faire, deux doigts caressant son téton gauche. Ma tête accélérait ces va et viens. Je me sentais dur, rempli d’excitation et de bonheur à me sucer. J'aimais le goût de ma bite, j'aimais sentir la cirprine couler sous ma langue, j'aimais me sentir dur, je jouissais de pouvoir me caresser les couilles douces et rasées tout en me léchant, et tout ça sous les yeux coquins et voyeurs de ma kiné.
Elle se mit à me caresser mes fesses de sa main libre en glissant sans forcer autour de l'anus. Cela me fit monter si vite, que je me sentais tressaillir puis... ah que ce fut bon, plusieurs puissants jets m’inondèrent la gorge, j’appréciais le goût chaud de ma semence glisser dans ma bouche, je me lapais sans laisser la moindre goutte à qui voudrait. Elle, elle se mordait les lèvres car elle appréciait le spectacle qu'elle m'avait offert.
« Tu étais beau, ainsi nu et impudique. Merci.». C'étaient les derniers mots qu'elle m'avait dit en me laissant me rhabiller et partir.
Rentré chez moi, je ne pouvais me départir de sa voix, de son regard penché sur moi dans un acte si sexuel, j'en redemandais encore... Je me goûtais et regoûtais plusieurs fois dans les jours qui ont suivi. Je ne pouvais plus débander! Je m'amusais à faire des succions à ma bite, à me faire jouir au plus vite par la bouche, à me faire gicler qu'en léchant mon frein, et en pensant à sa peu claire que je désirais.
Hier soir, je décida de lui envoyer un snapchat impudique, moi en train de me sucer...
Quelques minutes après elle me répondit d'un autre snapchat avec un message : « Voilà pourquoi je savais ce que tu voulais ! ». Incroyable : elle savait se faire un cuni elle même. C'était une photo d'elle, dos sur le lit, jambes relevées, et langue pointue sur son clito apparent. Elle avait donc compris pourquoi je voulais devenir souple, car elle avait voulu la m^me chose !
« Rejoins-moi dans mon cabinet vers 22h ce soir », était le message accompagnant le cliché. Une trique de dingue me prit, mais je me refusa un nouveau plaisir, pour en partager d'autres avec elle.
Arrivé en bas de chez elle, je sonna. « Rentre » me dit-elle, la porte sera ouverte. Je poussa la porte et fut accueilli par des gémissements. Le cœur battant, je referma derrière moi et entra dans une des salles.
Je fus accueilli par comment dire, un numéro de cirque, un théâtre érotique, en tout cas par un spectacle bandant et incroyable. Elle se léchait la chatte elle même, jambes relevées. Elle poussait des petits cris de plaisirs. Elle me demanda : « Sil te plaît, encule moi. ». C'était simple comme directive. Rien de vulgaire, ce n'était pas une phrase de porno. C'était juste ce qu'elle désirait : être prise pendant qu'elle se léchait. Imaginez la scène...Son cul me faisait face, ses cuisses plaquées contre ses nichons, et ses pieds derrière la tête.Elle s'était installée sur une table de kiné avec étriers pour les rééducations de périnées. Je n'avais qu'à passer entre les étriers et la sodomiser.
Je resta habillé, m’agenouillai, et commença avant par la lécher. « Merci d'avoir la politesse de ce préliminaire » me susurra t-elle dans un râle de plaisir. Son anus lisse semblait respirer, s'ouvrant et se refermant au rythme de ma langue. Elle me tendit un gel lubrifiant, dont l'utilité première était professionnelle !
Comme elle fit quelques temps plutôt, je me déshabilla, sans jeu érotique, sans empressement, mais juste naturellement pour me libérer. Je me vida le gel sur mon membre gonflé.De ma main j'aspergea son anus de lubrifiant que je fis pénétrer avec un doigt. Tout était prêt.
On se fixa du regard au moment où mon sexe rentra en elle, sans la moindre résistance. On se mordait les lèvres tous les deux. Je resta un instant au plus plus profond de son cul, puis commença à la défoncer.. Mes petites fessées la faisaient sursauter.
Au lieu d'être concentré sur mes coups de reins, je ne perdais pas d'un regard sa bouche et sa langue sur sa chatte trempée.Elle jouissait de plus en plus fort,ce qui inévitablement me faisait gonfler plus gros.
