Ma meilleure amie me demande de déniaiser son fils
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2015 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma meilleure amie me demande de déniaiser son fils
JE DÉPUCELLE LE FILS DE
MA MEILLEURE AMIE.
Je m’appelle Julie, je suis une belle femme qui adore le sexe, surtout avec des jeunots.
Cela fait bien 20 ans que je me tape tout ce qui passe à ma portée, il faut que j’en profite encore tant que les hommes me trouvent encore à leur goût.
Je suis en vacances chez un couple d’amis que j’ai connue lors d’une de mes virées érotiques.
Nous sommes devenus très proche et ne nous cachons plus rien.
Nous sommes autour de la piscine, Jean et Annabelle viennent de se plonger dans l’eau.
J’ai remarqué Claude, leur fils âgé de 17 ans, on dirait que je lui fais de l’effet car il ne me quitte pas des yeux.
Il vient me demander s’il peut me tenir compagnie.
J’accepte, il porte un short assez ample, il s’assied à coté de moi la tête en arrière. J’écoute la musique de la sono les yeux fermés, détendue.
Il s’est rapproché, nos jambes se touchent, je souris intérieurement mais le laisse faire.
Il se passe un moment quand je sens sa main sur ma cuisse. Il doit croire que je me suis assoupie.
Sa main remonte lentement à la fourche de mes cuisses et je décide d’ouvrir les yeux.
Quand il me voit le fixer, il prend peur, complètement affolé et s’enfuit, regagnant sa chambre.
Sa mère, a suivit son manège, elle vient vers moi et me parle de son fils.
-Claude est d’une timidité maladive, il n’a aucune relation avec les filles car dès qu’elles commencent à le remarquer, il perd tous ses moyens et laisse tomber. Il est pourtant bien fichu et en rendrait plus d’une heureuse.
Soudain Annabelle me fait une proposition que rarement une mère demande à sa meilleure amie.
-Je sais que ce que je vais te demander va te paraître horrible, mais accepterais-tu de le déniaiser pour lui donner un peu de confiance en lui ?
Je suis si surprise par sa demande et mets plusieurs minutes avant de lui répondre.
-Eh bien……….. C’est que……….. Oh et puis pourquoi pas, ça fait longtemps que je n’ai plus connu de puceau, j’accepte !
-Passe par le jardin, tu accéderas à sa chambre par la porte de derrière.
Je marche sur la pelouse et m’approche de la fenêtre de la chambre de Claude à pas de loup et regarde à travers la fenêtre. Claude est allongé sur son lit, complètement nu.
C’est un jeune homme bien charpenté, aux muscles saillants. Il a la tête tournée vers la télé, ses yeux sont rivés sur l’écran, je devine qu’il mâte un film porno.
Mais mes yeux sont vite attirés vers son entre-jambe ou est érigé une colonne formidable.
J’ai comme un choc. Ma respiration s’accélère, mon cœur s’affole.
J’ai déjà vu bien des choses mais là je contemple avec stupéfaction une verge bistre et énorme, je n’ai jamais imaginé être confrontée un jour à un tel organe.
Mes mains deviennent moites, mon ventre me brûle, ma gorge est sèche.
Je regarde autour de moi instinctivement, comme pour m’assurer que personne ne m’observe voulant garder pour moi seule le secret de cette extraordinaire vision.
J’entre dans la maison comme attirée par une force irrésistible.
J’avance sans bruit vers la porte de sa chambre. Claude n’a rien vu et continue, tranquillement à se branler en regardant son film. Je vois sa main monter et descendre lentement tout au long de cette hampe sans fin.
Je marche vers lui comme un automate et accroche une chaise au passage, je pousse un petit cri de douleur.
Claude sursaute, il vient de me voir et, le regard épouvanté, il essaye, pudiquement, de rabattre le drap sur son ventre pour cacher à ma vue son obélisque dressé.
Je me précipite vers lui, tombe à genoux devant le lit et pose ma main sur la sienne pour arrêter son geste.
-Non, je murmure, n’aie-pas peur. Je ne te veux pas de mal.
Claude me dévisage, effrayé, ne sachant plus quoi faire.
Je caresse sa main et ajoute, le regard braqué, admirative, sur ce poteau qui n’a pas désarmé :
-Que c’est beau!
Les yeux de Claude font le tour de la pièce, comme pour se rassurer qu’on soit bien seuls.
