Ma petite entreprise Ep 03 Ça démarre
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma petite entreprise Ep 03 Ça démarre
Ma petite entreprise Ep 03
Ça démarre
Le jour suivant, c'était le deuxième jour. On était satisfait de ce premier jour et on attendait beaucoup.
J'étais trop fatigué pour sortir en boite mais Dave avait traîné une partie de la nuit. Il avait eu beaucoup de contacts.
C'était un plaisir de voir son corps nu se déplacé dans ce décor décadent, des photos de nus partout, des vitrines de sex-shop. Il n'était pas le seul à être nu, mais lui ne l'était pas totalement, il portait ce petit dispositif de chasteté, c'était comme une petite marque un peu chic.
Il n'était pas seulement beau, il était sexy. Je le regardais s'éloigner de dos et ma bite se révoltait dans sa cage. Elle aurait du se résigner celle là, ce n'était pas après demain, l'avant veille de sa libération. Peut être même jamais.
Il rencontrait des passants, certains bandaient, le contact physique était comme un salut indispensable. Un homme que je ne connaissais pas lui caressait les hanches et semblait s'attarder sur sa cage à bite. De loin je ne voyais pas très bien.
Dave lui tripotait les couilles et la bite et c'est alors ensemble qu'ils s'éloignaient. Une queue en fourrure pendait des fesses de ce nouveau personnage.
Je suis tombé sur mon lit de camp et j'ai dormi d'un trait toute la nuit. Je me réveillais en pleine forme avant huit heures. J'avalais rapidement un café et c'était parti. Il y avait déjà une véritable petite foule autour de notre stand.
Je gérais la situation et laissais Dave dormir. La nuit avait sans douté été dure et moi j'étais en forme. Cette nouvelle journée commençait bien. En moins d'une heure j'ai vendu plus de douze dispositifs. Là je ne pensais plus, j'avais le sourire, l'avenir me semblait prometteur.
Je me sentais bien, je me sentais chez moi, j'étais à poil mais j'étais bien.
Et puis je n'étais pas le seul à être à poil, presque tout le monde était en tenue très légère pour ne pas dire … sans tenue du tout. Tout le monde gardait de chaussures de marche, je vous jure ça habille. Il y avait des petite bites qui se redressaient plus ou moins, des grosse qui se balançaient plus lourdement par moment et aussi des, toutes tailles, qui se redressaient avec force et fierté.
J'ai malicieusement remarqué que les bites se relevaient plus quand les visiteurs s'éloignaient que quand les visiteurs approchaient. Mon dispositif ne les laissait pas indifférents. Je ne restais pas indifférent non plus. Ma queue protestait et tentait de se relever.
Je le faisais remarquer à quelque clients qui voulaient voir ce que ça donnait quand on bande dans ce dispositif.
Il y avait aussi des grosse bite bien molles qui pendaient d'une manière provocante. Leurs propriétaires fiers de leur matos ne les cachaient pas, bien au contraire.
Des couples mixtes, je veux dire petite bite pour l'un et grosse pour l'autre s'intéressaient à mes articles, on pouvait se demander qui des deux le porterait. L'homme avec la petite bite s'intéressait aux articles de grosse taille et l'autre aux petites tailles.
Des couples arrivaient et repartaient, un des deux était alors équipé.
Ce qui était bien dans ce genre de fête, c'est qu'on pouvait regarder, choisir, essayer et repartir avec son achat.
Un couple amusant arrivait.
– Eh Gus, toi et ta petite bite devraient essayer un truc comme ça !
– Wheuuuuu ! Non c'est pas pour moi ça !
– Mais si, comme on disait l'autre jour.
Un des deux avait une très grosse bite et l'autre une queue tout à fait modeste.
Ils continuaient à discuter le mec le mieux monté continuait à encourager son camarade.
– Tu pourrais le porter en permanence, je suis sûr que ça t’irait bien. Tu serait terriblement sexy avec ce truc.
Puis il prenait dans ses bras son copain, l'embrassait goulûment et commençait à bander. Il avait vraiment une grosse queue. Toujours très commercial dans ma tête je réfléchissais si j'avais sa taille. Je l'avais.
