Ma masturbation
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2012 dans la catégorie En solitaire
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Ma masturbation
Voyage sans anicroche, c’est mon but aujourd’hui. Je me suis réveillée après un rêve
particulièrement rare. J’étais dans les bras d’une grosse femme aux seins énormes.
Elle les posait d’abord sur ma bouche :
- Suce le lait comme quand tu étais petite.
Mes lèvres la suçaient sans peine, avec plaisir. Je n’avais pas fini qu’elle me tirait
sur ses cuisses pour mettre un sein sur ma fente. Mon sillon prenait sa part de
plaisir quand elle caressait toujours mon bouton. Je me sentais en l’air, comme je
suis toujours avant de jouir. Ce voyage durait longtemps. Je restais comme ça,
flottante sur une mer de volupté. J’allais jouir quand je me suis réveillée couchée
sur le dos près de toi. Tu dormais encore : nous avions longuement baisé dans la nuit,
tu avais jouis plusieurs fois de mon ventre. Je sentais encore ton sperme en moi.
Tu dormais et j’avais encore envie de jouit de sentir mon corps flotter comme dans mon
rêve. Comme malgré moi j’ai posé ma main sur ma chatte à la recherche de mon con : il
était encore humide. Je ne sais pas si c’était un reste de toi ou de mon rêve. Je
passais plusieurs doigts sur mon fourreau. Cette fois je mouillais normalement.
J’avais envie de jouir et tu dormais encore.
Je posais un doigt sur mon bouton, celui que tu aime sucer, qui me donne le principal
du plaisir. Il réagit vite en sortant de sa gaine : je bandais. Pas comme toi, mais
simplement comme une femme normalement constituée. J’ai mis mon doigt dans ma gaine,
là où tu mets ta queue, là où tu aime bien me mettre ta semence. Là aussi où j’aime la
recevoir. J’ai ressorts mon doigt qui se trouve tout mouillé.
Je ferme les yeux quand je commence à me donner du plaisir. Je sens comme une décharge
électrique quand mon doigt va plus vite. Je régule ma caresse pour ne pas jouir trop
vite. Normalement j’aurais pu me donner un bel orgasme, mais un seul, comme ça vite
fait ne me plait pas du tout. J’en profite pour faire durer ce plaisir, le seul
valable de tous.
Je change de doigts en passant du majeur à l’index. C’est peu de chose, un simple
changement de rythme qui m’apporte un plaisir plus tardif. Idéal pour moi. Je ne
frotte pas, je frôle simplement.
Que c’est bon, et toi qui dors toujours sans te douter de ce que je me fais. C’est
promis quand tu te réveilleras je te masturberais aussi. Tu gicleras dans ma main et
sur mon corps. Où alors je te réveillerais avec ta bite dans ma bouche, comme tu
aimes. Te jouiras alors sur ma langue. J’aime quand tu décharges dans ma bouche, comme
j’aime arroser ton visage de ma cyprine que tu aimes aussi.
Rien que de penser à ce que je te ferais, j’en mouille encore plus. Décidément le
plaisir sexuel est notre lien commun. Je ne pourrais jamais me passer de ta queue et
toi de mon con.
Je mets deux doigts dans ma moule. Je les fais aller et venir pour sentir comment fait
ta bite dans le con. C’est bon, mais moins bon qu’avec ta pine. Je reviens avec un
seul doigt sur le clitoris. Pourquoi je l’ai privé de caresse ? L’envie de changer un
peu sans doute.
Je reprends la masturbation. Décidément c’est bon. J’ai envie d’une légère caresse sur
un sein. C’est vite fait, je passe ma main libre sous la chemise de nuit. J’enveloppe
le bas du sein avant d’aller faire bander mon téton. Je le pince à peine, juste ce
qu’il faut pour me donner du plaisir ajouté à celui que je me donne en bas.
Je rêve à un amour animal sans amour au fond du cœur, simplement de désir. Je me fais
mettre et par toi et par un autre que je n’identifie pas, seule sa bite m’intéresse
dans mon con ou mon cul. Toi, je connais bien ta queue depuis le temps que je m’en
sers, que tu me la mets. Je connais aussi tes couilles qui m ‘étonnaient au début à
cause de leur remontée vers ton bas ventre quand tu bandais.
Je me souviens aussi de la première fois que tu m’as fait jouir. Tu me l’avais mise
depuis un bon moment quand brusquement j’ai senti mon abricot avoir des spasmes
réguliers pendant un bon moment. C’était bon, tellement que j’ai voulu que tu me baise
encore, même si tu débandais. Tu as réussi à me la remettre au fond du con. J’ai
encore joui. Depuis tu m’a fait jouir d’autres façon mais le préféré reste quand te me
la mets au con.
