Ma petite entreprise Ep 04 Un couple bien chaud
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma petite entreprise Ep 04 Un couple bien chaud
Ma petite entreprise Ep 04
Un couple bien chaud
Nous abordions le troisième jours de la foire sereins. Il restait encore pas loin de cinq cent dispositifs à vendre et encore trois jours pour le faire. C'était jouable.
On se levait vers huit heures, avant il n'y avait presque personne. Ça nous laissait le temps nous réveiller et de prendre un petit déjeuner. On sortait tranquillement les appareil et … en général on n'avait pas à attendre.
Il y avait déjà des gens, en général à poil, qui regardaient les vitrines des différents stands. Nous avions du succès, un peu plus chaque jour. On allait rencontrer les clients possibles, faire connaissance.
Je ne vous ai pas dit, mais on pouvait s'habiller comme on voulait, ou ne pas s'habiller d'ailleurs. C'est pour ça que nous étions à poil, ainsi que presque tout le monde.
Mais si, je vous l'avais dit. C'est pas pour rien que ça s'appelait la foire au cul.
Un peu plus loin il y avait un stand ou on trouvait des godes et des jouets de ce genre. En face un spécialiste du cuir. J'étais tranquillement en train de discuter avec le patron de ce dernier stand quand nous avons vu passer un couple.
La femme était d'une élégance incroyable, elle aurait porter tout ce qu'elle voulait, tout lui allais. Une chute de rein vertigineuse, des jambes qui n'en finissaient pas et qui finissaient tout de même, par des chaussures avec talons aiguille. Elle avait un poitrine ferme et volumineuse, pas de ces trucs énormes qui sentent le remodelé à cent mètres, non c'était du naturel et c'était ni trop ni trop peu. Elle était sublime, se cheveux tombaient sur ses reins, son sourire semblait illuminer tout le hall.
J'oubliais à part ses chaussures elle ne portait qu'un sac à mains de grande marque.
Un homme de grande taille, plus du mètre quatre vingt dix. Cheveux courts, visage viril, carrure de garde du corps. Lui aussi ne portait pas grand chose sur lui, juste ses chaussures de marche. Sa queue une queue très belle pendait lourdement entre ses cuisses, il avait l'air un peu triste.
– Si c'est un client pour toi, je suis sûr que tu n'auras pas la taille. Me disait Simon. C'était lui le spécialiste du cuir.
– Si j'ai ! Lui affirmais-je.
La plus grande taille que j'ai fait ses dix huit centimètre sur quarante cinq millimètre de large. Il y serait à l'étroit malgré ses grandes dimensions mais il rentrerait dedans.
La dame faisait le tour des différents stands. Elle achetait plusieurs gode.
C'est très lentement qu'elle faisait son choix, nous pouvions l'entendre, elle avait une voix douce et suave, ou alors elle se donnait un genre. Les petites tailles ne l'intéressait pas. Si c'était son mari ou son amant qui la suivait, on comprenait ça. Elle était habituée à gros, très gros même.
Elle finissait par choisir un modèle de très grosse taille. Un truc qui m'aurait fait peur plus de vingt centimètre sur presque soixante millimètres.
– Il me semble que, cette bite artificielle est à peut près de la taille de ta queue ?
– C'est ma taille m'amour !
– Bien Cuckold. Il devrait donc te convenir !
Elle l'achetait, on la lui emballait dans un petit sac en papier joliment décoré. Puis elle passait au stand cuir, c'est là que nous étions.
Il y a des objets magnifiques ici.
Elle nous saluait, remarquait ma cage. On lui rendait son salut.
Vous allez me conseiller mon ami, me disait-elle. Je voudrais une sorte de corset, confortable en cuir qui mettrait en valeur ma poitrine et …
C'est mon camarade qui s'occupe des cuirs. Lui répondais-je. Moi je …
D'un geste de la main je montrais ma cage. Elle me regardait alors de la bite jusqu'aux yeux. Puis jetais un regard vers mon stand. Ou mon associé Dave continuait à assurer la vente.
Je suivais la dame du regard, elle s'est complètement habillée, enfin quand je dis complètement, on voyait toujours plus de peau que de cuir. Mais c'était joli.
– Voulez vous bien m'attendre un petit moment me disait-elle en me regardant dans les yeux.