Je ne pensais plus qu'à cela.
– Il ne faut pas bander pour mettre ce dispositif. Demandait le plus petit en me regardant.
– Bein oui, sinon ça ne rentre pas ! Répondais-je.
– Ça va j'ai compris. Lui répondait l'autre.
Puis le petit s'appuyait sur un pot de fleur, un de ces gros truc en béton, son camarade se mettait à genoux et sans aucune hésitation lui suçait la queue.
C'était une petite bite et elle était facile à sucer, le gars le prenait dans sa bouche sans difficulté. Un instant la vente à cessé, tout le monde se retournait et regardait. La petite queue glissait et disparaissait dans la bouche experte de l'autre homme.
Les deux hommes se laissaient aller à une étreinte passionnée. L'un suçait la petite queue de l'autre, l'autre prenait la tête du premier et le tirait vers lui. Il donnait aussi des coups de bassin. C'était impressionnant, très beau en fait, et tout semblait glisser sans résistance. Pendant presque un quart d'heure les deux hommes se mélangeaient, puis celui que se faisait sucer gémissait et poussait un cri.
Ils se calmaient tous les deux à ce moment. Le plus gros se relevait et embrassait son partenaire, une goutte de sperme suintait de la commissure des lèvres, ils partageaient le goût du plus petit et on pouvait deviner qu'il était bon le petit.
L'homme qui avait la plus grosse se reculait et tripotait la petite bite de son camarade, elle était redevenue tout molle alors que lui bandait ferme. Il se retournait alors vers moi.
– Bon maintenant on peut lui mettre une cage à bite.
– Tu es un monstre mon Doudou. Rajoutait l'autre avant de l'embrasser de nouveau.
– Doucement tu vas encore bander.
Je n'avais plus qu'à procéder, je mesurais, c'était pour le principe et en plus je pouvais toucher, en effet j'avais déjà deviné la bonne taille.
Le petit gars ne résistait pas, il passait lui même ses couilles dans l'anneau, puis c'était sa queue avant qu'elle ne devienne plus grosse, je lui tendais le cadenas, il verrouillait la cage, se retournait vers son camarade et lui donnait la clé. En rajoutant …
– A toi maintenant !
Brusquement tout s'agitait autour de moi, Dave se réveillait et ne comprenait pas tout de suite ce qui se passait. Les client encouragés par cette scène se bousculaient et demandaient un dispositif. Il avaient repéré la taille qu'il voulaient et je n'avais plus qu'à fournir.
Plus de douze vente en moins d'un quart d'heure !
Ce dernier couple de clients, restait en retrait. C'était le petit, celui qui portait une cage à bite depuis quelques instants qui suçait la queue de son camarade. C'était moins facile, elle était plus grosse et ne rentrait pas complètement dans la bouche.
Il se relevait, se retournait et se penchait contre le pot de fleur, ils ont du en voir de belles les pots de fleurs me disais-je, l'autre qui bandait depuis un moment déjà, se lubrifiait la queue et en un mouvement rapide, violent et décidé défonçait le cul de son petit camarade.
Cette grosse bite glissait bien profond dans les entrailles, il terminait par un violent coup de rein. Le petit hurlait, il encaissait mais il hurlait. Ensuite ils se lâchaient tous les deux, ils se laissaient aller à leur passion.
L'un s'acharnait avec autant de force que de violence sur le cul de son partenaire. Celui-ci se cambrait s'agitait mais l'autre le retenait et c'est à une danse saccadée que les deux amants se livraient. L'un tirait l'autre en arrière alors qu'il se reculait lui même et s'empalait sans résistance.
La queue de l'actif était grosse, et semblait encore plus grosse quand elle réapparaissait, puis elle disparaissait de nouveau. Et de nouveau, le petit hurlait en se tortillant, en gigotant. Il en prenant plein le cul et en voulait encore !
Puis les coups de bassin devenaient plus rapide, toujours aussi violent, mais de plus en plus rapide. Le ventre de l'un frappait bruyamment et avec régularité. Tout autour du stand plus personne ne bougeait, certain se masturbaient et tous ceux qui le pouvaient bandaient.
