Ma nana de la plage
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma nana de la plage
J'habite à l'année une villa "pied dans l'eau". C'est-à-dire sur la Méditerranée à 200 mètres de la plage. Il m'arrive souvent de regarder les jolies nanas qui se promènent. J'en repère une, un mois de juillet qui me semble plus désirable que les autres. J'ajoute qu'elle ne se mêle rarement aux touristes habituels. En faisant mes courses au village, je la vois plusieurs jours de suite. Les contacts humains sont plus faciles, chez moi, dans le Midi. Comme je le vois presque tous les jours, je pense qu'elle est une nouvelle habitante. Je lui adresse la parole, elle sourit en me répondant. Son visage est transformé par ce simple sourire, elle en plus elle est belle et sexy.
Le lendemain je la rencontre encore: après les sourires nous bavardons un moment: j'apprends qu'elle vient juste de s'installer à Pallavas. Je lui propose mes services pour le cas où elle aurait besoin de quelque chose, n'importe quoi. Par exemple l'emmener à Montpellier pour faire des courses par exemple. Elle accepte avec plaisir. Je li donne mon adresse, elle en prend note.
Le lendemain assez tôt quelque un sonne chez moi. C'est elle: si je pouvais la mener à un supermarché, ça l'arrangerait. J'accepte: j'ai des courses à faire: j'en profiterai. Pour me remercier, elle m'invite à déjeuner chez elle. Je retourne chez moi pour attendre une heure convenable. Elle me reçoit en petite tenue, celle qu'elle porte sur la plage. Enfin je la vois presque nue: elle est très sexy. Je me demande si elle n'en profite pas un peu: ou elle est aguicheuse ou n'a peur de rien. Nous bavardons un peu. Je lui dit qu'elle est bien faite, qu'elle me plait beaucoup. En rougissant elle répond que moi aussi je lui plait. Nous arrêtons un instant ces balivernes: nous savons l'un et l'autre comment tout va finir. Je préfère arrêter là, par contre je l'invite pour l'après midi, rien que pour voir les gens plus ou moins bronzés. Elle accepte de bon cœur.
Quand elle vient il est un peu tôt à peine 14 heures 30. Nous nous installons sur les fauteuils du balcon. Elle me demande où elle pourrait se changer: ma chambre. Au bout d'un long moment elle appelle au secours. Que ce passe -t-il ? Ce n'est rien de grave: elle a bloqué la fermeture éclair de sa jupe. J'essaye tant bien que mal, à la débloquer. Je la fait descendre: j'ai réussi. Elle descend sa jupe sans se soucier de ma présence. Je la regarde faire avec une seule envie: la voir nue. Elle me tourne le dos: je peux voir beaucoup de choses: son corps est parfait. Elle ne souci pas de moi; elle enlève sa culotte: je vois ses fesses nues. J'ai envie d'elle. Elle enlève son soutien gorge: elle est nue dans ma chambre. Je toussote pour lui faire comprendre que je suis là. Dans un réflexe elle se tourne pour voir. Sa position est celle de certains tableaux, une main sur son bas ventre, les avant bras sur sa poitrine. En tout cas le peu que j'ai vue conforte mon avis: elle me plait. Je la rassure: je ne lui veux pas de mal. En tout cas, quand elle voit une bosse sur mon pantalon elle comprend vite. Je retourne sur le balcon. Elle arrive un moment après: elle porte un tout petit string qui ne cache rien, c'est presque mieux que nue. Par contre elle a les seins nus.
Nous regardons les gens dehors. Elle commente les physiques des uns et des autres, particulièrement les filles. Je lui donne raison. Je lui dis surtout que j'ai envie d'elle. Elle me regarde, me sourit comme d'habitude. Je me penche vers sa bouche, mes lèvres se posent sur les siennes, sa langue vient dans ma bouche. Notre baiser dure longtemps. Je l'enlace, elle me tient pas les épaules. J'essaye de la peloter; elle se laisse faire. En posant une main sur son genou, elle me caresse la tête. Je monte vers sa féminité: elle écarte les jambes. J'écarte le string. Il est tout mouillé. Je passe un doigt dans toute sa raie. Quand je suis sur le bouton, elle me tient la main, comme ça, rien que pour être en contact avec moi. Je la caresse lentement. Elle se crispe vite dans un orgasme que je n'attendais pas si vite. Elle se lève, enlève son tout petit vêtement, viens me donner ses seins à embrasser. Elle se met sur mes genoux. Elle pose sa main sur ma bite, la caresse comme si elle essayait de me faire jouir. Elle sort ma bite, la regarde: elle lui plait beaucoup, s'est en tout cas ce qu'elle me dit. Elle me branle comme seule une vrai femme sait le faire. Son corps nu me donne une envie folle d'elle.
