ma petite indienne malbaraise (1)
Récit érotique écrit par Papyrun [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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ma petite indienne malbaraise (1)
(début d’une longue histoire)
Comme beaucoup je suis voyeur et exhibitionniste occasionnel. Dès mon plus jeune âge, j’aimais bien montrer mon sexe à mes sœurs puis à mes petites copines, le comparer à celui des autres garçons, faire des concours à celui qui urinerait le plus loin et, dès l’adolescence, des concours de « branlettes » bien innocents. Ma vie s’est déroulée sous le signe du sexe et j’en ai saisi toutes les opportunités sans me poser de question, sans culpabiliser après coup. Dès ma naissance, je fus souvent confié à ma marraine qui a eu deux enfants, un fils né le même jour que moi et une fille de trois ans notre aînée. Ma marraine, pleine de douceur et de perversité, nous initia dès notre plus jeune âge aux plaisirs du sexe sans tabou ni contrainte. Elle avait su nous amener là où son plaisir la guidait. Nous avions choisi le plaisir contre l’interdit avec comme priorité le secret et le silence. Ainsi mon existence a-t-elle été comblée de bienfaits sans que jamais mes proches n’aient eu le moindre doute à mon sujet. Enfant de la misère, ma vie a été comblée et le malheur m’a jusqu’alors épargné.
Maintenant à la retraite, j’ai eu, au cours de mes pérégrinations de biens charmantes aventures (dont certaines ne passeraient pas la censure.) Voici l’une d’elles survenue lors de ma dernière mutation dans un petite île de l’océan Indien où je me suis retiré pour y couler des jours paisibles et un peu moins agités.
A l’approche de la quarantaine, j’étais ce que l’on appelle un bel homme, une belle prestance, des yeux couleur marron-verts avec des reflets dorés, les tempes argentées, un bel uniforme et une situation enviable : un vrai miroir aux alouettes.
Dans ce petit paradis (se transformant parfois en enfer lors de cyclones violents) aux multiples ethnies vivent les plus belles filles que j’aie pu rencontrer. Les dieux ont veillé aux plus réussis des métissages. Imaginez ces créatures, rarement très grandes, au teint d’un noir d’ébène au blanc laiteux parfois taché de roux, en passant par toutes les nuances de caramel et de miel dorés, aux yeux de biche des indiennes à la longue chevelure d’un noir de jais, tous ces délicieux mélanges de chinois, malgaches, européens, africains ?
Comment aurais-je pu résister ? Le plus sage était de se laisser séduire puisque j’étais un homme facile. Dès le lendemain de mon arrivée, je faisais ma première expérience ; je n’avais fait que répondre à un gracieux sourire enjôleur. Mon épouse, aussi séduite que moi, ne tarda pas à découvrir les charmes des jeunes étalons qu’elle se mit à consommer sans modération. Deux ans plus tard, elle me quittait pour un nouvel amour me laissant le champ et la maison libres. En attendant, je devais agir avec la plus grande discrétion car les jeunes filles ou femmes dont je faisais la connaissance craignaient d’être reconnues et vilipendées. J’avais fait l’acquisition d’un petit van que j’avais aménagé en camping car très confortable, la discrétion était ainsi assurée. Il y a vingt-huit ans, le nombre de véhicules était très réduit dans l’île et j’avais découvert un endroit charmant dans la forêt longeant la côte, entre les dunes recouvertes de filaos. On y accédait par une piste à peine carrossable utilisée par les services de l’ONF et quelques pêcheurs la semaine et les piqueniqueurs le dimanche. Une grosse branche cassée me permettait de barrer l’accès de la petite clairière et le véhicule devenait invisible de la piste. Nous étions seuls au monde en sécurité. En sécurité nous l’étions, mais seuls au monde ?.....
La première fois où j’étrennais ce petit nid d’amour, je me trouvais en compagnie de ma dernière conquête : un petit bout de femme ressemblant à une adolescente, la peau luisante et sombre des filles des comptoirs de l’Inde, des yeux noirs lui mangeant le visage, des dents d’une blancheur éclatante, une tresse de cheveux de jais descendant au creux des reins, un mètre quarante neuf, pas plus de quarante kilos, légère comme une plume, souple comme un roseau. Après avoir étendu un grand drap sur les aiguilles de filaos. Sans plus attendre, j’avais débarrassé ma conquête de sa robe légère et une petite culotte de coton d’un blanc immaculé. La vue de ses petits seins ronds libres de tout soutien m’avait rendu fébrile. En un tournemain j’étais nu devant elle. Je la pris dans mes bras. Sa Bouche se trouvait à hauteur de ma poitrine Tombant et ma verge dressée se logeait juste au-dessous de ses seins. Tombant à ses genoux, je pris ses petites fesses rondes et musclées dans mes mains. Ma langue avide avait rapidement trouvé le passage entre les lèvres de son sexe protégé par une toison de poils noirs brillants soyeux et longs collés par sa cyprine abondante. Elle avait repoussé ma tête avec vigueur:
-« arrête, c’est sale, ça ne se fait pas ! » (par manque de connaissance et d’information, les pratiques sexuelles étaient limitées, il n’était pas dans les habitudes locales de pratiquer le cunnilingus ou la fellation qui étaient considérés comme sale et réprouvés par la religion bien entendu.)
