Ma petite entreprise Ep01 Les débuts
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma petite entreprise Ep01 Les débuts
Ma petite entreprise Ep01
Les débuts
C'était avant que je ne la vende à la PK Compagnie. Et cette petite entreprise fonctionnait bien, très bien même, d'ailleurs ils m'en ont proposé un très bon prix et à mon âge je suis déjà en retraite …
Mais bon revenons à notre histoire.
En fait à cette époque le nom de J Brosso était totalement inconnu, la PK Compagnie n'existait pas encore elle s'appelait encore ' Le Château ' et les dispositifs de chasteté étaient une curiosité exotique.
J'en fabriquais et je les vendais. Ça se vendait bien même. J'avais choisi le créneau ' haut de gamme '. Les marges sont plus confortables, les clients exigeants certes mais les prix justifiaient cette exigence.
Déjà au tout début certains clients que je rencontrais me demandaient s'il était possible de porter ces dispositifs pendant de longues périodes. Et même définitivement …
je travaillais à ce projet, j'y avais mis toute mon équipe de technicien, au singulier je sais mais à cette époque je n'avais qu'un seul technicien, qui faisait aussi le design.
Oui c'était une petite entreprise, et je commençais, je ne pensais d'ailleurs pas continuer très longtemps. Toute mon équipe travaillait donc hardiment. Aucun d'entre nous tous ne ménageait ses efforts. Toujours au singulier. Nous étions un ! Oui c'était moi le technicien et designer …
Mais c'était intéressant et je voulais y croire. Les modèles que je produisais à cette époque étaient en plastique, j'utilisais une sorte de résine qui devenait très résistante en durcissant, elle gardait toutefois une très légère souplesse qui garantissait qu'elle ne casserait pas.
Je testais moi-même les dispositifs.
En règle générale, au début, les dispositifs n'étaient pas vraiment confortable, on pouvait les porter quelques heures mais pas plus. Je les proposait donc à la vente comme des jouets sexuels.
Certains de mes clients me disaient qu'ils les gardaient pendant quelques heures. Un en particulier me disait qu'il le portait pendant plusieurs jours. Mais au bout de trois ou quatre jours, ça devenait insupportable. Même moi, j'étais bien obligé de le reconnaître.
Il est vrai que j'avais peu de clients et que je ne gagnait pas vraiment de l'argent. Mais à force de chercher, je finissais par trouver. Le dispositif se composait de deux parties, comme de nos jours, un anneau et une cage. Le reste c'était du détail, de la mise au point, de la finition …
Le premier dispositif que je réalisait m'était destiné. J'étais satisfait de mon travail. Le dispositif s'avérait confortable, les anneaux étaient larges et plats. C'est à cette époque que Dave rejoignait mon équipe, son arrivée doublait la taille de l'équipe.
Pour commencer on lui réalisait un dispositif pour lui. C'était un peu normal il était le premier à m'avoir acheté un dispositif. Lui aussi trouvait l'ensemble parfaitement au point. Il le mettait et le gardait.
–
,,Tu sais Charly, nous vendons et fabriquons des dispositifs de chasteté, il me semble indispensable qu'on en porte un. Pour l'exemple … Je pense que nous devrions tous nous y engager.
Je rigolais à ce commentaire puis levais la main comme pour prêter serment ! J'appréciais tout particulièrement ce petit mot 'tous' qui me semblait tellement optimistes.
– Chaste un jour, chaste toujours !
Il reprenait après moi en rigolant mais le serment était prêté. On était chaste, on avait la queue en cage, on ne pourrait plus trop nous amuser. Je me sentais terriblement frustré. J'étais déjà habitué à porter ce genre de truc mais jamais pour de longues périodes. Je sentais en moi que cette fois-ci , c'était la bonne. Cette fois-ci, c'était pour toujours.
Je sentais ma queue se raidir dans la cage. À ce moment ma queue devenait très dure, la pression dans la cage la pressions devenait infernale. Brusquement la cage se réduisait en taille et semblait tout de suite bien trop petite.
Avec Dave, on échangeait nos impressions. Il pensait la même chose que moi. On aimait bien mais c'était terrible. Cette sensation de sentir sa queue totalement enveloppée dans la cage. Une pression forte et impitoyable et malgré tout très confortable, très doux.
On se remettait au travail, on fabriquait plusieurs modèles de différentes taille du S au XL.
Quelques jours plus tard on invitait de clients pour leur proposer un essais, on connaissait leur tailles et on les choisissait en conséquence. Nous nous retrouvions avec une dizaine de clients satisfaits. On leur proposait de garder le dispositif pendant dix semaines et ensuite de garder le dispositif gratuitement.