Quand les derniers coups de bite étaient donné, on voyait un liquide blanc et épais qui coulait du cul du petit.
Les deux hommes se calmaient, se séparaient, s'essuyaient et me faisait face.
– Maintenant il faut l'équiper ! Me lançait calmement celui qui venait d'en prendre plein le cul. Celui qui était porteur depuis quelques minutes.
Là encore je prenais les mesures, je les avais déjà devinées, mais je voulais toucher. C'était une grosse queue, bien grasse, bien longue, bien large, bien … Oui bien !
Tout comme son camarade il verrouillait son dispositif, taille XXL. Puis lui non plus ne gardait pas la clé. Ils me payaient, me saluaient et repartaient.
Suivait dans mon stand un nouvel épisode de frénésie. On a vendu une trentaine de dispositifs dans la demie heure qui a suivi.
Vous savez c'est étrange le commerce, pendant une heure on est sur les genoux, sollicité, presque harcelé par les clients et ensuite pendant des heures comme oublié. Là il n'y plus personne.
On n'a pas eu de moment trop calmes, en tout cas ils n'ont pas duré très longtemps. Cette deuxième journée se passait bien.
On a continué à vendre toute la journée, cent cinquante, peut être deux cent dispositifs étaient écoulés. C'était un grand succès, si seulement ça pouvait durer encore trois jours.
Nous étions optimistes pour l'avenir.
Le soir nous étions fatigués, nous avons tout de même décidé d'aller danser.
– On devrait voir de nos dispositifs un peu partout ! Me faisait remarquer Dave.
– Tu as raison on devrait en voir un peu partout !
Finalement non, il y avait toujours Tinni, le gogo danseur de la boite de nuit. Un mec qui m'a attrapé les couilles fermement quand on y arrivait. C'était un client du jours qui m'avait reconnu, je lui rendais la politesse et lui tripotait les couilles moi aussi. Il n'y a pas de raison quoi !
Mais c'est tout.
Il y avait au moins trois ou quatre mille personnes qui restaient la nuit dans le festival, plus du triple qui passaient chaque jour. Nos clients n'étaient peut être pas de ceux qui passait la nuit sur place.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Ça démarre
Le jour suivant, c'était le deuxième jour. On était satisfait de ce premier jour et on attendait beaucoup.
J'étais trop fatigué pour sortir en boite mais Dave avait traîné une partie de la nuit. Il avait eu beaucoup de contacts.
C'était un plaisir de voir son corps nu se déplacé dans ce décor décadent, des photos de nus partout, des vitrines de sex-shop. Il n'était pas le seul à être nu, mais lui ne l'était pas totalement, il portait ce petit dispositif de chasteté, c'était comme une petite marque un peu chic.
Il n'était pas seulement beau, il était sexy. Je le regardais s'éloigner de dos et ma bite se révoltait dans sa cage. Elle aurait du se résigner celle là, ce n'était pas après demain, l'avant veille de sa libération. Peut être même jamais.
Il rencontrait des passants, certains bandaient, le contact physique était comme un salut indispensable. Un homme que je ne connaissais pas lui caressait les hanches et semblait s'attarder sur sa cage à bite. De loin je ne voyais pas très bien.
Dave lui tripotait les couilles et la bite et c'est alors ensemble qu'ils s'éloignaient. Une queue en fourrure pendait des fesses de ce nouveau personnage.
Je suis tombé sur mon lit de camp et j'ai dormi d'un trait toute la nuit. Je me réveillais en pleine forme avant huit heures. J'avalais rapidement un café et c'était parti. Il y avait déjà une véritable petite foule autour de notre stand.
Je gérais la situation et laissais Dave dormir. La nuit avait sans douté été dure et moi j'étais en forme. Cette nouvelle journée commençait bien. En moins d'une heure j'ai vendu plus de douze dispositifs. Là je ne pensais plus, j'avais le sourire, l'avenir me semblait prometteur.
Je me sentais bien, je me sentais chez moi, j'étais à poil mais j'étais bien.