Quant son orgasme vaginal arriva, elle cria et lâcha ses jambes venues se poser sur les étriers. Le mouvement de son bassin fit trembler si fort ma queue, qu'une énorme éjaculation s'activa. Je me retira. Elle me prit par la queue pour que sur le côté, ma verge fasse face à sa bouche ouverte.
J’explosai en mille sursauts. Elle me bût aussi ardemment que je le fis moi même. Elle continuait à me sucer le temps nécessaire à ce que je ne vibre plus. « Embrasse moi si le gôut de ton sperme ne te dérange pas tant... »L'ambiance sentait le sexe et l'excitation., nos peaux étaient couvertes de nos semences âpres et puissantes, nos yeux dilatés de jouissance. On avait osé le SEXE. On s'était retrouvé sur notre fantasme de se lécher ou sucer soi même. Dès lors, nous sommes rentrés en parfaite communion sexuelle pour une longue période de foutre et de cris de jouissance.
Finalement c'était une kiné que mon docteur m'avait conseillée. Je sonna à l'entrée du cabinet.. J'ouvris et aperçus une silhouette fine et dynamique, aux longs cheveux roux et des yeux bleus contrastant avec cette rousseur cutanée. Son corps était parfaitement entretenu. Cela me rassurait, voir un kiné gras comme un lardon n'est pas très vendeur.
Je lui expliquais que la trentaine passée, je refusais de continuer à voir mon corps rigide, sec et sans élan.
Elle semblait étonnée ; les patients ne venaient chez elle que pour des douleurs ressenties, rarement pour l'entretien de leur corps. Elle commença par me faire deux trois exercices, avant de conclure : « Il y a du boulot ! ».
D'étirements en étirements je sentais mes tendons et ligaments s'étirer plus facilement.
Au fur et à mesure des séances je remarquais sa beauté. Par exemple, ses longues jambes laissaient apparaître un espace merveilleux qui me donnait une trique d'enfer : jambes tendues, cuisses serrées, se dessinait au dessus de ces cuisses, une sorte de creux, de triangle vide juste sous le pubis. Juste une femme mince a cet espace. Je l'imaginais nue, les lèvres charnues en lévitation au dessus ce ce creux. Hummm...
Parfois elle me faisait quelques manipulation d'ostéopathie, me demandant de me mettre en caleçon.« Ne pas bander, ne pas bander!» me disais-je...
Elle relevait mes jambes par dessus ma tête, me faisant le dos rond. Et plus je faisais le dos rond, plus j'étais souple, et pus je voyais mon pubis se rapprocher de ma tête comme jamais je n'avais pu faire. Face à moi elle poussait de son corps sur ma jambe, faisant balloter sa poitrine si proche de moi. Si proche d'émoi plutôt !
J'insistai pour qu'elle appuie plus, que ce dos soit parfaitement rond.
Elle me demandait souvent pourquoi je voulais une telle souplesse. Je restais vague et flou. Je la sentais curieuse et méfiante...
Il y a deux mois, rebelote. Même exercice. Quand elle amena mon bassin si près de ma tête, je vis qu'aucun soutien gorge ne cachait ses seins. Cela créa vous savez quoi... une rigidité de mon membre ; je rougissais en la voyant ainsi et en sentant mon sexe si proche de ma tête... Car c'était je dois maintenant vous l'avouer mon désir : avoir suffisamment de souplesse pour donner vie à mon plus grand fantasme, comme beaucoup d'hommes, mais moi, j'ai voulu m'y donner les moyens... Pouvoir me sucer tout seul !
Face à l'ardeur de mon pénis, elle rougis, puis arrêta précipitamment la séance. J'étais honteux devant elle et peut être encore plus rouge qu'elle! Les séances continuèrent et, à chaque fois que j'étais proche de mon sexe dans ses manipulations, j'approchais ma tête vers mon sexe pour me tester enfin discrètement...
J'allais bientôt pouvoir accomplir cela chez moi tout seul.
Lundi dernier, on avait rendez vous en fin de journée, plus personne derrière moi. J'étais seul avec elle...
Je la savais nue sous sa blouse courte, et pouvait sentir l'odeur de sa peau laiteuse.
Appuyée sur mes jambes qui effleuraient mon caleçon, elle me disait : « avoue moi vraiment pourquoi tu veux être si souple »...
Je ne lui avouait pas.
