Ma première fois
Récit érotique écrit par Stéphi [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2004 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma première fois
Je m’appelle Stephi, j’ai maintenant 18 ans mais je vais vous racontez une histoire que j’ai vécu l’année dernière, j’étais en terminale, j’avais 17 ans. Je fais 1m65 pour 50 kg, brune les yeux verts. J’avais du succès au lycée mais les gars me trouvaient inintéressante. En effet, mes parents ont toujours fais passer le travail avant tout, alors je sortais très peu, j’avais une réputation d’intello coincée. Les quelques occasions que j’avais eu de sortir avec quelqu’un au lycée n’étaient pas très saines, les gars voulaient simplement coucher avec moi, sans plus. Adorant la mode, je faisais attention à être toujours bien habillée, mais je crois plutôt que ma poitrine (95D) les attirait plus.
Je n’avais donc jamais eu de copains au lycée, et à part quelques amours de vacances, je n’avais jamais eu de relations très poussées et donc très peu d’expérience sexuelle. Je n’étais pas si timide que ça, le sexe ne m’effrayait pas, mes copines me racontaient leurs histoires, et j’étais plutôt pressée d’avoir une aventure, avec quelqu’un d’intéressant bien sûr.
C’était un Vendredi soir, mes parents me laissaient aller en boîte pour la première fois avec des copines seulement parce que j’avais eu un bon bulletin. Il était 19 heures, ma mère était au théâtre avec une amie et mon père n’allait pas tarder à rentrer du travail, je me préparais tout doucement, j’avais dévalisé mon armoire. 19 heure 30, habillée, maquillée, fin prête, j’avais mis une jupe qui m’arrivait en dessous du genoux, un débardeur, rien de vraiment vulgaire, sauf peut être mon string (je trouvais que la trace de la culotte sur la jupe ne faisait pas terrible, je voulais être parfaite pour cette grande première).
Le téléphone sonne, c’était mon père, j’avais trop peur qu’il annule ma soirée, mais ouf c’était simplement pour me prévenir qu’il serait en retard. Il me dit: tu te rappelles de mon collègue qui est venu dîner à la maison au début de l’année avec sa femme, c’est mon directeur commercial, il doit passer à la maison pour me parler d’un contrat important. Le problème c’est que je suis dans les bouchons, alors il arrivera sûrement à la maison avant moi. Ouvre lui, installe le, je serais là dans ¾ d’heure environ. Ca avait l’air très important pour mon père, je crois qu’il attendait qu’un post important se libère dans sa société, à mon avis il ne voulait pas décevoir. En effet je me rappelais de son collègue, un peu moins que la quarantaine, plutôt pas mal (je ne suis pas attiré par les hommes plus âgés mais je sais tout de même reconnaître un bel homme). Je me rappelle qu’il louchait sur ma poitrine ce soir là, à part ça il avait l’air d’être charmant, tout comme sa femme d’ailleurs, je crois même qu’ils avaient une fille de mon âge.
Comme prévu, 5 minutes plus tard, on sonne à la porte, j’ouvre, c’est bien lui, dans un beau costume, toujours aussi bien Il entre en me disant bonjour Stephi (cela m’étonnait qu’il se souvienne de mon prénom). Je lui prends son manteau, il garde sa mallette et je lui dis de s’installer dans le canapé. Je lui sert à boire et m’assois à côté de lui. On commence à parler des cours, du bac, il me parle de sa fille qui est en terminale comme moi,…Comme je le pensais, cet homme était très sympa, il me faisait rire, j’avais l’impression que l’on avait le même âge, il avait l’esprit jeune, à l’opposé de mon père. Mais plus on avançait dans la conversation, plus il regardait ma poitrine avec insistance, je commençais à être vraiment mal à l’aise. Avec ses petits sourires charmeurs, j’avais l’impression qu’il savait que je le trouvais bel homme. Il me semblait voir comme une bosse dans son pantalon mais je n’osais pas regarder, la discussion avait perdu de son intensité, l’atmosphère était lourde, je tournais de plus en plus le regard. Je pris un verre d’eau pour me dénouer la gorge puis il me dit: Stephi suce moi. Je failli m’étouffer sur le coup en recrachant la moitié de mon verre d’eau.
