Ma marraine
Récit érotique écrit par Le débauché [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma marraine
Je suis resté très proche de ma marraine, mon ainée de 15 ans. C’est une petite femme très énergique qui a toujours vécue seule. Je ne lui connaissais que quelques aventures épisodiques, de courte durée, avec des hommes mariés. Cela m’a d’ailleurs toujours étonné car si j’en crois quelques passages de son journal intime dont j’ai, un jour, « volé » les confessions, elle était très friande de sexe. Mais je ne sais peut être pas tout ! Tout ce préambule pour en arriver à ce fameux samedi soir qui nous a rapprochés encore d’avantage, (si je puis m’exprimer ainsi).
Vous allez comprendre, et j’espère ne point vous choquer par cette confession parfaitement authentique dans laquelle je rapporte les situations et les dialogues (pas au mot près bien sûr), tels qu’ils furent.
Je suis un piètre bricoleur mais plein de bonne volonté, c’est pourquoi je lui avais proposé, un peu hâtivement peut-être, de repeindre sa cuisine. Ce type de travaux est sans conteste celui dans lequel je peux fournir un travail, sinon parfait, du moins acceptable. Le premier week end j’avais effectué la préparation ainsi qu’une première couche et ce fameux samedi je terminai la seconde. A dix huit heures, j’étais vermoulu. Il faut dire que je suis plus habitué à manier le stylo, assis à une table, qu’à prendre des positions parfois acrobatiques pour un raccord de peinture. Mes outils nettoyés, et la place rangée, je m’étirai longuement.
— Tu as mal au dos mon grand ? Questionna ma marraine.
Elle avait depuis toujours l’habitude de m’appeler « mon grand » par affection.
— Je ne suis pas un grand fan du travail physique, lui répondis-je.
Elle sourit puis me proposa d’aller prendre une douche bien chaude.
— Ça détendra tes muscles. Pendant ce temps je vais préparer un bon petit apéro.
— C’est pas de refus, lui répondis-je.
Finalement, je préférai à la douche, me glisser dans un bain presque bouillant où je restai, je crois, une bonne demi-heure. D’ailleurs elle me tira de mon assoupissement en toquant à la porte :— Ça va mieux ?
— Un peu mais je sens encore des contractures.
— Bon, alors sèche-toi et je te passerai un peu d’Arnica.
Lorsque je reparaissais au salon, elle avait posé sur l’épais tapis une grande serviette de plage.
— Mets-toi en slip et allonge-toi sur le ventre.
Je m’installai en faisant quelques grimaces. J’avais quarante ans mais j’en paraissait cinquante ! Je sentis bientôt l’huile couler sur mes omoplates.
— Ça sent pas l’arnica, fis-je.
— J’en ai plus. C’est une huile de relaxation.
Je m’abandonnai bien vite à son massage. Je sentis ses doigts dénouer l’une après l’autre, les tensions, puis à un moment tout s’emballa. Ses mains partirent de mes épaules, glissèrent sur mes flancs, revinrent sur ma colonne et passèrent de quelques centimètres sous l’élastique de mon slip. Rien de bien intrusif, mais j’en frissonnais. Ma marraine murmura :— Détends-toi bien mon grand.
C’est précisément ce que je faisais. Je sentis l’huile chaude ramollir mes mollets, puis après cinq minutes les mains remontèrent lentement sur mes cuisses et s’immiscèrent sous mon slip pour me masser les fesses. Surpris, je sursautais et ma marraine tenta de me calmer :— Chut, calme-toi mon grand… détends-toi.
Elle avait à peine achevé sa phrase qu’elle fit glisser mon slip le long de mes jambes. Elle le lança sur le canapé puis me précisa :— C’est pour pouvoir te masser les reins plus facilement.
A présent nu, elle put donner libre cours à ses mouvements enveloppants… délicieux ! Je n’avais plus mal. Elle partit des chevilles, remonta sur les cuisses, passa sur mes fesses jusqu’au milieu du dos… puis refit le chemin retour. Lorsqu’elle fut revenue aux mollets, d’un geste doux elle m’écarta les jambes puis remonta sur la face interne de mes cuisses. Je frissonnai en sentant ses doigts entrer en contact avec mes bourses.