Ils ont tous accepté et tous on porté le dispositif sans difficulté physiques, pas de douleurs, pas de gêne, pas problèmes. Plus d'un à même choisi de le porter bien plus longtemps.
C'était un succès.
Pendant les deux mois qui suivaient on travaillaient jours et nuits. Les moules étaient en silicone et les dispositifs en résine. Nous avions fabriqué plusieurs moule pour chaque taille et on arrivait alors à une bonne production, plus de soixante dix cages à bite par jour …
Il y avait le '' Festival du cul '' qui se profilait. On s'est inscrit. J’espérais bien tout vendre …
On s'occupait de l'emballage, et on mettait les cages en cartons. Nous en avions pas loin de sept cent.
J'étais épuisé et mon pote Dave également, nous avions loué un stand pour vendre notre marchandise, tout était réglé, on priait que tout se passe bien. Nous nous réservions une soirée de détente. Tout était joué, si c'était un échec, il ne nous resterait plus grand chose, nous avions tout investi dans notre projet.
On s'est payé un restau, une sortie en boite.
Dès l'entré on nous repérait, plusieurs de nos clients étaient des habitués, ils nous présentaient et on nous laissait entrer gratos. C'est cool, j'aime bien moi quand c'est gratos, surtout qu'à cette époque, comme je vous le disais, on n'avait plus beaucoup d'argent en poche.
L'ambiance était bonne, la musique était forte et il y avait cette porte, au fond de la piste de danse, elle était fermée par un rideau. Ça m'avait manqué, je m'y dirigeais en premier.
Il fallait s'habituer à l'obscurité, il n'y avait pratiquement pas de lumière, on se déplaçait à tâtons. C'était clair au moins, à peine arrivé on tripotait, on se faisait tripoté également.
Là, passé la surprise, le gars insistait, il était surpris par ce qu'il touchait. Rapidement il glissait sa main dans mon pantalon.
– Tu sais, on en voit de plus en plus des mecs comme toi !
Je lui répondait par un sourire. Il m'ouvrait mon pantalon, je ne portais pas de sous vêtement, sauf ma cage à bite bien sûr ! Il me caressait, me tripotait, il baissait son pantalon également, il bandait il bandait ferme, me retournait contre le mur et sans me demander mon avis poussait sa queue contre mon cul.
Je me suis laissé faire, tout ce que j'espérais c'était me prendre un belle bite dans le cul. J'en avais besoin après tous ces jours de travail et de totale abstinence. Il n'a pas traîné le mec, il s'est lubrifié et direct il m'a enfoncé sa queue dans le cul.
Quelques secondes pour prendre position puis il a poussé, il a poussé fort, j'ai poussé un cri mais ça ne l'a pas calmé. Il poussait et je sentais sa queue me dilater le cul, je l'ai bien senti je ne vous dis pas. Je fermais les yeux, sa queue glissait en moi.
Il y allait un peu trop vite pour mon goût, un instant je voulais qu'il s'arrête, je gémissais mais une force en moi m'empêchait de réagir, j'étais comme obligé de le supporter, obligé d'encaisser, obligé de subir. Il me faisait bien un peu mal mais j'en voulais encore. La douleur montait
C'était un sentiment partagé entre le '' Arrête tout j'en peux plus ! '' et le '' Oui encore, vas y défonce moi le cul ! ''.
la douleur montait encore, je glissais une main pour le retenir, ça le ralentissait bien un peu. Il finissait par comprendre et ne bougeait plus.
Il me serrait contre lui, m'embrassait dans le cou, me caressait tout le corps en commençant par ma gorge et en descendant tout le long de mon torse jusqu'à ma cage à bite. Ensuite il s'amusait à me tripoter.
Il devait sentir que je me détendais car au bout d'un moment, sans prévenir il se retirait de mon cul. Pas complètement mais presque, c'est une incroyable sensation de plaisir que je ressentais à cet instant, presque un orgasme.
Là je gémissais de plaisir, il s'enfonçait de nouveau en moi, bien à fond puis ressortais. Il revenait à la charge, c'est avec force qu'il me pénétrait de nouveau bien à fond puis il commençait à me labourer le cul. Bien à fond puis il ressortait, il revenait en me faisant claquer son ventre sur mes fesses.
Là je ne contrôlais plus mes gémissements, je râlais, il ne me faisait plus mal, au contraire ce n'était plus que du plaisir. Là j'en redemandais encore, j'en redemandais vraiment encore et encore.
Je m'appuyais sur sa bite quand il me l'enfonçait dans le cul et je me soulevais quand il se retirait. Ça l'amusait, il accélérait, je suivais comme je pouvais.
