Ma première féssée (suite)
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma première féssée (suite)
Ma première fessée (suite)
Je suis Anita, petite Espagnole jolie brune, 21 ans et ma copine Patricia, nous somment invités à passer une semaine de vacances chez oncle Paul et ma tante Sophie. Ils habitent une ferme dans le sud de la France.
Vers dix-sept heures, oncle Paul sort de la douche, une serviette nouée autour de la taille, et vient se frotter contre son épouse qui se trouve à la cuisine. Il glisse une main entre ses jambes et caresse la fente.
- Déconne pas, dit-elle, arrête, tu m'allumes salaud. Tu vas me faire mouiller, et les petites pourraient nous surprendre. Va plutôt à la réserve me chercher des légumes.
- Mais tout de suite ma chérie.
Pendant ce temps, Patricia bouquine dans sa chambre et Anita visite la basse cour. Elle entend un bruit dans la réserve et s'avance doucement. Paul a une jambe sur l'escabeau et l'autre légèrement écartée, posée sur un tonneau. Il essaie d'attraper une boite situé en hauteur, exposant ainsi son anatomie à sa nièce. Anita s'avance doucement et envoie une main entre les cuisses de son oncle.
- Oh, c'est quoi qui pend là, rit-elle. Mais c'est une petite paire de couilles.
Surpris, Paul perd l'équilibre et tombe au sol. Dans le mouvement, la serviette s'ouvre.
- Mais ça va pas, gronde Paul, petite vicieuse.
- J'ai vu ton fifre avec tante Sophie, chante Anita.
- Si je t'attrape, tu vas voir la raclée que je vais te mettre une bonne fessée.
Et voilà Paul courir dans la réserve, essayant d'attraper sa jolie nièce. Elle est vêtue d'une jupette et d'un bustier. Il parvient à la coincer. Il s'assied sur un billot de bois et la couche sur ses genoux.
- À nous deux maintenant, ça mérite bien une fessée, hein ?
Paul soulève la jupette, Anita n'a pas de culotte. Il commence à donner quelques petites tapes sur les fesses toutes blanches de sa nièce. Calmement, Anita glisse un bras sous la jambe de son oncle et parvient à lui saisir les testicules.
- Ils sont pleins les coucous à tonton, ironise-t-elle.
- Lâche ça, gronde Paul, lâche ça polissonne.
- Calme toi, tonton, je vais pas te faire de mal, au contraire. Je vais juste les faire rouler entre mes doigts. Hum, c'est bon, hein ?
Paul apprécie de plus en plus les caresses. Il se laisse faire. Anita remonte plus haut et prend la queue de son oncle. Elle dégage le gland en faisant coulisser le prépuce. Une fois décalotté, elle fait des va-et-vient sur la colonne de chair.
- Tu dis rien tonton, tu te régales hein ? Ta nièce qui te tapes une queue. Tu vas voir comme je vais la faire pleurer.
- Que c'est bon, gémit oncle Paul, tu sais y faire toi. Même ta tante m'a jamais branlé comme ça. Ne t'arrête pas ma chérie, tu vas me faire jouir. Ha...ha..
- Oh, mais tu avais une grosse envie, poursuit Anita. Tu veux qu'on recommence ?
- Excuse moi pour la fessée, dit oncle Paul. Je t'ai pas fait mal au moins ?
- Mais non, tu m'as à peine touchée. Tu verras quand moi je t'en donnerai une.
Patricia a rejoint sa Copine Anita dans la cour. Elle remarque, sa copine Anita avec son oncle à moitié cachée derrière la poubelle. Le tonton et Patricia sont bien émoustillés par leurs attouchements, Anita n'a pas certainement mouillée sa culotte puisqu'elle n'en avait pas. Anita appelle alors sa copine :
- Patricia ! vient vite nous rejoindre. Tonton Paul n'a pas eu sa dose de caresses.
Anita avec sa copine Patricia entraine l'oncle Paul dans la grange, ils le couche dans le foin, celui-ci se laisse faire. Anita retire la ceinture du pantalon du tonton, Patricia retire celui-ci en entrainant en même temps son caleçon.
Le tonton glisse une main entre les jambes de Patricia. Qui ne bouge pas, elle porte un pantalon. Un doigt du tonton après avoir descendu la fermeture éclair de son pantalon, a déjà pris possession de la fente de Patricia et commence à faire des va-et-vient sur les lèvres.
- Mais ta petite chatte est toute mouillée, dit tonton Paul. Tu peux pas rester comme ça. Viens tu t'assiéras sur mes genoux. Allez, maintenant met toi toute nue, et toi aussi Anita.