— Chut ! laisse-toi faire, mon grand, ça va te faire du bien.
Elle remonta lentement le long de la raie, me massa les reins un long moment puis elle redescendit au contact de mes testicules. Elle murmura :— Soulève-toi un peu.
Je lui facilitai le passage et elle referma la main sur ma queue. Est-il besoin de vous préciser que je bandais déjà ? Elle resta ainsi quelques minutes, jouant seulement des doigts puis elle murmura :— Mets-toi sur le dos.
Maintenant qu’elle l’avait touchée, pouvais-je refuser de lui montrer ma bite ? De toute façon je n’avais nullement envie que la récréation s’arrêtât ! Je m’allongeai donc sur le dos et fermai les yeux. J’imaginai aisément ce que ma marraine regardait, et je compris que je ne me trompais pas lorsqu’elle murmura :— Elle est belle.
J’étais flatté bien sûr et je m’efforçais (sans effort d’ailleurs) de maintenir ma bite au garde à vous. Elle me massa la poitrine, jouant un moment avec mes tétons, puis me fis languir en me massant longuement le ventre. Elle descendit enfin… coinça mon prépuce entre le pouce et l’index et le fit rouler… puis elle décalotta lentement mon gland gorgé de sang. Elle le coiffa de trois doigts qu’elle fit lentement descendre avant de remonter et de répéter le mouvement plusieurs fois. Son autre main me palpait généreusement les boules. Elle ne put retenir un souffle de contentement :— Hum, tu as de belles bourses mon grand.
Je redressais la tête. Elle me sourit.
— Et si je te masturbais ? lança-t-elle. Ça te détendrait, non ?
Je lui fis un petit signe de tête approbateur et elle se mit aussitôt au travail. Je refermai les yeux, et si je l’eus osé je l’aurais volontiers complimentée. Je me contentai d’exprimer ma satisfaction :— Hum, c’est bon.
Elle réagit aussitôt de manière inattendue :— Tu veux jouir comme ça, ou tu préfères que je te suce ?
La deuxième proposition me plaisait davantage mais je répondis :— Comme tu veux.
Dans la seconde qui suivit je sentis ses lèvres se refermer autour de mon gland qu’elle téta puis lécha comme une sucette savoureuse. Elle laissa courir sa langue le long de la hampe… titilla le frein… descendit jusqu’aux couilles qu’elle parvint à prendre en bouche… l’une après l’autre. Puis elle pompa. Lentement… puis très vite… puis lentement à nouveau. Elle crachait régulièrement sur mon gland pour le lubrifier puis bientôt elle pompa jusqu’à ce que je décharge. Elle me garda en bouche jusqu’à ce que ma bite perdît sa vigueur puis elle me massa encore pendant une dizaine de minutes avant de déclarer.
— Voilà je crois que je ne peux pas faire mieux.
Je ne ressentais plus aucune courbature.
— Merci, fis-je.
— De rien.
J’allais récupérer mes vêtements, lorsqu’elle lança :— Non, j’aimerais bien que tu restes tout nu.
Je restai donc à poil toute la soirée, durant laquelle elle ne se priva pas pour se rincer l’oeil, ni me peloter. En fait, elle veilla à me garder en érection le plus souvent possible. Elle m’avait chauffé à blanc. Aussi, lorsque vers minuit, elle rejoignit sa chambre j’attendis un quart d’heure puis je poussai doucement la porte et me glissai dans son lit.
— Je suis désolé mon grand, je ne vais pas pouvoir, j’ai eu une infection urinaire la semaine dernière.
Je ne désarmais pas.
— Par derrière alors ?
— Si tu veux.
Elle sourit puis se tourna sur le côté. Je me collai contre elle en position de la cuillère, puis lorsqu’elle remonta les jambes, je trouvai aisément le chemin de ses fesses.
— Fais doucement mon grand, je n’ai plus l’habitude.