« Avoue ou je t'écrase encore plus ». Elle me disait ça bien penchée vers moi, en voyant que j'apercevais ses seins.
« Tu sais, j'ai des types qui viennent juste pour se faire toucher par une femme, mais ce n’est pas ton cas. Pourquoi tant de souplesse désirée ? »De son autre main elle relevait ma tête qui faisait face à mon pénis.
« C'est pour ça » ?
« Quoi ça » ? lui disais-je.
« Tu vas bientôt y arriver, sois en sûr », avec un joli sourire.
« Reviens la semaine prochaine, même heure ».
Pouvait-elle avoir compris ? Et si oui pourquoi me redonner un rendez-vous et pas m'envoyer ailleurs ?
De retour sept jours plus tard, elle me fit entrer dans son cabinet. Je me déshabilla comme d'habitude, mais elle n’étais pas comme d’habitude.
Elle sortit puis revint, oh surprise ! en culotte sous-tif. « C'est aujourd'hui ton grand jour dit-elle en m'installant sur la table. » J'eus la politesse de bander.
Elle respirait la sensualité.Puis à son tour, sans vouloir donner le moindre effet de mise en scène, sans érotisme surjoué, elle laissa tomber ses dessous. Elle était sublime, athlétique, la potirine haute et fière, ses tétons durcis et très fins . Je ne disais rien et me laissai faire... c'était tellement offert que j'étais subjugué et attendais de me faire choyer.Sa chatte était rousse de poils bien tondus, aux lèvres légèrement tomates. Elle était si musclée, mais pourtant si délicate. J'étais subjugué par elle et par une telle offrande.
« Tu auras du mal ainsi vêtu. » me dit-elle. Puis elle glisse mon shorty , mon sexe rebondissant sur son visage.
« Enchanté » dit-elle à ma queue fière et droite. Je fais alors bouger mon sexe, semblant lui répondre « hello ! ».
« Pas besoin de rééducation du périnée semble t-il , vu ta fougue à bouger » dit-elle toujours à ma verge.
« Par contre vu ta taille trop normale beau chibre, il va falloir pousser fort sur le dos pour faire tressaillir la bouche de ton maître » s'en va t-elle dans un dialogue drôle et très imaginatif (j'essaie de dédramatiser le fait qu'elle vient de me dire que j'avais une petite bite!!)« Prête ? » fit-elle à ma queue dont elle embrassa d'un baiser léger le gland. Elle lui répondit à nouveau tapant sa bouche.
Elle m'aida à soulever mes jambes puis mes fesses tout en me manipulant... J'essayais de forcer mais elle me demander de ne rien activer, mais juste de me laisser faire. Je voyais sa magie approcher mon sexe près de ma bouche.
Elle me demanda de ne pas faire le timide et de tirer la langue... Et magie et délices... ma langue effleura mon gland. Je pouvais enfin me connaître et me goûter. Plus elle travaillait mon corps et plus ma bite se rapprochait de moi afin, enfin, de pouvoir rentrer dans ma bouche. Je vous mentirai si je vous disais que je l'avalai entière, mais ma bouche l'avais d'un bon tiers. La kiné me lacha puis me laissa faire.
« Je vais te laisser finir, tu seras plus tranquille sans moi » me dit-elle. Je lui dis de rester et elle accepta.. Je jouais avec ma langue autour du gland par de lents et goulus mouvements de langue. Je me mordillais le pénis et commençait des mouvements de va et viens. Elle me regardai faire, deux doigts caressant son téton gauche. Ma tête accélérait ces va et viens. Je me sentais dur, rempli d’excitation et de bonheur à me sucer. J'aimais le goût de ma bite, j'aimais sentir la cirprine couler sous ma langue, j'aimais me sentir dur, je jouissais de pouvoir me caresser les couilles douces et rasées tout en me léchant, et tout ça sous les yeux coquins et voyeurs de ma kiné.
Elle se mit à me caresser mes fesses de sa main libre en glissant sans forcer autour de l'anus. Cela me fit monter si vite, que je me sentais tressaillir puis... ah que ce fut bon, plusieurs puissants jets m’inondèrent la gorge, j’appréciais le goût chaud de ma semence glisser dans ma bouche, je me lapais sans laisser la moindre goutte à qui voudrait. Elle, elle se mordait les lèvres car elle appréciait le spectacle qu'elle m'avait offert.