Patricia et sa copine Anita sont maintenant entièrement nues, et elle décident de mettre aussi le tonton Paul dans la même tenue. en quelque minutes le voila nu comme un ver. Impossible de bouger, Anita est assise sur sa poitrine ses fesses presque dans le nez du tonton, et Patricia se place face à sa copine, sur le bas ventre du tonton.
- Qu'est-ce-qu'on va lui faire au tonton Paul ? Tu veux t'amuser avec nous, c'est ça ?
Anita se retourne prend un doigt du tonton et le guide entre ses cuisses.
- Là, c'est mon clitoris, dit-elle. Décalotte-le et doigte le. Tu vas entendre comme je vais crier après. Tu sens comme ma chatte est mouillée ? C'est ta faute, vilain tonton.
Anita hurle de plaisir. Sur ses entrefaites, Patricia tripote Paul en le tirant par la queue, qui s'est légèrement ramollie. Mais les couilles sont toujours pleines.
- Tu aimes que ta nièce te tienne par le sifflet, hein ? Elle te l'a tout décalotté. Mais mon petit bouton, tu vois pas comme il est gros et tout rouge. C'est de ta faute tonton, tu m'a doigtée, tu es le meilleur.
Anita prend le tonton Paul par l'oreille et l'entraine dans un coin de la grange.
- Allez viens, dit-elle, ma chatte doit être sale. Tu vas me la laver avec ta langue.
Pendant toute la semaine, Tonton Paul va se soumettre aux jeux pervers de sa nièce Anita et de sa copine Patricia. Tous les soirs, la queue de Paul va servir de jouet aux deux chipies. Elles le font jouir jusqu'à l'épuisement. Comme annoncé, elles lui donne une petite fessée. Paul a aussi le plaisir de fesser les deux chipies mais ce sont plus des caresses que des claques, leurs fesses sont à peine rouges.
D'un commun accord, ils décident de rester une semaine de plus.
Je suis Anita, petite Espagnole jolie brune, 21 ans et ma copine Patricia, nous somment invités à passer une semaine de vacances chez oncle Paul et ma tante Sophie. Ils habitent une ferme dans le sud de la France.
Vers dix-sept heures, oncle Paul sort de la douche, une serviette nouée autour de la taille, et vient se frotter contre son épouse qui se trouve à la cuisine. Il glisse une main entre ses jambes et caresse la fente.
- Déconne pas, dit-elle, arrête, tu m'allumes salaud. Tu vas me faire mouiller, et les petites pourraient nous surprendre. Va plutôt à la réserve me chercher des légumes.
- Mais tout de suite ma chérie.
Pendant ce temps, Patricia bouquine dans sa chambre et Anita visite la basse cour. Elle entend un bruit dans la réserve et s'avance doucement. Paul a une jambe sur l'escabeau et l'autre légèrement écartée, posée sur un tonneau. Il essaie d'attraper une boite situé en hauteur, exposant ainsi son anatomie à sa nièce. Anita s'avance doucement et envoie une main entre les cuisses de son oncle.
- Oh, c'est quoi qui pend là, rit-elle. Mais c'est une petite paire de couilles.
Surpris, Paul perd l'équilibre et tombe au sol. Dans le mouvement, la serviette s'ouvre.
- Mais ça va pas, gronde Paul, petite vicieuse.
- J'ai vu ton fifre avec tante Sophie, chante Anita.
- Si je t'attrape, tu vas voir la raclée que je vais te mettre une bonne fessée.
Et voilà Paul courir dans la réserve, essayant d'attraper sa jolie nièce. Elle est vêtue d'une jupette et d'un bustier. Il parvient à la coincer. Il s'assied sur un billot de bois et la couche sur ses genoux.
- À nous deux maintenant, ça mérite bien une fessée, hein ?
Paul soulève la jupette, Anita n'a pas de culotte. Il commence à donner quelques petites tapes sur les fesses toutes blanches de sa nièce. Calmement, Anita glisse un bras sous la jambe de son oncle et parvient à lui saisir les testicules.
- Ils sont pleins les coucous à tonton, ironise-t-elle.
- Lâche ça, gronde Paul, lâche ça polissonne.
- Calme toi, tonton, je vais pas te faire de mal, au contraire. Je vais juste les faire rouler entre mes doigts. Hum, c'est bon, hein ?
Paul apprécie de plus en plus les caresses. Il se laisse faire. Anita remonte plus haut et prend la queue de son oncle. Elle dégage le gland en faisant coulisser le prépuce. Une fois décalotté, elle fait des va-et-vient sur la colonne de chair.