J’appuyai mon gland et m’enfonçais sans grande difficulté. Je l’entendis aussitôt gémir puis pousser de petits cris de fouine. Elle était très étroite et je coulissait avec délectation dans son fourreau. Chaque fois que je ressortais complètement pour m’enfoncer aussitôt je l’entendais murmurer à son oreiller :— Oh oui… Oui…Je la sodomisai doucement durant une bonne demi-heure avant de jouir puis je me retirai… sur la pointe des pieds pour rejoindre le canapé du salon.
Vous allez comprendre, et j’espère ne point vous choquer par cette confession parfaitement authentique dans laquelle je rapporte les situations et les dialogues (pas au mot près bien sûr), tels qu’ils furent.
Je suis un piètre bricoleur mais plein de bonne volonté, c’est pourquoi je lui avais proposé, un peu hâtivement peut-être, de repeindre sa cuisine. Ce type de travaux est sans conteste celui dans lequel je peux fournir un travail, sinon parfait, du moins acceptable. Le premier week end j’avais effectué la préparation ainsi qu’une première couche et ce fameux samedi je terminai la seconde. A dix huit heures, j’étais vermoulu. Il faut dire que je suis plus habitué à manier le stylo, assis à une table, qu’à prendre des positions parfois acrobatiques pour un raccord de peinture. Mes outils nettoyés, et la place rangée, je m’étirai longuement.
— Tu as mal au dos mon grand ? Questionna ma marraine.
Elle avait depuis toujours l’habitude de m’appeler « mon grand » par affection.
— Je ne suis pas un grand fan du travail physique, lui répondis-je.
Elle sourit puis me proposa d’aller prendre une douche bien chaude.
— Ça détendra tes muscles. Pendant ce temps je vais préparer un bon petit apéro.
— C’est pas de refus, lui répondis-je.
Finalement, je préférai à la douche, me glisser dans un bain presque bouillant où je restai, je crois, une bonne demi-heure. D’ailleurs elle me tira de mon assoupissement en toquant à la porte :— Ça va mieux ?
— Un peu mais je sens encore des contractures.
— Bon, alors sèche-toi et je te passerai un peu d’Arnica.
Lorsque je reparaissais au salon, elle avait posé sur l’épais tapis une grande serviette de plage.
— Mets-toi en slip et allonge-toi sur le ventre.
Je m’installai en faisant quelques grimaces. J’avais quarante ans mais j’en paraissait cinquante ! Je sentis bientôt l’huile couler sur mes omoplates.
— Ça sent pas l’arnica, fis-je.
— J’en ai plus. C’est une huile de relaxation.
Je m’abandonnai bien vite à son massage. Je sentis ses doigts dénouer l’une après l’autre, les tensions, puis à un moment tout s’emballa. Ses mains partirent de mes épaules, glissèrent sur mes flancs, revinrent sur ma colonne et passèrent de quelques centimètres sous l’élastique de mon slip. Rien de bien intrusif, mais j’en frissonnais. Ma marraine murmura :— Détends-toi bien mon grand.
C’est précisément ce que je faisais. Je sentis l’huile chaude ramollir mes mollets, puis après cinq minutes les mains remontèrent lentement sur mes cuisses et s’immiscèrent sous mon slip pour me masser les fesses. Surpris, je sursautais et ma marraine tenta de me calmer :— Chut, calme-toi mon grand… détends-toi.
Elle avait à peine achevé sa phrase qu’elle fit glisser mon slip le long de mes jambes. Elle le lança sur le canapé puis me précisa :— C’est pour pouvoir te masser les reins plus facilement.
A présent nu, elle put donner libre cours à ses mouvements enveloppants… délicieux ! Je n’avais plus mal. Elle partit des chevilles, remonta sur les cuisses, passa sur mes fesses jusqu’au milieu du dos… puis refit le chemin retour. Lorsqu’elle fut revenue aux mollets, d’un geste doux elle m’écarta les jambes puis remonta sur la face interne de mes cuisses. Je frissonnai en sentant ses doigts entrer en contact avec mes bourses.
— Chut ! laisse-toi faire, mon grand, ça va te faire du bien.
Elle remonta lentement le long de la raie, me massa les reins un long moment puis elle redescendit au contact de mes testicules. Elle murmura :— Soulève-toi un peu.