J’étai rouge de honte, je n’osais pas le regarder, mais il me mis la main sur la joue en me disant que j’étais magnifique ce soir et qu’il ne fallait pas avoir honte de ça. Mais j’étais morte de peur, ne sachant pas quoi faire, j’avais dans la tête qu’il était le patron de mon père et qu’il pourrait s’acharner sur lui si j’avais une mauvaise réaction. Je n’avais jamais rien fais avec un garçon, ni coucher, ni branler et encore moins sucer. Je ne savais vraiment pas comment faire, une fois, à la cantine, pour rigoler mes copines m’avait montré sur une banane mais je n’avais jamais vu faire.
Il me fixa et me mit la main dans les cheveux, tout doucement il essayait de me baisser la tête mais je résistais les premiers instants. Je fermai les yeux, il força un peu et je ne sais pas pour quelles raisons je baissai la tête. J’avais la bouche à 15 cm de sa braguette et pendant qu’il l’ouvrait, de l’autre main il me massait la nuque, c’était très agréable. Cela me détendait et même si j’avais peur, j’étais déjà moins stressée. Mais une fois qu’il eu sorti sa bite le stress revint, elle était grosse et longue. Il me chuchota: je sais que c’est la première fois que tu suces, n’ai pas peur, ouvre la bouche je vais te guider. Il me pris la main et entoura sa bite et me fis faire quelque va et viens. J’ouvris la bouche et avala son gland, je sentis un frémissement, avec sa main sur ma tête il faisait le va et viens, j’avais juste à ouvrir la bouche. Je sentais qu’il appuyait de plus en plus fort et que sa bite allait de plus en plus loin dans ma bouche, et quand il accélérait le mouvement, je l’entendais jouir. J’étais rassurée, moi qui avait peur de ne pas m’en sortir, il avait l’air d’apprécier, j’étais maintenant tout à fais à l’aise, mon cœur battait normalement et intérieurement j’étais contente de moi. J’arrêtais de le sucer, il mis sa tête en arrière sur le canapé et ferma les yeux, je le branlais tout doucement et accélérais de temps en temps, puis je me remis à le sucer toute seule sans son aide, je crois qu’il était aux anges. Le fait qu’une jeune sans expérience le suce lui pour la première fois l’excitait beaucoup à mon avis.
Il m’arrêta, m’assis sur le canapé et se mit à genoux par terre, je ne savais pas ce qu’il allait faire, il m’embrassa les mollets tout en remontant le long de ma jambe. Je sentais des picotements de plaisir, je voulais l’arrêter mais il continua. Je fermais les yeux, il souleva ma jupe et arriva à mon string qu’il enleva très délicatement, il plongea sa tête entre mes jambes. Ce fut 5 min de plaisir intense, je n’osais pas jouir, je me retenais en lâchant quelques soupirs. Cet homme était extraordinaire, ses coups de langue étaient fabuleux, j’étais totalement trempée, j’avais honte.
Il s’arrêta, me leva, je déboutonnais sa chemise et lui m’enlevait mon débardeur, en me laissant mon soutien gorge. Je touchais son torse, j’étais très surprise qu’il soit aussi musclé. Cet homme m’avait vraiment excité, j’étais dans un état second. Il me mit à quatre pattes sur le canapé très délicatement. Je sentais son pénis qui cherchait mon petit vagin tout humide, avant qu’il rentre j’eu un petit peu peur d’avoir mal. Mais il faisait des va et viens progressifs en ne faisant rentré que son gland, puis un peu plus, je sentis un léger picotement puis plus rien, il rentra jusqu’au bout cette fois. Ca y est, je n’étais plus vierge, je ne ressentais rien au début, ou très peu, mais il allait maintenant jusqu’au bout et de plus en plus vite, le plaisir venait avec les coups de reins, jusqu’à ce que cela devienne vraiment jouissif. J’avais honte de mes soupirs, puis cela devenait incontrôlable, ils se transformaient en jouissements intenses. Mes cris de plaisir lui plaisaient, il attrapa ma croupe à deux mains et il accéléra encore et encore, de plus en plus fort, ses coups de reins claquaient contre mes fesses, je mordais le tissu du canapé, j’avais peur que l’on m’entende. Il ralentit la cadence et se pencha sur moi pour me presser les seins à travers mon soutien gorge, c’était une sensation étrange, mais cela me plaisait beaucoup, je sentais que mes tétons étaient tous durs, je voulais qu’il le retire pour qu’il puisse les prendre à pleine mains, et les palpé vraiment, mais il n’en fit rien.