Son compagnon réagissait à ce changement de look. Il bandait ferme, et sa queue était comme je l'avais jaugé, un peu plus peut être même. Elle faisait ses vingt trois centimètres sur soixante millimètres.
C'était énorme, on ne regardait plus que ça.
Madame s'appuyait contre une sorte d'affiche murale, cambrait son dos et écartait les jambes. Monsieur s'approchait, il avait l'air moins triste d'un coup, il passait très délicatement sa main dans le dos de sa femme. La tirait contre lui, on aurait un peu dit la belle et la bête.
Monsieur était bien large, bien costaud, il avait les bras épais, c'était une force de la nature. Madame était menue, très menue. Elle ressemblait à une diane farouche avec son nouveau costume.
Monsieur tirait sa femme contre lui et rapidement la pénétrait. Il glissait avec délicatesse son pénis dans la vulve de de sa femme. Elle se cambrait brusquement, poussait un cri et s'empalait d'elle même bien a fond sur la bite de son époux.
Il lui donnait en échange un violent coup de rein. Son énorme pénis pénétrait alors entièrement en elle. Elle criait, refermait ses jambes dans le dos de son mari, elle le tirait contre elle.
Il se retirait mais elle le retenait, il la pénétrait et elle le repoussait. Puis il s'embrassait, se caressaient. Avec leurs bras ils se repoussaient ou s'attiraient. Il la couvrait de baisers sur les seins, dans le cou, sur les épaules. Il caressait son bras avec ses lèvres, elle le laissait faire.
Elle lui faisait face, intimement mélangés, lui toujours en elle qui tentait de ressortir quand elle le retenait. Ou encore le repoussant quand il voulait enfoncer son énorme pénis en elle.
– Profites en ! Lui lançait-elle.
Puis suivait une scène de combat dans lequel le but n'était pas de frapper ou de brutaliser son partenaire mais juste de s'unir à lui ou de le repousser.
Il pénétrait sa femme avec force puis se retirait et enfin recommençait et recommençait encore. C'étaient des gémissement de plaisir ou de rage. Ces deux là s'étaient trouvés, me disais-je.
Et même si je ne suis pas vraiment attiré par les femmes … Pardon de l'avouer d'une façon aussi directe pour ceux qui ne le savait pas mais bon, il y en a qui ne sont pas futés. Donc, je vous disais que je ne suis pas attiré par les femmes mais celle là avait quelque chose de sauvage, de sauvage distingué.
C'était une lady brutale et douce. Une maîtresse qui me faisait bander, ma queue protestait comme jamais, même depuis mon arrivée à cette foire.
C'est elle qui dirigeait !
Pourtant son époux n'avait rien d'un tendre. Il aurait pu l'écraser à chaque geste, mais chaque geste était calculé, retenu, seule sa queue restait une véritable menace, ou alors c'était un gros lot. Dans ce cas c'était un très gros lot.
Elle s'écartait, s'éloignait de lui. Sa queue se redressait entre eux.
Elle se retournait et se cambrait. Il revenait vers elle passait une main sur son ventre. Elle tournait sa tête vers lui … '' N'y pense même pas ! '' lui disait-elle alors. Il glissait alors sa queue entre ses cuisses, se penchait en arrière, s'asseyait presque sur le pot de fleur.
Je ne vous dis pas mais il en a vu le pauvre, m'étonne si les fleurs y étaient si belles.
Elle glissait contre lui, le masturbait avec ses cuisses et sa queue très longue ressortait, apparaissait avant de disparaître de nouveau. Puis sans prévenir elle se relevait et s'empalait sur lui. Cette énorme pénis disparaissait dans la vulve de madame.
C'était dans le cul qu'il ne fallait pas y penser. Moi j'aurais bien essayé même si je frémissait de peur rien que d'y penser.
C'est elle qui alors prenait la direction des opération, avec des mouvements sauvages et violents elle se relevait et se laissait retomber. Elle relevait la tête et gémissait un râle de plaisir don le but n'était pas d'être discret.
Il suivait le mouvement et la faisait sauter que sa queue comme on fait sauter un enfant sur ses genoux. C'était intense, à peine croyable, il en voulait mais elle en voulait encore plus.
Elle l'encourageait, le provoquait, par moment le traitait même de petite bite. J'avoue que là, ça m'a fait sourire. Elle avait du caractère la petite.
