Ma nouvelle voisine PARTIE 1 - histoire érotique

Partie 1 :

Je sursaute, la sonnette a retenti. Je mets sur pause mon jeu vidéo et je me dirige vers la porte d’entrée. Qui peut bien arriver un dimanche après-midi. J’ouvre, un joli sourire se dresse devant moi. La robe fleurie assortie avec des collants mauves me fait beaucoup d’effet.
— Salut, je viens de m’installer dans l’immeuble, et je vais connaissance avec le voisinage.
— Salut… je…
— Je m’appelle Cyri, je peux entrer ?
— Oui.
Elle entre, ma vision se fixe sur ses longues jambes recouvertes de nylon. Ses bottines en daim viennent sublimer le tout. Ma voisine s’installe sur le canapé de mon petit salon.
— Je suis désolé si c’est en bordel.
— C’est ma faute, j’aurais dû prévenir avant de mon arrivée, moi aussi je n’aime pas accueillit des gens à l’improviste. Si jamais tu as du thé ou du café, je suis preneuse.
Sa voix dégage un sentiment serein. Ses petites lunettes rondes lui illuminent le visage. Je fais deux pas vers la cuisine et actionne la machine à café.
— J’ai oublié de me présenter…
— Tu es Arthur Larsen, j’ai vu ton nom sur la boite aux lettres dans le hall.
Tout juste ! Je m’assois à côté d’elle.
— Tu fais quoi dans la vie ? me demanda ma nouvelle voisine.
— Je suis à l’université, dans le domaine de la communication digitale.
— Cela doit être passionnant, j’ai fait des études pour devenir agente immobilière. J’ai cru que c’est mon métier des rêves, l’ambiance n’est pas folle, je n’arrive pas m’épanouir à l’intérieur. J’essaye de trouver une autre activité plus créative, mais ce n’est pas évident.
Sa voix ressemble à une mélodie aiguë, mais stimulante. Elle reprend.
— Depuis toute petite, je dessine et je fais de la musique, un jour je dois te montrer mes talents de violoncelliste, et toi tu pratiques un instrument de musique.
— J’aimerais beaucoup faire de la flûte traversière, mais je n’ai pas le temps avec les cours à la fac.
La machine de café produit un son indiquant que la boisson est prête. J’attrape deux tasses dans le placard et je les remplis. Je marche doucement et je transmets un café à Cyri. Elle le saisit en provoquant quelques vagues, et du liquide chaud atterrit sur ses jambes.
— Je suis désolé.
— Non, Arthur c’est moi je suis très maladroite.
Je déplace vers la cuisine et je lui donne une éponge. Cyri frotte tant bien que mal son collant pour retirer la tache de café.
— T’inquiète je ne me suis pas brulé, et ton canapé n’a aucune tache. Je n’ai aucune notion d’espace, du coup je me cogne un peu souvent et je déchire mes collants ce qui me rend très triste.
— Je comprends.
Cyri boit une gorgée avant de reprendre.
— Tu as des frère et sœur ?
— Une grande sœur…
— Cela doit être génial, moi je suis fille unique, dans ma jeunesse je m’ennuyais beaucoup, mes parents m’interdisaient d’inviter des amies autres période de vacances scolaires.
La voisine termine son café.
— Tu me fais visiter ton appartement ?
— C’est un T2, allons-y tu as l’air motivé.
Je pose ma tasse sur la table basse. Cyri réajuste sa jupe avant de mon suivre.
— Voici ma belle cuisine salon avec une immense baie vitrée.
On pénètre dans un couloir à gauche où se trouve la salle de bain et à droite ma chambre.
— Tu es un gameur !
Sans attendre ma réponse, elle s’approche de mon pc, elle observe l’écran sur lequel mon jeu est en pause. Elle se baisse pour admirer ma tour, une vitre permet de voir tous mes composants à l’intérieur.
— Moi j’ai un vieux pc portable que je dois changer, je dois aller chez une amie pour jouer sur son pc.
Je m’approche d’elle.
— Si tu as un peu de temps, je te laisse jouer sur mon pc.
— C’est super gentil, mais je ne veux gâcher tout ton après-midi.
— Tu ne me gâches rien, au contraire tu illumines mon aprèm.
Cyri s’installe sur le fauteuil, elle sauvegarde et quitte le jeu en cours. J’attrape une chaise dans la cuisine et je m’installe à côté d’elle. Le reste de l’après-midi se passe à une vitesse folle, on papote sans aucune gêne. Un moment Cyri cri, car elle a perdu à un niveau qu’elle n’arrive pas passer. Je pouffe de rire.
— Vas-y rigole, mon cri est celui d’une petite fille de dessin animé c’est ça !
— Je n’ai pas fait le rapprochement, mais c’est bien ça.
Cyri quitte le jeu, elle en a marre de perdre. Elle me lève et me dirige vers moi.
— Il est tard, je pense partir.
— Tu pourrais rester pour manger, dis-je.
— D’accord, mais je veux faire à manger, je n’ai pas envie de faire passer pour une touriste.
— Tu pourras trouver ce que tu veux dans mes placards.
On se dirige vers la cuisine, et Cyri fouille dans les placards pour trouver les ingrédients. Elle prend tout ce qu’elle veut et commence à préparer le repas.
— Sinon niveau amour cela se passe comment ?
Ma voisine se reprend très vite.
— Désolée, si tu ne veux pas répondre c’est ton droit.
— Je n’ai pas trouvé la bonne personne. En même temps, je ne cherche pas trop.
— Tu as raison, si tu es épanouie où est le problème, moi c’était toujours la galère, les mecs avec qui je sors sont tellement macho que cela dur que quelques mois. Cela va faire bientôt un an que je suis seule, mais je ne suis pas en manque. Mes sex-toys me satisfaient aisément.
La femme ouvre le robinet pour remplir une marmite.
— En parlant de sexe tu regard quelle catégorie de porn ? Si tu souhaites me répondre bien sûr.
— Devine, dis-je avec le sourire.
Pourquoi j’ai dit ça ? Mon cœur bat de plus en plus vite. Cela ne fait même pas une journée qu’on se connait et on parle de sexe.
— La catégorie lesbienne excite tous les hommes, je ne vais pas répondre ça. Je dirais la domination/soumission, tu fantasmes d’être soumis à une femme.
Je reste immobile, comment réagir à ça ? Ma voisine reprend très vite.
— J’ai un fantasme plutôt fou, tu connais les cages de chasteté.
Je fais un signe de la tête.
— J’aimerais essayer, du moins garder les clefs d’un mec qui à son pénis enfermé. Rien d’en parler, je suis tout excitée. Avec le locktober en approche, ça sera un bon moyen d’essayer, si tu es d’accord, bien sûr.