Ma première expérience - partie 2 - histoire érotique

Chers lecteurs,

Puisque mon histoire continue de susciter votre intérêt, je poursuis le récit.

Je venais de vivre une expérience nouvelle : ma première fellation. La nuit qui suivit fut marquée par une intense agitation intérieure. Je repassais ces instants en boucle dans mon esprit, incapable de croire ce que je venais d’accomplir. J’étais là, sur mon canapé, me revoyant agenouillé entre les jambes d’un homme d’une quarantaine d’années.

Un mélange d’excitation et d’anxiété m’habitait. Une part de moi considérait cet acte comme audacieux, tandis qu’une autre y voyait une forme de gravité. Il me fallut du temps pour l’accepter pleinement.

Les semaines passèrent, et j’habitais toujours cet appartement pris autrefois avec mon ex-compagne. Un soir, je me reconnectai sur ce site. Mon premier partenaire n’était pas en ligne, mais d’autres profils captèrent mon attention. Tous se montrèrent bienveillants et compréhensifs. Je m’étais fixé quelques règles : je leur envoyais une photo de moi et, si je leur plaisais, ils devaient m’envoyer une photo d’eux ainsi que de leurs attributs. Je voulais m’assurer qu’ils correspondaient à mes attentes.

À ma grande surprise, je réalisai que j’étais assez exigeant, ce qui rendait mes choix difficiles. Puis, une idée audacieuse germa dans mon esprit : et si j’invitais plusieurs hommes ?

Cette pensée m’excita autant qu’elle me troubla. Je m’imaginais déjà au centre de toutes les attentions dans une scène digne d’un fantasme. Mais je ne pouvais ignorer les risques inhérents à une telle aventure, notamment sur le plan sanitaire.

J’en parlai dans mes échanges. C’est alors qu’un certain Guillaume, un homme d’une trentaine d’années, entra en scène. Il m’expliqua qu’il organisait régulièrement des week-ends avec des amis chez lui, où chacun s’occupait des autres. Avec un sourire, il me suggéra de devenir “le plat de résistance” lors d’une prochaine rencontre.

Nous discutâmes pendant deux semaines, et Guillaume me proposa un premier rendez-vous autour d’un café. Il était séduisant, athlétique, et notre conversation fut agréable. À plusieurs reprises, j’eus envie de l’inviter chez moi – je vivais à seulement 200 mètres – mais, au moment où je rassemblai mon courage, il déclina poliment en prétextant que sa femme l’attendait.

Ces derniers mots éveillèrent ma curiosité. Le lendemain, je lui demandai si sa femme participait à ses activités. Guillaume me répondit que oui, tout comme d’autres hommes et femmes.

Comprenant mes hésitations, il m’invita chez lui le week-end suivant pour faire connaissance avec sa femme, Séverine. Ce serait une première pour moi : un plan à trois, qui plus est avec un couple. Cette perspective m’intriguait et m’excitait à la fois.

Le jour J arriva. Guillaume vivait dans une maison cossue en périphérie de la ville. Dès l’extérieur, il était évident qu’il jouissait d’une certaine aisance. Il m’accueillit en jean et chemise blanche, tandis que j’avais opté pour une tenue élégante : une chemise et un pantalon noir.

Nous prîmes place dans le salon. Guillaume m’expliqua que sa femme était partie déposer leurs enfants chez leurs grands-parents pour la nuit. Ce rituel, m’avoua-t-il, leur permettait de profiter d’un week-end par mois en toute intimité.

Quelques minutes plus tard, la porte d’entrée claqua. Séverine fit son apparition. C’était une femme magnifique : grande, brune, et dotée de formes harmonieuses. Elle portait une robe noire élégante, non moulante, qui laissait place à l’imagination.

Guillaume l’invita à nous rejoindre :
— Viens, ma chérie, assieds-toi avec nous.

Elle s’avança vers moi, et, par politesse, je me levai pour me présenter. Elle avait une présence imposante, presque cinématographique, rappelant Angelina Jolie.

— Bonjour, je suis…
— Je sais qui vous êtes, dit-elle avec un sourire. Ravie de faire votre connaissance.

Puis, à ma grande surprise, elle m’embrassa. Ce geste me déstabilisa, mais fit s’évaporer tout le stress accumulé. Je répondis timidement à son baiser, tandis que Guillaume nous observait avec intérêt.

Prenant mon courage à deux mains, je posai délicatement mes mains sur ses hanches. Je sentis sous mes doigts la finesse de sa lingerie, mais n’osai aller plus loin. Elle, en revanche, comprit rapidement mes intentions et posa ses mains sur mon entrejambe. Sa caresse, à travers le tissu, m’embrasa.

Guillaume se rapprocha alors pour embrasser sa femme. Je les observais, partagé entre gêne et excitation. Séverine finit par nous pousser sur le canapé :
— Allez, déshabillez-moi ça, dit-elle en riant.

Nous obtempérâmes. En quelques instants, je me retrouvai en caleçon, entouré de ce couple fascinant. Séverine se mit à se dévêtir lentement, laissant glisser sa robe. Elle portait un string bleu en dentelle, et rien d’autre.

La situation s’accéléra. Elle s’agenouilla devant moi :
— Je vais commencer par notre invité. Ça ne te dérange pas ? lança-t-elle à Guillaume.

Il acquiesça, un sourire complice aux lèvres.

Séverine entreprit de me découvrir, lentement mais sûrement. Elle me regardait intensément tout en caressant mon intimité. Puis, sans préambule, elle me prit en bouche avec une expertise troublante. Ses gestes étaient précis, passionnés. Guillaume quitta la pièce, m’expliquant qu’il aimait laisser sa femme dans son élément.

Pendant près de dix minutes, Séverine s’appliqua à me donner un plaisir inouï. Lorsqu’elle comprit que j’étais sur le point de jouir, elle me posa une question directe :
— Tu préfères dans ma bouche ou sur mon visage ?

Surpris, je ne répondis pas. Elle sourit et déclara :
— D’accord, ce sera dans ma bouche.

Elle intensifia ses mouvements jusqu’à m’arracher un orgasme puissant. Lorsqu’elle eut tout avalé, elle revint m’embrasser doucement.

— Tu restes pour la nuit, j’espère, murmura-t-elle.

Ce n’est que le début de cette aventure. Dites-moi si cette histoire vous a plu ; la suite promet d’être encore plus palpitante.