Ma petite entreprise Ep 05 Une grosse bite à habiller

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma petite entreprise Ep 05 Une grosse bite à habiller Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma petite entreprise Ep 05 Une grosse bite à habiller
Ma petite entreprise Ep 05
Une grosse bite à habiller



La dame arrivait et regardait de près les deux dispositifs.

– Vous pensez que vos dispositifs seront adaptés ?
– Ce sont les plus grandes taille que j'ai à vous proposer Madame.

Le spectacle était pittoresque, une cliente sublime choisissait tranquillement un dispositif de chasteté pour son époux qui lui, avait une bite géante.

– Je ne voudrais surtout pas que ce soit trop grand, il faut que le dispositif confine bien la bite.
– Tout à fait madame, nous pouvons toujours essayer ce modèle. Disais-je en prenant le plus grand des deux.
– Je préférerais l'autre me répondait-elle.
– Il ne faut pas choisir trop petit au début. Monsieur n'a jamais porté ce genre de dispositif ?
– Non jamais, vous avez raison.
– Ensuite nous verrons si …
– Avec le temps je suppose qu'on peut réduire la taille du dispositif ?
– Tout à fait, mais dans certaines limites bien sûr.

Tout autour les clients qui étaient très nombreux regardaient ce qui se passait. Ils s'était écartés pour nous laisser la place, enfin la place à la dame. Son époux restait respectueux à quelques pas en arrière, il avait le regard bas.

Il était pensif, c'était difficile de savoir à quoi il pensait. Il avait toujours cet air viril, cet air de combattant viril. Beau, grand, large et surtout bien monté. Il aurait fait peur dans une autre situation. Mais là il inspirait un peu la pitié.

Tout le monde avait compris qu'il laisserait sur place sa virilité. Qu'il ne savait pas quand, ni même s'il la retrouverait un jour. Bien sûr il pouvait décider de retirer le dispositif quand il le voulait, il ne faut pas oublier qu'il était en résine, mais il risquerait alors de perdre sa femme pour toujours.

Il avait fauté, il devait en payer le prix. Et la dame était rancunière ...

Madame se retournait, tenait la cage juste à côté du sexe de son époux pour voir, juste pour voir ce que ça donnerait. Le dispositif était le plus gros, il semblait tout petit.

– Vous avez raison, c'est probablement la bonne taille. En attendant que cette virilité ne se calme un peu.

Elle se retournait vers moi, me souriait, acquiesçait de la tête puis se retournant vers son époux …

– Tu me mets ce truc tout de suite !

Le monsieur semblait recevoir une claque, il hésitait un moment, oh ce n'était pas de refus, juste une hésitation logique, naturelle. Il commençait à bander, il m'a semblé qu'il commençait à bander mais je n'étais pas vraiment sûr.

Il passait ses couilles dans l'anneau, l'une puis l'autre, puis avec quelques difficultés la queue suivait. Là ça ne faisait plus aucun doute, il bandait. Sa queue se relevait.

J'en profitais pour m'assurer que le dispositif, au moins l'anneau, n'était pas trop petit. Ça c'était très important.

– Ce n'est pas trop serré ? Demandait la dame.
– Ça me semble bon ! Répondais-je.
– J'espère, ce serait dommage de l’abîmer, on ne sait jamais.

Le monsieur avait alors un regard triste, il me faisait de l'effet. Ma queue protestait et devenait douloureuse dans sa cage. Ma cage parvenait même à se redresser.

La dame devait s'en douter elle sortait de son sac le gode qu'elle venait d'acheter, le lubrifiait puis en un mouvement rapide et décidé l'enfonçait bien à fond dans le cul de son mari.

Il a couiné mais à laissé faire. Je l'ai vu se crisper, tous ses muscle se sont tendu, il devait déguster, il l'a senti passer, mais n'a presque rien montré. On savait qui portait le pantalon dans ce couple. Elle échangeait quelques mots avec le marchant de gode qui avait suivi pour voir de près tout ce qui se passait. Il repartait vers son stand.

C'était spectaculaire, la queue du monsieur rapetissait en quelques secondes, il débandait. Mon voisin du stand des godes revenait il avait à la main une ceinture, il la donnait à la dame. Une ceinture avec une lanière. Elle passait alors la ceinture autour de son bonhomme, la lanière entre ses fesses, la lanière de partageait en deux devant, le sexe du monsieur était ainsi libre et les deux partie de la lanière se fixaient au niveau des hanches, par devant.

La queue du monsieur pouvait pendouilles librement entre ses cuisses et le gode restait bien en place dans le cul.

Je vous rappelle que le gode était énorme. Monsieur faisait des grimaces mais le but était atteint, il ne bandait plus du tout.

Madame lui tendait la cage, il la regardait, lançait un regard qui semblait suppliant en direction de sa femme puis s'exécutait.

Je l'aurais bien pris dans mes bras, moi je ne lui aurait pas imposé le port d'un tel dispositif vous savez. Et j'aurais fait un effort pour me prendre sa queue dans mon cul. Un gros effort même, c'est vrai qu'elle était grosse.

Elle avait diminué suffisamment en taille et, en insistant, parvenait à loger dans la cage. Là non plus la cage ne semblait pas trop petite. La queue du monsieur se retrouvait toutefois bien confinée. Inutilisable pour un long moment. C'est Madame qui gardait la clé, c'est elle qui déciderait, c'est elle qui avait été insultée, c'est elle qu'il avait trompée honteusement.