J’ai repris ma caresse lentement. Il me faut renouveler ma façon de me masturber. Je
pose mon autre main entre mes fesses. Je pose un doigt sur l’anus.
Souviens toi c’est comme ça que tu as fait avant de m’enculer la première fois, alors
que je refusais l’accès à mon cul. Tu ne m’as qu’à moitié convaincue. J’ai ouvert mon
derrière simplement pour te faire plaisir et pour ne pas mourir idiote. Je me souviens
de la quantité de cyprine que tu as mis sur l’anus pour entrer plus facilement.
Tu en avais tellement mis que je n’ai presque rien senti quand ta queue est venue dans
mon rectum. Pourtant j’avais peur. Je me souviens que je sentais tes poils sur mes
fesses. Je sentais ta grosseur dans mon cul. Je sentais surtout ce nouveau plaisir
arriver. J’ai joui quand ta queue était encore au fond de moi. Tu as trouvé le moyen
de me faire encore jouir quand toi du me donnait ta semence.
C’est rare de baiser sans sodomie. Ca clôture bien nos accouplements.
J’entre mon doigt dans le cul, je le fais aller et venir. C’est presque bon. Je
rajoute un autre doigt. Là mon anus s’écarte encore un peu, juste en tout cas pour me
donner le plaisir que j’attends. Je les fais coulisser dans l’anus.
Mon doigt sur le clitoris caresse toujours le devant. Je me fais presque une double
pénétration seule. Je ferme la bouche pour ne pas gémir : j’ai peur de te réveiller
avant que je parte dans les limbes. Tu voudrais me baiser alors que mon seul besoin
dans l’instant est de me faire jouir seule. Malgré moi, mes doigts augmentent leur
cadence. Mon bouton va éclater comme mon cul.
Que c’est bon; que c’est bon. Je me passe de partenaire, j’arrive au point de non
retour. Mes yeux sont fermés sur un néant salvateur : je suis vide, mais pleine du
plaisir qui monte, monte sans cesse. Et enfin je sens la délivrance. Si mon doigt sur
le bouton ne sens rien de bien particulier, par contre ceux de mon cul sentent bien
les spasmes de mon plaisir. Je l’ai y laisse longtemps après l’orgasme. Quand je les
sorts je ne peux m’empêcher de les lécher.
particulièrement rare. J’étais dans les bras d’une grosse femme aux seins énormes.
Elle les posait d’abord sur ma bouche :
- Suce le lait comme quand tu étais petite.
Mes lèvres la suçaient sans peine, avec plaisir. Je n’avais pas fini qu’elle me tirait
sur ses cuisses pour mettre un sein sur ma fente. Mon sillon prenait sa part de
plaisir quand elle caressait toujours mon bouton. Je me sentais en l’air, comme je
suis toujours avant de jouir. Ce voyage durait longtemps. Je restais comme ça,
flottante sur une mer de volupté. J’allais jouir quand je me suis réveillée couchée
sur le dos près de toi. Tu dormais encore : nous avions longuement baisé dans la nuit,
tu avais jouis plusieurs fois de mon ventre. Je sentais encore ton sperme en moi.
Tu dormais et j’avais encore envie de jouit de sentir mon corps flotter comme dans mon
rêve. Comme malgré moi j’ai posé ma main sur ma chatte à la recherche de mon con : il
était encore humide. Je ne sais pas si c’était un reste de toi ou de mon rêve. Je
passais plusieurs doigts sur mon fourreau. Cette fois je mouillais normalement.
J’avais envie de jouir et tu dormais encore.
Je posais un doigt sur mon bouton, celui que tu aime sucer, qui me donne le principal
du plaisir. Il réagit vite en sortant de sa gaine : je bandais. Pas comme toi, mais
simplement comme une femme normalement constituée. J’ai mis mon doigt dans ma gaine,
là où tu mets ta queue, là où tu aime bien me mettre ta semence. Là aussi où j’aime la
recevoir. J’ai ressorts mon doigt qui se trouve tout mouillé.
Je ferme les yeux quand je commence à me donner du plaisir. Je sens comme une décharge
électrique quand mon doigt va plus vite. Je régule ma caresse pour ne pas jouir trop
vite. Normalement j’aurais pu me donner un bel orgasme, mais un seul, comme ça vite
fait ne me plait pas du tout. J’en profite pour faire durer ce plaisir, le seul
valable de tous.
Je change de doigts en passant du majeur à l’index. C’est peu de chose, un simple
changement de rythme qui m’apporte un plaisir plus tardif. Idéal pour moi. Je ne
frotte pas, je frôle simplement.