Je me lève à mon tour me serre contre elle: ses seins sont durs sur ma poitrine. Elle enlève mon t-shirt, défait ma ceinture, descend on pantalon: je suis nu comme elle. Son bas ventre se colle contre ma bite.
Où est la fille pudique de la chambre de tout à l'heure ? Mes mains sur ses fesses vont de plus en plus bas: j'arrive à son anus. Je le caresse comme si c'était son con. Elle réagit de belle manière: oui, oui encore. Je lui doigte le cul. Elle recommence en ajoutant plus profond. Je lui met tout de que je peux de doigts, j'en rajoute un autre: elle se lasse aller à son plaisir: je sens son sphincter se fermer et s'ouvrir pendant son orgasme. Je suis obligé de la soutenir. Elle m'embrasse: merci de me donner ce plaisir que j'aime.
On ne peut dire une telle chose aussi érotique à un homme qui bande. Telle qu'elle est, c'est-à-dire nue, je la fait mettre contre la balustrade du balcon. Je lui ai bloqué les fesses. Elle écarte bien les jambes: je peux enfin la lui mettre. Elle écarte les lèvres vaginales je peu la baiser avec, pour elle un autre plaisir que dans le cul. Je vais et viens accompagnés par elle. Elle jouit plusieurs fois: je le sens à chaque fois: c'est très agréable de sentir un vagin qui jouit. Elle me fait sortir d'elle, me tourne le dos, se penche par-dessus la balustrade: encules moi.
Ma queue raide est bien mouillée par sa cyprine. Elle écarte les fesses pour faciliter mon passage. Je lui rentre ma pine très vite: son cul est préparé à la sodomie. Je la sens se révéler encore plus. Je passe une main par devant à la recherche de son bouton. Je le branle également. C'est encore une litanie de oui, oui, encore, plus profond et enfin je jouis.
C'est par là qu'elle jouit le mieux. Pour moi je préfère son cul où je jouis bien mieux que par devant. Nous faisons l'amour souvent depuis plusieurs années. Je ne veux pas la perdre... elle baise bien !
Le lendemain je la rencontre encore: après les sourires nous bavardons un moment: j'apprends qu'elle vient juste de s'installer à Pallavas. Je lui propose mes services pour le cas où elle aurait besoin de quelque chose, n'importe quoi. Par exemple l'emmener à Montpellier pour faire des courses par exemple. Elle accepte avec plaisir. Je li donne mon adresse, elle en prend note.
Le lendemain assez tôt quelque un sonne chez moi. C'est elle: si je pouvais la mener à un supermarché, ça l'arrangerait. J'accepte: j'ai des courses à faire: j'en profiterai. Pour me remercier, elle m'invite à déjeuner chez elle. Je retourne chez moi pour attendre une heure convenable. Elle me reçoit en petite tenue, celle qu'elle porte sur la plage. Enfin je la vois presque nue: elle est très sexy. Je me demande si elle n'en profite pas un peu: ou elle est aguicheuse ou n'a peur de rien. Nous bavardons un peu. Je lui dit qu'elle est bien faite, qu'elle me plait beaucoup. En rougissant elle répond que moi aussi je lui plait. Nous arrêtons un instant ces balivernes: nous savons l'un et l'autre comment tout va finir. Je préfère arrêter là, par contre je l'invite pour l'après midi, rien que pour voir les gens plus ou moins bronzés. Elle accepte de bon cœur.