Les deux corps s'agitaient encore, de plus en plus. Ça faisait un peu désordre mais nous étions à la foire au cul et une telle exhibition était autorisée. Les passants s'arrêtaient, mon associé Dave regardait le spectacle, nos clients aussi.
Puis il a joui, elle devait jouir depuis un moment, mais pour l'homme ça dure souvent moins longtemps. Une giclée de sperme arrosait les fleurs, ce n'était pas la première mais les autres avaient été plus discrètes. Avec tous leurs gestes hystériques monsieur avait sans doute glissé en dehors de madame et monsieur éjaculait encore plusieurs fois.
Les deux participants se redressaient. Monsieur et madame s'essuyaient, madame réajustait son corset. Ils se souriaient puis échangeait un baiser. Tout le monde les applaudissait.
– Bon cuckold, tu connais la suite ? Lui demandait la dame.
– Mais m'amour …
– Ne m'appelle pas m'amour ! Il fallait y penser avant ! Lui répondait-elle sur un ton sec.
A la manière d'un top modèle elle venait vers moi. Toujours sous les applaudissements.
– Si vous me faisiez visiter votre petit stand, il est petit c'est vrai, il ne paye pas de mine mais vous savez qu'on ne parle plus que de lui depuis quelques temps.
– Hui, bien fûr.
Elle me perturbait, et je vous jure j'ai vraiment bafouillé un instant.
– Vous aurez sa taille j'espère ! Rajoutait-elle.
– Je pense mais si c'est nécessaire nous pourrons réaliser un modèle sur mesure …
– J'étais sûr que vous auriez la solution à mon problème.
– Je n'avais pas l'impression que c'était un problème.
– Jusque là non, mais vous devinerez jamais ce qu'il à fait la semaine dernière.
– Heu …
– Il m'a trompé, il m'a faite cocue ! Le batard !
Là je ne savais pas quoi répondre.
– Avec ma meilleure amie, ! Rajoutait-elle. Enfin mon ex-meilleure amie ! Maintenant nous ne somme plus amies !
– Ah ! … Bein oui, c'est tout ce que j'ai trouvé à dire.
Nous arrivions à mon stand, Dave avait sorti deux modèle, les deux plus gros modèle. C'est bien sûr dans les tailles moyennes que nous avions le plus de modèle mais nous avions aussi plusieurs modèles des tailles extrêmes. On ne sait jamais !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Un couple bien chaud
Nous abordions le troisième jours de la foire sereins. Il restait encore pas loin de cinq cent dispositifs à vendre et encore trois jours pour le faire. C'était jouable.
On se levait vers huit heures, avant il n'y avait presque personne. Ça nous laissait le temps nous réveiller et de prendre un petit déjeuner. On sortait tranquillement les appareil et … en général on n'avait pas à attendre.
Il y avait déjà des gens, en général à poil, qui regardaient les vitrines des différents stands. Nous avions du succès, un peu plus chaque jour. On allait rencontrer les clients possibles, faire connaissance.
Je ne vous ai pas dit, mais on pouvait s'habiller comme on voulait, ou ne pas s'habiller d'ailleurs. C'est pour ça que nous étions à poil, ainsi que presque tout le monde.
Mais si, je vous l'avais dit. C'est pas pour rien que ça s'appelait la foire au cul.
Un peu plus loin il y avait un stand ou on trouvait des godes et des jouets de ce genre. En face un spécialiste du cuir. J'étais tranquillement en train de discuter avec le patron de ce dernier stand quand nous avons vu passer un couple.
La femme était d'une élégance incroyable, elle aurait porter tout ce qu'elle voulait, tout lui allais. Une chute de rein vertigineuse, des jambes qui n'en finissaient pas et qui finissaient tout de même, par des chaussures avec talons aiguille. Elle avait un poitrine ferme et volumineuse, pas de ces trucs énormes qui sentent le remodelé à cent mètres, non c'était du naturel et c'était ni trop ni trop peu. Elle était sublime, se cheveux tombaient sur ses reins, son sourire semblait illuminer tout le hall.
J'oubliais à part ses chaussures elle ne portait qu'un sac à mains de grande marque.
Un homme de grande taille, plus du mètre quatre vingt dix. Cheveux courts, visage viril, carrure de garde du corps. Lui aussi ne portait pas grand chose sur lui, juste ses chaussures de marche. Sa queue une queue très belle pendait lourdement entre ses cuisses, il avait l'air un peu triste.
