Ma première expérience - histoire érotique

Bonjour,

J’ai vu que ma première histoire vous avait plu, alors j’ai décidé de me relancer.

Cette fois, je vous emmène dans le souvenir de ma première vraie fellation.

Pour vous remettre dans le contexte, j’avais déjà eu quelques expériences lorsque j’étais plus jeune, mais jamais rien de vraiment marquant. Une fois, un homme m’avait fait une fellation – c’était d’ailleurs ma première fois avec un homme – mais, de mon côté, je n’avais jamais vraiment osé aller plus loin qu’un timide contact des lèvres.

Mais cette fois-ci, c’était différent : c’était la première, celle qui reste gravée. Je me souviens encore de chaque instant, de chaque émotion. Et aujourd’hui, je vais tout partager avec vous.

Nous étions en mai 2019. Je venais de rompre avec ma copine de l’époque. Nous vivions ensemble dans un grand appartement, mais je me retrouvais soudainement seul dans cet espace immense. Les soirées paraissaient interminables, alors je passais beaucoup de temps sur des sites de rencontres, à discuter un peu avec tout le monde.

Depuis toujours, je suis attiré par les hommes plus âgés, de préférence basanés. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais ils m’ont toujours énormément excité.

Un dimanche après-midi, alors que je traînais sur un site, un homme d’une quarantaine d’années m’envoya un message. Il était charmant, drôle et, en prime, plutôt bien doté – ce qu’il n’avait pas manqué de montrer. Pour une première, je me suis dit : Pourquoi pas lui ?. J’avais envie d’évacuer ma frustration, ma colère. Ce jour-là, j’ai fait quelque chose que je ne fais jamais : je lui ai donné mon adresse.

Quelques minutes plus tard, il était en bas de chez moi. Mon appartement donnait directement sur la rue, et je pouvais l’apercevoir depuis la fenêtre. Il était un peu plus corpulent que sur ses photos, ce qui me fit douter un instant. Pendant dix longues minutes, j’ai hésité : descendre, ou lui demander de partir ? Mais au fond, j’en avais tellement envie que j’ai fini par céder.

Quand je suis descendu au rez-de-chaussée, je tremblais. Une partie de moi voulait faire demi-tour, mais une autre brûlait d’excitation. Une fois à la porte, il entra sans un mot, monta avec moi les escaliers et s’installa directement sur le canapé.

Il ne parlait pas beaucoup. Je sentais que, pour lui, ce moment n’était rien d’autre qu’un exutoire. J’étais là pour le soulager, un objet. Il pensait sans doute que j’avais l’habitude, que j’étais à l’aise avec ça – c’est comme ça que je m’étais vendu à lui.

De mon côté, je le regardais baisser son pantalon sans savoir par où commencer.

Il s’assit confortablement, les bras étendus sur le dossier, son caleçon tendu dévoilant déjà l’ampleur de son excitation. Sans un mot, je m’installai à côté de lui. J’étais terrifié, mais en même temps électrisé. Je posai ma main sur son sexe, à travers le tissu, et je sentis son érection croître lentement sous mes doigts.

Je me glissai alors entre ses jambes et abaissai son caleçon. Son sexe apparut, épais, bien rasé, dégageant une odeur masculine qui m’envoûtait. Maladroitement, je commençai à le masturber. Mes gestes hésitants semblaient pourtant lui plaire, car il devenait de plus en plus dur.

Après quelques minutes, il me demanda doucement de le sucer.

C’était le moment.

Le cœur battant, je m’approchai. Les images de tous ces films X que j’avais vus défilaient dans ma tête. Je déposai un baiser sur le bout de son gland, le léchant doucement tout en le regardant. Je voyais dans ses gestes qu’il appréciait : plus je continuais, plus il se cambrait légèrement, frémissant sous mes caresses.

Puis, le moment fatidique arriva : je pris sa verge entre mes lèvres et entrepris une lente descente. Elle paraissait encore plus imposante une fois en bouche, mais je me laissai guider par l’instinct. Maladroit, sans doute, mais déterminé, je le suçais tout en le caressant.

À un moment, emporté par le stress et l’excitation, j’accélérai le rythme. Il posa une main sur ma tête et me demanda de ralentir : il était déjà proche de l’orgasme. Je pris mon temps, savourant chaque instant.

Après cinq minutes, il se laissa complètement aller. Je me reculai juste à temps pour éviter de recevoir son éjaculation, mais je sentis son sperme couler sur ma main.

C’était terminé.

Il se rhabilla rapidement, me lança un dernier regard, et quitta l’appartement sans un mot. Je restai là, hébété, ma main toujours pleine de son sperme. Mon érection était à son comble, l’adrénaline me consumait.

Alors, instinctivement, je portai ma main à ma bouche pour goûter son sperme : un goût salé, surprenant mais pas désagréable. Je me masturbai rapidement, encore en feu, et finis par me libérer.

Plus tard, je lui envoyai un message pour le remercier. Il répondit qu’il avait adoré, et qu’il reviendrait si je le souhaitais.

Et vous vous doutez bien que j’ai accepté… mais ça, c’est une autre histoire.

Si cette aventure vous a plu, n’hésitez pas à me le faire savoir. ;)