Ma petite entreprise Ep 02 Le Festival du cul
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma petite entreprise Ep 02 Le Festival du cul
Ma petite entreprise Ep 02
Le Festival du cul
On se levait tôt, On roulait une grosse partie de la journée, quand nous arrivions l'après midi était très avancé. On remplissait les formalités, au moins pour ça tout était bien organisé et se passait très bien.
Mais c'était tout de même une déception, notre stand n'était pas des mieux placé. Un peu en retrait, coincé entre deux grosse installation, on ne nous voyait pas beaucoup. Ça nous avait pourtant coûté cher. Enfin on se remotivait et on s'installait.
Une tenture claire décorait le tout et rapidement on sortait nos modèles. On installait les pub, on n'était pas très bien organisé, nos moyens étaient limités et notre expérience sur ce genre de forum était nulle !
Un homme qui s'intéressait à nos produit. Il regardait tout ça longuement, posait quelques questions et notre première vente était réglée. Nous avions de quoi nous offrir un petit restau, sinon nous aurions mangé un sandwich. Il n'en fallait pas plus pour nous remonter le moral.
Puis en début de soirée c'était l’inauguration, les haut parleurs crachaient de la musique de plus en plus fort, les visiteurs arrivaient. Rapidement les visiteurs se dénudaient, ils gardaient leurs chaussures, pour le reste chacun faisait comme il voulait, tout était permis.
Deux hommes passaient, l'un tenait l'autre en laisse. Ils étaient nus, à part les chaussures. Ils portaient un harnais en cuir. À la demande du premier le second se mettait à quatre pattes et devant tout le monde se faisait enculer par le premier. Ces deux là faisaient le tour de la foire et régulièrement s'amusait à donner ce petit spectacle.
D'autre couples, groupes passaient, s'arrêtait, il y avait foule …
Mais personnes ne nous remarquait. Avec Dave on s'est regardé dans le blanc des yeux pendant toute la soirée. On n'était pas vraiment futé, c'est vrai quoi, on portait ce qu'on voulait vendre et on le cachait, on a donc décidé de se mettre à poil. Un de nous faisait alors les cent pas devant le stand.
On aurait du le faire un peu plus tôt, rapidement plusieurs personnes s'arrêtaient et nous admirait, on parvenait à vendre un deuxième dispositif. C'était la joie, on avait rapidement oublié qu'il nous restait encore presque sept cent dispositifs à vendre.
Juste avant de fermer le stand, on arrivait à en vendre un autre. Puis le calme retombait, tous les autres stands fermaient. On nous conseillait de faire pareil en nous expliquant qu'il n'y aurait plus de passage dans ce coin du festival.
On est allé mangé, il y avait des restaurants rapides qui ne coûtaient pas cher. Un grand nombre de stands fermaient. Chacun disposait d'un coffre pour mettre la marchandise en sécurité. C'était bien organisé.
On déambulait un moment puis on arrivait à la boite de nuit. Il y en avait trois. Une pour les hommes, une pour les femmes la dernière était mixte. On a choisi le première. Presque tout le monde était à poil. À peine entré un homme bien costaud nous attrapait en nous posant ses mains sur nos épaules.
– Mais vous êtes tout mignons tous les deux comme ça ! On était resté à poil.
– Qui nous ? Répondait Dave.
– Vous ne me reconnaissez pas ? Répondait-il.
On le regardait de la tête au pied. Il avait des chaussures de marche, il était bien large, un corps bien épais, assez grand. Une sorte de gros nounours bien musclé avec une bite bien large, bien longue. C'était lui le patron de la boite. Il nous payait un verre.
– C'est moi qui vous ai acheté un dispositif à votre arrivée, vous n'aviez pas encore tout déballé.
Là on le reconnaissait.
– C'était pour lui. Nous disait-il en montrant le petit jeune tout mignon qui dansait sur le gogo.
– Et il le porte en plus. Faisait remarquer Dave.
– Et il n'est pas près de le retirer.
– C'est une bonne idée ! Répondais-je.
– Vous savez les jeunes, il y a plusieurs clients qui porte un dispositif ' Le Château '. Mais Tinni m'a dit que votre dispositif était bien plus confortable. Tinni c'était le gogo danseur, mais vous aviez deviné !
– C'est un dispositif très confortable, on peut le porter sur de longues périodes … C'était mon réflexe de vendeur qui se faisait entendre.
Il nous a installé à une table nous apportait une bouteille et quelques minutes plus tard les clients qui avaient le dispositif '' le château '' se retrouvait à notre table et on parlait.