– Si c'est un client pour toi, je suis sûr que tu n'auras pas la taille. Me disait Simon. C'était lui le spécialiste du cuir.
– Si j'ai ! Lui affirmais-je.
La plus grande taille que j'ai fait ses dix huit centimètre sur quarante cinq millimètre de large. Il y serait à l'étroit malgré ses grandes dimensions mais il rentrerait dedans.
La dame faisait le tour des différents stands. Elle achetait plusieurs gode.
C'est très lentement qu'elle faisait son choix, nous pouvions l'entendre, elle avait une voix douce et suave, ou alors elle se donnait un genre. Les petites tailles ne l'intéressait pas. Si c'était son mari ou son amant qui la suivait, on comprenait ça. Elle était habituée à gros, très gros même.
Elle finissait par choisir un modèle de très grosse taille. Un truc qui m'aurait fait peur plus de vingt centimètre sur presque soixante millimètres.
– Il me semble que, cette bite artificielle est à peut près de la taille de ta queue ?
– C'est ma taille m'amour !
– Bien Cuckold. Il devrait donc te convenir !
Elle l'achetait, on la lui emballait dans un petit sac en papier joliment décoré. Puis elle passait au stand cuir, c'est là que nous étions.
Il y a des objets magnifiques ici.
Elle nous saluait, remarquait ma cage. On lui rendait son salut.
Vous allez me conseiller mon ami, me disait-elle. Je voudrais une sorte de corset, confortable en cuir qui mettrait en valeur ma poitrine et …
C'est mon camarade qui s'occupe des cuirs. Lui répondais-je. Moi je …
D'un geste de la main je montrais ma cage. Elle me regardait alors de la bite jusqu'aux yeux. Puis jetais un regard vers mon stand. Ou mon associé Dave continuait à assurer la vente.
Je suivais la dame du regard, elle s'est complètement habillée, enfin quand je dis complètement, on voyait toujours plus de peau que de cuir. Mais c'était joli.
– Voulez vous bien m'attendre un petit moment me disait-elle en me regardant dans les yeux.
Son compagnon réagissait à ce changement de look. Il bandait ferme, et sa queue était comme je l'avais jaugé, un peu plus peut être même. Elle faisait ses vingt trois centimètres sur soixante millimètres.
C'était énorme, on ne regardait plus que ça.
Madame s'appuyait contre une sorte d'affiche murale, cambrait son dos et écartait les jambes. Monsieur s'approchait, il avait l'air moins triste d'un coup, il passait très délicatement sa main dans le dos de sa femme. La tirait contre lui, on aurait un peu dit la belle et la bête.
Monsieur était bien large, bien costaud, il avait les bras épais, c'était une force de la nature. Madame était menue, très menue. Elle ressemblait à une diane farouche avec son nouveau costume.
Monsieur tirait sa femme contre lui et rapidement la pénétrait. Il glissait avec délicatesse son pénis dans la vulve de de sa femme. Elle se cambrait brusquement, poussait un cri et s'empalait d'elle même bien a fond sur la bite de son époux.
Il lui donnait en échange un violent coup de rein. Son énorme pénis pénétrait alors entièrement en elle. Elle criait, refermait ses jambes dans le dos de son mari, elle le tirait contre elle.
Il se retirait mais elle le retenait, il la pénétrait et elle le repoussait. Puis il s'embrassait, se caressaient. Avec leurs bras ils se repoussaient ou s'attiraient. Il la couvrait de baisers sur les seins, dans le cou, sur les épaules. Il caressait son bras avec ses lèvres, elle le laissait faire.
Elle lui faisait face, intimement mélangés, lui toujours en elle qui tentait de ressortir quand elle le retenait. Ou encore le repoussant quand il voulait enfoncer son énorme pénis en elle.
– Profites en ! Lui lançait-elle.
Puis suivait une scène de combat dans lequel le but n'était pas de frapper ou de brutaliser son partenaire mais juste de s'unir à lui ou de le repousser.
Il pénétrait sa femme avec force puis se retirait et enfin recommençait et recommençait encore. C'étaient des gémissement de plaisir ou de rage. Ces deux là s'étaient trouvés, me disais-je.
Et même si je ne suis pas vraiment attiré par les femmes … Pardon de l'avouer d'une façon aussi directe pour ceux qui ne le savait pas mais bon, il y en a qui ne sont pas futés. Donc, je vous disais que je ne suis pas attiré par les femmes mais celle là avait quelque chose de sauvage, de sauvage distingué.