Il continua à me prendre à quatre pattes encore quelques instants puis il arrêta. Il me releva et me détacha mon soutien gorge, libérant ainsi mes gros seins bien lourds, gonflés par le plaisir. Il prit beaucoup de plaisir à les toucher et les léché, je n’en ressenti pas moins, c’était très agréable. Il s’assit ensuite sur le bord du canapé, me mit à genoux, je pensais qu’il voulait que je recommence à le sucer, ce que je fis tout de suite. Mais cette fois si avec beaucoup plus d’assurance, je léchais son gland et avalait une bonne partie de sa bite, je me surprenais moi même, il poussait de longs râles mais il m’arrêta. Il remonta mon buste au niveau de sa bite, je ne comprenais pas ce qu’il voulait faire, il attrapa mes seins à deux mains et me dit de le laisser faire, je ne comprenais vraiment pas. Il mit sa queue entre mes seins puis il commença les va et viens, là je le voyais en pleine extase, les yeux fermés, la bouche ouverte, ce vieux cochon aimait ça. Il poussait maintenant des gémissements, moi je ne ressentais rien mais le fait qu’il aime ça m’excitait vraiment.
Tout d’un coup il se leva la bite à la main, il me mit la main sur l’épaule pour que je reste à genoux devant lui. Il se branla en me regardant, je me touchait les seins et me passait la langue sur les lèvres pour l’exciter, j’avais un peu peur de ce qui allait arriver, mais après tout cet homme était un dieu du sexe, il m’avait dépucelé comme personne d’autre l’aurait fais alors je restais dans cette position, à attendre qu’il vienne. Il se mit à accélérer et à gémir puis un premier jet sortit sur ma figure, je lui pris la queue de la main et je me mit à le branler frénétiquement puis un second et un troisième jet sortirent sur mes seins, je n’osais pas le sucer, il restait quelques gouttes mais il m’appuya la tête et je fus bien obligée, cela n’avait pas de goût alors je continua jusqu’à ce qu’il m’arrête et me relève. Il se rhabilla, et je me douchai pour la seconde fois de la soirée, cette partie de sexe avait duré une bonne vingtaine de minute, mon père arriva dans le quart d’heure suivant, ne se doutant d’absolument rien.
Le soir je ne suis même pas aller en boîte, j’ai passé la soirée chez ma copine à lui raconté chaque détails, et oui, c’est ça les filles.
A ce jour mon père n’est toujours pas au courant, je n’ai jamais revu cet homme et je ne regrette rien, mais absolument rien, cet homme n’était pas malsain, il m’a appris le sexe de la meilleure façon qu’il soit, sans m’obliger ni me violenter.
Je n’avais donc jamais eu de copains au lycée, et à part quelques amours de vacances, je n’avais jamais eu de relations très poussées et donc très peu d’expérience sexuelle. Je n’étais pas si timide que ça, le sexe ne m’effrayait pas, mes copines me racontaient leurs histoires, et j’étais plutôt pressée d’avoir une aventure, avec quelqu’un d’intéressant bien sûr.
C’était un Vendredi soir, mes parents me laissaient aller en boîte pour la première fois avec des copines seulement parce que j’avais eu un bon bulletin. Il était 19 heures, ma mère était au théâtre avec une amie et mon père n’allait pas tarder à rentrer du travail, je me préparais tout doucement, j’avais dévalisé mon armoire. 19 heure 30, habillée, maquillée, fin prête, j’avais mis une jupe qui m’arrivait en dessous du genoux, un débardeur, rien de vraiment vulgaire, sauf peut être mon string (je trouvais que la trace de la culotte sur la jupe ne faisait pas terrible, je voulais être parfaite pour cette grande première).
Le téléphone sonne, c’était mon père, j’avais trop peur qu’il annule ma soirée, mais ouf c’était simplement pour me prévenir qu’il serait en retard. Il me dit: tu te rappelles de mon collègue qui est venu dîner à la maison au début de l’année avec sa femme, c’est mon directeur commercial, il doit passer à la maison pour me parler d’un contrat important. Le problème c’est que je suis dans les bouchons, alors il arrivera sûrement à la maison avant moi. Ouvre lui, installe le, je serais là dans ¾ d’heure environ. Ca avait l’air très important pour mon père, je crois qu’il attendait qu’un post important se libère dans sa société, à mon avis il ne voulait pas décevoir. En effet je me rappelais de son collègue, un peu moins que la quarantaine, plutôt pas mal (je ne suis pas attiré par les hommes plus âgés mais je sais tout de même reconnaître un bel homme). Je me rappelle qu’il louchait sur ma poitrine ce soir là, à part ça il avait l’air d’être charmant, tout comme sa femme d’ailleurs, je crois même qu’ils avaient une fille de mon âge.