On a dansé aussi, là c'était chaud. Tout un tas de mains glissaient sur mon corps. On me tripotait les couilles, plusieurs me demandaient ou j'avais trouvé mon dispositif.
Les moments de slow étaient vraiment chauds. Je me retrouvais dans les bras gros balaise, il était tendre, sa fourrure était aussi douce que épaisse. Je sentais son énorme queue qui se relevait contre mon ventre. Au début elle pendait lourdement mais ça n'a pas duré. Il me prenait la main et sans me demander mon avis m'entraînait vers un recoin de la salle.
Il me tripotait les couilles et mon dispositif semblait bien l'amuser. Pendant un moment il m'écrasait les couilles et tirait dessus en même temps qu'il se branlait.
J'étais impressionné, il avait vraiment une très grosse queue.
– J'adore ce genre de truc ! Me disait-il.
– Justement, j'en vend. Lui répondais-je.
– Pas pour moi, pas la dessus, sur les autres oui. Il parait que les porteurs sont très chauds du cul.
Puis il continuait, me retournait contre le mur, il portait un petit sac accroché à son poignet, il en sortait du gel intime, s'en enduisait la queue, cette énorme queue puis se plaçait juste derrière moi.
– Tu respires bien à fond ça passera mieux.
Il a poussé, il a poussé fort. Par réflexe j'ai résisté, c'était une erreur, car il poussait alors plus fort. J'ai hurlé, avec la musique personne n'a rien entendu. J'ai hurlé encore plus fort quand mon cul à lâché. Il est rentré avec violence, il s'est enfoncé sur une bonne partie de sa longueur puis s'arrêtait.
Il faisait une pause rapide et voyant que ça glissait bien il continuait là je me prenais sa queue sur toute sa longueur. Je ne criais plus mais je vous jure que là j'ai dégusté.
Au début c'était l'horreur, ensuite il m'a limé longuement. Puis il s'est retiré, là brusquement ça allait mieux.
– Bouge pas de là ! Me disait-il.
Il partait chercher deux verres. Quand il revenait il bandait toujours, il avait un peu traîné, il s'était fait tripoté par tout le monde au passage. Il attirait tout le monde avec son énorme bite.
Je m'étais appuyé le dos au mur mur, j'étais toujours au même endroit. J'avais mal au cul. Il me tendait un verre, je le buvais cul-sec il en faisait de même. Ensuite il s'installait à côté de moi et continuait à s'amuser avec mes couilles. Il trouvait drôle de les écraser dans la paume de sa main puis me les relâchait, un peu plus fort puis recommençait.
Il passait ensuite une main sur mes fesses et me les malaxait. Rapidement il glissait un doigt puis deux dans mon cul. Il les rentrait bien à fond et les agitait. Étrangement, contrairement à ce que je craignais il ne me faisait pas mal du tout à ce moment. Au contraire même, il me prodiguait un très grand plaisir. Il s'en rendait compte et de nouveau me retournait contre le mur.
Il se lubrifiait de nouveau la queue, il n'avait toujours pas débandé, et me l'enfonçait rapidement dans le cul. J'ai eu très peur à ce moment. Mais là, il ne m'a pas fait mal du tout. Au contraire j'ai ressenti un plaisir intense.
Je le sentais me dilater les entrailles, je sentais chaque millimètre glisser contre mon anus. Il était tellement distendu que j'avais l'impression qu'il allait déchirer. Mais ce n'était pas douloureux, c'était intense, affolant mais ça ne faisait pas mal et j'aimais.
Il s'enfonçait en moi et enfin je ressentais son ventre qui s'écrasait contre mes fesses.
Là j'ai joui, j'ai joui comme jamais. Ma cervelle était en feu. Je n'ai pas éjaculé, je suis resté parfaitement sec mais j'ai joui. J'ai joui intensément même.
Il continuait à me limer, je ne savais plus ou j'en étais. Je ne savais plus s'il avait joui ou pas. J'étais à un doigt de perdre connaissance, c'était incroyable, terrifiant mais tellement délicieusement affolant.
J'ai senti qu'il jouissait, je l'ai senti à son souffle dans mon oreille, il gémissait de plaisir et moi je jouissais toujours. Mon orgasme durait dans le temps. Ils se retirait. Je suis resté là un moment à récupérer puis plus tard j'ai retrouvé mon associé Dave, on ne savait pas trop ou dormir.
On s'est installé dans notre stand, on avait des sacs de couchage, on n'a pas trop mal dormi.