Quand elle vient il est un peu tôt à peine 14 heures 30. Nous nous installons sur les fauteuils du balcon. Elle me demande où elle pourrait se changer: ma chambre. Au bout d'un long moment elle appelle au secours. Que ce passe -t-il ? Ce n'est rien de grave: elle a bloqué la fermeture éclair de sa jupe. J'essaye tant bien que mal, à la débloquer. Je la fait descendre: j'ai réussi. Elle descend sa jupe sans se soucier de ma présence. Je la regarde faire avec une seule envie: la voir nue. Elle me tourne le dos: je peux voir beaucoup de choses: son corps est parfait. Elle ne souci pas de moi; elle enlève sa culotte: je vois ses fesses nues. J'ai envie d'elle. Elle enlève son soutien gorge: elle est nue dans ma chambre. Je toussote pour lui faire comprendre que je suis là. Dans un réflexe elle se tourne pour voir. Sa position est celle de certains tableaux, une main sur son bas ventre, les avant bras sur sa poitrine. En tout cas le peu que j'ai vue conforte mon avis: elle me plait. Je la rassure: je ne lui veux pas de mal. En tout cas, quand elle voit une bosse sur mon pantalon elle comprend vite. Je retourne sur le balcon. Elle arrive un moment après: elle porte un tout petit string qui ne cache rien, c'est presque mieux que nue. Par contre elle a les seins nus.
Nous regardons les gens dehors. Elle commente les physiques des uns et des autres, particulièrement les filles. Je lui donne raison. Je lui dis surtout que j'ai envie d'elle. Elle me regarde, me sourit comme d'habitude. Je me penche vers sa bouche, mes lèvres se posent sur les siennes, sa langue vient dans ma bouche. Notre baiser dure longtemps. Je l'enlace, elle me tient pas les épaules. J'essaye de la peloter; elle se laisse faire. En posant une main sur son genou, elle me caresse la tête. Je monte vers sa féminité: elle écarte les jambes. J'écarte le string. Il est tout mouillé. Je passe un doigt dans toute sa raie. Quand je suis sur le bouton, elle me tient la main, comme ça, rien que pour être en contact avec moi. Je la caresse lentement. Elle se crispe vite dans un orgasme que je n'attendais pas si vite. Elle se lève, enlève son tout petit vêtement, viens me donner ses seins à embrasser. Elle se met sur mes genoux. Elle pose sa main sur ma bite, la caresse comme si elle essayait de me faire jouir. Elle sort ma bite, la regarde: elle lui plait beaucoup, s'est en tout cas ce qu'elle me dit. Elle me branle comme seule une vrai femme sait le faire. Son corps nu me donne une envie folle d'elle.
Je me lève à mon tour me serre contre elle: ses seins sont durs sur ma poitrine. Elle enlève mon t-shirt, défait ma ceinture, descend on pantalon: je suis nu comme elle. Son bas ventre se colle contre ma bite.
Où est la fille pudique de la chambre de tout à l'heure ? Mes mains sur ses fesses vont de plus en plus bas: j'arrive à son anus. Je le caresse comme si c'était son con. Elle réagit de belle manière: oui, oui encore. Je lui doigte le cul. Elle recommence en ajoutant plus profond. Je lui met tout de que je peux de doigts, j'en rajoute un autre: elle se lasse aller à son plaisir: je sens son sphincter se fermer et s'ouvrir pendant son orgasme. Je suis obligé de la soutenir. Elle m'embrasse: merci de me donner ce plaisir que j'aime.
On ne peut dire une telle chose aussi érotique à un homme qui bande. Telle qu'elle est, c'est-à-dire nue, je la fait mettre contre la balustrade du balcon. Je lui ai bloqué les fesses. Elle écarte bien les jambes: je peux enfin la lui mettre. Elle écarte les lèvres vaginales je peu la baiser avec, pour elle un autre plaisir que dans le cul. Je vais et viens accompagnés par elle. Elle jouit plusieurs fois: je le sens à chaque fois: c'est très agréable de sentir un vagin qui jouit. Elle me fait sortir d'elle, me tourne le dos, se penche par-dessus la balustrade: encules moi.
Ma queue raide est bien mouillée par sa cyprine. Elle écarte les fesses pour faciliter mon passage. Je lui rentre ma pine très vite: son cul est préparé à la sodomie. Je la sens se révéler encore plus. Je passe une main par devant à la recherche de son bouton. Je le branle également. C'est encore une litanie de oui, oui, encore, plus profond et enfin je jouis.
C'est par là qu'elle jouit le mieux. Pour moi je préfère son cul où je jouis bien mieux que par devant. Nous faisons l'amour souvent depuis plusieurs années. Je ne veux pas la perdre... elle baise bien !
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