Je lui facilitai le passage et elle referma la main sur ma queue. Est-il besoin de vous préciser que je bandais déjà ? Elle resta ainsi quelques minutes, jouant seulement des doigts puis elle murmura :— Mets-toi sur le dos.
Maintenant qu’elle l’avait touchée, pouvais-je refuser de lui montrer ma bite ? De toute façon je n’avais nullement envie que la récréation s’arrêtât ! Je m’allongeai donc sur le dos et fermai les yeux. J’imaginai aisément ce que ma marraine regardait, et je compris que je ne me trompais pas lorsqu’elle murmura :— Elle est belle.
J’étais flatté bien sûr et je m’efforçais (sans effort d’ailleurs) de maintenir ma bite au garde à vous. Elle me massa la poitrine, jouant un moment avec mes tétons, puis me fis languir en me massant longuement le ventre. Elle descendit enfin… coinça mon prépuce entre le pouce et l’index et le fit rouler… puis elle décalotta lentement mon gland gorgé de sang. Elle le coiffa de trois doigts qu’elle fit lentement descendre avant de remonter et de répéter le mouvement plusieurs fois. Son autre main me palpait généreusement les boules. Elle ne put retenir un souffle de contentement :— Hum, tu as de belles bourses mon grand.
Je redressais la tête. Elle me sourit.
— Et si je te masturbais ? lança-t-elle. Ça te détendrait, non ?
Je lui fis un petit signe de tête approbateur et elle se mit aussitôt au travail. Je refermai les yeux, et si je l’eus osé je l’aurais volontiers complimentée. Je me contentai d’exprimer ma satisfaction :— Hum, c’est bon.
Elle réagit aussitôt de manière inattendue :— Tu veux jouir comme ça, ou tu préfères que je te suce ?
La deuxième proposition me plaisait davantage mais je répondis :— Comme tu veux.
Dans la seconde qui suivit je sentis ses lèvres se refermer autour de mon gland qu’elle téta puis lécha comme une sucette savoureuse. Elle laissa courir sa langue le long de la hampe… titilla le frein… descendit jusqu’aux couilles qu’elle parvint à prendre en bouche… l’une après l’autre. Puis elle pompa. Lentement… puis très vite… puis lentement à nouveau. Elle crachait régulièrement sur mon gland pour le lubrifier puis bientôt elle pompa jusqu’à ce que je décharge. Elle me garda en bouche jusqu’à ce que ma bite perdît sa vigueur puis elle me massa encore pendant une dizaine de minutes avant de déclarer.
— Voilà je crois que je ne peux pas faire mieux.
Je ne ressentais plus aucune courbature.
— Merci, fis-je.
— De rien.
J’allais récupérer mes vêtements, lorsqu’elle lança :— Non, j’aimerais bien que tu restes tout nu.
Je restai donc à poil toute la soirée, durant laquelle elle ne se priva pas pour se rincer l’oeil, ni me peloter. En fait, elle veilla à me garder en érection le plus souvent possible. Elle m’avait chauffé à blanc. Aussi, lorsque vers minuit, elle rejoignit sa chambre j’attendis un quart d’heure puis je poussai doucement la porte et me glissai dans son lit.
— Je suis désolé mon grand, je ne vais pas pouvoir, j’ai eu une infection urinaire la semaine dernière.
Je ne désarmais pas.
— Par derrière alors ?
— Si tu veux.
Elle sourit puis se tourna sur le côté. Je me collai contre elle en position de la cuillère, puis lorsqu’elle remonta les jambes, je trouvai aisément le chemin de ses fesses.
— Fais doucement mon grand, je n’ai plus l’habitude.
J’appuyai mon gland et m’enfonçais sans grande difficulté. Je l’entendis aussitôt gémir puis pousser de petits cris de fouine. Elle était très étroite et je coulissait avec délectation dans son fourreau. Chaque fois que je ressortais complètement pour m’enfoncer aussitôt je l’entendais murmurer à son oreiller :— Oh oui… Oui…Je la sodomisai doucement durant une bonne demi-heure avant de jouir puis je me retirai… sur la pointe des pieds pour rejoindre le canapé du salon.
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