MA PREMIERE FOIS
Récit érotique écrit par Jacko [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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MA PREMIERE FOIS
<p>Mon cher Bob, il y a à peine trois jours j'étais à cent lieues d'être un homo et depuis que j'ai reçu ton courrier, me voilà virer boute pour boute.
J'ai été dépucelé par un homme hier au soir.
J'ai parlé avec mon beau-frère de ta lettre. Il m'a dit que sur internet, c'était très courant d'avoir des propositions comme celle-là. Quand je lui ai dit que j'irai sans doute chez toi à quelque cent kilomètres pour me faire dépuceler, il s'est mis à rire.Il m'a dit qu'il avait une solution moins chère. Le soir même (hier au soir), il m'a emmené dans un bain sauna ici au centre-ville. (Mon beau-frère, un homo, si tu le voyais tu ne le croirais pas) .
Je n’ai jamais vu autant de pénis, de fesses et des yeux qui me déshabillaient dès que nous avons ouvert la porte. Mon beau-frère m'a présenté à ses chums. J'étais tout nu et surtout tout mal. Imagine, c'était la première fois. Mon beau-frère m'a dit qu'il me laissait libre de me promener comme je voulais et il est parti avec un de ses amis.
Je suis entré dans le bain de vapeur. Il y avait tellement de vapeurs que l'on ne voyait pas à un pied. Mais je me suis aperçu qu'il y avait un gros noir qui me regardait. J'ai tout de suite vu qu'il avait la plus grosse queue que j'ai jamais vue. J'ai été pris de panique. J'ai tout de suite imaginé qu'il allait me la rentrer dans le cul. J'ai vraiment eu peur qu'il me déchire le cul. Mais finalement il a été gentil. Il a dû comprendre que j'étais mal à l'aise. Je me suis assis tout en haut d'une estrade. Il s'est assis un peu plus loin. Je sentais bien qu'il avait envie de moi. Il me regardait du coin de l'oeil tout en se masturbant.
Si tu avais vu sa queue. Elle était grosse débandée mais là elle devenait énorme. Le bout était rouge mais le reste était brun sombre. Je ne sais pas pourquoi mais d'un côté j'avais terriblement peur et de l'autre j'avais envie de la toucher, même de la mettre dans ma bouche comme tu me l'avais écrit. Je me suis mis à sourire parce que je me suis demandé si le sperme des noirs était blanc. On dirait que cela l'a encouragé. Il s'est approché de moi. J'ai recommencé à paniquer mais finalement il a été gentil. Il m'a souri et a tendu la main pour se présenter. On s'est serré la main. Il s'appelle Louis Joseph. Après cela il a passé son bras par-dessus mes épaules puis avec l'autre main il a commencé à me caresser la cuisse puis la queue. Je bandais comme un cheval. Mais ma queue avait l'air d'une quéquette par rapport à la sienne.
A un moment d'autres hommes sont rentrés dans le bain mais personne n'a fait attention à nous. J'étais un peu gêné parce que Louis Joseph m'avait pris totalement dans ses bras et me faisait un french. J'avais sa langue dans ma bouche. On aurait dit qu'il voulait me nettoyer les dents une après l'autre. Les autres nous regardaient en se masturbant. Je ne sais pourquoi mais j'ai pensé à ce moment là que j'étais la femme de Louis Joseph : une femme à couilles comme m'a dit mon beau-frère plus tard. Je me suis résigné à être sa femme et là je me suis mis à genoux entre ses cuisses et j'ai pris sa belle grosse queue dans ma bouche. Bon dieu, j'ai su à ce moment-là tout ce que j'avais raté. C'est tellement bon d'avoir la queue d'un autre homme dans la bouche. Je comprends pas comment ma femme n'a jamais voulu me le faire. Très vite j'ai pris le rythme de va et vient. A un moment j'ai arrêté parce que je voulais sentir ses couilles dans ma bouche. Lui Il lançait des petits cris de plaisir. Cela m'encourageait de continuer. A un moment donné, Louis Joseph a du trouver que je n’avais pas sa queue assez enfoncée dans la gorge Alors il a pris ma tête et lui a donné un gros aller retour. J'ai manqué d'étouffer mais très vite J'ai appris à respirer par le nez. Finalement il a fini par cracher son sperme dans ma bouche. Je n’ai pas trop aimé cela mais je suppose que je vais m'y habituer. Il y en avait tellement que j'en avais qui coulait entre les lèvres. Louis Joseph est venu le récupérer en me faisant un french.