Il devait être neuf heures du matin quand on s'est réveillé, c'est le bruit qui nous a réveillé. On était toujours à poil et moi j'avais mal au cul. Rien ne pressait on ouvrait le stand sans se presser et là c'était la surprise.
Il y avait tout un tas de monde qui nous attendait.
Je n'ai pas compris tout de suite ce que se passait.
Les gens que j'avais rencontré la veille, tous ceux qui portait un dispositif du ' Château ' étaient là. Ils voulaient voir les dispositifs que nous avions. Nos dispositif paraissaient tellement plus confortables qu'ils voulaient les voir de près et certains voulaient même en essayer un.
Nous étions pris de cour, surpris, pris de court on ouvrait le coffre et rapidement on sortait plusieurs modèles. Nos clients se jetaient dessus. De toutes évidences on avait parlé de nous, la veille nous étions inconnu. Ce matin là nous étions repérés.
On présentait nos dispositifs, on argumentait et plusieurs clients retiraient leur dispositif et enfilaient le nôtre. Ils se montraient, nous n'avions pas vu souvent nos dispositif porté par quelqu'un d'autre que nous. Les quelques clients qui avait testé nos cages bien sûr mais c'est tout.
Ils étaient beaux à regarder, libres de leurs mouvements. Le succès était immédiat, ils ont tous adopté.
On nous félicitait, le dispositif était jugé très confortable. Bien mieux que le dispositif du château.
L'espoir renaissait, nous avons fait plus d'une vingtaine de ventes rien que le matin. Il fallait nous voir, nous arborions un large sourire satisfait. Plus que six cent quatre vingt dispositifs à vendre et nous aurions réussi notre pari.
On se faisait livrer un repas pour le midi, on avait bien trop peur de nous éloigner et de louper quelques ventes. Je passais prendre une douche, Dave y allait ensuite. On a fait quelques ventes supplémentaire.
Le soir, en faisant les comptes, on se félicitait nous avions fait un total de plus de soixante dispositifs.
Le directeur de la boite de nuit m'invitait et distribuait ma pub. Il était très content pour Tinni, enfin il était content d'avoir un petit copain en cage qui ne se plaignait pas tout le temps du manque de confort.
Beaucoup de personnes passaient par là tous les soirs, il distribuait aussi ma pub dans les deux autres boites de nuit et de strip-tease.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le Festival du cul
On se levait tôt, On roulait une grosse partie de la journée, quand nous arrivions l'après midi était très avancé. On remplissait les formalités, au moins pour ça tout était bien organisé et se passait très bien.
Mais c'était tout de même une déception, notre stand n'était pas des mieux placé. Un peu en retrait, coincé entre deux grosse installation, on ne nous voyait pas beaucoup. Ça nous avait pourtant coûté cher. Enfin on se remotivait et on s'installait.
Une tenture claire décorait le tout et rapidement on sortait nos modèles. On installait les pub, on n'était pas très bien organisé, nos moyens étaient limités et notre expérience sur ce genre de forum était nulle !
Un homme qui s'intéressait à nos produit. Il regardait tout ça longuement, posait quelques questions et notre première vente était réglée. Nous avions de quoi nous offrir un petit restau, sinon nous aurions mangé un sandwich. Il n'en fallait pas plus pour nous remonter le moral.
Puis en début de soirée c'était l’inauguration, les haut parleurs crachaient de la musique de plus en plus fort, les visiteurs arrivaient. Rapidement les visiteurs se dénudaient, ils gardaient leurs chaussures, pour le reste chacun faisait comme il voulait, tout était permis.
Deux hommes passaient, l'un tenait l'autre en laisse. Ils étaient nus, à part les chaussures. Ils portaient un harnais en cuir. À la demande du premier le second se mettait à quatre pattes et devant tout le monde se faisait enculer par le premier. Ces deux là faisaient le tour de la foire et régulièrement s'amusait à donner ce petit spectacle.
D'autre couples, groupes passaient, s'arrêtait, il y avait foule …
Mais personnes ne nous remarquait. Avec Dave on s'est regardé dans le blanc des yeux pendant toute la soirée. On n'était pas vraiment futé, c'est vrai quoi, on portait ce qu'on voulait vendre et on le cachait, on a donc décidé de se mettre à poil. Un de nous faisait alors les cent pas devant le stand.
On aurait du le faire un peu plus tôt, rapidement plusieurs personnes s'arrêtaient et nous admirait, on parvenait à vendre un deuxième dispositif. C'était la joie, on avait rapidement oublié qu'il nous restait encore presque sept cent dispositifs à vendre.