Puis il comprend peu à peu ce qui est en train de lui arriver et effleure mes cheveux de ses doigts. Il cherche mon regard, il est toujours crispé mais me sourit timidement.
Je ne peux plus me retenir. Avant même qu’il ait eu le temps de comprendre, je me jette littéralement sur ce pic de granit et l’emprisonne comme je peux entre mes doigts pendant que l’index de mon autre main agace la tête ronde, gonflée et luisante comme un chapeau de champignon.
Mais le soc massif, raide comme un bout de bois, tendu à éclater, ne peut ni grossir ni s’allonger davantage. Pour faire honneur à mes caresses, impuissant à augmenter son volume, il se met à battre un peu plus fort, et ses grosses veines noueuses enflent peut-être encore.
Un émoi étrange m’étreint à la vue de chaque nouvelles bites, identiques mais cependant si différentes dans leurs formes.
Tout en caressant ses grosses couilles velues, j’approche ma bouche du gros chibre et pose délicatement mes lèvres sur le gland à vif, ma langue le lèche à petits coups, lui arrachant des gémissements.
Un peu étonné et peureux mais heureux du tour que prend la situation, Claude glisse un regard vers mes lèvres lisses aux bords ourlés qui ont happé avec difficulté son manche avec la voracité de piranhas pendant que ma main moule la racine touffue.
Omniprésente et subtile, ma langue glisse sur le pourtour de la tige, s’enroulant au gland comme un serpent sur sa proie.
Claude n’en peut plus. Des insectes voraces s’affairent maintenant par grappes piquantes au creux de ses reins tendus.
Ma bouche brûlante et humide s’est refermée autour de son gland, il se laisse aller en arrière, secoué par des frissons étranges, dans un râle sourd de gorge.
Puis il se met à haleter sous l’attaque dédoublée de ma langue savante et de mes doigts experts qui le massent, l’agressent, obstinés à étouffer un pénis cambré qui ne demande qu’à respirer.
Ouvrant en grand la bouche, j’enfourne le bout de la verge, faisant tournoyer ma langue sur le méat entrouvert qui laisse suinter déjà un peu de pré-sperme.
Excitée par l’odeur qui se dégage de l’énorme pénis, je suce le membre avec application, me doutant qu’il ne pourra pas tenir longtemps avant de décharger tout son foutre.
Il ne peut articuler le moindre son, mais conscient de son imminente jouissance, il arrache ma bouche-four de son gland en tirant fort sur mes cheveux.
J’halète, les yeux révulsés, mes deux mains serrant le formidable engin de plus belle, seins tendus et la chatte en feu. Je balbutie :
-Sais tu que ton canon est d’un tel calibre que ma bouche grande ouverte n’a pu en goûter que la gueule ?
Claude n’a pas l’air de comprendre ce que je viens de dire. En revanche, il s’enhardit et rit, presque bêtement, en agitant son sexe gonflé, qu’il tient par la racine.
Je n’en peux plus. Comme une folle, je grimpe sur le lit, chevauche le ventre de Claude et écarte mes genoux au maximum.
S’emparant de la hampe en son milieu, j’en promène trois ou quatre fois la tête lisse sur mes lèvres trempées.
J’ai connu un homme avec un membre presque aussi imposant, j’avais cru être fendue en deux par ce gourdin qui avait pénétré mes chairs enflammées.
Comment ça va se passer avec ce monstre ?
A califourchon sur la pine énorme de Claude, je repousse mon maillot puis écartant le plus largement possible les replis de ma vulve, j’essaie d’introduire le membre que je crois trop imposant pour mon vagin, je m’empale en poussant un cri de démente.
Perdant toute raison, je m’assieds le plus loin possible sur la formidable trique, m’empalant sur sa verge qui petit à petit s’enfourne dans mes entrailles.
Claude jette ses mains comme pour une gifle sur chacune de mes hanches, rentre ses fesses dans le matelas et rebondit comme un diable en poussant un cri de fauve en tirant comme un forcené sur mon corps.
Je reste un instant sans bouger, persuadée que la lance m’a transpercée de part en part, j’ai l’impression que mon vagin a éclaté comme du caoutchouc sec sous la poussée sauvage de cette colonne de béton armé.
Je pousse un hurlement de douleur. J’ai perdu la raison, car inexorablement je laisse le jonc vigoureux dévaster mes muqueuses, je n’essaie même plus de me retirer, trop excitée par ce que je suis en train de vivre.