Madame écoutait attentivement mes conseils, monsieur aussi remarquez, me payait puis repartait avec son époux. Nous les avons revus plus tard, madame avait acheté une laisse et tenait ainsi son époux en laisse devant tout le monde, c'était humiliant. La laisse était attachée à son dispositif de chasteté.

Mais à la foire au cul c'était permis.

C'est une sorte de délire hystérique qui se déclenchait brusquement. Tout un tas de monde envahissait mon stand, tout le monde voulait un dispositif de ce genre.

Le reste de la journée nous avons vendu beaucoup de nos dispositif. En fin d'après midi, mon associé me faisait remarquer qu'à ce rythme nous ne tiendrions pas jusqu'à la fin de la foire.

Nous avions eu peur d'en avoir pris trop, on avait voulu avoir du stock, et là on se demandait si ça suffirait. C'était un triomphe totalement inattendu.

La troisième journée se terminait dans la bonne humeur, on a travaillé, on en a vu des bites passer, des petites, des grosse, des moyenne, une autre très grosse. Oui je sais une seule, ce sont toujours celles qui nous font fantasmer mais ce sont aussi toujours les plus rares.

La soirée avançait déjà quand tout s'est calmé autour de nous. On a décidé de se payer un vrai restau, il y en avait aussi. On à préféré s'habiller et on s'est mis un nœud papillon. C'est moins formel qu'une cravate mais ça habille très bien aussi.

On nous recevait avec sourire, nous avions choisi un restaurant ou le personnel portait une cage à bite et surtout la montrait, tous les employés étaient nus. La société ' Le Château ' avait plus de moyens que nous,en plus d'un grand stand il avait un restaurant de grande classe, un truc ou on mangeait bien. Mais vraiment bien.

On était repéré mais très bien accueilli. C'était le premier contact que nous avions avec cette société concurrente. Un homme venait nous saluer. Il était plus âgé que nous, il était très bien habillé.

Oui vous avez bien lu, il était habillé ! Il se faisait remarquer mais après tout ça aussi c'est autorisé à la foire au cul. Puis il avait de l'allure, il présentait bien, on devinait qu'il était musclé, il faisait partie de la noblesse. Tout le monde l'appelait Mr Le comte.

Il nous demandait s'il pouvait s'asseoir un instant à notre table et se présentait. C'était le directeur de la société ' Le Château ', notre concurrent, il était également le propriétaire du restaurant.

Il ne nous cachait pas qu'il était impressionné par notre dispositif.

– Vous avez là un dispositif confortable, certes il faut s'y habituer mais c'est plus rapide qu'avec le mien. Il semble plus sécuritaire, vous ne vendriez pas votre entreprise ?

En affaire il était direct, honnête mais directe. Il tenait toujours parole et ne faisait pas de coup malhonnête. Mais il était directe. Dave et moi étions nus, nous ne cachions pas le dispositif que nous portions et Me Le conte ne se privais pas de regarder.

– Et vous Monsieur Le Conte, vous en portez un ?
– Bien sûr ! Nous répondait-il.

Il se relevait et devant tout le monde, ouvrait son pantalon, le baissait et nous montrait son dispositif. Il était en métal brillant, parfaitement ajusté et loin d'être lait. Nous rêvions de pouvoir produire nous aussi des dispositifs en métal chromé comme le faisait notre concurrent.

Nous finissions par souper ensemble, nous discutions.

– Vous savez Mr Le Conte moi je vendrais mais c'est mon camarade qui possède tous droits sur les dispositifs. Expliquait Dave.
– Tu vendrais toi ? Lui rétorquais-je.
– Bein oui … Enfin ça dépend du prix qu'on me propose.
– Votre entreprise est naissante, elle ne représente pas un montant trop élevé.
– Alors je ne vends pas ! S'exclamait Dave.

Mr Le Conte éclatait de rire.

– Il a le sens des affaire ! Rajoutais-je.
– Il a raison, il vaut mieux vendre une entreprise qui a un marché et qui rapporte. Concluait Mr Le Conte.

Le repas se terminait, il nous quittait en nous présentant tous ses vœux de réussite pour l'aventure dans laquelle nous nous lancions.

On ne nous a pas présenté de note !

Ensuite c'était un spectacle érotique. Un strip-tease mobile, il faisait le tour de la foire, là c'était dans un restaurant que l'équipe se montrait. Habillés de vêtements militaire un groupe de jeunes hommes se mettait à danser. Ils se déshabillaient tous un par un, lentement il passaient entre les tables, se laissaient caresser.

Quand ils nous ont vu, tout un groupe est venu vers nous. Il nous entraînait vers un endroit dégagé, ils nous exhibaient en nous caressant, en nous tripotant. Dave et moi nous laissions faire. Ils bandaient c'était ça leur spectacle. Il passaient entre les gens et se faisaient sucer par tout ceux qui le voulaient.

C'était rapide, c'était un jeux, plusieurs se sont amusés avec moi, j'ai reçu plusieurs coups de bite dans la bouche, mon camarade Dave aussi. On ne nous avait bien sûr pas demandé notre avis mais ni lui ni moi n'avions envie de refuser, bien au contraire c'est de bon cœur que nous prenions dans notre bouche ces queue qu'on nous offrais si généreusement.

Ça devait bien sûr dégénérer un peu, mais on était d'accord alors ou était le problème ?


A suivre


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