Comme prévu, 5 minutes plus tard, on sonne à la porte, j’ouvre, c’est bien lui, dans un beau costume, toujours aussi bien Il entre en me disant bonjour Stephi (cela m’étonnait qu’il se souvienne de mon prénom). Je lui prends son manteau, il garde sa mallette et je lui dis de s’installer dans le canapé. Je lui sert à boire et m’assois à côté de lui. On commence à parler des cours, du bac, il me parle de sa fille qui est en terminale comme moi,…Comme je le pensais, cet homme était très sympa, il me faisait rire, j’avais l’impression que l’on avait le même âge, il avait l’esprit jeune, à l’opposé de mon père. Mais plus on avançait dans la conversation, plus il regardait ma poitrine avec insistance, je commençais à être vraiment mal à l’aise. Avec ses petits sourires charmeurs, j’avais l’impression qu’il savait que je le trouvais bel homme. Il me semblait voir comme une bosse dans son pantalon mais je n’osais pas regarder, la discussion avait perdu de son intensité, l’atmosphère était lourde, je tournais de plus en plus le regard. Je pris un verre d’eau pour me dénouer la gorge puis il me dit: Stephi suce moi. Je failli m’étouffer sur le coup en recrachant la moitié de mon verre d’eau.
J’étai rouge de honte, je n’osais pas le regarder, mais il me mis la main sur la joue en me disant que j’étais magnifique ce soir et qu’il ne fallait pas avoir honte de ça. Mais j’étais morte de peur, ne sachant pas quoi faire, j’avais dans la tête qu’il était le patron de mon père et qu’il pourrait s’acharner sur lui si j’avais une mauvaise réaction. Je n’avais jamais rien fais avec un garçon, ni coucher, ni branler et encore moins sucer. Je ne savais vraiment pas comment faire, une fois, à la cantine, pour rigoler mes copines m’avait montré sur une banane mais je n’avais jamais vu faire.
Il me fixa et me mit la main dans les cheveux, tout doucement il essayait de me baisser la tête mais je résistais les premiers instants. Je fermai les yeux, il força un peu et je ne sais pas pour quelles raisons je baissai la tête. J’avais la bouche à 15 cm de sa braguette et pendant qu’il l’ouvrait, de l’autre main il me massait la nuque, c’était très agréable. Cela me détendait et même si j’avais peur, j’étais déjà moins stressée. Mais une fois qu’il eu sorti sa bite le stress revint, elle était grosse et longue. Il me chuchota: je sais que c’est la première fois que tu suces, n’ai pas peur, ouvre la bouche je vais te guider. Il me pris la main et entoura sa bite et me fis faire quelque va et viens. J’ouvris la bouche et avala son gland, je sentis un frémissement, avec sa main sur ma tête il faisait le va et viens, j’avais juste à ouvrir la bouche. Je sentais qu’il appuyait de plus en plus fort et que sa bite allait de plus en plus loin dans ma bouche, et quand il accélérait le mouvement, je l’entendais jouir. J’étais rassurée, moi qui avait peur de ne pas m’en sortir, il avait l’air d’apprécier, j’étais maintenant tout à fais à l’aise, mon cœur battait normalement et intérieurement j’étais contente de moi. J’arrêtais de le sucer, il mis sa tête en arrière sur le canapé et ferma les yeux, je le branlais tout doucement et accélérais de temps en temps, puis je me remis à le sucer toute seule sans son aide, je crois qu’il était aux anges. Le fait qu’une jeune sans expérience le suce lui pour la première fois l’excitait beaucoup à mon avis.
Il m’arrêta, m’assis sur le canapé et se mit à genoux par terre, je ne savais pas ce qu’il allait faire, il m’embrassa les mollets tout en remontant le long de ma jambe. Je sentais des picotements de plaisir, je voulais l’arrêter mais il continua. Je fermais les yeux, il souleva ma jupe et arriva à mon string qu’il enleva très délicatement, il plongea sa tête entre mes jambes. Ce fut 5 min de plaisir intense, je n’osais pas jouir, je me retenais en lâchant quelques soupirs. Cet homme était extraordinaire, ses coups de langue étaient fabuleux, j’étais totalement trempée, j’avais honte.
