Ma petite entreprise Ep 06 Maintenant c'est dans le cul

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
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Récit libertin : Ma petite entreprise Ep 06 Maintenant c'est dans le cul Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma petite entreprise Ep 06 Maintenant c'est dans le cul
Ma petite entreprise Ep 06
Maintenant c'est dans le cul


Nous étions épuisés, on travaillait sous une certaine tension depuis plusieurs jours, on dormait mal, on bossait de plus en plus. Remarquez, là on préférait. C'était toujours mieux que de se tourner les pouces. L'argent rentrait et ça c'était une bonne nouvelle.

On s'était fait repérer par le plus gros concurrent du dispositif de chasteté de la planète. C'était un marché de niche mais il y avait aussi tout le marché du sexe. Les jouets sexuels, les vidéos porno, les spectacle cabaret nus toujours, avec des spectacles en live.

Mais là on faisait la fête, demain si on était sur les rotules on verrait. Il nous restait largement moins de trois cent dispositifs à vendre, il restait deux jours, à ce rythme on n'aurait pas assez de marchandise.

Le groupe de danseur mettait l'ambiance, il entraînait les clients qui était tranquillement devant leurs assiette dans une farandole un peu dégénérée. Tout le monde bandait dans la salle.

C'est à ce moment que j'ai réagit, il n'y avait pas beaucoup de femmes. Sans le vouloir nous avions choisi le restau pour hommes ou hommes seuls. Tout le monde était à poil, rapidement tout le monde bandait. Nous on ne pouvait pas et il n'y en avait pas beaucoup dans notre situation.

Les danseurs nous avaient assis au milieu de la salle, bien à la vue de tout le monde. Ils passaient devant nous les uns après les autres, on les suçait. Oh juste quelques secondes, quelques dizaine de secondes. J'ai vu passer des bites de toutes les tailles. J'y prenais du plaisir, ma queue se révoltait dans sa cage.

C'était une situation frustrante, vraiment frustrante il ne me restait plus que cette solution, sucer toutes les bites qu'on nous présentait. Par moment c'était des clients des autres tables du restaurant qui se présentait devant nous.

Un des danseur venait m'invitait à me relever, il me prenait dans ses bras, m'entraînait dans la danse et je me retrouvais appuyé contre une table, les jambes bien écartées.

Plusieurs danseurs me caressaient le corps, lentement avec douceur, ou plus fermement. Leurs mains glissaient sur mon corps. Elles s'attardaient sur mes fesses, on me recouvrait le cul d'un truc froid. C'était du gel lubrifiant.

Ma queue s'est révolté, elle était contente, c'était le seul moyen que j'avais encore pour prendre du plaisir, même si ça me faisait un peu peur.

Je regardais autour de moi, et je voyais mon camarade Dave dans la même situation, il y avait aussi d'autres hommes. Je remarquais que ce n'était pas les danseur, c'étaient les clients du restau. Il y en avait autant qu'il y avait de danseurs.

C'est en faisant cette constatation que je sentais une forte pression contre mon cul. Un des danseurs glissait en moi. Il y allait un peu fort, il me faisait un peu mal mais j'en avais tellement envie que je laissais faire et rapidement c'était un grand plaisir qui rayonnait en moi.

La frustration ne passait pas, ma bite qui continuait à protester, je bandais toujours aussi fort dans ma cage. Là c'était désagréable et comme pour me soulager j'en demandait toujours plus. Le mec m'en donnait. Il se retirait avec vigueur et revenait à la charge, de toutes ses forces il faisait claquer son ventre contre mes fesses, il semblait infatigable. Il faisait une pause.

Puis il revenait un peu plus tard avec une nouvelle puissance, je tournais la tête, ce n'était pas le même. Un client du restau l'avait remplacer. Mon camarade Dave était dans la même situation. Il se faisait défoncer le cul, lui aussi, par un client du restau, ou un mec qui passait par là. C'était pareil pour la vingtaine de mecs qui se faisaient enculer.

Les danseurs reprenaient leur spectacle de strip-tease mais dans l'autre sens, là ils se rhabillaient, passaient entre les tables, se laissaient caresser puis allaient voir un peu plus loin dans la foire ce qui se passait.

Le mec qui me défonçait le cul ne se calmait pas il continuait à me limer le cul sans complexe, on ne se connaissait pas mais ce n'était pas bien grave. Il avait une grosse queue et c'est tout ce qui comptait.

Il me serrait fort contre lui, me relevait. Sa queue entrait bien à fond dans mon cul et là, il continuait à pousser. Il me soulevait et j'étais obligé de me lever sur la pointe des pieds. Je finissais pas gémir, je laissais échapper des cris discrets au début puis plus fort, et encore plus fort.

Ça devait l'encourager il continuait à me limer le cul avec force. Puis c'est lui que j'ai entendu gémir dans le creux de mon oreille, il jouissait dans mon cul. Moi aussi je prenais un grand plaisir mais ma queue continuait à protester. Il se retirait, se faisait applaudir avant de me laisser.

Une autre main glissait sur mes fesses et directement plusieurs doigts se glissait dans mon cul. Je regardais à qui j'avais à faire. C'était une grosse queue qui se redressait fièrement juste à côté de ma cuisse. J'avalais ma salive en me disant … '' Ça va aller, ça va aller !'' .

Le gars me lubrifiait le cul, il l'était déjà mais avec une queue pareil on ne l'est jamais assez, il prenait position et s'enfonçait en moi. Là j'ai poussé un long gémissement de plaisir. C'était limite remarquez, mais c'était bon, vraiment bon.