Son premier jet gicle comme une fusée qui viendrait se ficher dans mon cœur.
Ma jouissance est telle que j’ai la sensation que des tenailles chauffées à blanc m’arrachent les entrailles.
Je m’affale dans un cri inhumain, empalée jusqu’à la garde sur ce gros dard dont un bon bout reste visible et qui envoie son venin au fond de ma matrice par saccades successives.
J’hurle et sanglote d'un atroce plaisir hystérique de mon corps supplicié par moi-même, la jouissance me convulse, je jouis sans discontinuer jusqu’à l’évanouissement qui me laisse pantelante contre le corps de ce mâle hors-du-commun.
Claude s’est tari, j’ai réussis à m’extraire de sa verge mais il est toujours raide.
Alors, quitte à m’ouvrir en deux, j’entreprends, à une allure folle, d’astiquer de nouveau, par grands coups désordonnés, cette hampe impériale.
Mais il faut que je pense à continuer son éducation.
Je me retire avec regret du sexe de ce faune et enjambe son torse pour offrir ma vulve à sa bouche. Il ne réalise pas tout de suite ce que j’attends de lui mais les films porno lui reviennent en tête.
Il écarte avec ses deux mains ma vulve et vient y coller ses lèvres.
Avec un peu de dégoût, il embrasse mes chairs intimes, puis s’enhardissant, il enfouit sa langue dans les replis de mon vagin.
- Oui ! C’est bien, continue, lèche-moi bien, cherche mon bouton, mords-le un peu, mais vas-y tout en douceur.
Ma chatte laisse échapper mon miel et je gémis de plus en plus, ses dents mordillent le capuchon de mon clitoris dardé. Ses caresses linguales deviennent de plus en plus assurées, m’amenant jusqu’à l’orgasme.
Je n’en peux plus et retire vivement mon sexe en feu de la bouche avide.
Ma main a glissée sur son corps et s’est emparée de son engin toujours vaillant. Mes doigts se saisissent d’un pieu de bois dur et chaud qui sous ma caresse grossit encore.
Je veux lui rendre ses caresses et ma bouche reprend de nouveau possession de cette matraque merveilleuse.
Je mets toute ma science dans cette fellation incroyable ou je ne peux absorber que son gland énorme. Je compense ma frustration par des caresses de ma langue tout au long de sa hampe et en gobant ses œufs pleins de sa semence.
Il halète et tout son corps se raidit. Son gros dard gonfle sous mes lèvres habiles qui le pompent avec avidité.
Un gémissement rauque sort de sa bouche quand il lâche des jets copieux jusqu’au fond de ma gorge, j’avale avec gourmandise sa laitance qui déborde au coin de mes lèves, laissant des traînées sur mon menton avant de tomber entre mes seins.
Je presse ses couilles avec mes doigts pour en extraire jusqu’à la dernière goutte que je déguste comme un bon vin, le sperme continue à gicler par saccades du méat entrouvert, je m’en barbouille le visage comme d’une crème.
Sa verge a perdue de la superbe mais même comme ça, ce que je vois ferait pâlir de jalousie la plupart des hommes.
Je le félicite de ses performances et lui fait une proposition :
-Tu sais que tu es monté comme un âne ? Je t’ai fais découvrir ce qu’était le corps d’une femme mais la leçon n’est pas finit. Si tu es d’accord, je reviendrai ce soir te faire découvrir un autre plaisir que peuvent connaître aussi-bien les hommes que les femmes.
Mais vu tes dimensions peu commune, il va falloir que je me prépare sinon ça ne sera pas possible, d’accord ?
-Oh oui Julie, mais j’espère que maman n’en saura rien.
MA MEILLEURE AMIE.
Je m’appelle Julie, je suis une belle femme qui adore le sexe, surtout avec des jeunots.
Cela fait bien 20 ans que je me tape tout ce qui passe à ma portée, il faut que j’en profite encore tant que les hommes me trouvent encore à leur goût.
Je suis en vacances chez un couple d’amis que j’ai connue lors d’une de mes virées érotiques.
Nous sommes devenus très proche et ne nous cachons plus rien.
Nous sommes autour de la piscine, Jean et Annabelle viennent de se plonger dans l’eau.
J’ai remarqué Claude, leur fils âgé de 17 ans, on dirait que je lui fais de l’effet car il ne me quitte pas des yeux.