Sa queue s'enfonçait bien à fond et comme elle était longue, je la sentais au milieu de mon ventre, je la sentais au milieu de mes entrailles. Je tremblais de plaisir, je tremblais d'émotion. J'aimais ses mains qui me caressaient.
Une main sur mon torse ou mon ventre et l'autre sur mes couilles, il me les massait, il les écrasait plus ou moins doucement puis les relâchait et continuait encore, et encore et il me limait le cul.
Je sentais son souffle contre ma nuque, par moment il me mordillait. Je gémissais, je m'abandonnais totalement à mon plaisir, je tremblais et je commençais à avoir du mal à tenir debout.
Il m'écrasait contre le mur, ainsi je tenais debout. Il continuait à me limer le cul avec force. Je gémissait plus fort et le plaisir montait en moi.
Le plaisir explosait dans mon cul. Le plaisir rayonnait dans tout mon corps, il se diffusait dans mes bras, et là je n'était plus qu'un grand tremblement de plaisir.
Ça faisait des mois que je m'étais abstenu de tout plaisir, pas le temps. Mais là ce mec inconnu me rappelait à quel point c'était agréable, à quel point c'était bon. J'ai crié.
J'étais submergé par le plaisir, je criais, je gémissais, j'avais oublié que nous n'étions pas seul.
Bon vous êtes gentil, on est entre nous, je vous fais confiance, vous ne le répétez pas mais par la suite on m'a surnommé le couineur. Je sais c'est pas glorieux !
Il a continué à me limer le cul pendant encore un moment, il a joui. Moi je jouissais déjà, je jouissais encore il a fini par éjaculer. Je l'ai senti il me donnait alors de violents coups de bite dans le cul.
Puis tout est allé très vite. Il se retirait s'essuyait et me disait juste.
– Tu es un bon coup toi, avec les mecs qui portent ce genre de truc, rajoutait-il en m'écrasant les couilles, on n'est jamais déçu.
Puis il disparaissait, j'avais joui, je n'avais pas éjaculé, même au moment ou il m'avait écrasé les couilles.
Je n'avais jamais joui aussi fort, mais c'est vrai que ça me faisait à l'époque quelques semaines d'abstinence totale et qu'il avait une bonne queue.
Le lendemain je retrouvais mon associé Dave, on terminait de tout préparer pour le départ le lendemain matin.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Les débuts
C'était avant que je ne la vende à la PK Compagnie. Et cette petite entreprise fonctionnait bien, très bien même, d'ailleurs ils m'en ont proposé un très bon prix et à mon âge je suis déjà en retraite …
Mais bon revenons à notre histoire.
En fait à cette époque le nom de J Brosso était totalement inconnu, la PK Compagnie n'existait pas encore elle s'appelait encore ' Le Château ' et les dispositifs de chasteté étaient une curiosité exotique.
J'en fabriquais et je les vendais. Ça se vendait bien même. J'avais choisi le créneau ' haut de gamme '. Les marges sont plus confortables, les clients exigeants certes mais les prix justifiaient cette exigence.
Déjà au tout début certains clients que je rencontrais me demandaient s'il était possible de porter ces dispositifs pendant de longues périodes. Et même définitivement …
je travaillais à ce projet, j'y avais mis toute mon équipe de technicien, au singulier je sais mais à cette époque je n'avais qu'un seul technicien, qui faisait aussi le design.
Oui c'était une petite entreprise, et je commençais, je ne pensais d'ailleurs pas continuer très longtemps. Toute mon équipe travaillait donc hardiment. Aucun d'entre nous tous ne ménageait ses efforts. Toujours au singulier. Nous étions un ! Oui c'était moi le technicien et designer …
Mais c'était intéressant et je voulais y croire. Les modèles que je produisais à cette époque étaient en plastique, j'utilisais une sorte de résine qui devenait très résistante en durcissant, elle gardait toutefois une très légère souplesse qui garantissait qu'elle ne casserait pas.
Je testais moi-même les dispositifs.
En règle générale, au début, les dispositifs n'étaient pas vraiment confortable, on pouvait les porter quelques heures mais pas plus. Je les proposait donc à la vente comme des jouets sexuels.
Certains de mes clients me disaient qu'ils les gardaient pendant quelques heures. Un en particulier me disait qu'il le portait pendant plusieurs jours. Mais au bout de trois ou quatre jours, ça devenait insupportable. Même moi, j'étais bien obligé de le reconnaître.