- Tu dis rien tonton, tu te régales hein ? Ta nièce qui te tapes une queue. Tu vas voir comme je vais la faire pleurer.
- Que c'est bon, gémit oncle Paul, tu sais y faire toi. Même ta tante m'a jamais branlé comme ça. Ne t'arrête pas ma chérie, tu vas me faire jouir. Ha...ha..
- Oh, mais tu avais une grosse envie, poursuit Anita. Tu veux qu'on recommence ?
- Excuse moi pour la fessée, dit oncle Paul. Je t'ai pas fait mal au moins ?
- Mais non, tu m'as à peine touchée. Tu verras quand moi je t'en donnerai une.
Patricia a rejoint sa Copine Anita dans la cour. Elle remarque, sa copine Anita avec son oncle à moitié cachée derrière la poubelle. Le tonton et Patricia sont bien émoustillés par leurs attouchements, Anita n'a pas certainement mouillée sa culotte puisqu'elle n'en avait pas. Anita appelle alors sa copine :
- Patricia ! vient vite nous rejoindre. Tonton Paul n'a pas eu sa dose de caresses.
Anita avec sa copine Patricia entraine l'oncle Paul dans la grange, ils le couche dans le foin, celui-ci se laisse faire. Anita retire la ceinture du pantalon du tonton, Patricia retire celui-ci en entrainant en même temps son caleçon.
Le tonton glisse une main entre les jambes de Patricia. Qui ne bouge pas, elle porte un pantalon. Un doigt du tonton après avoir descendu la fermeture éclair de son pantalon, a déjà pris possession de la fente de Patricia et commence à faire des va-et-vient sur les lèvres.
- Mais ta petite chatte est toute mouillée, dit tonton Paul. Tu peux pas rester comme ça. Viens tu t'assiéras sur mes genoux. Allez, maintenant met toi toute nue, et toi aussi Anita.
Patricia et sa copine Anita sont maintenant entièrement nues, et elle décident de mettre aussi le tonton Paul dans la même tenue. en quelque minutes le voila nu comme un ver. Impossible de bouger, Anita est assise sur sa poitrine ses fesses presque dans le nez du tonton, et Patricia se place face à sa copine, sur le bas ventre du tonton.
- Qu'est-ce-qu'on va lui faire au tonton Paul ? Tu veux t'amuser avec nous, c'est ça ?
Anita se retourne prend un doigt du tonton et le guide entre ses cuisses.
- Là, c'est mon clitoris, dit-elle. Décalotte-le et doigte le. Tu vas entendre comme je vais crier après. Tu sens comme ma chatte est mouillée ? C'est ta faute, vilain tonton.
Anita hurle de plaisir. Sur ses entrefaites, Patricia tripote Paul en le tirant par la queue, qui s'est légèrement ramollie. Mais les couilles sont toujours pleines.
- Tu aimes que ta nièce te tienne par le sifflet, hein ? Elle te l'a tout décalotté. Mais mon petit bouton, tu vois pas comme il est gros et tout rouge. C'est de ta faute tonton, tu m'a doigtée, tu es le meilleur.
Anita prend le tonton Paul par l'oreille et l'entraine dans un coin de la grange.
- Allez viens, dit-elle, ma chatte doit être sale. Tu vas me la laver avec ta langue.
Pendant toute la semaine, Tonton Paul va se soumettre aux jeux pervers de sa nièce Anita et de sa copine Patricia. Tous les soirs, la queue de Paul va servir de jouet aux deux chipies. Elles le font jouir jusqu'à l'épuisement. Comme annoncé, elles lui donne une petite fessée. Paul a aussi le plaisir de fesser les deux chipies mais ce sont plus des caresses que des claques, leurs fesses sont à peine rouges.
D'un commun accord, ils décident de rester une semaine de plus.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui moi aussi j'ai constaté que la serviette s'est transformé en pantalon mais ce détail
n'enlève rien à l'excitation que j'ai ressenti en voyant ces deux gamines se comporter
comme des professionnelles. Dommage que les détails de la fin soient passés sous
silence. Il faut une suite tout aussi perverse à cette histoire.
n'enlève rien à l'excitation que j'ai ressenti en voyant ces deux gamines se comporter
comme des professionnelles. Dommage que les détails de la fin soient passés sous
silence. Il faut une suite tout aussi perverse à cette histoire.
bof bof. Je croyais que l'oncle était en serviette ?
Le tonton s'est vite habillé, je crois que j'ai sauté un passage...
très bien