Il vient me demander s’il peut me tenir compagnie.
J’accepte, il porte un short assez ample, il s’assied à coté de moi la tête en arrière. J’écoute la musique de la sono les yeux fermés, détendue.
Il s’est rapproché, nos jambes se touchent, je souris intérieurement mais le laisse faire.
Il se passe un moment quand je sens sa main sur ma cuisse. Il doit croire que je me suis assoupie.
Sa main remonte lentement à la fourche de mes cuisses et je décide d’ouvrir les yeux.
Quand il me voit le fixer, il prend peur, complètement affolé et s’enfuit, regagnant sa chambre.
Sa mère, a suivit son manège, elle vient vers moi et me parle de son fils.
-Claude est d’une timidité maladive, il n’a aucune relation avec les filles car dès qu’elles commencent à le remarquer, il perd tous ses moyens et laisse tomber. Il est pourtant bien fichu et en rendrait plus d’une heureuse.
Soudain Annabelle me fait une proposition que rarement une mère demande à sa meilleure amie.
-Je sais que ce que je vais te demander va te paraître horrible, mais accepterais-tu de le déniaiser pour lui donner un peu de confiance en lui ?
Je suis si surprise par sa demande et mets plusieurs minutes avant de lui répondre.
-Eh bien……….. C’est que……….. Oh et puis pourquoi pas, ça fait longtemps que je n’ai plus connu de puceau, j’accepte !
-Passe par le jardin, tu accéderas à sa chambre par la porte de derrière.
Je marche sur la pelouse et m’approche de la fenêtre de la chambre de Claude à pas de loup et regarde à travers la fenêtre. Claude est allongé sur son lit, complètement nu.
C’est un jeune homme bien charpenté, aux muscles saillants. Il a la tête tournée vers la télé, ses yeux sont rivés sur l’écran, je devine qu’il mâte un film porno.
Mais mes yeux sont vite attirés vers son entre-jambe ou est érigé une colonne formidable.
J’ai comme un choc. Ma respiration s’accélère, mon cœur s’affole.
J’ai déjà vu bien des choses mais là je contemple avec stupéfaction une verge bistre et énorme, je n’ai jamais imaginé être confrontée un jour à un tel organe.
Mes mains deviennent moites, mon ventre me brûle, ma gorge est sèche.
Je regarde autour de moi instinctivement, comme pour m’assurer que personne ne m’observe voulant garder pour moi seule le secret de cette extraordinaire vision.
J’entre dans la maison comme attirée par une force irrésistible.
J’avance sans bruit vers la porte de sa chambre. Claude n’a rien vu et continue, tranquillement à se branler en regardant son film. Je vois sa main monter et descendre lentement tout au long de cette hampe sans fin.
Je marche vers lui comme un automate et accroche une chaise au passage, je pousse un petit cri de douleur.
Claude sursaute, il vient de me voir et, le regard épouvanté, il essaye, pudiquement, de rabattre le drap sur son ventre pour cacher à ma vue son obélisque dressé.
Je me précipite vers lui, tombe à genoux devant le lit et pose ma main sur la sienne pour arrêter son geste.
-Non, je murmure, n’aie-pas peur. Je ne te veux pas de mal.
Claude me dévisage, effrayé, ne sachant plus quoi faire.
Je caresse sa main et ajoute, le regard braqué, admirative, sur ce poteau qui n’a pas désarmé :
-Que c’est beau!
Les yeux de Claude font le tour de la pièce, comme pour se rassurer qu’on soit bien seuls.
Puis il comprend peu à peu ce qui est en train de lui arriver et effleure mes cheveux de ses doigts. Il cherche mon regard, il est toujours crispé mais me sourit timidement.
Je ne peux plus me retenir. Avant même qu’il ait eu le temps de comprendre, je me jette littéralement sur ce pic de granit et l’emprisonne comme je peux entre mes doigts pendant que l’index de mon autre main agace la tête ronde, gonflée et luisante comme un chapeau de champignon.
Mais le soc massif, raide comme un bout de bois, tendu à éclater, ne peut ni grossir ni s’allonger davantage. Pour faire honneur à mes caresses, impuissant à augmenter son volume, il se met à battre un peu plus fort, et ses grosses veines noueuses enflent peut-être encore.
Un émoi étrange m’étreint à la vue de chaque nouvelles bites, identiques mais cependant si différentes dans leurs formes.
