Ma naissance en homosexualité

- Par l'auteur HDS Albin Thai -
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma naissance en homosexualité Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma naissance en homosexualité
Je suis attiré par les garçons depuis longtemps. Déjà, à l'école...
La première fois que j'ai vu son cul, nous étions au collège. Comme il était plus âgé que moi, par une logique douteuse, le prof me plaça dans une rangée plus proche de son bureau, que Lui. La vue de sa sublime plastique, ne m'était donc accessible que dans les rangs ou dans la cour. A cette époque, il ne savait pas encore que j'étais subjugué par la partie dorsale de son anatomie.
Il était blond, des yeux bleus, le teint très clair. Si je le traquais du regard, je n'aurais jamais eu le courage de l'aborder. Il était beaucoup plus musclé que moi ! Je suppose que lui n'était pas intéressé par moi. Jamais il ne m'a regardé.
Pourtant, j'ai tout fait pour attirer son attention. Lentement, j'ai changé de place avec d'autres camarades, pour me trouver dans sa ligne de vue. Petit à petit, je me suis retrouvé juste devant lui. J'avais décidé que, si je ne pouvais pas le regarder, autant me montrer à lui. La plupart des élèves, y compris moi, portions des pantalons. Je me suis mis à m'habiller en short, pour lui montrer mes jambes. Sans effet, sauf les moqueries des autres. Peu à peu, mes shorts raccourcissaient et devenaient plus serrés. Après, j'ai cessé de mettre des slips. Mes fesses devenaient proéminentes. Les shorts faisaient ressortir ma raie. Je suis devenu l'élève le plus assidu de la classe. Je participais à tout les cours. Je levais le doigt tout le temps. Tout était prétexte à me lever. Du coup, il été obligé de voir mon anatomie. A force, il s'est aperçu de mon manège. D'autant plus que les autres élèves pouffaient de rire. Puis, un jour, dans la cour de récréation, il m'aborda, accompagné de ses copains.
- Eh ! Qu'est-ce que tu cherches ? Je suis pas pédé, alors va montrer ton cul ailleurs !
Le destin est parfois coquin. Ma famille est partie de cette ville, puis s'est disloquée. Mes parents se sont séparés et, comme conséquence, on m'a placé dans un lycée technique, loin d'eux, et en internat. J'avais 18 ans.
C'est là que j'ai eu ma première expérience sexuelle. Avec tout mes déboires familiaux, et sentimentaux, j'étais atteint d'énurésie. En clair, je pissais au lit. Les autres élèves de l'internat se plaignaient de l'odeur. Le surveillant du dortoir, mis au courant, m'avait placé dans un lit, au plus bas étage. La première nuit, j'ai été repèré.
Un garçon, plus âgé que moi, vint glisser sa main dans mon slip, et m'a masturbé. Quand il m'a senti au bord de l'éjaculation, il a repoussé la literie, et a embouché ma bite. Il a tout avalé. J'étais subjugué. J'ai appris que ce manège durait depuis des lustres dans ce dortoir. Le surveillant faisait sa ronde à heure fixe. Les élèves interessés attendaient la fin de la tournée, pour se mettre en action.
Les plus âgés des élèves, logeaient à l'étage supérieur. Un soir, ils firent irruption dans le nôtre. Ils étaient en rang, vêtus uniquement d'un slip, un polochon sur l'épaule extèrieure. Ils psalmodiaient tous la même phrase :
- On vient vous prévenir, préparez-vous ! On reviendra demain.
Ils ont traversé le dortoir, aller-retour, pour remonter à leur étage. Je me suis relevé sur mes coudes pour les regarder passer. C'est là que je l'ai reconnu. Ce cul ! Jamais je n'aurais pu l'oublier ! J'ai recommencé à rêver de lui. Je le voyais, le slip baissé, me tendant sa bite. Moi, j'entrouvrais mes lèvres. Il s'approchait de moi, la glissait sur ma langue. Je refermais ma bouche sur le sublime attribut. Alors, il passait ses mains derrière ma nuque et s'activait. Ses hanches poussaient sa bite raide comme un gourdin, au fond de ma gorge,d'avant en arrière, de plus en plus vite. Puis, au bord de l'éjaculation, son pubis vint se coller à mes lèvres. Un sursaut de ses hanches, et un gémissement ponctuèrent le jet de sperme que j'avalais goulûment. Quand ce fut fini, avec ma langue, je nettoyai le membre adoré.
Il se pencha alors à mon oreille et murmura ;
- Demain, je t'encule...
Et, effectivement, le lendemain, il revint. Il souleva les couvertures pour se glisser dans mon lit. J'étais à poil, tourné vers le mur, les fesses offertes. Avant de s'allonger, il se pencha vers mon cul, écarta mes fesses et me souffla :
- Je vais te lubrifier, comme ça t'auras pas mal...
J'ai répondu :
- Plus lubrifié que ça, c'est pas possible, répondis-je. Je m'y suis mis avec mon doigt, toute la nuit, en t'attendant.
Il s'allongea sous les couvertures, les hanches collées à mes fesses. J'ai attrapé son manche, et j'ai collé son gland sur mon trou. Il m'a alors attrapé par la taille, et d'un solide coup de reins, il s'est enfoncé en moi. Il a déposé un baiser dans mon cou, puis s'est activé. D'abord lentement, histoire de me faire sentir la taille de son instrument. Il a senti mon léger trésaillement. Galvanisé par ma réaction, il s'est rué. Il a attrapé ma bite et s'est mis à me branler. Quand sa bite s'enfonçait dans mon cul, la mienne faisait le même chemin dans sa main. Finalement, nous avons joui ensemble.
- Je sais que tu aimes te montrer...Si tu veux que tout le monde sache que je te baises, t'as qu'à crier.
Je me suis remis à genoux. Il fit de même, sans sortir de mon cul. J'ai alors poussé un gros gémissement. Les éléves qui dormaient à proximité s'éveillèrent. Ils n'en croyaient pas leurs yeux. Pourtant, il en est un qui a profité de la situation. Hubert s'est approché, m'a pris par les cheveux, a relevé ma tête, et m'a plongé sa bite dans la bouche.
Il s'est activé entre mes lèvres. Alors, soit il avait déjà fait ça avant, soit il nous épiait depuis un moment.
Gilles, c'est son prénom, m'a baisé toutes les nuits, pendant deux ans. De temps en temps, quand il partait dormir, Hubert venait prendre sa place. Vous allez dire, mais il dort quand ? Ben pendant les cours !
Du coup, j'ai raté mes études. J'ai appris un métier, trouvé un emploi, où j'ai retrouvé....Gilles ! Nous avons repris nos joutes, puis un jour, il a disparu, sans laisser de traces.

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