Il est vrai que j'avais peu de clients et que je ne gagnait pas vraiment de l'argent. Mais à force de chercher, je finissais par trouver. Le dispositif se composait de deux parties, comme de nos jours, un anneau et une cage. Le reste c'était du détail, de la mise au point, de la finition …
Le premier dispositif que je réalisait m'était destiné. J'étais satisfait de mon travail. Le dispositif s'avérait confortable, les anneaux étaient larges et plats. C'est à cette époque que Dave rejoignait mon équipe, son arrivée doublait la taille de l'équipe.
Pour commencer on lui réalisait un dispositif pour lui. C'était un peu normal il était le premier à m'avoir acheté un dispositif. Lui aussi trouvait l'ensemble parfaitement au point. Il le mettait et le gardait.
–
,,Tu sais Charly, nous vendons et fabriquons des dispositifs de chasteté, il me semble indispensable qu'on en porte un. Pour l'exemple … Je pense que nous devrions tous nous y engager.
Je rigolais à ce commentaire puis levais la main comme pour prêter serment ! J'appréciais tout particulièrement ce petit mot 'tous' qui me semblait tellement optimistes.
– Chaste un jour, chaste toujours !
Il reprenait après moi en rigolant mais le serment était prêté. On était chaste, on avait la queue en cage, on ne pourrait plus trop nous amuser. Je me sentais terriblement frustré. J'étais déjà habitué à porter ce genre de truc mais jamais pour de longues périodes. Je sentais en moi que cette fois-ci , c'était la bonne. Cette fois-ci, c'était pour toujours.
Je sentais ma queue se raidir dans la cage. À ce moment ma queue devenait très dure, la pression dans la cage la pressions devenait infernale. Brusquement la cage se réduisait en taille et semblait tout de suite bien trop petite.
Avec Dave, on échangeait nos impressions. Il pensait la même chose que moi. On aimait bien mais c'était terrible. Cette sensation de sentir sa queue totalement enveloppée dans la cage. Une pression forte et impitoyable et malgré tout très confortable, très doux.
On se remettait au travail, on fabriquait plusieurs modèles de différentes taille du S au XL.
Quelques jours plus tard on invitait de clients pour leur proposer un essais, on connaissait leur tailles et on les choisissait en conséquence. Nous nous retrouvions avec une dizaine de clients satisfaits. On leur proposait de garder le dispositif pendant dix semaines et ensuite de garder le dispositif gratuitement.
Ils ont tous accepté et tous on porté le dispositif sans difficulté physiques, pas de douleurs, pas de gêne, pas problèmes. Plus d'un à même choisi de le porter bien plus longtemps.
C'était un succès.
Pendant les deux mois qui suivaient on travaillaient jours et nuits. Les moules étaient en silicone et les dispositifs en résine. Nous avions fabriqué plusieurs moule pour chaque taille et on arrivait alors à une bonne production, plus de soixante dix cages à bite par jour …
Il y avait le '' Festival du cul '' qui se profilait. On s'est inscrit. J’espérais bien tout vendre …
On s'occupait de l'emballage, et on mettait les cages en cartons. Nous en avions pas loin de sept cent.
J'étais épuisé et mon pote Dave également, nous avions loué un stand pour vendre notre marchandise, tout était réglé, on priait que tout se passe bien. Nous nous réservions une soirée de détente. Tout était joué, si c'était un échec, il ne nous resterait plus grand chose, nous avions tout investi dans notre projet.
On s'est payé un restau, une sortie en boite.
Dès l'entré on nous repérait, plusieurs de nos clients étaient des habitués, ils nous présentaient et on nous laissait entrer gratos. C'est cool, j'aime bien moi quand c'est gratos, surtout qu'à cette époque, comme je vous le disais, on n'avait plus beaucoup d'argent en poche.
L'ambiance était bonne, la musique était forte et il y avait cette porte, au fond de la piste de danse, elle était fermée par un rideau. Ça m'avait manqué, je m'y dirigeais en premier.
Il fallait s'habituer à l'obscurité, il n'y avait pratiquement pas de lumière, on se déplaçait à tâtons. C'était clair au moins, à peine arrivé on tripotait, on se faisait tripoté également.
Là, passé la surprise, le gars insistait, il était surpris par ce qu'il touchait. Rapidement il glissait sa main dans mon pantalon.
– Tu sais, on en voit de plus en plus des mecs comme toi !
Je lui répondait par un sourire. Il m'ouvrait mon pantalon, je ne portais pas de sous vêtement, sauf ma cage à bite bien sûr ! Il me caressait, me tripotait, il baissait son pantalon également, il bandait il bandait ferme, me retournait contre le mur et sans me demander mon avis poussait sa queue contre mon cul.