Tout en caressant ses grosses couilles velues, j’approche ma bouche du gros chibre et pose délicatement mes lèvres sur le gland à vif, ma langue le lèche à petits coups, lui arrachant des gémissements.
Un peu étonné et peureux mais heureux du tour que prend la situation, Claude glisse un regard vers mes lèvres lisses aux bords ourlés qui ont happé avec difficulté son manche avec la voracité de piranhas pendant que ma main moule la racine touffue.
Omniprésente et subtile, ma langue glisse sur le pourtour de la tige, s’enroulant au gland comme un serpent sur sa proie.
Claude n’en peut plus. Des insectes voraces s’affairent maintenant par grappes piquantes au creux de ses reins tendus.
Ma bouche brûlante et humide s’est refermée autour de son gland, il se laisse aller en arrière, secoué par des frissons étranges, dans un râle sourd de gorge.
Puis il se met à haleter sous l’attaque dédoublée de ma langue savante et de mes doigts experts qui le massent, l’agressent, obstinés à étouffer un pénis cambré qui ne demande qu’à respirer.
Ouvrant en grand la bouche, j’enfourne le bout de la verge, faisant tournoyer ma langue sur le méat entrouvert qui laisse suinter déjà un peu de pré-sperme.
Excitée par l’odeur qui se dégage de l’énorme pénis, je suce le membre avec application, me doutant qu’il ne pourra pas tenir longtemps avant de décharger tout son foutre.
Il ne peut articuler le moindre son, mais conscient de son imminente jouissance, il arrache ma bouche-four de son gland en tirant fort sur mes cheveux.
J’halète, les yeux révulsés, mes deux mains serrant le formidable engin de plus belle, seins tendus et la chatte en feu. Je balbutie :
-Sais tu que ton canon est d’un tel calibre que ma bouche grande ouverte n’a pu en goûter que la gueule ?
Claude n’a pas l’air de comprendre ce que je viens de dire. En revanche, il s’enhardit et rit, presque bêtement, en agitant son sexe gonflé, qu’il tient par la racine.
Je n’en peux plus. Comme une folle, je grimpe sur le lit, chevauche le ventre de Claude et écarte mes genoux au maximum.
S’emparant de la hampe en son milieu, j’en promène trois ou quatre fois la tête lisse sur mes lèvres trempées.
J’ai connu un homme avec un membre presque aussi imposant, j’avais cru être fendue en deux par ce gourdin qui avait pénétré mes chairs enflammées.
Comment ça va se passer avec ce monstre ?
A califourchon sur la pine énorme de Claude, je repousse mon maillot puis écartant le plus largement possible les replis de ma vulve, j’essaie d’introduire le membre que je crois trop imposant pour mon vagin, je m’empale en poussant un cri de démente.
Perdant toute raison, je m’assieds le plus loin possible sur la formidable trique, m’empalant sur sa verge qui petit à petit s’enfourne dans mes entrailles.
Claude jette ses mains comme pour une gifle sur chacune de mes hanches, rentre ses fesses dans le matelas et rebondit comme un diable en poussant un cri de fauve en tirant comme un forcené sur mon corps.
Je reste un instant sans bouger, persuadée que la lance m’a transpercée de part en part, j’ai l’impression que mon vagin a éclaté comme du caoutchouc sec sous la poussée sauvage de cette colonne de béton armé.
Je pousse un hurlement de douleur. J’ai perdu la raison, car inexorablement je laisse le jonc vigoureux dévaster mes muqueuses, je n’essaie même plus de me retirer, trop excitée par ce que je suis en train de vivre.
Son premier jet gicle comme une fusée qui viendrait se ficher dans mon cœur.
Ma jouissance est telle que j’ai la sensation que des tenailles chauffées à blanc m’arrachent les entrailles.
Je m’affale dans un cri inhumain, empalée jusqu’à la garde sur ce gros dard dont un bon bout reste visible et qui envoie son venin au fond de ma matrice par saccades successives.
J’hurle et sanglote d'un atroce plaisir hystérique de mon corps supplicié par moi-même, la jouissance me convulse, je jouis sans discontinuer jusqu’à l’évanouissement qui me laisse pantelante contre le corps de ce mâle hors-du-commun.
Claude s’est tari, j’ai réussis à m’extraire de sa verge mais il est toujours raide.
Alors, quitte à m’ouvrir en deux, j’entreprends, à une allure folle, d’astiquer de nouveau, par grands coups désordonnés, cette hampe impériale.