Juste avant de fermer le stand, on arrivait à en vendre un autre. Puis le calme retombait, tous les autres stands fermaient. On nous conseillait de faire pareil en nous expliquant qu'il n'y aurait plus de passage dans ce coin du festival.
On est allé mangé, il y avait des restaurants rapides qui ne coûtaient pas cher. Un grand nombre de stands fermaient. Chacun disposait d'un coffre pour mettre la marchandise en sécurité. C'était bien organisé.
On déambulait un moment puis on arrivait à la boite de nuit. Il y en avait trois. Une pour les hommes, une pour les femmes la dernière était mixte. On a choisi le première. Presque tout le monde était à poil. À peine entré un homme bien costaud nous attrapait en nous posant ses mains sur nos épaules.
– Mais vous êtes tout mignons tous les deux comme ça ! On était resté à poil.
– Qui nous ? Répondait Dave.
– Vous ne me reconnaissez pas ? Répondait-il.
On le regardait de la tête au pied. Il avait des chaussures de marche, il était bien large, un corps bien épais, assez grand. Une sorte de gros nounours bien musclé avec une bite bien large, bien longue. C'était lui le patron de la boite. Il nous payait un verre.
– C'est moi qui vous ai acheté un dispositif à votre arrivée, vous n'aviez pas encore tout déballé.
Là on le reconnaissait.
– C'était pour lui. Nous disait-il en montrant le petit jeune tout mignon qui dansait sur le gogo.
– Et il le porte en plus. Faisait remarquer Dave.
– Et il n'est pas près de le retirer.
– C'est une bonne idée ! Répondais-je.
– Vous savez les jeunes, il y a plusieurs clients qui porte un dispositif ' Le Château '. Mais Tinni m'a dit que votre dispositif était bien plus confortable. Tinni c'était le gogo danseur, mais vous aviez deviné !
– C'est un dispositif très confortable, on peut le porter sur de longues périodes … C'était mon réflexe de vendeur qui se faisait entendre.
Il nous a installé à une table nous apportait une bouteille et quelques minutes plus tard les clients qui avaient le dispositif '' le château '' se retrouvait à notre table et on parlait.
On a dansé aussi, là c'était chaud. Tout un tas de mains glissaient sur mon corps. On me tripotait les couilles, plusieurs me demandaient ou j'avais trouvé mon dispositif.
Les moments de slow étaient vraiment chauds. Je me retrouvais dans les bras gros balaise, il était tendre, sa fourrure était aussi douce que épaisse. Je sentais son énorme queue qui se relevait contre mon ventre. Au début elle pendait lourdement mais ça n'a pas duré. Il me prenait la main et sans me demander mon avis m'entraînait vers un recoin de la salle.
Il me tripotait les couilles et mon dispositif semblait bien l'amuser. Pendant un moment il m'écrasait les couilles et tirait dessus en même temps qu'il se branlait.
J'étais impressionné, il avait vraiment une très grosse queue.
– J'adore ce genre de truc ! Me disait-il.
– Justement, j'en vend. Lui répondais-je.
– Pas pour moi, pas la dessus, sur les autres oui. Il parait que les porteurs sont très chauds du cul.
Puis il continuait, me retournait contre le mur, il portait un petit sac accroché à son poignet, il en sortait du gel intime, s'en enduisait la queue, cette énorme queue puis se plaçait juste derrière moi.
– Tu respires bien à fond ça passera mieux.
Il a poussé, il a poussé fort. Par réflexe j'ai résisté, c'était une erreur, car il poussait alors plus fort. J'ai hurlé, avec la musique personne n'a rien entendu. J'ai hurlé encore plus fort quand mon cul à lâché. Il est rentré avec violence, il s'est enfoncé sur une bonne partie de sa longueur puis s'arrêtait.
Il faisait une pause rapide et voyant que ça glissait bien il continuait là je me prenais sa queue sur toute sa longueur. Je ne criais plus mais je vous jure que là j'ai dégusté.
Au début c'était l'horreur, ensuite il m'a limé longuement. Puis il s'est retiré, là brusquement ça allait mieux.
– Bouge pas de là ! Me disait-il.
Il partait chercher deux verres. Quand il revenait il bandait toujours, il avait un peu traîné, il s'était fait tripoté par tout le monde au passage. Il attirait tout le monde avec son énorme bite.