Il s’arrêta, me leva, je déboutonnais sa chemise et lui m’enlevait mon débardeur, en me laissant mon soutien gorge. Je touchais son torse, j’étais très surprise qu’il soit aussi musclé. Cet homme m’avait vraiment excité, j’étais dans un état second. Il me mit à quatre pattes sur le canapé très délicatement. Je sentais son pénis qui cherchait mon petit vagin tout humide, avant qu’il rentre j’eu un petit peu peur d’avoir mal. Mais il faisait des va et viens progressifs en ne faisant rentré que son gland, puis un peu plus, je sentis un léger picotement puis plus rien, il rentra jusqu’au bout cette fois. Ca y est, je n’étais plus vierge, je ne ressentais rien au début, ou très peu, mais il allait maintenant jusqu’au bout et de plus en plus vite, le plaisir venait avec les coups de reins, jusqu’à ce que cela devienne vraiment jouissif. J’avais honte de mes soupirs, puis cela devenait incontrôlable, ils se transformaient en jouissements intenses. Mes cris de plaisir lui plaisaient, il attrapa ma croupe à deux mains et il accéléra encore et encore, de plus en plus fort, ses coups de reins claquaient contre mes fesses, je mordais le tissu du canapé, j’avais peur que l’on m’entende. Il ralentit la cadence et se pencha sur moi pour me presser les seins à travers mon soutien gorge, c’était une sensation étrange, mais cela me plaisait beaucoup, je sentais que mes tétons étaient tous durs, je voulais qu’il le retire pour qu’il puisse les prendre à pleine mains, et les palpé vraiment, mais il n’en fit rien.
Il continua à me prendre à quatre pattes encore quelques instants puis il arrêta. Il me releva et me détacha mon soutien gorge, libérant ainsi mes gros seins bien lourds, gonflés par le plaisir. Il prit beaucoup de plaisir à les toucher et les léché, je n’en ressenti pas moins, c’était très agréable. Il s’assit ensuite sur le bord du canapé, me mit à genoux, je pensais qu’il voulait que je recommence à le sucer, ce que je fis tout de suite. Mais cette fois si avec beaucoup plus d’assurance, je léchais son gland et avalait une bonne partie de sa bite, je me surprenais moi même, il poussait de longs râles mais il m’arrêta. Il remonta mon buste au niveau de sa bite, je ne comprenais pas ce qu’il voulait faire, il attrapa mes seins à deux mains et me dit de le laisser faire, je ne comprenais vraiment pas. Il mit sa queue entre mes seins puis il commença les va et viens, là je le voyais en pleine extase, les yeux fermés, la bouche ouverte, ce vieux cochon aimait ça. Il poussait maintenant des gémissements, moi je ne ressentais rien mais le fait qu’il aime ça m’excitait vraiment.
Tout d’un coup il se leva la bite à la main, il me mit la main sur l’épaule pour que je reste à genoux devant lui. Il se branla en me regardant, je me touchait les seins et me passait la langue sur les lèvres pour l’exciter, j’avais un peu peur de ce qui allait arriver, mais après tout cet homme était un dieu du sexe, il m’avait dépucelé comme personne d’autre l’aurait fais alors je restais dans cette position, à attendre qu’il vienne. Il se mit à accélérer et à gémir puis un premier jet sortit sur ma figure, je lui pris la queue de la main et je me mit à le branler frénétiquement puis un second et un troisième jet sortirent sur mes seins, je n’osais pas le sucer, il restait quelques gouttes mais il m’appuya la tête et je fus bien obligée, cela n’avait pas de goût alors je continua jusqu’à ce qu’il m’arrête et me relève. Il se rhabilla, et je me douchai pour la seconde fois de la soirée, cette partie de sexe avait duré une bonne vingtaine de minute, mon père arriva dans le quart d’heure suivant, ne se doutant d’absolument rien.
Le soir je ne suis même pas aller en boîte, j’ai passé la soirée chez ma copine à lui raconté chaque détails, et oui, c’est ça les filles.
A ce jour mon père n’est toujours pas au courant, je n’ai jamais revu cet homme et je ne regrette rien, mais absolument rien, cet homme n’était pas malsain, il m’a appris le sexe de la meilleure façon qu’il soit, sans m’obliger ni me violenter.
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