Mais il faut que je pense à continuer son éducation.
Je me retire avec regret du sexe de ce faune et enjambe son torse pour offrir ma vulve à sa bouche. Il ne réalise pas tout de suite ce que j’attends de lui mais les films porno lui reviennent en tête.
Il écarte avec ses deux mains ma vulve et vient y coller ses lèvres.
Avec un peu de dégoût, il embrasse mes chairs intimes, puis s’enhardissant, il enfouit sa langue dans les replis de mon vagin.
- Oui ! C’est bien, continue, lèche-moi bien, cherche mon bouton, mords-le un peu, mais vas-y tout en douceur.
Ma chatte laisse échapper mon miel et je gémis de plus en plus, ses dents mordillent le capuchon de mon clitoris dardé. Ses caresses linguales deviennent de plus en plus assurées, m’amenant jusqu’à l’orgasme.
Je n’en peux plus et retire vivement mon sexe en feu de la bouche avide.
Ma main a glissée sur son corps et s’est emparée de son engin toujours vaillant. Mes doigts se saisissent d’un pieu de bois dur et chaud qui sous ma caresse grossit encore.
Je veux lui rendre ses caresses et ma bouche reprend de nouveau possession de cette matraque merveilleuse.
Je mets toute ma science dans cette fellation incroyable ou je ne peux absorber que son gland énorme. Je compense ma frustration par des caresses de ma langue tout au long de sa hampe et en gobant ses œufs pleins de sa semence.
Il halète et tout son corps se raidit. Son gros dard gonfle sous mes lèvres habiles qui le pompent avec avidité.
Un gémissement rauque sort de sa bouche quand il lâche des jets copieux jusqu’au fond de ma gorge, j’avale avec gourmandise sa laitance qui déborde au coin de mes lèves, laissant des traînées sur mon menton avant de tomber entre mes seins.
Je presse ses couilles avec mes doigts pour en extraire jusqu’à la dernière goutte que je déguste comme un bon vin, le sperme continue à gicler par saccades du méat entrouvert, je m’en barbouille le visage comme d’une crème.
Sa verge a perdue de la superbe mais même comme ça, ce que je vois ferait pâlir de jalousie la plupart des hommes.
Je le félicite de ses performances et lui fait une proposition :
-Tu sais que tu es monté comme un âne ? Je t’ai fais découvrir ce qu’était le corps d’une femme mais la leçon n’est pas finit. Si tu es d’accord, je reviendrai ce soir te faire découvrir un autre plaisir que peuvent connaître aussi-bien les hommes que les femmes.
Mais vu tes dimensions peu commune, il va falloir que je me prépare sinon ça ne sera pas possible, d’accord ?
-Oh oui Julie, mais j’espère que maman n’en saura rien.
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74 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire vécue ? Possible vue la taille du chibre de l'auteur.
Ça c'est une véritable amie de se dévouer sans compter.
Elle a d'autres garçons, la maman ?
Pas si niais que ça le fiston
Beau challenge
Niais mais sacrément bien monté, comme son auteur
Lequel des deux est le plus chanceux (e)
Aucun tabou, la maman
45000 lecteurs et pas plus d'avis, dommage...
Un 10 aussi pour moi
Elle aurait pu refuser
Ça c'est une vraie copine
Fallait oser
Mère indigne ou avisée ?
Elle accepte du travail supplémentaire ?
Il faut mériter une telle confiance
C'est moi ! C'est moi !
je la connais peut être ?
si elle veut, je peux m'en occuper
je suis volontaire
Je suis puceau et cherche une initiatrice.
mes histoires totalisent 1 commentaire dans le classement des auteurs, cherchez l'erreur....
C'est bien dommage que dans la vraie vie, ça ne se passe pas ainsi
Le rêve de toutes les femmes d'âge mûr
Est-ce un récit autobiographique de l'auteur vu le pic qu'il a entre les cuisses?
si le fils de ma meilleure copine est monté comme l'auteur, je me porte volontaire
Ah la veinarde!!!!!!!!!