Je m'étais appuyé le dos au mur mur, j'étais toujours au même endroit. J'avais mal au cul. Il me tendait un verre, je le buvais cul-sec il en faisait de même. Ensuite il s'installait à côté de moi et continuait à s'amuser avec mes couilles. Il trouvait drôle de les écraser dans la paume de sa main puis me les relâchait, un peu plus fort puis recommençait.
Il passait ensuite une main sur mes fesses et me les malaxait. Rapidement il glissait un doigt puis deux dans mon cul. Il les rentrait bien à fond et les agitait. Étrangement, contrairement à ce que je craignais il ne me faisait pas mal du tout à ce moment. Au contraire même, il me prodiguait un très grand plaisir. Il s'en rendait compte et de nouveau me retournait contre le mur.
Il se lubrifiait de nouveau la queue, il n'avait toujours pas débandé, et me l'enfonçait rapidement dans le cul. J'ai eu très peur à ce moment. Mais là, il ne m'a pas fait mal du tout. Au contraire j'ai ressenti un plaisir intense.
Je le sentais me dilater les entrailles, je sentais chaque millimètre glisser contre mon anus. Il était tellement distendu que j'avais l'impression qu'il allait déchirer. Mais ce n'était pas douloureux, c'était intense, affolant mais ça ne faisait pas mal et j'aimais.
Il s'enfonçait en moi et enfin je ressentais son ventre qui s'écrasait contre mes fesses.
Là j'ai joui, j'ai joui comme jamais. Ma cervelle était en feu. Je n'ai pas éjaculé, je suis resté parfaitement sec mais j'ai joui. J'ai joui intensément même.
Il continuait à me limer, je ne savais plus ou j'en étais. Je ne savais plus s'il avait joui ou pas. J'étais à un doigt de perdre connaissance, c'était incroyable, terrifiant mais tellement délicieusement affolant.
J'ai senti qu'il jouissait, je l'ai senti à son souffle dans mon oreille, il gémissait de plaisir et moi je jouissais toujours. Mon orgasme durait dans le temps. Ils se retirait. Je suis resté là un moment à récupérer puis plus tard j'ai retrouvé mon associé Dave, on ne savait pas trop ou dormir.
On s'est installé dans notre stand, on avait des sacs de couchage, on n'a pas trop mal dormi.
Il devait être neuf heures du matin quand on s'est réveillé, c'est le bruit qui nous a réveillé. On était toujours à poil et moi j'avais mal au cul. Rien ne pressait on ouvrait le stand sans se presser et là c'était la surprise.
Il y avait tout un tas de monde qui nous attendait.
Je n'ai pas compris tout de suite ce que se passait.
Les gens que j'avais rencontré la veille, tous ceux qui portait un dispositif du ' Château ' étaient là. Ils voulaient voir les dispositifs que nous avions. Nos dispositif paraissaient tellement plus confortables qu'ils voulaient les voir de près et certains voulaient même en essayer un.
Nous étions pris de cour, surpris, pris de court on ouvrait le coffre et rapidement on sortait plusieurs modèles. Nos clients se jetaient dessus. De toutes évidences on avait parlé de nous, la veille nous étions inconnu. Ce matin là nous étions repérés.
On présentait nos dispositifs, on argumentait et plusieurs clients retiraient leur dispositif et enfilaient le nôtre. Ils se montraient, nous n'avions pas vu souvent nos dispositif porté par quelqu'un d'autre que nous. Les quelques clients qui avait testé nos cages bien sûr mais c'est tout.
Ils étaient beaux à regarder, libres de leurs mouvements. Le succès était immédiat, ils ont tous adopté.
On nous félicitait, le dispositif était jugé très confortable. Bien mieux que le dispositif du château.
L'espoir renaissait, nous avons fait plus d'une vingtaine de ventes rien que le matin. Il fallait nous voir, nous arborions un large sourire satisfait. Plus que six cent quatre vingt dispositifs à vendre et nous aurions réussi notre pari.
On se faisait livrer un repas pour le midi, on avait bien trop peur de nous éloigner et de louper quelques ventes. Je passais prendre une douche, Dave y allait ensuite. On a fait quelques ventes supplémentaire.
Le soir, en faisant les comptes, on se félicitait nous avions fait un total de plus de soixante dispositifs.
Le directeur de la boite de nuit m'invitait et distribuait ma pub. Il était très content pour Tinni, enfin il était content d'avoir un petit copain en cage qui ne se plaignait pas tout le temps du manque de confort.
Beaucoup de personnes passaient par là tous les soirs, il distribuait aussi ma pub dans les deux autres boites de nuit et de strip-tease.
A suivre
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sympa cool bien écrit j ai apprécie le scénario