C'était une lady brutale et douce. Une maîtresse qui me faisait bander, ma queue protestait comme jamais, même depuis mon arrivée à cette foire.
C'est elle qui dirigeait !
Pourtant son époux n'avait rien d'un tendre. Il aurait pu l'écraser à chaque geste, mais chaque geste était calculé, retenu, seule sa queue restait une véritable menace, ou alors c'était un gros lot. Dans ce cas c'était un très gros lot.
Elle s'écartait, s'éloignait de lui. Sa queue se redressait entre eux.
Elle se retournait et se cambrait. Il revenait vers elle passait une main sur son ventre. Elle tournait sa tête vers lui … '' N'y pense même pas ! '' lui disait-elle alors. Il glissait alors sa queue entre ses cuisses, se penchait en arrière, s'asseyait presque sur le pot de fleur.
Je ne vous dis pas mais il en a vu le pauvre, m'étonne si les fleurs y étaient si belles.
Elle glissait contre lui, le masturbait avec ses cuisses et sa queue très longue ressortait, apparaissait avant de disparaître de nouveau. Puis sans prévenir elle se relevait et s'empalait sur lui. Cette énorme pénis disparaissait dans la vulve de madame.
C'était dans le cul qu'il ne fallait pas y penser. Moi j'aurais bien essayé même si je frémissait de peur rien que d'y penser.
C'est elle qui alors prenait la direction des opération, avec des mouvements sauvages et violents elle se relevait et se laissait retomber. Elle relevait la tête et gémissait un râle de plaisir don le but n'était pas d'être discret.
Il suivait le mouvement et la faisait sauter que sa queue comme on fait sauter un enfant sur ses genoux. C'était intense, à peine croyable, il en voulait mais elle en voulait encore plus.
Elle l'encourageait, le provoquait, par moment le traitait même de petite bite. J'avoue que là, ça m'a fait sourire. Elle avait du caractère la petite.
Les deux corps s'agitaient encore, de plus en plus. Ça faisait un peu désordre mais nous étions à la foire au cul et une telle exhibition était autorisée. Les passants s'arrêtaient, mon associé Dave regardait le spectacle, nos clients aussi.
Puis il a joui, elle devait jouir depuis un moment, mais pour l'homme ça dure souvent moins longtemps. Une giclée de sperme arrosait les fleurs, ce n'était pas la première mais les autres avaient été plus discrètes. Avec tous leurs gestes hystériques monsieur avait sans doute glissé en dehors de madame et monsieur éjaculait encore plusieurs fois.
Les deux participants se redressaient. Monsieur et madame s'essuyaient, madame réajustait son corset. Ils se souriaient puis échangeait un baiser. Tout le monde les applaudissait.
– Bon cuckold, tu connais la suite ? Lui demandait la dame.
– Mais m'amour …
– Ne m'appelle pas m'amour ! Il fallait y penser avant ! Lui répondait-elle sur un ton sec.
A la manière d'un top modèle elle venait vers moi. Toujours sous les applaudissements.
– Si vous me faisiez visiter votre petit stand, il est petit c'est vrai, il ne paye pas de mine mais vous savez qu'on ne parle plus que de lui depuis quelques temps.
– Hui, bien fûr.
Elle me perturbait, et je vous jure j'ai vraiment bafouillé un instant.
– Vous aurez sa taille j'espère ! Rajoutait-elle.
– Je pense mais si c'est nécessaire nous pourrons réaliser un modèle sur mesure …
– J'étais sûr que vous auriez la solution à mon problème.
– Je n'avais pas l'impression que c'était un problème.
– Jusque là non, mais vous devinerez jamais ce qu'il à fait la semaine dernière.
– Heu …
– Il m'a trompé, il m'a faite cocue ! Le batard !
Là je ne savais pas quoi répondre.
– Avec ma meilleure amie, ! Rajoutait-elle. Enfin mon ex-meilleure amie ! Maintenant nous ne somme plus amies !
– Ah ! … Bein oui, c'est tout ce que j'ai trouvé à dire.
Nous arrivions à mon stand, Dave avait sorti deux modèle, les deux plus gros modèle. C'est bien sûr dans les tailles moyennes que nous avions le plus de modèle mais nous avions aussi plusieurs modèles des tailles extrêmes. On ne sait jamais !
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