Je vais m'arrêter là même si il s'est passé bien d'autres affaires. Si tu veux je te les raconterai dans le prochain courrier.
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J'ai été dépucelé par un homme hier au soir.
J'ai parlé avec mon beau-frère de ta lettre. Il m'a dit que sur internet, c'était très courant d'avoir des propositions comme celle-là. Quand je lui ai dit que j'irai sans doute chez toi à quelque cent kilomètres pour me faire dépuceler, il s'est mis à rire.Il m'a dit qu'il avait une solution moins chère. Le soir même (hier au soir), il m'a emmené dans un bain sauna ici au centre-ville. (Mon beau-frère, un homo, si tu le voyais tu ne le croirais pas) .
Je n’ai jamais vu autant de pénis, de fesses et des yeux qui me déshabillaient dès que nous avons ouvert la porte. Mon beau-frère m'a présenté à ses chums. J'étais tout nu et surtout tout mal. Imagine, c'était la première fois. Mon beau-frère m'a dit qu'il me laissait libre de me promener comme je voulais et il est parti avec un de ses amis.
Je suis entré dans le bain de vapeur. Il y avait tellement de vapeurs que l'on ne voyait pas à un pied. Mais je me suis aperçu qu'il y avait un gros noir qui me regardait. J'ai tout de suite vu qu'il avait la plus grosse queue que j'ai jamais vue. J'ai été pris de panique. J'ai tout de suite imaginé qu'il allait me la rentrer dans le cul. J'ai vraiment eu peur qu'il me déchire le cul. Mais finalement il a été gentil. Il a dû comprendre que j'étais mal à l'aise. Je me suis assis tout en haut d'une estrade. Il s'est assis un peu plus loin. Je sentais bien qu'il avait envie de moi. Il me regardait du coin de l'oeil tout en se masturbant.
Si tu avais vu sa queue. Elle était grosse débandée mais là elle devenait énorme. Le bout était rouge mais le reste était brun sombre. Je ne sais pas pourquoi mais d'un côté j'avais terriblement peur et de l'autre j'avais envie de la toucher, même de la mettre dans ma bouche comme tu me l'avais écrit. Je me suis mis à sourire parce que je me suis demandé si le sperme des noirs était blanc. On dirait que cela l'a encouragé. Il s'est approché de moi. J'ai recommencé à paniquer mais finalement il a été gentil. Il m'a souri et a tendu la main pour se présenter. On s'est serré la main. Il s'appelle Louis Joseph. Après cela il a passé son bras par-dessus mes épaules puis avec l'autre main il a commencé à me caresser la cuisse puis la queue. Je bandais comme un cheval. Mais ma queue avait l'air d'une quéquette par rapport à la sienne.
A un moment d'autres hommes sont rentrés dans le bain mais personne n'a fait attention à nous. J'étais un peu gêné parce que Louis Joseph m'avait pris totalement dans ses bras et me faisait un french. J'avais sa langue dans ma bouche. On aurait dit qu'il voulait me nettoyer les dents une après l'autre. Les autres nous regardaient en se masturbant. Je ne sais pourquoi mais j'ai pensé à ce moment là que j'étais la femme de Louis Joseph : une femme à couilles comme m'a dit mon beau-frère plus tard. Je me suis résigné à être sa femme et là je me suis mis à genoux entre ses cuisses et j'ai pris sa belle grosse queue dans ma bouche. Bon dieu, j'ai su à ce moment-là tout ce que j'avais raté. C'est tellement bon d'avoir la queue d'un autre homme dans la bouche. Je comprends pas comment ma femme n'a jamais voulu me le faire. Très vite j'ai pris le rythme de va et vient. A un moment j'ai arrêté parce que je voulais sentir ses couilles dans ma bouche. Lui Il lançait des petits cris de plaisir. Cela m'encourageait de continuer. A un moment donné, Louis Joseph a du trouver que je n’avais pas sa queue assez enfoncée dans la gorge Alors il a pris ma tête et lui a donné un gros aller retour. J'ai manqué d'étouffer mais très vite J'ai appris à respirer par le nez. Finalement il a fini par cracher son sperme dans ma bouche. Je n’ai pas trop aimé cela mais je suppose que je vais m'y habituer. Il y en avait tellement que j'en avais qui coulait entre les lèvres. Louis Joseph est venu le récupérer en me faisant un french.
Je vais m'arrêter là même si il s'est passé bien d'autres affaires. Si tu veux je te les raconterai dans le prochain courrier.
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