Elle s’était allongée sur le drap et agenouillé à son côté, le sexe érigé tel un sceptre duquel coulait un filet de liqueur, je lui expliquai tout le plaisir que l’on pouvait retirer de cette façon et que ce n’était pas plus sale qu’un baiser avec la langue quand la femme était propre. Tout en lui parlant, je caressais ses petits seins, son ventre et sa chatte chaude et humide. A chaque passage de mon doigt sur son clitoris turgescent gros comme un pois chiche, elle poussait un gémissement en fermant les yeux. Elle me dit que jamais un homme ne l’avait caressée là, que le père des ses deux enfants se contentait de la prendre pour son propre plaisir puis qu’il la laissait ensuite frustrée. Mes explications l’avaient convaincue et elle était pressée de jouir maintenant. Allongé entre ses cuisses écartées, la bouche sur son sexe ruisselant, tout en léchant ses petites lèvres et son clitoris que j’aspirais, j’introduisis deux doigts dans son vagin. La réaction fut immédiate, plaquant les mains sur ma tête, elle se déchaîna remuant son bassin avec violence. Elle eut une série d’orgasmes bruyants. Elle ne me lâcha qu’une fois complètement vidée de toute énergie et resta inanimée, le sang semblait s’être retiré de son visage. Une large tache humide s’étalait sous ses fesses, un mélange de sa liqueur et de salive : pour la première fois de ma vie, je voyais une femme fontaine. Mon sexe coulait abondamment mais son heure n’était pas encore venue : je savais attendre.
Ma maîtresse recouvrit doucement ses sens sous mes caresses. Je gobais pratiquement ses seins tant ils étaient menus puis je m’allongeais avec précaution sur elle. Maintenant elle était impatiente de goûter à mon sexe dont la grosseur lui causait un peu d’appréhension. Malgré sa bonne volonté, j’eus quelques difficultés à la pénétrer malgré qu’elle eût déjà accouchée de deux enfants. Mon sexe bien que de bonne taille, n’était pas énorme mais elle était très étroite. Une fois à l’intérieur de son petit corps accueillant et chaud, je la manipulais comme une poupée de chiffon l’amenant rapidement dans un délire aussi expressif que précédemment, je ne la lâchais que quand j’eus joui. Mon plaisir avait été tel que j’étais resté quelques minutes sans réaction, ma petite maîtresse serrée contre mon corps. Je restai soudé à son ventre inondé attendant de renaître et qu’elle sorte de l’espèce de coma où elle était plongée. Dès son réveil, l’air égarée, elle m’avait souri, elle avait les traits tirés, l’éclat de ses yeux enfiévré lui faisait un regard ensorceleur. Elle me fit une déclaration d’amour me disant qu’elle était à moi, que je pourrais tout lui demander. Je n’en espérai pas tant mais la proposition m’avait tentée.
Je lui refis l’amour avec douceur, longuement et, quand elle senti que j’éjaculai, elle se mit à hurler longuement, comme une chienne et retomba inconsciente, inanimée. Après lui avoir pris le pouls, je rabattis le drap sur son corps épuisé. J’avais connu des femmes aux orgasmes bruyants mais jamais encore s’évanouissant. Je me levai pour aller prendre de l’eau dans mon petit van quand j’aperçus un mouvement furtif derrière un fourré de tamarinier. Faisant semblant de ne rien remarquer, je m’étais dirigé nonchalamment dans cette direction et prenant mon sexe à moitié dressé, j’avais fait quelques mouvement de masturbation puis j’avais uriné face au voyeur que je venais d’apercevoir tapi sous les branches basses. Il était vêtu d’un treillis délavé et de bottes de caoutchouc. Je fis mine de ne rien voir et m’en retournai vers ma compagne endormie. La présence du voyeur m’excitait. Je n’en dis rien à la jeune femme et me promis de revenir le plus souvent possible.