Et puis je n'étais pas le seul à être à poil, presque tout le monde était en tenue très légère pour ne pas dire … sans tenue du tout. Tout le monde gardait de chaussures de marche, je vous jure ça habille. Il y avait des petite bites qui se redressaient plus ou moins, des grosse qui se balançaient plus lourdement par moment et aussi des, toutes tailles, qui se redressaient avec force et fierté.
J'ai malicieusement remarqué que les bites se relevaient plus quand les visiteurs s'éloignaient que quand les visiteurs approchaient. Mon dispositif ne les laissait pas indifférents. Je ne restais pas indifférent non plus. Ma queue protestait et tentait de se relever.
Je le faisais remarquer à quelque clients qui voulaient voir ce que ça donnait quand on bande dans ce dispositif.
Il y avait aussi des grosse bite bien molles qui pendaient d'une manière provocante. Leurs propriétaires fiers de leur matos ne les cachaient pas, bien au contraire.
Des couples mixtes, je veux dire petite bite pour l'un et grosse pour l'autre s'intéressaient à mes articles, on pouvait se demander qui des deux le porterait. L'homme avec la petite bite s'intéressait aux articles de grosse taille et l'autre aux petites tailles.
Des couples arrivaient et repartaient, un des deux était alors équipé.
Ce qui était bien dans ce genre de fête, c'est qu'on pouvait regarder, choisir, essayer et repartir avec son achat.
Un couple amusant arrivait.
– Eh Gus, toi et ta petite bite devraient essayer un truc comme ça !
– Wheuuuuu ! Non c'est pas pour moi ça !
– Mais si, comme on disait l'autre jour.
Un des deux avait une très grosse bite et l'autre une queue tout à fait modeste.
Ils continuaient à discuter le mec le mieux monté continuait à encourager son camarade.
– Tu pourrais le porter en permanence, je suis sûr que ça t’irait bien. Tu serait terriblement sexy avec ce truc.
Puis il prenait dans ses bras son copain, l'embrassait goulûment et commençait à bander. Il avait vraiment une grosse queue. Toujours très commercial dans ma tête je réfléchissais si j'avais sa taille. Je l'avais.
Je ne pensais plus qu'à cela.
– Il ne faut pas bander pour mettre ce dispositif. Demandait le plus petit en me regardant.
– Bein oui, sinon ça ne rentre pas ! Répondais-je.
– Ça va j'ai compris. Lui répondait l'autre.
Puis le petit s'appuyait sur un pot de fleur, un de ces gros truc en béton, son camarade se mettait à genoux et sans aucune hésitation lui suçait la queue.
C'était une petite bite et elle était facile à sucer, le gars le prenait dans sa bouche sans difficulté. Un instant la vente à cessé, tout le monde se retournait et regardait. La petite queue glissait et disparaissait dans la bouche experte de l'autre homme.
Les deux hommes se laissaient aller à une étreinte passionnée. L'un suçait la petite queue de l'autre, l'autre prenait la tête du premier et le tirait vers lui. Il donnait aussi des coups de bassin. C'était impressionnant, très beau en fait, et tout semblait glisser sans résistance. Pendant presque un quart d'heure les deux hommes se mélangeaient, puis celui que se faisait sucer gémissait et poussait un cri.
Ils se calmaient tous les deux à ce moment. Le plus gros se relevait et embrassait son partenaire, une goutte de sperme suintait de la commissure des lèvres, ils partageaient le goût du plus petit et on pouvait deviner qu'il était bon le petit.
L'homme qui avait la plus grosse se reculait et tripotait la petite bite de son camarade, elle était redevenue tout molle alors que lui bandait ferme. Il se retournait alors vers moi.
– Bon maintenant on peut lui mettre une cage à bite.
– Tu es un monstre mon Doudou. Rajoutait l'autre avant de l'embrasser de nouveau.
– Doucement tu vas encore bander.
Je n'avais plus qu'à procéder, je mesurais, c'était pour le principe et en plus je pouvais toucher, en effet j'avais déjà deviné la bonne taille.
Le petit gars ne résistait pas, il passait lui même ses couilles dans l'anneau, puis c'était sa queue avant qu'elle ne devienne plus grosse, je lui tendais le cadenas, il verrouillait la cage, se retournait vers son camarade et lui donnait la clé. En rajoutant …
– A toi maintenant !