Je me suis laissé faire, tout ce que j'espérais c'était me prendre un belle bite dans le cul. J'en avais besoin après tous ces jours de travail et de totale abstinence. Il n'a pas traîné le mec, il s'est lubrifié et direct il m'a enfoncé sa queue dans le cul.
Quelques secondes pour prendre position puis il a poussé, il a poussé fort, j'ai poussé un cri mais ça ne l'a pas calmé. Il poussait et je sentais sa queue me dilater le cul, je l'ai bien senti je ne vous dis pas. Je fermais les yeux, sa queue glissait en moi.
Il y allait un peu trop vite pour mon goût, un instant je voulais qu'il s'arrête, je gémissais mais une force en moi m'empêchait de réagir, j'étais comme obligé de le supporter, obligé d'encaisser, obligé de subir. Il me faisait bien un peu mal mais j'en voulais encore. La douleur montait
C'était un sentiment partagé entre le '' Arrête tout j'en peux plus ! '' et le '' Oui encore, vas y défonce moi le cul ! ''.
la douleur montait encore, je glissais une main pour le retenir, ça le ralentissait bien un peu. Il finissait par comprendre et ne bougeait plus.
Il me serrait contre lui, m'embrassait dans le cou, me caressait tout le corps en commençant par ma gorge et en descendant tout le long de mon torse jusqu'à ma cage à bite. Ensuite il s'amusait à me tripoter.
Il devait sentir que je me détendais car au bout d'un moment, sans prévenir il se retirait de mon cul. Pas complètement mais presque, c'est une incroyable sensation de plaisir que je ressentais à cet instant, presque un orgasme.
Là je gémissais de plaisir, il s'enfonçait de nouveau en moi, bien à fond puis ressortais. Il revenait à la charge, c'est avec force qu'il me pénétrait de nouveau bien à fond puis il commençait à me labourer le cul. Bien à fond puis il ressortait, il revenait en me faisant claquer son ventre sur mes fesses.
Là je ne contrôlais plus mes gémissements, je râlais, il ne me faisait plus mal, au contraire ce n'était plus que du plaisir. Là j'en redemandais encore, j'en redemandais vraiment encore et encore.
Je m'appuyais sur sa bite quand il me l'enfonçait dans le cul et je me soulevais quand il se retirait. Ça l'amusait, il accélérait, je suivais comme je pouvais.
Sa queue s'enfonçait bien à fond et comme elle était longue, je la sentais au milieu de mon ventre, je la sentais au milieu de mes entrailles. Je tremblais de plaisir, je tremblais d'émotion. J'aimais ses mains qui me caressaient.
Une main sur mon torse ou mon ventre et l'autre sur mes couilles, il me les massait, il les écrasait plus ou moins doucement puis les relâchait et continuait encore, et encore et il me limait le cul.
Je sentais son souffle contre ma nuque, par moment il me mordillait. Je gémissais, je m'abandonnais totalement à mon plaisir, je tremblais et je commençais à avoir du mal à tenir debout.
Il m'écrasait contre le mur, ainsi je tenais debout. Il continuait à me limer le cul avec force. Je gémissait plus fort et le plaisir montait en moi.
Le plaisir explosait dans mon cul. Le plaisir rayonnait dans tout mon corps, il se diffusait dans mes bras, et là je n'était plus qu'un grand tremblement de plaisir.
Ça faisait des mois que je m'étais abstenu de tout plaisir, pas le temps. Mais là ce mec inconnu me rappelait à quel point c'était agréable, à quel point c'était bon. J'ai crié.
J'étais submergé par le plaisir, je criais, je gémissais, j'avais oublié que nous n'étions pas seul.
Bon vous êtes gentil, on est entre nous, je vous fais confiance, vous ne le répétez pas mais par la suite on m'a surnommé le couineur. Je sais c'est pas glorieux !
Il a continué à me limer le cul pendant encore un moment, il a joui. Moi je jouissais déjà, je jouissais encore il a fini par éjaculer. Je l'ai senti il me donnait alors de violents coups de bite dans le cul.
Puis tout est allé très vite. Il se retirait s'essuyait et me disait juste.
– Tu es un bon coup toi, avec les mecs qui portent ce genre de truc, rajoutait-il en m'écrasant les couilles, on n'est jamais déçu.
Puis il disparaissait, j'avais joui, je n'avais pas éjaculé, même au moment ou il m'avait écrasé les couilles.
Je n'avais jamais joui aussi fort, mais c'est vrai que ça me faisait à l'époque quelques semaines d'abstinence totale et qu'il avait une bonne queue.
Le lendemain je retrouvais mon associé Dave, on terminait de tout préparer pour le départ le lendemain matin.
A suivre
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