Que c’est bon, et toi qui dors toujours sans te douter de ce que je me fais. C’est
promis quand tu te réveilleras je te masturberais aussi. Tu gicleras dans ma main et
sur mon corps. Où alors je te réveillerais avec ta bite dans ma bouche, comme tu
aimes. Te jouiras alors sur ma langue. J’aime quand tu décharges dans ma bouche, comme
j’aime arroser ton visage de ma cyprine que tu aimes aussi.
Rien que de penser à ce que je te ferais, j’en mouille encore plus. Décidément le
plaisir sexuel est notre lien commun. Je ne pourrais jamais me passer de ta queue et
toi de mon con.
Je mets deux doigts dans ma moule. Je les fais aller et venir pour sentir comment fait
ta bite dans le con. C’est bon, mais moins bon qu’avec ta pine. Je reviens avec un
seul doigt sur le clitoris. Pourquoi je l’ai privé de caresse ? L’envie de changer un
peu sans doute.
Je reprends la masturbation. Décidément c’est bon. J’ai envie d’une légère caresse sur
un sein. C’est vite fait, je passe ma main libre sous la chemise de nuit. J’enveloppe
le bas du sein avant d’aller faire bander mon téton. Je le pince à peine, juste ce
qu’il faut pour me donner du plaisir ajouté à celui que je me donne en bas.
Je rêve à un amour animal sans amour au fond du cœur, simplement de désir. Je me fais
mettre et par toi et par un autre que je n’identifie pas, seule sa bite m’intéresse
dans mon con ou mon cul. Toi, je connais bien ta queue depuis le temps que je m’en
sers, que tu me la mets. Je connais aussi tes couilles qui m ‘étonnaient au début à
cause de leur remontée vers ton bas ventre quand tu bandais.
Je me souviens aussi de la première fois que tu m’as fait jouir. Tu me l’avais mise
depuis un bon moment quand brusquement j’ai senti mon abricot avoir des spasmes
réguliers pendant un bon moment. C’était bon, tellement que j’ai voulu que tu me baise
encore, même si tu débandais. Tu as réussi à me la remettre au fond du con. J’ai
encore joui. Depuis tu m’a fait jouir d’autres façon mais le préféré reste quand te me
la mets au con.
J’ai repris ma caresse lentement. Il me faut renouveler ma façon de me masturber. Je
pose mon autre main entre mes fesses. Je pose un doigt sur l’anus.
Souviens toi c’est comme ça que tu as fait avant de m’enculer la première fois, alors
que je refusais l’accès à mon cul. Tu ne m’as qu’à moitié convaincue. J’ai ouvert mon
derrière simplement pour te faire plaisir et pour ne pas mourir idiote. Je me souviens
de la quantité de cyprine que tu as mis sur l’anus pour entrer plus facilement.
Tu en avais tellement mis que je n’ai presque rien senti quand ta queue est venue dans
mon rectum. Pourtant j’avais peur. Je me souviens que je sentais tes poils sur mes
fesses. Je sentais ta grosseur dans mon cul. Je sentais surtout ce nouveau plaisir
arriver. J’ai joui quand ta queue était encore au fond de moi. Tu as trouvé le moyen
de me faire encore jouir quand toi du me donnait ta semence.
C’est rare de baiser sans sodomie. Ca clôture bien nos accouplements.
J’entre mon doigt dans le cul, je le fais aller et venir. C’est presque bon. Je
rajoute un autre doigt. Là mon anus s’écarte encore un peu, juste en tout cas pour me
donner le plaisir que j’attends. Je les fais coulisser dans l’anus.
Mon doigt sur le clitoris caresse toujours le devant. Je me fais presque une double
pénétration seule. Je ferme la bouche pour ne pas gémir : j’ai peur de te réveiller
avant que je parte dans les limbes. Tu voudrais me baiser alors que mon seul besoin
dans l’instant est de me faire jouir seule. Malgré moi, mes doigts augmentent leur
cadence. Mon bouton va éclater comme mon cul.
Que c’est bon; que c’est bon. Je me passe de partenaire, j’arrive au point de non
retour. Mes yeux sont fermés sur un néant salvateur : je suis vide, mais pleine du
plaisir qui monte, monte sans cesse. Et enfin je sens la délivrance. Si mon doigt sur
le bouton ne sens rien de bien particulier, par contre ceux de mon cul sentent bien
les spasmes de mon plaisir. Je l’ai y laisse longtemps après l’orgasme. Quand je les
sorts je ne peux m’empêcher de les lécher.
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