Papyrun
Comme beaucoup je suis voyeur et exhibitionniste occasionnel. Dès mon plus jeune âge, j’aimais bien montrer mon sexe à mes sœurs puis à mes petites copines, le comparer à celui des autres garçons, faire des concours à celui qui urinerait le plus loin et, dès l’adolescence, des concours de « branlettes » bien innocents. Ma vie s’est déroulée sous le signe du sexe et j’en ai saisi toutes les opportunités sans me poser de question, sans culpabiliser après coup. Dès ma naissance, je fus souvent confié à ma marraine qui a eu deux enfants, un fils né le même jour que moi et une fille de trois ans notre aînée. Ma marraine, pleine de douceur et de perversité, nous initia dès notre plus jeune âge aux plaisirs du sexe sans tabou ni contrainte. Elle avait su nous amener là où son plaisir la guidait. Nous avions choisi le plaisir contre l’interdit avec comme priorité le secret et le silence. Ainsi mon existence a-t-elle été comblée de bienfaits sans que jamais mes proches n’aient eu le moindre doute à mon sujet. Enfant de la misère, ma vie a été comblée et le malheur m’a jusqu’alors épargné.
Maintenant à la retraite, j’ai eu, au cours de mes pérégrinations de biens charmantes aventures (dont certaines ne passeraient pas la censure.) Voici l’une d’elles survenue lors de ma dernière mutation dans un petite île de l’océan Indien où je me suis retiré pour y couler des jours paisibles et un peu moins agités.
A l’approche de la quarantaine, j’étais ce que l’on appelle un bel homme, une belle prestance, des yeux couleur marron-verts avec des reflets dorés, les tempes argentées, un bel uniforme et une situation enviable : un vrai miroir aux alouettes.
Dans ce petit paradis (se transformant parfois en enfer lors de cyclones violents) aux multiples ethnies vivent les plus belles filles que j’aie pu rencontrer. Les dieux ont veillé aux plus réussis des métissages. Imaginez ces créatures, rarement très grandes, au teint d’un noir d’ébène au blanc laiteux parfois taché de roux, en passant par toutes les nuances de caramel et de miel dorés, aux yeux de biche des indiennes à la longue chevelure d’un noir de jais, tous ces délicieux mélanges de chinois, malgaches, européens, africains ?
Comment aurais-je pu résister ? Le plus sage était de se laisser séduire puisque j’étais un homme facile. Dès le lendemain de mon arrivée, je faisais ma première expérience ; je n’avais fait que répondre à un gracieux sourire enjôleur. Mon épouse, aussi séduite que moi, ne tarda pas à découvrir les charmes des jeunes étalons qu’elle se mit à consommer sans modération. Deux ans plus tard, elle me quittait pour un nouvel amour me laissant le champ et la maison libres. En attendant, je devais agir avec la plus grande discrétion car les jeunes filles ou femmes dont je faisais la connaissance craignaient d’être reconnues et vilipendées. J’avais fait l’acquisition d’un petit van que j’avais aménagé en camping car très confortable, la discrétion était ainsi assurée. Il y a vingt-huit ans, le nombre de véhicules était très réduit dans l’île et j’avais découvert un endroit charmant dans la forêt longeant la côte, entre les dunes recouvertes de filaos. On y accédait par une piste à peine carrossable utilisée par les services de l’ONF et quelques pêcheurs la semaine et les piqueniqueurs le dimanche. Une grosse branche cassée me permettait de barrer l’accès de la petite clairière et le véhicule devenait invisible de la piste. Nous étions seuls au monde en sécurité. En sécurité nous l’étions, mais seuls au monde ?.....
La première fois où j’étrennais ce petit nid d’amour, je me trouvais en compagnie de ma dernière conquête : un petit bout de femme ressemblant à une adolescente, la peau luisante et sombre des filles des comptoirs de l’Inde, des yeux noirs lui mangeant le visage, des dents d’une blancheur éclatante, une tresse de cheveux de jais descendant au creux des reins, un mètre quarante neuf, pas plus de quarante kilos, légère comme une plume, souple comme un roseau. Après avoir étendu un grand drap sur les aiguilles de filaos. Sans plus attendre, j’avais débarrassé ma conquête de sa robe légère et une petite culotte de coton d’un blanc immaculé. La vue de ses petits seins ronds libres de tout soutien m’avait rendu fébrile. En un tournemain j’étais nu devant elle. Je la pris dans mes bras. Sa Bouche se trouvait à hauteur de ma poitrine Tombant et ma verge dressée se logeait juste au-dessous de ses seins. Tombant à ses genoux, je pris ses petites fesses rondes et musclées dans mes mains. Ma langue avide avait rapidement trouvé le passage entre les lèvres de son sexe protégé par une toison de poils noirs brillants soyeux et longs collés par sa cyprine abondante. Elle avait repoussé ma tête avec vigueur:
-« arrête, c’est sale, ça ne se fait pas ! » (par manque de connaissance et d’information, les pratiques sexuelles étaient limitées, il n’était pas dans les habitudes locales de pratiquer le cunnilingus ou la fellation qui étaient considérés comme sale et réprouvés par la religion bien entendu.)