Mère indigne, mais je veux bien me charger du rejeton s'il et membré comme l'auteur. Ou plutôt non, c'est la bite de mlkjhg que je veux!
tu habites ou?
et en plus l'auteur est sympa, je lui ai écris et nous échangeons des moments coquins devant nos claviers, (pour le moment)
une vrai histoire bien bandante
c'est mon histoire préférée
Fleur
Fleur
un des meilleurs auteurs du site, enfin pour moi
d'ou tire-t-il son inspiration? fantasme ou expérience personnelle?
un beau brin de plume, mais sa main a aussi de quoi s'occuper vu la poutre qu'il a entre les jambes
j'en voudrais bien un de ce gabarit à déniaiser, moi aussi
banco pour un tel deal
Dommage que ce ne soit qu'une histoire, quelle femme ne rêverait pas de vivre une telle éxpérience
Je voudrais bien avoir une copine qui me propose un deal pareil!
bravo à l'auteur
Putain, l'histoire est crue mais ça m'a fais bander comme un âne!
auteur très prolifique d'histoires bien écrites crues sans être vulgaires.
Avec tous nos remerciements de pigmenter notre vie de couple
Avec tous nos remerciements de pigmenter notre vie de couple
pourquoi ça ne m'arrive pas à moi, si je demande à mon amie si je peux me faire son fils, elle va me prendre pour une folle ou une nympho
belle histoire sans vulgarité, j'aime
J'ai lu les épisodes suivants, tout aussi chauds, j'attends avec impatience la suite, que nous réserve-t-il?
merveilleux récit, j'en mouille encore
la couguar est tombé sur un jeune lion
mon histoire préférée
y en a qui ont de la chance, petit veinard!!!!
je comprends les succès obtenue par cette histoire. Malgré le coté hard, un brin de poésie donne toute sa beautée à ce texte
que je voudrais un jour trouver un amant aussi bien équipé, ça me changerais et qui sait? J'y prendrais peut-être gout?
Il faut toujours se méfier de l'eau qui dort. Le petit ruisseau à l'eau calme peut devenir un torrent à l'eau fougueuse et sous pression qui jaillit d'un goulot d'étranglement.
Je remercie les 28 000 lecteurs de cette histoire et suis flatté d'être lu par tant de personnes.
Bientôt, vous pourrez lire un nouvel épisode de Claude.
L'auteur
Bientôt, vous pourrez lire un nouvel épisode de Claude.
L'auteur
belle histoire, j'en bande encore
j'ai eu la chance de déniaisé un jeune puceau. Son inexpérience, sa nervosité et son empressement de découvrir mon corps et de l'honorer sont des plaisirs rares qui ravissent les femmes les plus blasées
je vais regarder d'un regard neuf les petits jeunes, et essayer de trouver la perle rare
nous l'attendons avec impatiente
Je suis en train d'écrire le 3ème épisode.
mlkjhg39
mlkjhg39
autant de chance de tomber sur un tel numéro que de gagner au loto.
Dommage
Dommage
Comment va réagir sa mère quand sa copine va lui dire ce qu'elle a découvert
une vraie pépite, le puceau!!!
J'ai lu la suite, elle a du mérite de s'enfiler un tel défonce-cul!
Merci pour votre patience.
La suite arrive le 9 février.
Bonne lecture
mlkjhg 39
La suite arrive le 9 février.
Bonne lecture
mlkjhg 39
Vivement la suite. J'envies à mort le jeunot
Je suis émoustillé par cette fabuleuse histoire. Vivement la suite
Va-t-il enfin nous poster la suite de l'histoire? on est impatient de connaître la suite
je voudrais bien que mes amies me proposent un tel deal!
Tous avec moi:
- La suite, la suite, la suite!!!!!!!!!!!
- La suite, la suite, la suite!!!!!!!!!!!
quelle chance elle a, un jeune amant servit sur un plateau et quand elle regarde dans son assiette, elle trouve une énorme saucisse qui ne demande qu'à faire ce pourquoi elle a été créée.
Wouaahhh!!! l'histoire a l'air de plaire vu le nombre de lecteurs en seulement 5 jours.
Vivement la suite pour savoir s'il est un bon élève qui écoute bien sa prof quand il faut passer au travaux pratiques
Vivement la suite pour savoir s'il est un bon élève qui écoute bien sa prof quand il faut passer au travaux pratiques
Wahou, je t'envie! J'aurai aimé avoir la chance de me faire enfourner par un si gros engin
LA SUITE VIVEMENT
Quel bonheur pour Julie de trouver un tel jouet
on croit des fois tomber sur un plat sans saveur et on tombe sur une oeuvre d'art.
et ça creuse l'appétit
et ça creuse l'appétit