Brusquement tout s'agitait autour de moi, Dave se réveillait et ne comprenait pas tout de suite ce qui se passait. Les client encouragés par cette scène se bousculaient et demandaient un dispositif. Il avaient repéré la taille qu'il voulaient et je n'avais plus qu'à fournir.
Plus de douze vente en moins d'un quart d'heure !
Ce dernier couple de clients, restait en retrait. C'était le petit, celui qui portait une cage à bite depuis quelques instants qui suçait la queue de son camarade. C'était moins facile, elle était plus grosse et ne rentrait pas complètement dans la bouche.
Il se relevait, se retournait et se penchait contre le pot de fleur, ils ont du en voir de belles les pots de fleurs me disais-je, l'autre qui bandait depuis un moment déjà, se lubrifiait la queue et en un mouvement rapide, violent et décidé défonçait le cul de son petit camarade.
Cette grosse bite glissait bien profond dans les entrailles, il terminait par un violent coup de rein. Le petit hurlait, il encaissait mais il hurlait. Ensuite ils se lâchaient tous les deux, ils se laissaient aller à leur passion.
L'un s'acharnait avec autant de force que de violence sur le cul de son partenaire. Celui-ci se cambrait s'agitait mais l'autre le retenait et c'est à une danse saccadée que les deux amants se livraient. L'un tirait l'autre en arrière alors qu'il se reculait lui même et s'empalait sans résistance.
La queue de l'actif était grosse, et semblait encore plus grosse quand elle réapparaissait, puis elle disparaissait de nouveau. Et de nouveau, le petit hurlait en se tortillant, en gigotant. Il en prenant plein le cul et en voulait encore !
Puis les coups de bassin devenaient plus rapide, toujours aussi violent, mais de plus en plus rapide. Le ventre de l'un frappait bruyamment et avec régularité. Tout autour du stand plus personne ne bougeait, certain se masturbaient et tous ceux qui le pouvaient bandaient.
Quand les derniers coups de bite étaient donné, on voyait un liquide blanc et épais qui coulait du cul du petit.
Les deux hommes se calmaient, se séparaient, s'essuyaient et me faisait face.
– Maintenant il faut l'équiper ! Me lançait calmement celui qui venait d'en prendre plein le cul. Celui qui était porteur depuis quelques minutes.
Là encore je prenais les mesures, je les avais déjà devinées, mais je voulais toucher. C'était une grosse queue, bien grasse, bien longue, bien large, bien … Oui bien !
Tout comme son camarade il verrouillait son dispositif, taille XXL. Puis lui non plus ne gardait pas la clé. Ils me payaient, me saluaient et repartaient.
Suivait dans mon stand un nouvel épisode de frénésie. On a vendu une trentaine de dispositifs dans la demie heure qui a suivi.
Vous savez c'est étrange le commerce, pendant une heure on est sur les genoux, sollicité, presque harcelé par les clients et ensuite pendant des heures comme oublié. Là il n'y plus personne.
On n'a pas eu de moment trop calmes, en tout cas ils n'ont pas duré très longtemps. Cette deuxième journée se passait bien.
On a continué à vendre toute la journée, cent cinquante, peut être deux cent dispositifs étaient écoulés. C'était un grand succès, si seulement ça pouvait durer encore trois jours.
Nous étions optimistes pour l'avenir.
Le soir nous étions fatigués, nous avons tout de même décidé d'aller danser.
– On devrait voir de nos dispositifs un peu partout ! Me faisait remarquer Dave.
– Tu as raison on devrait en voir un peu partout !
Finalement non, il y avait toujours Tinni, le gogo danseur de la boite de nuit. Un mec qui m'a attrapé les couilles fermement quand on y arrivait. C'était un client du jours qui m'avait reconnu, je lui rendais la politesse et lui tripotait les couilles moi aussi. Il n'y a pas de raison quoi !
Mais c'est tout.
Il y avait au moins trois ou quatre mille personnes qui restaient la nuit dans le festival, plus du triple qui passaient chaque jour. Nos clients n'étaient peut être pas de ceux qui passait la nuit sur place.
A suivre
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