« Tu étais beau, ainsi nu et impudique. Merci.». C'étaient les derniers mots qu'elle m'avait dit en me laissant me rhabiller et partir.
Rentré chez moi, je ne pouvais me départir de sa voix, de son regard penché sur moi dans un acte si sexuel, j'en redemandais encore... Je me goûtais et regoûtais plusieurs fois dans les jours qui ont suivi. Je ne pouvais plus débander! Je m'amusais à faire des succions à ma bite, à me faire jouir au plus vite par la bouche, à me faire gicler qu'en léchant mon frein, et en pensant à sa peu claire que je désirais.
Hier soir, je décida de lui envoyer un snapchat impudique, moi en train de me sucer...
Quelques minutes après elle me répondit d'un autre snapchat avec un message : « Voilà pourquoi je savais ce que tu voulais ! ». Incroyable : elle savait se faire un cuni elle même. C'était une photo d'elle, dos sur le lit, jambes relevées, et langue pointue sur son clito apparent. Elle avait donc compris pourquoi je voulais devenir souple, car elle avait voulu la m^me chose !
« Rejoins-moi dans mon cabinet vers 22h ce soir », était le message accompagnant le cliché. Une trique de dingue me prit, mais je me refusa un nouveau plaisir, pour en partager d'autres avec elle.
Arrivé en bas de chez elle, je sonna. « Rentre » me dit-elle, la porte sera ouverte. Je poussa la porte et fut accueilli par des gémissements. Le cœur battant, je referma derrière moi et entra dans une des salles.
Je fus accueilli par comment dire, un numéro de cirque, un théâtre érotique, en tout cas par un spectacle bandant et incroyable. Elle se léchait la chatte elle même, jambes relevées. Elle poussait des petits cris de plaisirs. Elle me demanda : « Sil te plaît, encule moi. ». C'était simple comme directive. Rien de vulgaire, ce n'était pas une phrase de porno. C'était juste ce qu'elle désirait : être prise pendant qu'elle se léchait. Imaginez la scène...Son cul me faisait face, ses cuisses plaquées contre ses nichons, et ses pieds derrière la tête.Elle s'était installée sur une table de kiné avec étriers pour les rééducations de périnées. Je n'avais qu'à passer entre les étriers et la sodomiser.
Je resta habillé, m’agenouillai, et commença avant par la lécher. « Merci d'avoir la politesse de ce préliminaire » me susurra t-elle dans un râle de plaisir. Son anus lisse semblait respirer, s'ouvrant et se refermant au rythme de ma langue. Elle me tendit un gel lubrifiant, dont l'utilité première était professionnelle !
Comme elle fit quelques temps plutôt, je me déshabilla, sans jeu érotique, sans empressement, mais juste naturellement pour me libérer. Je me vida le gel sur mon membre gonflé.De ma main j'aspergea son anus de lubrifiant que je fis pénétrer avec un doigt. Tout était prêt.
On se fixa du regard au moment où mon sexe rentra en elle, sans la moindre résistance. On se mordait les lèvres tous les deux. Je resta un instant au plus plus profond de son cul, puis commença à la défoncer.. Mes petites fessées la faisaient sursauter.
Au lieu d'être concentré sur mes coups de reins, je ne perdais pas d'un regard sa bouche et sa langue sur sa chatte trempée.Elle jouissait de plus en plus fort,ce qui inévitablement me faisait gonfler plus gros.
Quant son orgasme vaginal arriva, elle cria et lâcha ses jambes venues se poser sur les étriers. Le mouvement de son bassin fit trembler si fort ma queue, qu'une énorme éjaculation s'activa. Je me retira. Elle me prit par la queue pour que sur le côté, ma verge fasse face à sa bouche ouverte.
J’explosai en mille sursauts. Elle me bût aussi ardemment que je le fis moi même. Elle continuait à me sucer le temps nécessaire à ce que je ne vibre plus. « Embrasse moi si le gôut de ton sperme ne te dérange pas tant... »L'ambiance sentait le sexe et l'excitation., nos peaux étaient couvertes de nos semences âpres et puissantes, nos yeux dilatés de jouissance. On avait osé le SEXE. On s'était retrouvé sur notre fantasme de se lécher ou sucer soi même. Dès lors, nous sommes rentrés en parfaite communion sexuelle pour une longue période de foutre et de cris de jouissance.
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