Elle s’était allongée sur le drap et agenouillé à son côté, le sexe érigé tel un sceptre duquel coulait un filet de liqueur, je lui expliquai tout le plaisir que l’on pouvait retirer de cette façon et que ce n’était pas plus sale qu’un baiser avec la langue quand la femme était propre. Tout en lui parlant, je caressais ses petits seins, son ventre et sa chatte chaude et humide. A chaque passage de mon doigt sur son clitoris turgescent gros comme un pois chiche, elle poussait un gémissement en fermant les yeux. Elle me dit que jamais un homme ne l’avait caressée là, que le père des ses deux enfants se contentait de la prendre pour son propre plaisir puis qu’il la laissait ensuite frustrée. Mes explications l’avaient convaincue et elle était pressée de jouir maintenant. Allongé entre ses cuisses écartées, la bouche sur son sexe ruisselant, tout en léchant ses petites lèvres et son clitoris que j’aspirais, j’introduisis deux doigts dans son vagin. La réaction fut immédiate, plaquant les mains sur ma tête, elle se déchaîna remuant son bassin avec violence. Elle eut une série d’orgasmes bruyants. Elle ne me lâcha qu’une fois complètement vidée de toute énergie et resta inanimée, le sang semblait s’être retiré de son visage. Une large tache humide s’étalait sous ses fesses, un mélange de sa liqueur et de salive : pour la première fois de ma vie, je voyais une femme fontaine. Mon sexe coulait abondamment mais son heure n’était pas encore venue : je savais attendre.
Ma maîtresse recouvrit doucement ses sens sous mes caresses. Je gobais pratiquement ses seins tant ils étaient menus puis je m’allongeais avec précaution sur elle. Maintenant elle était impatiente de goûter à mon sexe dont la grosseur lui causait un peu d’appréhension. Malgré sa bonne volonté, j’eus quelques difficultés à la pénétrer malgré qu’elle eût déjà accouchée de deux enfants. Mon sexe bien que de bonne taille, n’était pas énorme mais elle était très étroite. Une fois à l’intérieur de son petit corps accueillant et chaud, je la manipulais comme une poupée de chiffon l’amenant rapidement dans un délire aussi expressif que précédemment, je ne la lâchais que quand j’eus joui. Mon plaisir avait été tel que j’étais resté quelques minutes sans réaction, ma petite maîtresse serrée contre mon corps. Je restai soudé à son ventre inondé attendant de renaître et qu’elle sorte de l’espèce de coma où elle était plongée. Dès son réveil, l’air égarée, elle m’avait souri, elle avait les traits tirés, l’éclat de ses yeux enfiévré lui faisait un regard ensorceleur. Elle me fit une déclaration d’amour me disant qu’elle était à moi, que je pourrais tout lui demander. Je n’en espérai pas tant mais la proposition m’avait tentée.
Je lui refis l’amour avec douceur, longuement et, quand elle senti que j’éjaculai, elle se mit à hurler longuement, comme une chienne et retomba inconsciente, inanimée. Après lui avoir pris le pouls, je rabattis le drap sur son corps épuisé. J’avais connu des femmes aux orgasmes bruyants mais jamais encore s’évanouissant. Je me levai pour aller prendre de l’eau dans mon petit van quand j’aperçus un mouvement furtif derrière un fourré de tamarinier. Faisant semblant de ne rien remarquer, je m’étais dirigé nonchalamment dans cette direction et prenant mon sexe à moitié dressé, j’avais fait quelques mouvement de masturbation puis j’avais uriné face au voyeur que je venais d’apercevoir tapi sous les branches basses. Il était vêtu d’un treillis délavé et de bottes de caoutchouc. Je fis mine de ne rien voir et m’en retournai vers ma compagne endormie. La présence du voyeur m’excitait. Je n’en dis rien à la jeune femme et me promis de revenir le plus souvent possible.
Papyrun
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bien, vite la suite... ns ne sommes pas loin de vs...
bien sympa