Il me dilatait plus que les précédents, il me dilatait vraiment et c'est loin dans mon ventre qu'il s'enfonçait. J'avais presque l'impression qu'il allait ressortir par ma gorge même si je savais que ce n'était qu'une impression. Je manquais d'air.

Il ressortait puis revenait, lentement au début mais il accélérait. C'était intense mais comme il glissait bien en moi, c'était bon. Vraiment bon. J'ai crié de plaisir.

Je me souviens des visages que faisaient les clients du restaurant, certains me regardaient dans les yeux et je devinais ce qu'ils me réserveraient si c'était possible. Un autre avait une queue anormalement grosse, je savais que celle là je ne me la prendrais pas dans le cul.

Les coups devenaient plus forts, plus rapide, je tremblais de plaisir à moins que ce ne soit de … je tremblais. Non ce n'était pas de la douleur, c'était de la panique, c'était je ne sais pas trop quoi. C'était intense vraiment intense.

En face de moi, le mec qui se faisait également défoncer le cul retrouvait un visage plus détendu, son partenaire se détachait de lui. Un autre s'approchait. Mais là, l'enculé faisait un signe de refus. Façon … '' Non sans façon, je n'en reprendrai pas plus !'' .

Je comprenais les règles, c'est celui qui se faisait enculer qui décidait. Personne n'était en manque de sexe, surtout qu'une partouze s'organisait un peu plus loin. Et ce n'était pas la seule à ce moment dans la foire.

Les coups que je recevaient devenaient violent, le criais de plaisir, j'avais l'impression de juter, d'éjaculer. Je jouissais par mon cul. J'ai entendu mon partenaire crier de plaisir lui aussi. Il jutait dans mon cul avant de se retirer. Il me donnait un baiser sur le de mon dos.

Un autre homme voulait prendre sa place mais je déclinais sa proposition. J'étais sexuellement rassasié. Ma queue bandait toujours, elle restait dure dans sa cage. Je ne comprenais plus trop ce qui se passait. Mais c'était agréable. J'étais resté sec, je n'avais pas juté d'une goutte.

Je retrouvais mon camarade Dave à ma table. On nous avait servi une bouteille de champagne.

C'est en chantant qu'on revenait à notre stand. Nous nous sommes effondré dans nos sac de couchage.

La matinée était bien avancée quand on se réveillait. Les gens passaient et ne semblaient pas s'inquiéter de voir que nous étions fermé. On installait tout rapidement et chacun allait prendre son petit déjeuner. Puis la vente repartait.

C'était le quatrième jour et nous avons vendu les deux tiers de ce qui nous restait. C'était un triomphe. On était largement entré dans nos frais. Quelques clients se présentaient entièrement nus et repartaient avec le dispositif sur eux. Certains étaient seuls, d'autre étaient accompagné d'une femme ou d'un homme.

Un couple d'homme s'est présenté, ils en voulaient un chacun. Ils étaient nus mais quand ils sont repartis il l'étaient un peu moins, à peine moins. Mais il n'étaient plus vraiment nus.

Ma queue continuait à me travailler depuis la veille, elle avait pris toute son volume, enfin tout le volume qu'elle pouvait prendre, de bulles de peau, c'était amusant, ressortaient par les trous d'aération. Elle était volumineuse mais elle n'était pas ferme, c'était étrange mais c'était confortable.

Les clients qui passaient regardaient ma cage, c'était visible. Je me sentais détendu dans mon corps, serein. Je sentais encore les queues que je m'étais pris dans le cul la veille.

La journée s'est passé tranquillement, le soir nous retournions au restaurant, là on ne se privait plus. Il ne nous restait qu'une petite centaine de cage.

On a fait la fête mais aucun d'entre nous ne s'est fait enculer, on avait eu notre dose la veille. On est resté plus sage, on seulement bu une bouteille de champagne, on a dansé, on s'est fait peloter, on s'est fait tripoté …

le lendemain nous avions tout vendu à la fin de la matinée. On gardait un exemplaire de chaque pour la présentation et surtout pour pouvoir prendre des commandes.

– Et si je commande maintenant, me demandait un client, je recevrait ma cage dans combien de temps ?
– Dès que nous rentrons, nous reprenons la production, il faut compter une petite semaine.

Il se préparait à me faire un chèque.

– Non, non, vous ne payez rien. Ce ne serait pas honnête de vous vendre quelque chose qui n'existe pas encore. Vous ne payerez qu'à la livraison, et sans frais bien sûr.

C'était là réputation de notre entreprise que nous jouions. Nous avions décidé que dès là cage disponible nous contacterions le client pour obtenir la confirmation de sa commande.

J'ai vu beaucoup de réaction, ça rassurait les clients sur notre sérieux. Nous avons pris plus de quatre cent commendes.

Nous aurions pu prévoir beaucoup plus de cage. Mais comment savoir ?

La prochaine fois on prévoirais plus de stock.

On rangeait tout, il n'était pas nécessaire de traîner, l'ambiance retombait et on voyait passer des gens tout habillés, depuis plusieurs jours c'était nouveau. Nous étions toujours à poil et la dernière chose que nous avons fait c'est nous rhabiller.

On faisait le tour de nos voisins pour les saluer, puis on prenait la route. Notre coffre était vide ou presque. Il ne nous restait que des cage de très grande tailles ou de très petites. Tout le reste était vendu.

Deux jours après notre retour on reprenait le travail, fabriquer de nouveaux moules, renouveler le stock, puis on cherchait un technicien pour notre vente par correspondance et notre communication.

Plusieurs jeunes se sont présenté, nous avions choisi une publication gay, pour éviter de mauvaises surprises, tous les candidats savaient de quoi il s'agissait.

Ça nous avait semblé plus honnête .


A suivre


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